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Artelise
@LeaPierce a dit dans Comment lutter contre la procrastination ? :
Je pense que quand c'est maladif, il faut pas trop tarder parce que l'impact peut être très handicapant. Rappel de factures avec % d'intérêts, appartement en désordre, etc.
je suis tout à fait d'accord.
Je pense aussi qu'il faut être soutenu et aidé pour faire la démarche. Car la personne pourrait avoir conscience qu'il lui faut demander de l'aide et repousser le moment d'aller demander de l'aide ^^ Bonjour cercle vicieux ! lol. -
Artelise
J'étais sujette aux Meltdown dans mon adolescence. Des crises explosives et très impressionnantes (elles avaient incité ma maman à consulter un neurologue, craignant de l'épilepsie). Mais j'ai grandi sans diagnostique... donc en apprenant à camoufler... Et c'est seulement lorsque le diag pour mon fils (puis celui de ma fille) est tombé que j'ai pris conscience de ce que j'avais vécu et de ce que j'avais passé ma vie à dissimuler... Et je dois t'avouer que même en en ayant conscience je ne sais plus faire autrement. Assumer ce que je suis, j'aimerais en être capable, mais je ne saurais vraiment pas faire.
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Artelise
@Elenwey
L'année dernière on avait mis un minuscule cadeau dans plusieurs boites qui s'emboîtaient, jusqu'à atteindre la taille d'une grosse boîte de chaussure. -
Artelise
non, mais sans parler de handicap ^^ le fait est - et mes liens apportent une belle quantité d'arguments - que la procrastination peut cacher des soucis que la seule volonté ne permet pas forcément de solutionner. Et ce topic parle de la procrastination (c'est son titre) et si, effectivement, on peut admettre que parfois, il suffit de se bouger un peu le cul pour surmonter le soucis, ce n'est pas forcément le cas de tout le monde. Et par respect pour les gens pour qui la procrastination est plus un symptôme qu'une sorte de gentil trait de caractère, je crois qu'il vaut mieux éviter de généraliser et de se contenter de dire "yaka fokon". C'est pourquoi il me semblait important de rappeler qu'il faudrait peut-être accepter l'idée que c'est plus complexe qu'on ne le croit. On ne sait jamais, dans l'absolu, il pourrait se trouver des personnes concernées (aujourd'hui, demain, après-demain) qui pourraient avoir besoin de s'entendre dire que leur soucis de procrastination n'est pas seulement un soucis de volonté.
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Artelise
Le contexte : lors de notre dernier déménagement (il y a 5 ans), j'avais préparé des cartons de livres qui ont été envoyé par une décisions unilatérale et irrévocable de mon beau-père, dans la cave... A l'approche de notre prochain déménagement (en février), j'ai (enfin !) réussi à convaincre mon homme de m'aider à récupérer les cartons (souvent trop haut et trop lourd pour moi) pour faire un tri...
Et dedans, j'ai retrouvé un bouquin que j'avais acheté il y a donc 5 ans et qui est dans ma PAL depuis tout ce temps et que j'ai bien faillit racheter il n'y a pas moins d'une semaine : Le problème à trois corps, de Cixin Liu. (et hop, validation du L, dans mon abécédaire littéraire). lol.
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Artelise
@Shanna Je me compte un point, j'avais mieux écrit que lui.
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Artelise
mais... il est deuxième mon homme !
mais... en vrai, est-ce que ça veut dire que je vis avec un psychopathe ???
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Artelise
Petite fierté locale, aujourd'hui.
La photo du jour de la Nasa diffusée le 20 janvier, est en fait une photo réalisée dans les Alpes autrichiennes par un universitaire de la ville de Graz !Et ce n'est même pas un astrophysicien. Biologiste moléculaire, il n'est qu'astronome amateur et a réalisé son cliché avec un appareil "classique".
mes sources :
article du journal local - en allemand
ApodEt la photo en question :
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Artelise
@Heidi
J'allais répondre, que non, je n'ai jamais rien fait d'exceptionnel dans ma vie. Mais en fait... si. J'ai accepté de venir vivre dans un pays dont je ne parlais pas la langue et que je ne connaissais pas. Et ça fait 15 ans que j'y traine mes basques bien que j'ai découvert que je n'ai décidément aucun don particulier dans l'apprentissage des langues ^^
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Artelise
Je ne vais pas vous contredire, mais ce n'est pas aussi simple que ça peut le paraitre.
Certes, je suis heureuse. Mon foyer est là où vivent ceux que j'aime.
