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Artelise
C'est moi qui me méprend où la question semble impliquer, pour un peu tout le monde qu'il s'agisse d'une sortie de loisirs ?
Parce qu'il m'est arrivé de manger régulièrement seule au restaurant quand je bossais (ça n'a pas duré longtemps, hein ^^, mais j'ai bossé un peu tout de même).
J'étais assistante de direction dans un magasin de vente d'alcool (en gros et particuliers). Le titre, pompant, signifiait surtout que je faisais tout le boulot quand le patron n'était pas là et c'était très fréquent. Seule, sans collègue, mon lieu d'habitation trop loin pour faire l'aller-retour dans le laps de temps qui m'était accordé pour la pause repas, je n'avais pas vraiment d'autre choix, que d'aller au restau du coin de la rue pour ma pause déjeuner.Je ne me suis jamais sentie mal à l'aise. Je commandais ce que je voulais et je mangeais à mon rythme. Tranquille, sans la pression de devoir faire la conversation à quelqu'un. C'était une vraie bulle de calme avant de reprendre le boulot.
Quant à manger au restau en solo pour un moment de loisirs, je pense que ça ne me poserait pas de problème, que ce soit pour le déjeuner ou le dîner. Ceci étant dit, je n'ai pas un physique qui attire l'attention et plus vraiment l'âge de me faire draguer de manière éhontée. ça doit jouer, j'imagine. :D
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Artelise
J'ajouterai à ma réponse au sujet :
Zia, des merveilleuses Cités d'or. J'avais même été jusqu'à me fabriquer un bandeau en papier qui ressemblait à celui que l'héroïne portait dans le dessin animé. Elle a été un des premiers personnages féminin à me donner le sentiment qu'une fille peut aussi s'en sortir, avoir du courage et vivre des aventures.
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Artelise
@Shanna Hop, voilà qui est fait !
Je suis partie du principe que la question concerne forcément des bonnes recettes et des plats réussis, parce que, on est d'accord, hein : des fois, on a beau aimer un truc, quand on sait que ça va être servi par Tartampion-Jiconnaisrien Encuisine, ça met moins l'eau à la bouche que quand on sait que ça va être préparé par Môssieur Magister Chef, hein !
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Artelise
@Artelise a dit dans Que lisez-vous en ce moment ? :
Je viens de terminer la lecture de la saga du Commenwealth de Peter F. Hamilton.
Il faut maintenant que je remettes la mains sur ma PAL, quelque part, sans doute, au fond d'un de mes cartons de déménagement ^^J'ai oublié de vous dire... j'ai retrouvé le bon carton..
depuis, j'ai lu Phare 23 de Hugh Howey
Et je suis en train de lire La horde de contrevent de Damasio.:)
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Artelise
ah.. j'ai toujours cru que c'était l'inverse moi.. lol
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Artelise
Mystic Pop up Bar est une série télévisée sud-coréenne (K-drama) basée sur un webtoon (Twin Tops Bar). Elle a été diffusée sur JTBC entre le 20 mai et le 25 juin 2010. C’est une comédie dramatique fantastique*. Il faut y rajouter, également une touche de romance.
Les acteurs principaux sont Hwang Jung-eum, Yook Sung-jae et Choi Won-Young.
La série compte une saison de 12 épisodes.Le postulat de départ prend racine dans la culture coréenne animiste. Dans cette série, on part du principe que les esprits existent et que la réincarnation est une réalité concrète.
Dans le premier épisode, on fait connaissance avec Weol-ju et Guibanjang. Ensemble, ils gèrent un bar éphémère. Très vite, on comprend que Weol-ju a pour mission d’apaiser les griefs / rancœurs / regrets de 100 000 personnes. Pour parvenir à remplir sa mission, Weol-ju utilise son don : elle a en effet le pouvoir d’entrer dans le monde des rêves et d’influencer, par ce biais, l’état d’esprit de ses clients ou de ses « victimes ». Reste alors aux gens à concrétiser dans la vie réelle ce qui reste à accomplir pour avancer et changer ce qui doit être changé.
Ça fait 500 ans qu’elle y travaille, il lui reste une dizaine de cas à régler mais, d’une part, le temps qui lui a été accordé arrive à son terme et d’autre part, il s’avère que c’est une mission de plus en plus difficile à remplir. Les gens se confiant de moins en moins facilement, que ce soit par méfiance, prudence ou, le plus souvent, par pudeur.C’est alors qu’elle croise le chemin de Kang-Bae qui est doté (pour son plus grand malheur), d’une capacité qui pourrait s’avérer bien utile à Weol-ju. En effet, il suffit qu’il touche une personne pour que cette dernière se confie à lui, lui faisant part de ses peines, souffrances et doléances. Weol-ju décide alors de mettre tout en œuvre pour qu’il entre à son service…
Mais, bien évidemment, la série ne se contente pas de mettre en scène une série de situations qu’il faut aider à résoudre, l’histoire est plus complexe que cela. Et au fur et à mesure que l’on fait connaissance avec les personnages et leur histoire, on découvre une histoire d’amour complexe sur trame des destins croisés.
