Accoudoir : Avec qui aimez-vous regarder des films ?
Avec une personne qui, je le sais, devrait aimer le film autant que moi.

Bouquin : Une adaptation de roman au cinéma que vous trouvez réussie ?
Contact - le film retranscrit plutôt bien le bouquin – que j’avais lu avant.
Cependant, j’ai été particulièrement déroutée par les figures de l’ombre, qui présente la chronologie des évènements et des différentes rencontres avec trop d’imprécision et d’inexactitue. Et qui donne une fausse idée du génie de Katherine Johnson qui, n’aurait pas été capable de calculer une trajectoire de tête et en quelques minutes comme c’est suggéré dans le film.

Crush : Un personnage de film que vous trouvez charmant ?
Alors, personnage charmant. Je dirais Sherlock Holmes dans le film de 2009 avec R.Downey Jr. Il y a aussi Iron Man avec R. Downey Jr… (oups, encore lui). Thor lorsqu’il est interprété par Chris Hemsworth et je citerai aussi Dr Strange avec Benedict Cumberbatch. Ouais, je sais, ce sont tous des personnages clairement tête à claque avec des défauts horripilants à souhait (l’arrogance en commun, d’ailleurs), mais ils ont un charisme de dingue !

Dans quel univers cinématographique auriez-vous aimé vivre ?
Arf, la question de la mort qui tue… je crois que je serais peut-être capable de dresser la liste des univers dans lesquels je ne voudrais pas vivre. Mais même dans l’univers Starwars, que j’aime particulièrement (celui qui découle de la première trilogie), je ne suis pas sûr que j’aimerais m’installer ^^ ou alors dans un coin super tranquille, loin, très loin de l’agitation.

En salle ou chez vous, que préférez-vous ?
En salle, pour certains films d’action. Chez moi pour le reste.

Feel-good : Un film qui vous rend heureux ?
Alors, des chansons qui me mettent de bonne humeur, j’en connais, mais des films… euh… non, pas vraiment.

Genre : Le genre de films que vous ne regardez jamais ?
Les films d’horreur.

Hilarant : Un film qui vous fait rire ?
le 5e Elément me fait bien marrer. Auto-wash

Identification : Un personnage de film auquel vous vous êtes identifié ?
Mulan. Dans sa détermination à faire absolument tout pour protéger les siens. Dans sa loyauté, son courage. Vaïana aussi, dans sa quête d’identité.

Joyau caché : Un film méconnu alors que vous vous l'adorez ?
J’ai beaucoup aimé Les autres avec Nicole Kidman

Karaoké : De quel film pouvez-vous chanter les chansons (avec joie) ?
Vaïana ! Même si la chanson de Maui est trop rapide pour moi et que je n’aime pas, je dois l’avouer, la chanson du Crabe.

Long : Un film long mais ça ne vous a pas dérangé ?
Il a fallu que je me creuse un peu la tête. Mais je pense que je pourrais citer Abyss.

Meilleure scène de film ? (extrait youtube bienvenu !)
Oulà ! elle est dure cette question ! Je suis à peu près sûre que d’un jour sur l’autre je répondrais autre chose !
Une des scènes les plus fortes et que garde avec émotion dans mon cœur, est un extrait de Mulan (le dessin animé). J’ai d’ailleurs beaucoup regretté qu’on ne la retrouve pas dans l’adaption en film live (que j’ai toutefois vraiment apprécié).

Nuit : Un film qui a hanté vos rêves/cauchemars ?
je vais en citer deux :
Les dents de la mer. Nous habitions au cœur de la Bourgogne, à l’époque. Et pourtant, après avoir vu le film à la télé, je regardais sous mon lit pour vérifier qu’il n’y avait pas de requin dessous ^^.
Les greemlins (C’est le dernier film « d’horreur » que j’ai regardé de toute ma vie car il a définitivement confirmé que ce n’était pas mon truc)

Original Soundtrack : La meilleure bande-son ?
Ah… bonne question… on va citer Vaïana et Les gardiens de la galaxie.

