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leo
@peri a dit dans Les choses grotesques dans les films :
@laetie1804 a dit dans Les choses grotesques dans les films. :
@LeaPierce ou il y a les clés derrière le pare soleil ........
Sans compter le plaisir de s'asseoir sur du verre brisé... Arf !!
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leo
@mai-tai a dit dans Les choses grotesques dans les films :
@Morphée et les nanas qui gardent leurs soutifs pour faire l'amour...
Et pas que... les draps ramenés sur soi en permanence (voir entre les deux partenaires), les culottes, slips, boxer, bas de pyjama, etc. pour sortir du lit et aller aux toilettes...
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leo
@aspiegon Une plume de quel type ? Avec réservoir ou à tremper ?
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leo
@dryanaide Ah oui, j'avais oublié la craie... hum... oui, bon, le marqueur disons !!!
Tu recopies tes cours ou tu les océrises ?
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leo
@ayamé a dit dans Droit au blasphème en France :
@leo a dit dans Droit au blasphème en France :
Le vivre ensemble est, souvent, utilisé comme moyen rhétorique de rappeler à l'ordre, de soumettre l'autre à ses propres formes.
Pas d'accord avec toi. Le vivre ensemble pour moi - et je comprends que ma définition ne te convienne pas - c'est accepter l'autre dans ses différences. Où vois-tu alors qu'il y aurait désir de le soumettre à ses propres formes ?
Quand ces différences engendrent des réactions agressives et/ou méprisantes, je pose la question :
" Froisser quelqu'un et le blesser en " blasphémant ", quel intérêt, quelles conséquences ? "
Tiens, réponds à cette question, j'adore t'écouter écrire .Sauf que... les différences de certains (manifester leurs croyances dans l'espace public par la seule présence par exemple de leurs lieux de culte - et c'est loin d'être leur seule manifestation -), l'emportent alors sur les différences d'autres (manifester leur satire de ces mêmes lieux - ou d'autres manifestations telles un livre, un magazine, un film, une émission, un symbole, un spectacle, etc. -).
Cela implique donc que certains se soumettent aux formes des autres.De plus.
D'une, il faut déjà que je crois que la personne froissée est de bonne foi (et le terme "foi" prend tout son sens ). Et lorsqu'elles sont plusieurs, beaucoup peuvent être de bonne foi, et beaucoup d'autres non... Plus encore, le froissement peut être l'instrumentalisation d'une lutte sur bien d'autres sujets plus concrets : ressources, influences politiques & pouvoir.De deux, l'intérêt de la satire, de la critique, et même des caricatures est de faire reculer des pratiques (sociales et culturelles), des limites à la pensée, etc. qui sont liées, le plus souvent, aux croyances religieuses... Le but n'est donc pas tant de choquer ou de blesser que de lutter contre les nombreux à côtés particulièrement nocifs de la pensée religieuse, dont l'Histoire regorge et dont notre présent est très, très loin d'être débarrassé.
Il existe des envies et des intérêts de coopération dans une société humaine. Mais en moins grand nombre que des besoins et des intérêts d'affrontements, pour des ressources, des places, des pratiques, des lieux, etc.
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leo
J'aime encore, de temps à autre, prendre une plume ou même un stylo pour écrire, même si ce sera souvent pour prendre des notes.
Utilisez-vous encore un stylo, pour autre chose qu'une liste ou du remplissage administratif ? Écrire des lettres, des cartes postales, d'autres textes ?
Utilisez-vous des crayons de papiers, des stylos, des plumes ?
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leo
@kallindra a dit dans Droit au blasphème en France :
@AllezSavoir et @Wolfen Quelle définition donnez-vous au blasphème ?
Toujours un excellent préalable ! Et on voit combien cela explique des positions
@peri a dit dans Droit au blasphème en France :
De deux, c'est juste qu'en cas de divergence Wikipédia-Dictionnaire (ce qui peut arriver, comme ici), toujours privilégier ce dernier.
C'est aussi simple que ça.
Pourquoi ? Quelle autorité supérieure a un dictionnaire ? Et quel dictionnaire ?
Si les concepts pouvaient se réduire à une phrase, et leur sens être immobile dans le temps et l'espace, serait-il utile d'écrire des articles ? des livres ? D'en débattre ?
