Trop bon pour rester cantonné au générique de la série :

@Kallindra a dit dans Mon meilleur ami accusé de viol :

@Nyanne On ne rétablie pas une balance en traitant injustement quelqu'un. C'est le pb de nos jours. Pour soi-disant réparer les erreurs du passé on doit faire l'extrème inverse. C'est d'un triste. :s

Ce n'est pas ce que j'ai dit, il n'est pas question de traiter injustement quelqu'un, mais au contraire de traiter quelqu'un avec déférence et respect : la présumée victime.

Le monde entier traite injustement les victimes, même si c'est avéré, depuis si longtemps ! Ca, ce n'est pas triste ?

Je rajouterais même qu'il ne s'agit pas d'erreur du passé, mais d'erreur du présent, car l'injustice de traitement des présumés/es victimes et des victimes est encore parfaitement d'actualité de nos jours, et c'est pas prêt de changer.
Et dans le lot, il y a aussi beaucoup d'enfants...

@Hilda-Van-Holp Merci Hilda !!!

Il faut savoir que j'échangeais déjà avec Hilda sur le net au moment où j'ai commencé à écrire, et où l'idée d'écrire un vrai livre s'est doucement profilée... Elle était là au début de l'histoire et elle a été très encourageante et inspirante !

Pour cela, je te remercie aussi !

Pour ma part, je n'ai pas toujours eu des animaux. Quand j'étais enfant, moi père n'aimait pas les animaux. C'était assez étrange, je n'ai plus jamais vu quelqu'un les détester à ce point.
Beaucoup de gens y sont indifférent, mais ne les détestent pas. Mon père manifestait un dédain immédiat et visiblement profond, une réelle aversion, pour tout ce qui était chien ou chat.

En grandissant, je me suis dit qu'il avait surement un vécu particulier au regard de la situation de fragilité que représente l'animal qui dépend de l'homme, et du fait de s'y attacher. Mais ayant eu une enfance difficile, mon père avait quelques désordres psy, même si ça a été un très bon papa pour moi.

Autant dire que la question d'avoir un animal ne se posait pas quand j'étais petite.

Mais un jour quand je devais avoir 16 ans, ma cousine nous a ramené un bébé épagneul qui allait être certainement euthanasié si on ne le prenait pas. Ma mère avait insisté, ma soeur aussi et mon père a fini par céder, non sans manifester son mécontentement, et affirmer qu'il ne faudrait rien lui demander.

Sans être maltraitant, il a été effectivement très dur avec cet animal, et le reste de la famille a compensé. Ce qui a fait que dans ce contexte, ce pauvre chien qui était au demeurant adorable, a été très mal élevé.

Par la suite, j'ai eu des chats. Là aussi, en fait, on ne m'a pas demandé mon avis car c'est mon ex-mari qui un jour est rentré avec un chaton du boulot.
C'était un peu délicat parce que j'étais enceinte, mais je m'y suis faite, parce que j'aime les animaux, et que j'aurais sans doute voulu en avoir dans mon enfance.

Mais j'habitais à la campagne, et une vie de chat à la campagne, c'est souvent très aléatoire.
J'en ai eu plusieurs, qui ont tous finis par disparaitre à un moment ou à un autre. mais ils avaient une belle vie de chasse et de liberté !
J'ai eu (ou mes enfants) également plusieurs sortes de rongeurs car j'aime beaucoup ces petites bêtes. Mais ce sont des animaux très fragiles et les soins qu'ils demandent ne sont pas si simples.

J'ai eu aussi des poissons, et j'en ai encore. C'est un peu ma passion, j'adore ce petit bout de fond marin que l'on peut avoir chez soi, je trouve ça très reposant. Mes poissons n'arrêtent pas de faire des bébés, ainsi que mes escargots aquatiques. J'ai aussi des crevettes, et j'aimerais bien qu'elles se reproduisent. Pour l'instant ce n'est pas le cas.