Mon avis :
C’est une très belle série.
Les personnages que l’on pourrait croire très caricaturaux au départ, sont en réalité assez complexes. Et si l’histoire des personnages principaux restent toujours au cœur de la série comme une sorte de fil rouge, on se rend vite compte que les scénaristes gardent malgré tout à cœur de dénoncer certaines situations sociales et comportements typiques de la société coréenne, encourageant son public à faire bouger les choses. Autre atout : les épisodes se suivent mais ne se ressemblent pas. Il y a de l’humour, de l’action, de l’émotion, le tout dosé de belle manière.
Atout bonus : c’est une rencontre inattendue avec la gastronomie coréenne.Une belle série donc, que je qualifierais, s’il s’agissait d’un livre, de « feel good ».
Disponible sur Netflix.
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Artelise
@Shanna
Merci pour ta réponse très argumentée.
Je prend précieusement note de ton point de vue. :)Pour le concombre, je dirais que son goût dépend beaucoup de la façon dont on le prépare. Moi, personnellement, je n'aime pas du tout l'amertume que l'on trouve dans la peau. Je le pèle donc systématiquement. Ensuite, ça dépend de la qualité du concombre, certains vont avoir un goût très subtil, d'autre vont avoir un goût plus prononcé.
J'aime bien en mettre dans mes salades composées ou certains sandwich. ça apporte un peu d'humidité lorsque les autres ingrédients sont un peu sec et/ou un peu de croquant quand le concombre est bien frais. -
Artelise
@Kallindra et @LeaPierce
je vous rejoins. :P Même si on peut aisément faire des variations (avec des versions végétariennes, notamment). En plus, ça demande un temps fou en terme de préparation si on veut faire les choses correctement ^^ -
Artelise
Alors, soyons honnêtes..
je n'ai jamais entendu parler de ces auteurs.. et encore moins de leurs livres ^^mais on est d'accord.. y a pas un seule livre issu de ce qu'on appelle la littérature de l'imaginaire.. ?
De la guerre, du conflit, du témoignage, de l'inspiré de fait réel... Des récits qui prennent racine dans des faits passés, déjà mille fois abordés.. ^^ Bref, rien pour s'échapper de la réalité, pour se détendre et se sentir bien.
Et bien non, désolée, mais je n'en lirais probablement pas un seul. A moins qu'on me paie pour cela.
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Artelise
Allez hop, on a rejoint le club !
2 épisodes et j'ai hâte de pouvoir regarder la suite.
C'est dynamique et drôle. J'aime vraiment beaucoup. -
Artelise
Alors, à moins que je n'ai vraiment pas compris ce que tu veux dire par "se sentir à sa place"...
C'est étrange, mais ça me semble en totale opposition avec le besoin et le droit de s'exprimer.
Ainsi que la volonté de ne pas se laisser écraser par la majorité.Parce que ta maxime, en fait, elle me semble être l'équivalent d'un "soit belle et tais-toi".
Il n'y a pas, à mon sens, de personne qui n'ait pas sa place quelque part. Après, si effectivement, on n'arrive pas à se sentir à sa place quelque part, c'est peut-être effectivement que ce "quelque part" est mal choisi et qu'il ne nous convient pas. Mais si on a le sentiment que ce "quelque part" correspond à notre juste place, que c'est là que l'on a le plus de chance d'éprouver de la joie, d'être heureux et s'épanouir... alors, quoi qu'en pensent les autres, on a le droit de lutter et faire entendre que c'est là qu'on va se creuser une place et y rester.L'idée n'est pas que chacun doit avoir une place, mais que chacun en a le droit et chercher à faire croire que si tu ne trouves pas ta place, c'est que ta vraie place c'est de ne pas en avoir".. c'est juste une formulation alambiquée pour te faire croire que tu n'as de place nul part, ce qui est, à mon sens, totalement faux.
Pour moi, trouver sa place, c'est une chose importante dans la vie. Que ce ne soit pas celle que le reste du monde souhaite nous voir endosser, ça peut arriver. Mais si, une fois qu'on a trouvé un sens à notre vie, notre juste place, les autres cherchent à nous donner l'impression que ça ne va pas, alors se taire n'est pas la solution. Il faut savoir assumer ses choix, avec respect, mais détermination.
(je ne sais pas si j'ai réussi à être claire, mais je manque de temps pour être plus précises et mieux formuler ma pensée)
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Artelise
@agathe a dit dans Le meilleur plat de l'univers (selon nous) - Le résultat de vos votes ! :
bien que le chocolat... je n'en ferais pas un repas
Peut-être pas un repas, mais pourquoi pas un goûter festif ?