@ayamé a dit dans Droit au blasphème en France :
@peri a dit dans Droit au Blasphème en France :
J'ai insulté un concept, une idée
Quoiqu'il en soit, le résultat est que cela ne facilite pas le savoir vivre ensemble.
Je suis anti-cléricale, mais je ne m'autorise pas pour autant à insulter une religion,
ce qui ne m'interdit pas non plus d'émettre un avis critique sur certains dogmes et rites.
Froisser quelqu'un et le blesser en " blasphémant ", quel intérêt, quelles conséquences ?
Le bien vivre ensemble, pour eux dans le respect de nos valeurs laïques et pour nous,
dans le respect de leur foi qui doit rester dans la sphère privée me paraît important.Le vivre ensemble est, souvent, utilisé comme moyen rhétorique de rappeler à l'ordre, de soumettre l'autre à ses propres formes, à son propre ordre du discours. Et le procédé est à ce point insidieux qu'il peut avoir raison d'être parfois et beaucoup moins dans d'autres cas... Le flou de la frontière permet, d'un mot, de dire qu'on est du bon côté de la frontière, tout en étant en réalité dans la menace. Le respect est très souvent utilisé de la même manière...
@leapierce a dit dans Droit au blasphème en France :
J'ai donc de gros doutes sur le fait qu'un mot ou une notion n'existerait que pour une partie de la population...
Si, bien sûr, c'est en permanence le cas. Le langage n'est pas du tout uniformément réparti. Et le sens des mots encore moins !!! On l'a vu parfaitement ci-dessus autour des définitions ! Et c'est très visible sur d'autres sujets, très souvent !
Tu peux avoir envie que tout le monde ait la même définition du blasphème, de l'homosexualité ou du racisme mais ce n'est pas pour autant que la réalité correspondra à cette aspiration 'logique'. Serait-ce même réellement souhaitable d'ailleurs ?@Madarjeen a bien évoqué la complexité des limites, de l'interprétation personnelle et collective. Mais j'ajouterai que tout cela repose également sur des jeux de puissance, et en cela je rejoins @Wolfen sur ces craintes. Il serait plus que naïf d'oublier qu'il s'agit au fond, pour beaucoup, d'imposer leur vision du monde. Ce qui est très humain, mais qui doit donc reconnaître l'état de lutte dans lequel se trouve une société composite entre des factions, des communautés, classes sociales, religions, partis politiques. Le blasphème est donc à mon sens, avant tout, une notion instrumentale, un outil conceptuel pour interdire, jouer les victimes, imposer un cadre de représentation. Et la caricature ne l'est pas beaucoup moins.
Lorsque @Dryanaide invite l'ordre public dans le débat, elle montre bien que le législateur a bien compris cela. L'état a pour but sur ce type de tensions internes, de neutraliser autant que faire se peut les risques de passage des oppositions idéologiques aux actes violents. Et la lutte autour de l'expression est importante car elle est le véhicule des idéologies, donc le premier terrain d'affirmation de soi, et d'expansion de ses intérêts, aussi bien pour un individu que pour des collectifs. -
leo
L'idée est aussi probablement, parfois, voire souvent, du moins sur un forum, où la discussion ne se fait pas en temps réel mais en temps différé, d'avoir envie qu'un contradicteur se soit documenté entre temps pour mieux participer. Ce qui fait entrer en jeu en grand nombre de paramètres discrets finalement : but réel de la discussion pour les participants, connaissances préalables, accès aux sources, etc.
Sur le Covid, cela implique peut-être aussi l'envie ou pas d'approfondir des sujets de santé qui sont complexes, et dont le questionnement peut devenir un peu désagréable à creuser. Une incertitude dans laquelle s'orienter devient difficile ne va-t-elle pas provoquer un certain malaise, et la préférence pour des explications simples, ou des limites au questionnement ?
D'autant quebeaucouptous et toutes aspirent à en finir avec le Covid, mais perçoivent à travers les multiples questionnements le risque d'une durée bien plus floue, d'un évasement de la situation... -
leo
@allezsavoir a dit dans Quelles sont les qualités d’un bon président? :
@ayamé a dit dans Quelles sont les qualités d’un bon président? :
Un bon président, c'est celui qui se rappelle que démocratie signifie aussi que l'on n'ignore pas
les minorités politiques et qu'il n'est pas interdit d'accepter leurs idées quand elles sont valables.