J'ai aussi 2 chats : une vielle minette acariâtre à qui il est très difficile de faire des câlins car elle est imprévisible, et la jeune minette de mon fils qui vit avec moi. Les 2 ne s'entendent pas bien, ça me complique un peu la vie. Mais on les aime bien quand même.

J'ai bien lu tout ce topic, et j'avouer que j'ai été étonnée par sa tournure. Pour ma part, je suis loin de faire de la sensiblerie autour des animaux, mais on s'y attache forcément. Quand mes chats ont disparus, ou qu'ils sont morts, j'ai ressenti de la tristesse. Ca me parait bien normal.
Et me souvenant du comportement de mon père à l'égard des animaux, c'est le fait de ne pas être triste qui n'est pas normal !

Etonnée d'autant plus que les personnes qui ont exprimé leur chagrin à la perte d'un animal n'ont jamais dit que cette peine était supérieure à celle de perdre un être cher. Elles n'ont pas dit non plus que cela avait été le seul problème de leur vie.
Les avoir soupçonné du contraire était très déplacé à mon sens, et relevait d'une démarche polémique gratuite.
Ca n'a pas de sens. Pour moi, ça s'appelle "troller"...

@Cynthia80 a dit dans Votre parcours scolaire et le métier que vous faites à présent :

@Hilda-Van-Holp je suis femme au foyer, tout est au compte joint et chacun son épargne, mais tous les contrats sont au nom de mon mari.

Oulala ! ça me rappelle une vieille histoire ! De la même façon, lorsque j'étais mariée il y a longtemps, les comptes d'épargne étaient au nom de mon conjoint qui me disait : "de toute façon, tu as procuration"...
Je me m'étais pas inquiétée, même quand on a commencé à entamer une procédure de divorce, je ne le pensais pas aussi pourri... eh bien si !
La procuration a disparu du jour au lendemain, avec l'argent...

De plus, il me semble quand même qu'on a des frais quand on est mère au foyer : on paye les courses, les vêtements des enfants et on est généralement en charge des frais de toute la maisonnée. Il ne faut pas que le congé parental passe dans toutes ces dépenses pendant que Monsieur met des sous de coté...

Moi j'ai bien apprécié les 13 ans ou j'ai été mère au foyer. J'ai fait énormément de bénévolat, j'ai eu une petite entreprise à moi, à temps choisi, et j'ai été disponible pour mes enfants.
Même si j'ai pu manquer à certains moments de vie sociale, je ne regrette rien.

Mais ce n'est pas toujours aussi idyllique, ça dépend de plein de facteurs, on ne peut pas vraiment faire de généralité.

En tout cas, quand j'ai repris le boulot, je me suis souvent dit que c'était plus "reposant"...

@Kallindra L'acceptation des personnes transgenre est une question intime, et chacun a sa propre position.
Considérer les femmes transgenres comme ses égales quand on est une femme, ou l'inverse, ça relève de l'intériorité de chacun.

Et ce n'est pas un problème.

Pour ma part, je considère qu'il existe des grandes, des petites, des femmes qui sont des armoires à glace et d'autres qui s'habillent en 14 ans. Des hommes aussi. C'est la diversité.
A mon sens, la présente des personnes trans n'est qu'un très léger élargissement dans la diversité, cette diversité qui fait déjà qu'on n'a pas toute la même force.

Mais ce n'est que mon opinion, qui ne vaut pas plus que celle des autres.

Cependant, au contraire des opinions intimes, quand c'est la société qui n'accepte pas cet élargissement de diversité, ce qui entraine que les personnes transgenre accèdent à moins de soins, de soutien social ou tout autre service dont bénéficie la population, je trouve que c'est un problème.

@Lapin Elle est intelligente !!!

Moi la mienne a trouvé ce matin un carton avec un élastique autour. Depuis au moins une heure, elle joue de la guitare avec et elle s'éclate !