Mais justement, il est là le problème. Tous ceux que j'aime ne sont pas à proximité immédiate.
Je ne souffre absolument pas du mal du pays. J'aime la France, comme je l'ai dit et je l'aimerai sans doute toujours. Elle est mon pays natal, là où on poussé mes racines, sa culture a imprégné mon être durant mon enfance, mon adolescence et ma vie de jeune adulte. Mais je ne souffre pas de vivre en dehors de ses frontières.Ce qui me fait souffrir, par contre, c'est de savoir que ma maman - qui a désormais franchit le cap des 70 ans - vieilli loin de moi et que je ne peux pas lui offrir toute l'aide et le soutien que je voudrais pourtant lui apporter.
Et je regrette de ne pas voir mes nièces et neveux grandir. Et de ne pas voir mes soeurs aussi souvent que je le souhaiterais. Et je le regrette d'autant plus que bien des promesses n'ont pas été tenues : On m'avais dit : "tu verras, avec internet, les mails, les réseaux sociaux, etc., on restera en contact. On enverra des photos, on fera des visio... " Je suis la seule à avoir un compte Facebook actif (compte que j'ai créé essentiellement pour rester en contact avec ma famille et mes amis de l'époque), la seule a avoir un compte Instagram ; je suis la seule à publier régulièrement des photos (via mon blog) ; je suis la seule à envoyer de temps en temps des mails auxquels on ne réponds que rarement ou au mieux, très tardivement.Et je ne vous parle pas des évènements que l'on rate. Je n'ai pas pu assister à l'enterrement de mon père qui est décédé en avril 2019, tué par ce [bip] de covid.
Alors, je ne regrette pas notre décision.
Mais, émotionnellement, parlant, c'est parfois difficile. -
Artelise
Dans ces cas-là, il faut faire comme ma grand-mère nous recommandait de faire : à savoir s'habiller selon la technique de l'oignon, c'est à dire avec plusieurs couches de vêtements superposées et que l'on peut enlever ou remettre aisément en fonction de la température ambiante...
Maintenant, si je suis tombée dans le panneau de "c'était une remarque de pure rhétorique qui ne demandait pas de réponse... ".. Ben.. tant pis, je vous aurait au moins parlé de ma grand-mère.
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Artelise
Culture.
La culture autrichienne est liée à la culture européenne depuis des siècles et a produit des réalisations de renommée internationale. Toutes les époques stylistiques sont représentées, et de nombreux bâtiments sont désormais inscris au patrimoine mondial de l'UNESCO.
Aux XVIIIe et XIXe siècles, l'Autriche était l'un des centres de la vie musicale européenne avec le classicisme viennois, qui se reflète non seulement dans le grand nombre de musiciens et compositeurs associés au pays, mais aussi dans le grand nombre d'opéras et de théâtres qui existent encore aujourd'hui. Il ne faut pas non plus oublier les orchestres ainsi que les diverses traditions musicales telles que le Concert du Nouvel An, de nombreux festivals et une scène de cabaret animée.
Mais l'Autriche a aussi une longue tradition dans le domaine culinaire, qui s'exprime, par exemple, dans la culture des cafés viennois, la viticulture et les tavernes à vin – Heurigen et Buschenschank (1) – ainsi que de nombreux plats autrichiens typiques.L'introduction ci-dessus est très largement inspirée par l’intro de l’article wikipédia (en allemand) consacré à ce sujet.
Ce que je rajouterais avant d’entrer dans les détails, c’est que ce qui m’a frappé, moi, durant premières semaines et les premiers mois passés dans le pays, c’est d’abord et avant tout, l’architecture et le style baroque qui semble s’imposer partout. Il y a aussi ce fort attachement aux traditions que l’on ressent lors de certains évènements et fêtes et au cours desquels il n’est pas rare de croiser des femmes vêtues de leur Dirndl, et les hommes dans leurs Lederhosen (les tenues traditionnelles). On pourrait donc croire, à première vue, que l’Autriche est restée engluée dans une sorte d’âge d’or, comme prisonnière d’une époque où tout était plus beau, plus riche, plus finement travaillé. Et pourtant, il suffit de peu de temps pour se rendre compte que l’Autriche est également résolument tournée vers l’avenir. Mettant en avant les arts modernes et contemporains, adoptant des projets d’architectes audacieux et futuristes, et mettant un point d’honneur à toujours chercher à rester respectueux de l’environnement autant que possible.
La gastronomie.