Mais pour ça, il faut avoir assez d'humilité...L’Humilité est en effet une vertu qu’un « bon » président doit avoir. Il s’agit d’une qualité dans l’exercice du pouvoir, mais en est elle une pour l’accès au pouvoir?
Est il possible d’être humble avec la prétention ou la conviction de pouvoir représenter et aider plus de 60 millions de personnes?
On a déjà vu en France des candidats semblant sincèrement humbles. Généralement ils ne font pas de gros scores.
On leur trouve souvent un manque de Charisme... mais à quoi sert le charisme en politique si ce n’est manipuler et fédérer de manière artificielle et temporaire ?Pourquoi faudrait-il être humble pour être président ? Le désir de pouvoir ne peut aller de paire avec l'humilité, je suis tout à fait d'accord. C'est antinomique.
Le mot démocratie est galvaudé. Il n'y actuellement que des républiques, qui se disent des démocraties pour éviter d'avoir à le devenir. Mais la torsion des mots a été telle qu'on peut avoir des monarchies démocratiques, des républiques théocratiques, etc. Pourquoi pas des démocraties totalitaires, oligarchiques, etc.
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leo
@marie-thérèse a dit dans Quelles sont les qualités d’un bon président? :
Je ne pense pas que Macron sera réélu en 2022. Il y aura un front républicain.
D'ailleurs il se dit en coulisse qu'il ne se représentera pas sous l'étiquette LREM. C'est évident, ce sera RNEM.Ce n'est pas vraiment le sujet mais Je crains qu'il ait de bonnes chances d'être réélu, non seulement, pour les raisons déjà invoquées, mais également car il sera auréolé du retour à l'à peu près normal, bien plus que du souvenir des erreurs...
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leo
@dryanaide
Sur la question du travail, il suffit de lire David Graeber pour savoir que les syndicats ne vont pas apprécier l'IA si elle évalue l'intérêt du travail. Surtout des syndicats de cadres...
Par contre sur la médecine, si on en revient aux trois lois de la robotique, l'IA maximisera au contraire les soins !
Toujours sur le même principe, elle n'a aucune raison d'aller dans un mauvais sens du point de vue humain... Et c'est potentiellement là le problème, bien plus que la créativité, qu'elle peut tout à fait atteindre! Elle risque d'être plus humaniste que les humains. Ce qui n'est pas nécessairement souhaitable (cause animale par exemple). Après, il possible d'intégrer des lois plus complexes.. !Mais tout cela ne réponds surtout pas à la déresponsabilisation qui a de forte chance de s'installer. Il ne faut pas négliger les forces de servitudes volontaires.
@wolfen
Le problème vient surtout que passer d'un bord à l'autre depuis Mitterrand, ne veut, à mon sens, plus dire grand chose. Il n'y a plus vraiment de bords dans les parties de "gouvernement". Les différences se sont réduites à des portions congrues, relativement convenues... Plus esthétiques et politiciennes qu'autre chose, pour l'essentiel.
Du moins pour ceux qui sont élus.@Martin
L'Allemagne a un système fortement régionaliste. Mais je ne vois pas bien l'intérêt supérieur de son système.Lorsque tu parles de conseils régionaux votant les lois. Penses-tu à un parlement national composé des conseils régionaux ? Et quid en ce cas du sénat ?
Et donc ton exécutif ne change pas, c'est bien ça ?
Cela ne risque-t-il pas de correspondre à des inégalités régionales renforcées ? Cela n'implique-t-il pas plus de fragmentation que de coopération ?
Qui serait favorable à la suppression du sénat, et à une expansion corrélative de l'assemblée ?
Celle-ci pourrait inclure des modes de désignation multiple : certains, élus, d'autres tirés au sort... Voire des renouvellements décalés.
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leo
@allezsavoir a dit dans Quelles sont les qualités d’un bon président? :
Il va nous falloir un nouveau Topic Futur d’anticipation.
Sinon je connais toutes les références que tu cites et skynet dans terminator n’est pas une IA consultative. Elle contrôle les armées , les bombes et missiles. Y a une différence nette.Pourquoi ? Ta proposition est déjà une anticipation ! Et c'est bien la logique du fil que de s'interroger sur l'avenir !
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leo
@allezsavoir a dit dans Quelles sont les qualités d’un bon président? :
@wolfen
Je suis favorable à l’IA pour notamment toutes les bonnes raisons que tu cites.