Passionnant : Un film qui vous a beaucoup intéressé alors qu'au départ le sujet semblait barbant ?
Gravity. Je n’en attendais pas grand-chose, je l’avoue. Et pourtant, le film m’a vraiment remuée !

Quote : Une excellente réplique de film ?
Pourquoi une seulement ?
« Et moi z’attend »
« Y a-t-il quelque chose que tu veux entendre ?»
« Mais, où est-ce qu’il a appris à négocier ? »
Allez, je ne vous mets pas les références, amusez-vous à deviner.

Regret : Un film que vous regrettez d'avoir visionné ?
Hellboy 2. Autant, j’avais aimé – modérément – le premier, autant, j’ai détesté le 2 – trop violent à mon goût, trop gore aussi et je ne me souviens même pas du scénario tellement, au final, la forme a pris le pas sur le fond. J’ai regardé jusqu’au bout parce que je regardais avec Zhom, mais je regrette un peu de n’avoir pas su lui dire que, non, le film, je ne l’aimais pas.

Secret : Un film que vous aimez secrètement parce que c'est un peu la honte mais au final qui s'en soucie ?
Princess Bride. Il est vraiment cul-cul ce film. Et en plus, il est super sexiste ! Mais qu’est-ce qu’on se marre ! La vie n’est que peine Altesse. Ceux qui vous disent le contraire essaient de vous vendre quelque chose.

Trilogie : La meilleure trilogie ?
Starwars – la trilogie originelle ; i.e. les épisodes IV, V et VI ; celle qui a été créée entre 1977 et 1983.

Unique : Un film dont vous n'aimeriez pas qu'on fasse un remake ?
Euh…Ben, on va dire, que je crois que je détesterais que Disney se mette en tête de revisiter la trilogie originelle de Starwars.

Veto : Un film que vous refusez de regarder ?
Ben, tous les films d’horreur en fait. Et faudrait me payer, je pense pour que j’accepte de regarder certaines comédies américaines du genre « American Pie ». ^^ Et je crois que je refuserais de voir de nouveau La vie est belle de Roberto Benigni et encore plus le tombeau des Lucioles : ces films m’ont trop, trop, trop fait chialer !

WTF : Un film qui vous a laissé perplexe ?
Le plus récent : Tenet. Dans le sens où il m'a longtemps laissé pensive, à m'interroger sur cette façon qu'ils ont eu de jouer avec la notion de paradoxe temporel.

Xoxo : Un film que vous adoriez quand vous aviez 14 ans ? (ou sinon un film X)
Alors, en fait, c’est à peu près à cet âge que j’ai découvert l’univers Starwars, chez l’un de mes oncles. Il avait acheté le coffret des cassettes vidéo et lorsqu’on était allé lui rendre visite, on m’avait laissé tuer le temps en me laissant regarder les films. J’ai tout de suite adoré. Les personnages, l’univers, l’histoire, la « magie » et surtout la philosophie.
Il m’a fallu, longtemps, très longtemps avant de pouvoir revisionner ces films après me les être offert avec ma première paie. Je m’attendais presque à les trouver « cons-cons ». Et pourtant, ces films résonnaient toujours en moi aussi fort.
En revanche, ne venez pas me parler de la préquelle et encore moins de la suite, c’est, pour le premier, du grand n’importe quoi et pour le second de la trahison en plus d’être du très grand n’importe quoi.

Youtube : Un film que vous avez regardé sur une plateforme de streaming et ça ne valait pas + que ça ?
Ah ! y en a plein en fait ! Un des derniers en date : The Adam Project

Zzzz : Un film devant lequel vous vous êtes endormi ?
Alors, pas de film devant lequel, je me suis endormie. Mais un film que je n’ai pas eu le courage de regarder jusqu’au bout : Vercingétorix avec Christophe Lambert.