On évoque parfois l’Autriche comme étant le cœur de l’Europe. Outre le fait que ce soit assez vrai d'un point de vue géographique, il est inévitable de constater qu'elle a été et est toujours une sorte de passage obligée pour bon nombre de convois commerciaux internationaux ; tant pour les grands axes Nord-Sud que ceux qui vont d’Est en Ouest … et inversement. Eh bien il en va de même pour la gastronomie.
L’Autriche s’est enrichi au fil du temps de toutes les influences de ses pays limitrophes. Ainsi, sa gastronomie ne se limite pas à la célèbre choucroute et à l’Apfelstrudel, loin de là !
Il faut toutefois admettre, car ce cliché n’est pas sans fondement, que les repas autrichiens sont souvent riches et généreux.Les petits déjeuners, pour commencer la journée sont souvent basiques avec du pain, de la confiture et, pour les adultes, une tasse de café. Certains l’enrichissent avec quelques charcuteries et du fromage. Les viennoiseries si chères aux français sont réservées à d’autres moment de la journée.
Le déjeuner reste un repas important pour les autrichiens. Il se composent souvent d’un potage (2), d’un plat principal et d’une salade. Mais, il peut toutefois arriver que les autrichiens se contentent d’une collation sous la forme d’un sandwich, une petite salade, ou un Imbiss (Snack).
Le goûter est un moment un peu spécial dans la journée. Il se consomme aussi bien à la maison qu’à l’extérieur, dans une pâtisserie ou un café. Il se compose d’un café, d’une viennoiserie ou d’une pâtisserie (3). C’est souvent l’occasion d’une discussion paisible entre amis.
Le repas du soir peut être servi assez tôt – entre 18 et 20h. Il se compose d’un plateau de charcuteries, d’œufs durs, de saucisses et saucissons ainsi que de salades. Ce repas reste dans les esprits un repas familial et on en profite autant que possible en famille et à la maison.
Il est à noter que les autrichiens aiment particulièrement les eaux minérales pétillantes. Dans les boutiques, si vous cherchez de l’eau minérale dite « plate » il vous faudra choisir une bouteille d’eau estampillée still et dans un restaurant, n’hésitez pas à demander de l’eau « ohne gas ». Il vous sera également utile de savoir que si vous demandez de l’eau sans autre précision, on supposera que vous désirez de l’eau minérale (probablement gazeuse). Si vous souhaitez un pichet d’eau, précisez au serveur que vous souhaitez « etwas Leitungswasser » mais, c’est pas super bien vu ^^
Bon à savoir, également : ne vous étonnez pas si, une fois installé à la table d’un restaurant, on ne vous apporte pas de pain. Ce n’est pas dans leurs habitudes.Les plats typiques.
Tout d’abord, il y aura la soupe (Suppe). Entrée incontournable, il s’agira la plupart du temps d’un bouillon contenant des quenelles de semoule, des lamelles de crêpe salées ou des Knödel de foie.
On va ensuite pouvoir commander le plat principal.
Les amateurs de porc pourront choisir entre le Schweinsbraten (rôti de porc à l’ail et au cumin) ; un Stelze (jarret de porc grillé) qu’il est de bon ton d’accompagner d’une bière locale ; un Geselchtes (porc fumé très épicé) ou encore un Krenfleisch (porcelet cuit avec sa couenne, assaisonné de raifort râpé. Attention, c'est fort.). Petite note au passage : vous pourrez également trouver des Bauernschmaus : Il s’agit d’un plat complet qui nous permettra de déguster une ou deux tranches de Schweinebraten et de Geselchtes avec des saucisses grillées sur un lit de choucroute (4).Pour ceux qui auront une préférence pour le bœuf, on trouvera : le Tafelspitz (filet de bœuf bouilli à l'eau, à la manière du pot-au-feu) ; le Rindsrouladen (escalope de bœuf roulée et farcie de lard et de cornichons) ; le Rindsgulasch (bœuf braisé aux oignons et au paprika).
Côté poisson, la gastronomie autrichienne n’est pas en reste. Lacs, torrents et rivières offrent aux pêcheurs un vivier exceptionnel. Les gourmets pourront donc aisément se régaler de plats à base de Bachforelle (truite de rivière) ; Bachsaibling (omble chevalier) ou encore de Zander (filet de sandre).
En plus de tout cela, il faudra encore citer les spécialités panées avec, en tête de liste, les fameux Schnitzel qui sont en réalité tout simplement des viandes ou des poissons panés. A noter que la Wiener Schnitzel ne mérite son appellation que s’il s’agit de viande de veau.