Un bon chocolat à fondre (récupéré chez un chocolatier si c'est possible), une fontaine à chocolat qui va bien et quelques fruits de saison et on a en-cas à partager dans la joie et la bonne humeur avec des amis ou en famille.Evidemment, c'est comme pour la raclette (mon petit poulain gagnant :D ) on en profite mieux lorsqu'on sait ne pas en abuser (que ce soit en terme de quantité ou de fréquence) et lorsqu'on se donne les moyens (quitte à budgetiser un peu) d'avoir accès à de bons produits. Ou bien, de s'offrir le restau qui va bien.
A noter, pour finir, que la notion de plat / repas reste aussi une notion de culture. Prenez la tartine belge par exemple, ou le Brettjause (assiette composée de charcuteries - locales si possible - de quelques fromages et parfois quelques fruits de saison) ou la simple soupe en Autriche qui viennent constituer la pause repas en milieu de journée, entre un petit déjeuner copieux et un dîner souvent assez consistant.
Bref, cette petite animation a fait la part belle à ce qui nous met en appétit et c'est pas rien !
Et pis, surtout, la raclette a gagné.. donc, j'suis contente. :
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Artelise
Punaise, quand elle commence juste à chanter chez moi, il y a déjà deux bonnes réponses postées.. lol
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Artelise
Lorsqu'on me demande si j'aime le Métal, j'ai tendance à répondre, que non, c'est pas trop ma came, sauf... Linkin Park. Pas toutes leurs chansons, mais certaines d'entre elles ont accompagné une partie de ma vie et reste très très chères à mon coeur.
Une de mes préférée n'a pas encore été cité ici : Breaking the habit
Et il faudrait également citer From the inside:
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Artelise
@Shanna a dit dans Comment lutter contre la procrastination ? :
C'est juste plus facile de se dire qu'on ne sait pas faire et bah voilà c'est comme ça, plutôt que d'appliquer des astuces somme toute à la portée de n'importe qui.
Avec tout le respect que j'estime te devoir..
C'est de la psychologie de comptoir ça.
C'est s'arrêter à la surface des choses et refuser de faire l'effort de voir le monde et la société tels qu'ils sont en réalité, à savoir bien plus complexe qu'on ne voudrait l'admettre.La procrastination est un phénomène psychologique qui peut s'enraciner bien plus profondément qu'on ne le croit et qui implique des mécanismes et des "failles" psychologiques qui demandent bien plus qu'un simple effort de volonté pour être palliés / franchies / comblées.
Lien vers passeport santé
Et l'article de Welcome to the jungle qui complète plutôt bien l'article précédent
On notera dans le dernier article deux choses :
- non la procrastination n'est pas une fatalité MAIS pourra demander de gros efforts et un travail sur soi-même pour certaines personnes.
- certaines personnes pourront même avoir besoin d'une aide extérieure et de l'assistance d'un thérapeute.
Je terminerai par un exemple tirée de ma propre expérience :
Je procrastine, essentiellement et de manière aussi pénible que consciente, lorsque la réalisation d'une tâche implique une conversation téléphonique. Téléphoner est quelque chose que je déteste faire. C'est extrêmement stressant pour moi et difficile. Car outre le fait que j'ai du mal à suivre la conversation, à savoir quand intervenir et à formuler rapidement des réponses adéquates et correctement exprimées (Rassembler toutes les idées qui se bousculent dans ma tête et les rassembler en arguments cohérents est très difficile et l'exercice se complique encore lorsque plusieurs possibilités de formulation s'offrent à moi et que je ne parviens pas à choisir entre deux / trois phrases pourtant similaires), je sais que je ne vais pas retenir la moitié des choses qui auront été dites et que je vais perdre énormément d'informations à peine le téléphone raccroché (et je parle ici des conversations franco-françaises !).
Bref, téléphoner est pour moi un exercice difficile que je redoute. J'ai donc tendance à repousser le moment de le faire. Et j'aurais beau essayer de me noter le moment de le faire sur un agenda, sur mon calendrier, sur une to-do-list, de me décider fermement en me disant "allez, vas-y, arrête de repousser, de toute façon, tu n'y couperas pas et ça ne sera pas plus facile demain..." ça ne changera pas le problème pour moi. Si je procrastine, ce n'est ni par manque de volonté, ni par manque d'organisation. Dans ces cas-là, je procrastine par ce que j'ai peur. Et qu'avant de réussir à décrocher mon téléphone, c'est d'abord et avant tout du courage qu'il me faut rassembler et pas une tonne de to-do-list. -
Artelise
On le sait. On a tous vu au moins une vidéo sur le sujet : Les astronautes peuvent s’amuser à boire leurs boissons comme Pac-Man gobe ses pastilles : relachant quelques gouttelettes d’un sac avant de les engloutir avant qu’elles ne s’échappent.