Punaise, faut-il vraiment terminer en citant ce film trop trop trop naze et tout pourri ?
Allez, non !
Je vais conclure en vous parlant de ces films que j'ai déjà vu plein de fois, mais que je ne refuse pas de re-re-regarder une fois encore.

Die hard 3 - le meilleure de la série.
Le 5e Element - pipolaï
Indiana Jones et la dernière croisade Fils, je crois qu'ils nous ont eu
Vaïana - même si je pleure quasi systématiquement lors de la scène entre Tefiti et Vaïana.
Mulan.
Mon voisin Totoro et Kiki la petite sorcière (des studio Ghibli)

@Shanna

tu sais pas à quel point !
C'est super rare qu'il utilise un petit surnom pour me désigner ^^

@ayamé a dit dans Les bars/restaus doivent-ils adapter leur carte aux régimes spécifiques ? :

Proposer un menu vegan dans la carte, je pense que les restos le font, mais en proposer pour respecter tous les régimes existants, c'est mission impossible.

Mission difficile, pas impossible.
Il y a une chose que les gens ont tendance à oublier: une personne intolérante au gluten ne peut pas manger de plat contenant du gluten. Mais une personne qui n'a pas de soucis, peut très bien manger un plat sans gluten. Il ne s'agit donc pas pour le restaurant de proposer un plat avec gluten et l'autre sans gluten.. mais juste de proposer des plats sans gluten et tout le monde mange les mêmes plats.

Après, certes, ça demande plus d'effort, au préalable pour le restaurateur qui doit veiller à trouver des matières premières sans gluten (ou faire pas mal de truc lui-même).

Après, pour les allergies au lactose, je sais que c'est une des allergies les plus difficiles à gérer car c'est un peu comme le sucre ou le sel, on en trouve de partout, même dans les produits dont on ne voit pas à quoi ça sert ^^. Mais que certains restau ou café proposent une alternative au lait, ça peut se faire, j'en vois de plus en plus, à Graz, qui déclarent pouvoir proposer du "lait" d'amende ou de noisette (que même les non intolérants au lactose demandent parfois pour son petit goût supplémentaire). Et ils n'ont pas de problème de stock ou de périme.

Pour les plats végétariens, l'astuce consiste, la plupart du temps de préparer une base qui convienne aux deux versions. Et tu rajoute viande ou légume en fonction de ce qu'on te demande.

Bref, des solutions existent. Il s'agit d'ailleurs souvent de solutions plus faciles à mettre en place pour un restaurateur qui va vraiment cuisiner que pour un restaurateur qui va se contenter de réchauffer des plats tous préparés. Bref, c'est une invitation à un retour à la vraie cuisine et au vrai métier de cuisinier.

Hop ! petite mise à jour.

Je valide la lecture d'un roman publié avant 1900 avec Le portrait de Dorian Gray écrit par Oscar Wilde.

C'est un roman assez intéressant et très intrigant. Il m'avait été présenté comme un roman nous racontant la vie d'un homme "protégé" de la vieillesse grâce à un tableau qui vieillit à sa place. Et c'est en réalité, bien plus que cela. Le tableau ne fait pas que vieillir à sa place.
Et de fait, le roman fait bien plus que nous raconter la vie de Dorian Gray - d'autant que finalement, le livre ne rentre que rarement dans les détails. En réalité, ce livre est plus proche de l'essai philosophique que du roman. Il interroge sur de nombreux sujets : l'art, le péché, l'amitié, la jeunesse... qu'est-ce en réalité ? Quelle influence ont-ils sur nos vies, nos décisions, notre façon de voir la vie...

Il est assez long à se mettre en place et il y a un ou deux chapitres assez ennuyeux à lire, mais dans l'ensemble, c'est un très bon livre dont je recommande la lecture.

@Cynthia80

Je suis atteinte de psoriasis - du genre sévère que je maintiens sous contrôle avec une thérapie à base d'immuno-dépresseurs.