Pour terminer, voici une liste des spécialités (parfois très locales) qui n’entrent pas dans les catégories précédentes :
- Kasnudeln : ou Kärntner Kasnudeln, spécialité de Carinthie, sorte de gros raviolis fourrés au fromage et fines herbes.
- Backhendl : poulet pané, accompagné souvent de salade verte.
- Beuschel : ragoût d'abats dans une sauce aigre à la crème fraîche.
- Wild : « gibier » (chevreuil, cerf, lièvre, canard sauvage) que vous retrouvez à la carte, pour des plats proposés souvent avec une compote d'airelles. Servi en automne.
- Eierschwammerln : en juin-juillet, vous les trouverez préparés à toutes les sauces au menu de tous les restos (ou presque). Il s'agit de girolles, servies sautées ou avec de la crème fraîche, alors accompagnées de Knödel.
- Tiroler Gröstl : le plat national des Tyroliens. Dans une poêle, on ajoute à des pommes de terre sautées aux oignons : de la viande, de la saucisse ou du lard, on assaisonne le tout de persil et de marjolaine pour ensuite le servir recouvert d'un œuf au plat !
Pour accompagner votre repas, n’hésitez pas à commander une bouteille ou un verre de vin. L’Autriche est un pays viticole qui propose de nombreux vins. La majorité seront des vins blancs (85% de la production), mais vous pourrez également trouver des vins rouges. Si vous faites étape dans un « bar à vin », il vous sera peut-être possible de goûter un peu de Most, genre de moût jaunâtre et opaque dont la teneur en alcool est encore faible ou de Sturm, plus avancé dans la fermentation et pétillant (dans les supermarchés, les sturms sont toujours vendus dans des bouteilles en plastiques pour laisser de la place au gaz qui se dégage de la boisson et il est fortement déconseiller de trop secouer la bouteille avant de l’ouvrir !). Vous pourrez également y boire le Gespritzter, un vin coupé à 50 % avec de l'eau gazeuse.
Et après tout ça, vous prendrez bien un dessert ?
Il vous sera difficile de passer à côté de l’Apfelstrudel, le célèbre feuilleté fourré aux pommes et aux raisins que l’on sert traditionnellement chaud et accompagnée d’une crème vanillée. Vous rencontrerez parfois une variante appelée Topfenstrudel et qui est, quant à lui, fourré avec du fromage blanc.
Le Salzburger Nockerln est un soufflé sucré qui se doit d’évoquer, par sa forme, les montagnes salzbourgeoises.
Le Kaiserschmarrn s’obtient avec une base de pâte à crêpe dans laquelle on a intégré des blancs d’œuf battus en neige avant de la cuire au four. Sucrée puis découpée en lamelles, elle est servie avec une compote ou des fruits au sirop. Il semblerait qu’il s’agisse du dessert préféré des skieurs.
Au coeur des Marillen-Knödel, il y a des abricots. Les petites boulettes (Knödel) sont formées à partir de pâte dans laquelle sont placés des abricots dénoyautés. Les boulettes sont ensuite bouillies dans de l'eau légèrement salée et recouvertes de chapelure frite croustillante et de sucre en poudre. La pâte est généralement faite de pomme de terre (Erdapfel), bien que du fromage blanc (Topfen) et de la pâte à choux soient également utilisés. Il existe une version avec des Mirabelles (Zwetschgen Knödel) ainsi que des versions glacées où de la crème glacée vient remplacer la pâte traditionnelle.
La Palatschinke est la crêpe locale servie avec de la confiture, du fromage blanc ou du chocolat. Une version plus élaborée (la Topfen Palatschinken) vous proposera de déguster une plusieurs crêpes garnies de Topfen (un fromage qui se situe entre la faisselle et le fromage blanc) avant d’être recuites au four.
Et enfin, le Sachertorte, ce célébrissime gâteau viennois, composé de chocolat moelleux (5) avec une fine couche de confiture d’abricots au milieu.
(1) Il existe une distinction entre ces deux types d’établissements. Toutefois, la confusion est facile à faire, d’autant plus que, parfois, on retrouve les deux « services » dans le même bâtiment ! L’idée de base reste toutefois la même : il s’agit pour les producteurs de vin de promouvoir leurs productions accompagnées de produits locaux sous forme de buffet froid dans lesquels on retrouvera le plus souvent des charcuteries, des fromages et quelques fruits. Les vins jeunes produit au cours de l’année seront disponibles dans les Heuriger.