Par contre seulement si on y intègre 2 composantes en guise de garde fou: la prudence et un principe démocratique.
Pour cela je suis plutôt favorable à une IA consultative. Sans force contraignante à la faveur de la machine.
Et pour le respect démocratique, la consultation de cette IA doit être ouverte à tous les citoyens. Certainement pas réservée à une caste même élue. Dans cette hypothèse, n’importe quel citoyen, jouissant de ses droits civiques, pourrait consulter l’IA sur les différentes problématiques qu’il peut rencontrer.Je serai curieux de voir les cas où l’Homme aura raison sur l’IA.
Sur la gestion du Covid je me pose souvent la question de ce qu’une IA aurait pu suggérer comme choix stratégique. Franchement ce ne serait pas intéressant de le savoir?
Dans le sceptre du hasard (1968), Gérard Klein forge le terme de stochastocratie "règne du hasard, ou des probabilités". Les êtres humains vivent dans une oisiveté et une égale irresponsabilité, abandonnés aux décisions de la Machine du Hasard (une IA).
L'idée d'une IA consultative est assez intéressante, si ce n'est que c'est un prolongement technique de la société actuelle des experts. Mais admettons... Les trois lois de la robotique seront elles suffisantes à encadrer une IA qui, donc, non seulement posséderait les connaissances tous les experts, mais également un réseau d'apprentissage profond lui offrant des capacités d'analyse et de synthèse qui, fortes de ses connaissances ne pourraient que dépasser les capacités de chaque humain pris individuellement ?
Combien d'heures chacun voudraient débattre avec elle, bien plus qu'ici ?
Et comment sa synthèse ne formerait-elle pas jugement définitif auprès d'individus ne pouvant rivaliser avec ses connaissances universelles et ses facultés de raisonnement approfondies ?
Car nous ne parlons pas simplement d'une wikipéd.I.A n'est-ce pas ? -
leo
@madarjeen a dit dans Quelles sont les qualités d’un bon président? :
J'assume d'avoir répondu à côté de l'esprit de la question, parce que j'estime que répondre à la question telle qu'elle est posée impliquerait d'accepter le fonctionnement de la Cinquième République.
Pour moi, par essence, il ne peut pas y avoir de "bon président" sous la Cinquième République, car la Constitution donne beaucoup trop de pouvoir à celui qui occupe ce poste, et que notre régime est une anomalie démocratique.
Je suis pour la suppression du rôle de président tel qu'il est défini aujourd'hui, et je suis favorable à un régime essentiellement parlementaire, où le président aurait un rôle complètement secondaire (dans l'idéal, le bon président est celui qui n'intervient que pour débloquer une crise, mais que l'on ne remarque pas le reste du temps).
Il ne s'agit donc pas de rechercher des qualités particulières chez un président, mais d'espérer avoir un jour un président en accord avec mes idées, et qui permettra de mettre fin à la Cinquième République.
Donc pour moi, un bon président devra mettre fin à notre Constitution et en faire adopter une nouvelle, plus démocratique.De ce point de vue, justement, la question @AllezSavoir, et son absence de propos liminaire orienté fait sens, et avec pertinence.
Un bon président pourrait ainsi être un président capable de remettre en cause sa propre position, et, en fait, les institutions mêmes qui le légitime. Un président 'libre', donc... Non élus par des groupements d'intérêts ayant participé au financement de sa campagne, et à sa vie politique et sociale durant des années pour y accéder...
@apis-32 a dit dans Quelles sont les qualités d’un bon président? :
@martin
La première fois que j'ai entendu parler du tirage au sort dans le fonctionnement de la démocratie, j'avoue que j'ai trouvé ça stupide.
Plus j'y réfléchis, plus j'y vois des avantages ...Je serais intéressé par savoir ce que tu trouvais stupide ? Et comment ta perception a changé ?
@dryanaide a dit dans Quelles sont les qualités d’un bon président? :
@Kallindra et @Madarjeen le problème d'un président fort ou non n'est pas ce qui a fait la réussite ou l'échec de la troisième république. C'est surtout l'instabilité du gouvernement car aucune majorité ne se dégageait à l'Assemblée Nationale. Donc, plus que le président, c'est surtout de savoir comment faire en sorte que les sensibilité des français soient présentes et représentées à l'AN sans que l'on retombe dans les travers de la troisième république.