Je continue de penser que l'on peut changer.

Même par rapport à l'autisme de mes enfants.
Je sais qu'ils sont autistes et qu'ils le resteront le reste de leur existence. Mais je suis également convaincue qu'avec un accompagnement adéquat, en les aidant à acquérir des stratégies adaptés à leur autisme, en les aidant à accepter leur autisme tant dans leurs points fort que leurs points faibles et en apprenant à vivre avec les contraintes que cela leur imposera, ils pourront évoluer et changer pour devenir de belles personnes épanouies et heureuses. Et si je le crois, c'est aussi parce que je sais que ce qui définit mes enfants, ce n'est pas seulement leur autisme. Ce n'est qu'une partie de ce qu'ils sont.

@Kachina

Oh !

merci d'avoir tant voté pour ma photo !

Pour relancer le jeu, je vous propose de repartir sur ce thème :

@agathe

J'ai toujours eu un très mauvais sommeil.
Difficultés d'endormissement, sommeil peu réparateur.
je me suis acheté une montre connectée. Je la porte depuis maintenant un peu plus d'un an. Depuis peu, j'ai activé la fonction de bilan de sommeil. L'appli a confirmé ce que je craignais. Je fais de multiples micro-réveil (ce qui est un des symptômes des apnée du sommeil) et j'ai des périodes de sommeil profond trop courtes (même en cumulé). Je n'atteins que rarement la quantité de sommeil profond recommandé.

Il faudrait sans doute que je consulte, pour écarter ou confirmer la possibilité d'une apnée du sommeil, mais aussi pour comprendre pourquoi j'ai si fréquemment des difficultés d'endormissement. Et ce avec ou sans Covid ^^ Le soucis, c'est que autant, quand mon homme s'est finalement fait opérer des sinus et des parois nasales pour faire cesser ses apnées du sommeil, j'étais là, présente et disponible pour m'occuper des enfants pendant son hospitalisation, autant je sais qu'il ne serait pas capable d'endosser son rôle de père (C'est pas forcément un sarrasin dans une charriote du diable non plus. Mais son rôle de père, il ne l'a jamais endossé - il se comporte nettement plus en ado et en grand-frère que comme un époux et un père) et je n'ose pas prendre le risque de me retrouver à l'hosto pendant deux semaines au moins...

Mes enfants souffrent tous les deux de difficultés d'endormissements. Et ma princesse avaient tendance à se réveiller au milieu de la nuit plusieurs fois avec beaucoup de mal à se rendormir.
Leur psychiatre leur a prescrit de la mélatonine. Ils en prennent le soir avant d'aller se coucher. Ma princesse a également de la mélatonine à diffusion lente pour rester endormie.
La mélatonine n'est pas un médicament, c'est juste la synthétisation de l'hormone naturelle du sommeil que tous les êtres humains (et certains animaux aussi, je crois- à vérifier) fabrique au moment où le soir tombe et qui aide le cerveau à réduire son activité pour favoriser le sommeil.

Et quand on oublie, on s'en rend vite compte, nos enfants ne s'endorment pas ou alors très tard dans la nuit (minuit... 1heure du matin).

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Hyeon A Cho - you letter
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@Shanna a dit dans Trouble du Spectre Autistique - Autisme :

Ça rassure la personne j'ai l'impression, elle se sent comprise et moins seule...