Mais n’est pas vraiment un moyen de boire efficace. La méthode conventionnelle – scellant une paille dans une pochette de type « capri-sun » - n’est pas non plus la façon la plus agréable d’étancher sa soif.Mais est-il possible de procéder autrement ?
Au origines…
C’est la question que l’astronaute Pettit s’est posé un jour.
« nous prenons la gravité comme quelque chose d’acquis, dit-il. Généralement, nous ne sommes pas conscient du poids de nos mains, ou de la facilité avec laquelle nous versons du café dans une tasse. Nous ne réfléchissons pas ‘le café va-t-il s’écouler ?’ ou ‘pouvons-nous verser le café ?’Nous le faisons, simplement. La gravité va gérer cela en appliquant une force au café, en le tirant vers le bas. »
En tant qu’astronaute et personne se tenant à la frontière, Pettit garde toujours les yeux ouverts pour de nouvelles opportunités et expérimentations — ou, selon ses propres mots, "juste pour faire l’imbécile".
La tasse a débuté par une série d’expériences bon marché née de la curiosité de Pettit pour le comportement des liquides dans l’espace. Le projet a finalement été financé et étudié par la NASA, les résultats faisant l’objets de nombreux articles.Un peu de sciences – ou le comment du pourquoi…
Les scientifiques travaillant sur l'appareil dans le cadre de l' expérience « Capillary Flow » expliquent que la coupelle fonctionne de manière similaire à celle de la Terre en exploitant les effets combinés de la tension superficielle, des conditions dites de mouillage (1) et de la géométrie de la coupelle.
La coupelle comporte au moins un canal allant du fond jusqu’au bord. L'action capillaire (2) entre la boisson et la paroi de la tasse permet à la boisson de glisser le long du canal pour se rapprocher du bord. Seule une petite quantité de boisson entre dans le canal tandis que le reste du liquide reste au fond grâce aux forces capillaires, selon un article publié dans Nature Microgravity l'année dernière.
Lorsque les astronautes posent leurs lèvres dessus, le liquide est spontanément aspiré dans leur bouche. Ils peuvent ensuite contrôler la taille de la gorgée qu’ils reçoivent en modifiant la forme de leur bouche et leur succion.Parce que parfois, il faut le voir pour le croire, la petite vidéo qui va bien :
Dans cette vidéo posté originalement par la NASA sur Twitter le 2 mars 2023, on peut voir l’astronaute Nicole Mann nous faire une petite démonstration de la tasse spatiale avec une dose de capuccino.Conséquences.
L'astronaute Don Pettit a contribué à inventer la coupe pendant son mandat à la station spatiale. Il partage le brevet, accordé en 2011, avec le physicien Mark Weislogel et deux mathématiciens, Paul Concus et Robert Finns.
Evidemment, on se réjouit du fait que les astronautes ont enfin un moyen de boire leur cafés (et autres boissons sans bulles) plus « naturellement ». Mais au-delà de cette problématique très humaine, on notera que ce progrès donne aux scientifiques de nouvelles perspectives sur la façon de concevoir d'autres systèmes de plomberie dans l’espace.Pour aller plus loin sur le sujet (article en anglais)
(1) Mouillage - Le mouillage est le terme désignant la façon dont un liquide maintient le contact avec une surface solide lorsqu'ils sont réunis.
(2) Action capillaire - L’action capillaire se produit parce que l’eau est en quelque sorte collante, ce qui signifie que ses molécules aiment rester ensemble. C'est le même phénomène qui permet aux plantes et aux arbres d'aspirer l'eau de leurs racines et qui fait en sorte qu’une serviette en papier trempée dans l'eau peut attirer l'humidité vers le haut, défiant - en apparence - l'attraction de la gravité.
Moi, personnellement, je trouve ça juste formidable.
ce qui me touche, dans la vidéo, c'est le contraste entre le visage concentré et "scientifique" de l'astronaute qui nous fait une démonstration contrôlée et le sourire qui illumine son visage une fois qu'elle a bu une gorgée de son café.sources :
https://www.rit.edu/vignellicenter/product-timecapsule/nasa-capillary-cup
https://mashable.com/article/nasa-drinking-space-iss-research -
Artelise
z'êtes sûrs que c'était pas un bébé démochien, au moins... ??
Oki...
Je sors... !
je suis partie..
je suis loin ! :D -
Artelise
Pour ma part, je tartine le fond de moutarde, je mets un lit de thon émietté en boite et je met tomates et touche de fromage râpé pour gratiner. Il faut bien égoutter le thon et c'est lui qui récupère le jus des tomates pour préserver un peu le fond de tarte.