Tu parles de la troisième ou de la quatrième ?
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leo
@astyanax a dit dans Dune, les livres :
J'avais donné un court avis sur un autre fil. Dis-nous plutôt ce que tu en penses toi. Sourire. Et... Je rebondirai !
A la première lecture, très jeune, j'étais fasciné, au fond de mon lit, n'arrivant pas à décrocher, jusque trop tard... Les phrases mystiques avaient ce pouvoir yodesque (de yoda), que le jeune âge permet, d'être impressionnantes. A la seconde lecture, je comprends l'ignorance sur laquelle certaines lectures comptent, jouent, réussissent. Mais l'ambiance fonctionne toujours un peu malgré tout. Une planète de sable (très problématique pour conserver une atmosphère respirable et une température viable),
une grande épopée messianique... On se laisse un temps prendre, suivre des destinés dans des calculs aussi ésotériques que scientifiques et politiques.
Mais je perçois trop maintenant le verbiage philosophico-théologique pesant, un peu faible, et surtout devenant trop récurrent, surtout avec les tomes 4 et 5.Dune reste tout de même un classique de la SF, dépaysant et singulier, intéressant aussi pour ses aspects politiques, rouages, plans dans les plans, factions, objectifs complexes, ... mais pour lecteur averti à mon sens.
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leo
Deux films peuvent être intéressant à voir sur le sujet : Good kill (2013) et Drone (2014). Mais je pense que la dramaturgie gomme la plus probable banalité des situations réelles, et même des ressentis des militaire "gamers" de combat qui jouent finalement à tuer pour de vrai avec un joystick (un bâton de joie...). Mais le questionnement est peut-être différent aux usa et en Europe, où le rapport aux armes et au patriotisme militaire n'est pas le même.
Un épisode de la toute première série Star Trek m'avait aussi marqué sur la guerre sous forme de jeu avec de réelles conséquences. Deux sociétés se faisaient la guerre avec un jeu par ordinateur (grosse machine) qui décomptait les morts de chaque camps. Mais pour éviter les cris, les douleurs, le sang, les destructions, les morts étaient tirés au sort parmi la population pour se rendre à la cabine de désintégration la plus proche de manière à avoir tout de même une conséquence réelle : la mort, propre, "civilisée", par désintégration...
Troublant, et intéressant sur ce qu'est la vie humaine pour les êtres humains, et la vie tout court en fait : une variable d'ajustement, émotionnelle lorsque la personne est proche, plutôt inopportune ou de curiosité lorsqu'elle inconnue. Mais certes avec un discours moral formel d'opposition.
Et finalement n'observe-t-on pas cela à tous les niveaux ? Que vaut réellement la vie des autres en face de notre plaisir, de nos satisfactions, de nos quêtes, individuelles et même souvent collectives ? Masques et Vaccins... en sont caricaturaux. Mais même dans le quotidien, dans nos relations aux autres !Qu'y-a-t-il de plus barbare ou de moins humains qu'un être humain ?
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leo
Avant ces adaptations au cinéma, Dune est une suite d'ouvrages.
Qui les a lu ?
Et Jusqu'où, à quel livre ?Que cela-vous a-t-il apporté ? Quelles impressions restent ?
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leo
@Un Ancien Utilisateur a dit dans Les Livres de Développement Personnel :
Je suis globalement assez d'accord, surtout sur la diversité qui va de l'innocuité à de l'orientation sectaire, et évidemment le côté business ! Central.
En revanche je rejoins @apis-32 sur Rabhi. Il y a certes un vécu new age qui transparaît assez naïvement dans vers la sobriété heureuse, mais il y a surtout l'autobiographie d'un parcours d'engagements plus ou moins volontaires, avec un idéal assez politique effectivement qui a fleuri durant les années 60 / 70...
Sinon il y a le Développement (imp)personnel de Julia DeFunes, pour prendre du recul sur une civilisation qui produit autant de quête de mieux-être psychique !
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leo
@jean a dit dans Les Aventures de Tintin (série de BD) :
L'homme dans la soucoupe volante, c'est Jacques Bergier (voir Wikipédia).
Bon sang mais c'est bien sûr ! Je dirais même plus Bon sûr mais c'est bien sang ! C'est pourtant tellement évident ! Trop peut-être, allez, au lit et je le relis !
Merci !