Poser un diagnostic, oui, c'est déjà un grand pas. La personne cesse d'être "bizarre", "anormal", "asocial"... ou tout autre mot que les gens on pu utiliser pour désigner la personne. Elle peut désormais se dire et dire aux autres (si c'est son choix), non, je ne suis pas "anormale", je suis atteinte d'un TSA. C'est le premier pas pour une meilleure connaissance de soi-même. Ensuite, la personne peut sereinement faire le bilan de ses points forts et de ses points faibles. Le plus dur étant parfois, de faire le distinguo entre ce qui est induit par le trouble et ce qui découle de la personnalité que la personne s'est forgé. Par ex : on pourra observer que, en plus des difficultés liées aux TSA en terme de communication et de sociabilisation, une personne aura pu développer une forme de timidité dû à un manque de confiance en soi.
Une fois ce bilan établi, il faudra apprendre à vivre en fonction des contraintes que le TSA impose. En les acceptant dans un premier temps, en apprenant à faire avec (ou sans), en développant des outils pour pallier ou contourner une difficulté particulière etc.

mais au-delà de ça ? Comment on fait pour aider la personne à vivre un peu plus heureuse ?

Je me suis forcément posée la question. Et ça, durant un bon moment !
je vais te (vous) livrer le produit de mes réflexions.

Tout d'abord, je me suis interroger sur la notion de bonheur : c'est quoi, être heureux ? Et j'ai réalisé qu'en réalité, il y avait autant de réponse que d'individus sur terre. Il n'y a pas un seul et unique moyen d'être heureux, il n'existe pas une seule et unique méthode pour atteindre le bonheur, pas une seule et unique voie pour trouver le chemin vers l'épanouissement.
Et j'ai réalisé, en parallèle que la normalité, ça n'existe pas. Ce qui va paraitre normal à l'un, ne le sera pas forcément pour un autre. Chercher à être normal ou aider quelqu'un à être normal ou à se rapprocher de la normalité, c'est donc en réalité une quête vaine et dépourvue de sens.

Alors quoi ?
Alors il reste la question : qu'est-ce qui va rendre la personne heureuse ? Quels sont les éléments, dans sa vie, qui vont participer à son épanouissement personnel ?
Et, a contrario qu'est-ce qui va y faire obstacle ? Une fois qu'on a répondu à ces questions - ne serait-ce que partiellement - alors on aura déjà fait un grand pas et on pourra commencer à "aider" la personne.

a noter que c'est un duo de questions que l'on peut se poser à soi-même et à tous les autres autours de nous !

Ensuite : il faut bien garder en tête que pour trouver le bon moyen d'aider une personne, il ne faut pas forcément chercher à lui apporter l'aide que nous aimerions qu'on nous apporte. Il faut essayer de trouver quelle aide conviendra le mieux à la personne que l'on souhaite aider.

Enfin, puisqu'on connait les limites et les contraintes, les points forts et les points faibles, on peut en tenir compte ; on peut cesser d'attendre de la personne des choses qu'elle ne pourra pas faire ou qu'elle ne pourra faire que d'une manière différente, selon un timing différent, une fréquence différente, une durée différente.
Attendre d'une personne atteinte d'un TSA qu'elle plaisir à participer à une fête remplie de gens, de bruits, de lumière, d'inattendu... est sans doute une chose vaine. Comprendre qu'elle n'est pas une rabat-joie qui ne sait pas faire la fête, comprendre sa différence par rapport à cela, c'est déjà aider la personne. Accepter le fait que la personne n'appréciera pas forcément une fête surprise en grande pompe avec plein de gens pour son anniversaire, mais qu'elle préfèrera sans doute une fête en petit comité, ça sera déjà l'aider.

Pour donner quelques exemples concrets :

Une personne atteinte de TSA ne supporte pas la foule et n'aime donc pas aller faire ses courses aux heures où les magasins sont bondés. Il existe deux pistes possibles pour aider la personne : la première consistera à aller faire les courses à sa place, la seconde consistera à l'aider à gérer son planning quotidien (ou hebdomadaire) pour qu'elle puisse se rendre dans son magasin favori aux heures creuses). Et on pourra jongler avec ces deux approches en fonction des circonstances.