(2) J’imagine que la plupart d’entre vous, lorsqu’on évoque le mot « soupe » visualise un bol avec une soupe de légume moulinées. Ces soupes là existent bien évidemment aussi en Autriche. Mais il est également fréquent que ce terme désigne un bouillon dans lequel on a mis des trucs (morceaux de légumes, de viandes, de poissons ou de grießnickerl – sortes de petites quenelles – ou encore des frittaten - sorte de crêpe découpée en lanière).
(3) Alors, voilà, c’est le moment où je donne mon avis personnel : les pâtisseries autrichiennes sont … nazes. Ce qu’ils osent appeler pâtisseries sont en fait des montages composés de crème avec encore de la crème et parfois un gâteau tellement mou qu’on le devine à peine. Le tout est souvent très voire trop sucré. C’est infâme ^^ la seule pâtisserie qui a su trouver grâce à mes yeux, c’est le Sachertorte. Voilà. Mais encore une fois, c’est un avis personnel.
(4) au sujet de la choucroute : Je n’apprendrai sans doute rien aux alsaciens, mais la choucroute n’est pas un plat. Le mot désigne une préparation culinaire obtenue par fermentation naturelle de variétés sélectionnées de chou cabus ou, plus communément connus sous le nom de chou pommés.
(5) moelleux… lol… c’est ainsi que les autrichiens décrivent leur gâteau. Eh bien, j’en conclue que nous n’avons pas la même définition du mot moelleux ! Car, personnellement, moi, je le trouve assez étouffe-chrétien leur gâteau ! Ceci dit, il est vachement bon, il faut le reconnaitre.
Prochainement, je vous parlerai de la tradition du café et de l'amour des autrichiens pour la bière. Je m'efforcerai également de vous parler de quelques spécialités autrichienne un peu hors catégories.
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Artelise
@Hassage
a boudé @Jabba-the-Hutt toute la journée de la veille, mais à son réveil, elle agit comme si de rien n'était. Mais vraiment comme si de rien, hein !
Dis, ta proposition de Bière pong, elle tient toujours ? J'te met au défi ce soir ! ok !? Après une virée au parc d'attraction ça finira la journée au top !
Manifestement, elle a kiffé grave son twerk avec Shanna et plus encore le buzz que la vidéo a généré. Du coup, elle a fait l'achat de quelques leggings bien moulants pour trainer son fessier un peu partout.
quand elle en a l'occasion, elle s'approche de Shanna en twerkant de manière suggestive
On twerke en privé quand tu veux.
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Artelise
Mon bonheur du jour : traverser une frontière, trouver un E.Leclerc à une heure de chez moi et y trouver tout un tas de produits introuvables en Autriche... Du coup, on a fait le stock de Chips au poulet, de Schweppes agrumes, de Coca décaféïné, de petites terrines "nos régions ont du talent", de quelques biscuits, de chocolats Guylian.. et deux ou trois autres petites choses.
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Artelise
@music a dit dans Artelise - Introduction. :
@artelise Bienvenue Beaucoup de belles occupations.
Et sinon niveau musique, qu'est-ce que tu aimes ?Ah, c'est vrai, que je n'ai pas précisé.
j'ai des goûts assez éclectiques, en fait.
Le dernier titre que j'ai ajouté sur ma playlist spotify, c'est abcdfu de Gayle, par exemple.
Sinon, on trouve également du Dido (White flag), Keane (somewhere only we know), Ed Sheeran (Perfect ; I see fire), Kim Wild (Cambodia), Cranberries (zombies), Bette Midler (The rose) , Rag'n bone man (Human) , Imany , Nirvana (The man who sold the world)...Selon l'humeur, je suis capable d'écouter en boucle : Mark Knopfler (Shangri-la - l'album) ou P!nk (95 % de ses chansons me plaisent, c'est vraiment ma chanteuse préférée !!)
Pour m'endormir ou me détendre dans mon bain, j'aime écouter l'album Voices de Vangelis.
Et mon album de Noël préféré c'est Southern Rock ChristmasEt pour la chanson de Simon & Garfunkel - the sound of silence - je préfère la version de [disturbed]
ah, et je vous ai pas dit ^^ je suis du genre émotive. Je pleure comme une madeleine à chaque fois que je regarde Vaiana ^^, par exemple.
ah.. et j'ai réussi à modifier la taille de ma signature comme une grande... il suffisait d'enlever les lignes de pointillés que je voulais mettre pour entourer mon texte. lol
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Artelise
s'installe auprès de @Biquette avec une bière fraiche
Je parie sur Lea ! Et toi ?