Toujours dans le domaine des courses :
Imaginons une personne atteinte d'un TSA qui a ses habitudes dans un magasin proche de chez elle. Tout va bien, elle y va à un horaire précis, tous les mercredi après midi, et elle a sa liste de courses avec elle pour l'aider à ne rien oublier. Et puis, paf : le magasin fait des rénovations. ça casse tout, ça perturbe, ça stresse !
Pour aider cette personne, on peut, pour le temps des rénovations, l'aider à trouver un nouveau magasin temporaire. Ou faire ses courses pour elle, ailleurs, le temps que les choses reviennent à la normale. Et une fois que le magasin aura réouvert ses portes à la fin des travaux, on pourra accompagner la personne une paire de fois dans le magasin, le temps nécessaire à la personne de s'habituer aux changements, au nouvel agencement des rayons, au nouveau personnel et le temps que les lieux redeviennent suffisamment familiers pour que la personne renoue avec son autonomie.

Enfin, en dernier lieu : toujours garder à l'esprit que finalement, la personne atteinte d'un TSA - surtout si c'est un TSA dit à fonctionnement à haut niveau ou Asperger - est d'abord et avant tout.. ben, une personne. Le TSA ne doit pas la définir entièrement. Ce doit être un aspect de ce qu'elle est dont on doit rester conscient et dont il faut tenir compte, mais ça ne doit pas résumer la personne.

@ytica

brrrrr..

Mais avez vous remarqué qu'on a du mal à imaginer des maisons hantés d'une autre époque que le début du siècle dernier ?

Pour avoir quelque peu surveillé mon nombre de pas quotidien en fonction des différentes tâches que j'avais à effectuer, j'en ai tiré la conclusion suivante : 10 000 pas, mine de rien, ce n'est pas un objectif facile à atteindre. 6 ou 7 000 pas me semble déjà un objectif plus raisonnable.

Au sujet de la marche nordique : l'essentiel, l'esprit de la marche nordique, ce n'est pas la recherche de la performance ni de la vitesse. L'idée, c'est de faire travailler plus de muscles.

Après, si on veut également faire travailler le coeur, alors on adopte un rythme dit "dynamique", à même de solliciter le muscle cardiaque et gagner en endurance, mais, évidemment, en fonction de la forme, de l'âge, de l'état de santé de chacun, ce rythme sera différent.
a noter que plusieurs sources différentes m'ont informées que le bon rythme, c'est lorsqu'on fait un effort mais que l'on peut continuer de parler sans s'essouffler.

Après, je pense que au-delà d'atteindre un nombre de pas quotidien, l'essentiel, c'est de prendre conscience que notre corps a besoin de bouger de temps à autre et qu'il est essentiel à notre santé et notre bien-être d'avoir un minimum d'activité physique. Qu'il s'agisse de monter les marches au lieu de prendre l’ascenseur, le sortir du métro une station avant son arrêt, de marcher pour aller chercher sa baguette de pain, de sortir son chien ou bien de faire un peu de vélo, de faire du tir à l'arc, de pratiquer le squash, le handball, ou je ne sais quel autre sport, l'idée de base reste la même : il faut se bouger un peu !

• Un tome d'un manhwa (bande dessinée coréenne) - Your letter par Hyeon A Cho lu sur Webtoon. en anglais.

@Jabba-the-Hutt a dit dans l'EVRAS (Education à la Vie Relationnelle et Affective) :

Et là, on parle pas de notre confort, on parle de notre responsabilité de parent.
Tu mets ton petit confort de côté, et tu assumes.

Je suis tout à fait raccord avec ce que tu dis.
Et oui, je déplore aussi que tous les parents ne pensent pas ainsi.
Malheureusement, on ne grandit pas tous avec les mêmes valeurs et le même sens des responsabilités.

Et c'est sans doute pour cette raison qu'il y a encore tant de gens qui ne comprennent pas l'utilité de parler de ces choses aux enfants et adolescents. Voire qui s'insurgent contre de tels approches.

Changer les mentalités, c'est sans aucun doute ce qu'il y a de plus dur et de plus long dans l'évolution de nos sociétés. Mais difficile ne veut pas dire impossible et c'est un pas après l'autre qu'on avance.

@Kachina

Mon podium après longue réflexion.
C'est un bien joli thème et les photos sont toutes très jolies.

1. Marcel
2. Kachina
3. Ayamé.

@Gaip a dit dans Réussir sa vie :

Je parle bien de réussite, pas de bienêtre,

La question étant : peut-on dissocier les deux ?

Peut-on estimer avoir réussi sa vie si on a une Rolex au poignet, une Porsche dans son garage et une maison avec piscine mais qu'on est dévoré par le stress de tout perdre, rongé par des regrets ou des remords et si, on passe son temps à envier son voisin qui a plus que nous ?

Pour moi, on a pas réussi sa vie, si on est malheureux et mal dans sa peau.

@Cynthia80

Les propos de JK Rowling ne prêtent pas à confusion, hein. On a pas besoin de les interpréter pour se rendre compte qu'elle est homophobe et misandre.

@Kachina a dit dans Comment lutter contre la procrastination ? :

Il m'arrive de rattraper parfois en 2h ce que j'aurais du faire tranquillement sur la journée

ça m'arrive souvent aussi !
D'ailleurs, je ne suis jamais plus efficace que lorsque je me décide enfin. Je peux devenir une vraie tornade dans ces cas-là !

@Marcel

@Marcel a dit dans Jeûne intermittent, fasting :

Ça fait un peu grignotage

il ne faut pas mélanger grignotage et le fait de fractionner ses repas.

L'important, en réalité, étant de manger ce dont ton corps a besoin au moment où il en a besoin. D'ailleurs un "bon" petit déjeuner, n'est pas forcément synonyme de repas copieux et riche. "bon", c'est d'abord et avant tout trouver un équilibre entre des apports nutritionnels utiles et le plaisir. Si ni ton fils, ni toi n'êtes motivés pour manger le matin, c'est peut-être que votre corps n'en ressent pas le besoin. Ce n'est pas grave si vous mangez peu à ce moment là de la journée. Surtout si vous avez l'occasion de manger quelque chose plus tard dans la matinée (un fruit - pomme par ex ou une poignée de fruits secs) pour vous aidez à attendre le repas de midi.

Par contre, évidemment, si au final, à 10h du mat', c'est une barre chocolatée que vous êtes tentés d'avaler, ça devient nettement moins "bon".

Mon gamin, j'ai essayé, durant longtemps de le forcer à boire au moins un verre de lait chocolaté avant de commencer sa journée.. puis j'ai lâché l'affaire et au final, ce qu'il trouve plaisir à manger le matin c'est ... du saucisson ! Il mange peu aussi le midi, c'est le soir, souvent, qu'il mange le mieux et avec le plus d'appétit.

Pour ce qui est de la coupure de 16 heures sans manger.. je n'ai jamais essayé, je l'avoue, mais j'ai constaté que je digère mieux depuis nous avons décidé de manger tôt (18h30) et que nous nous retrouvons naturellement à faire notre petit déjeuner à 6h30 le matin (horaires scolaires), voire 8h30 ou plus tard (horaires estivales). Ce qui fait une pause de 12, voir 14 heures pour nos estomacs.

J'ai reçu un message de ma mère ce matin. Chouette ! un message ! on prend enfin de mes nouvelles. D'habitude, c'est moi qui appelle ou qui prend contact. Je suis toute en joie.. Ah ben non, c'est pas pour prendre de mes nouvelles. C'est pour m'annoncer une mauvaise nouvelle (un décès) et pour me demander, donc, indirectement, qu'une fois encore j'apporte mon soutien moral.
Et le message ne cherche pas même à me demander comment moi, je vais... il commence avec un, "j'espère que vous allez bien, parce que, ici....".. Ah ben, va dire, après ça, que en fait, tu te fais du soucis pour ton gamin ou que ta machine à laver est en panne depuis une semaine, que tu croules sous le linge sale et que l'administration locale te fait des misères...

grrrr...