C'est fou comme tout devient sujet d'outrage et d'interprétation excessive. Pour ma part, il n'est pas question de faire taire quiconque, et ceux qui imaginent ça se trompent. Mais simplement d'écouter avant de vouloir décider pour d'autres personnes ce qui est bon pour eux, et de décider à quel moment elles doivent se sentir blesser ou pas.

Et désolée, mais il existe des personnes privilégiées dans ce monde, et d'autres moins. Et il se trouve que les personnes privilégiées se rendent rarement compte ce que c'est de ne pas l'être, et qu'elles se sentent souvent légitimes de décider pour les autres, et de leur dire comment elles doivent ressentir les choses.

Or non, personne n'est censé dire aux autres dans quelles circonstances ils doivent se sentir bien, pas bien, et ce qu'ils sont censés accepter.

C'est pour ça qu'il faut commencer par "écouter", et qu'il faut veiller à ne pas décider pour les autres.

Et ça, ce n'est pas "fermer sa gueule", c'est faire preuve d'humanité.

Hier j'ai appris que ma vieille minette qui a 16 ans est certainement atteinte d'un cancer. Elle a une grosseur sur le coté du cou qui a grossi en très peu de temps...

Il n'y a pas grand chose à faire, à part la soulager, et décider du moment où il sera temps pour elle d'aller au paradis des chats, pour qu'elle ne souffre pas trop...

C'est pas un moment très facile...

Pour ma part, je n'utilise surtout pas le même pseudo sur différents sites, je suis là incognito... Mais du coup, c'est compliqué de trouver à chaque fois un nouveau pseudo... et si en plus il doit avoir un sens !

Pour celui-là, Anne est mon second prénom, je cherchais une sonorité à associer avec, et j'ai trouvé que Ny-Anne sonnait bien...

Voilà c'est ça, tout ce qui est petit est mignon.

D'ailleurs je fais 1m62.

J'ai remonté quelques pages, peut-être que je suis la plus petite...

@ayamé a dit dans Quelle qu'elle soit, la religion, ou croyance, est une perte de temps. :

Ce ne sont pas les religions en soi qui sont responsables mais ce que certains hommes en font.

Mais la religion sert d'excuse...
Cependant, c'est tout à fait vrai que les livres saints peuvent être pleins d'enseignements positifs... à condition de ne pas les interpréter autrement !

@Ouma Bien sur elle fait ce qu'elle veut.
Mais au regard du contexte et de la période où elle l'a créé, ça ne m'empêche pas de me dire que ce centre est potentiellement plus en lien avec une volonté de concrétiser sa lutte contre la présence des femmes trans dans les combats féministes, qu'en lien avec une simple volonté de concrétiser sa lutte pour le féminisme, vu qu'elle n'avait pas mené ce combat avant.

Cependant, je ne critique pas la construction de ce centre comme je l'ai déjà dit, mais j'ai mon idée sur son intention initiale, tout simplement.
Et pour moi, son intention est très liée à sa transphobie.

@pompon Si, si, ils vont s'en contenter lol ! je vis bien dans un appartement, ils vont faire un effort !

Je n'ai pas de poissons rouges qui ont tendance à grandir, mais des tanichtys qui restent petits. Et s'ils sont pas contents, il n'auront qu'à monter un syndicat !

@Hornet a dit dans Attaque terroriste au lycée d' Arras :

@Kallindra Je te suis sur tout sauf la minute de silence. On doit pouvoir trouver que c'est une réponse aussi inadaptée que la suspension des cours. Imposer le silence est nul, on n'a pas forcément envie de répondre par le silence, voire de répondre tout court. Si c'est entre autre ce qui fait l'objet de "signalement" c'est grotesque. Se recueille qui le veut, quand et sous la forme qu'ielle le veut.

Moi la minute de silence je trouve cela d'une bêtise infinie et j'ai aucunement envie de la faire. Heureusement j'ai le choix.

La minute de silence est une action symbolique, uniquement. Elle signifie : "on est solidaire et on prend en compte". Rien de plus. c'est peu et beaucoup à la fois.

Ca peut aussi aider ceux qui ne sont pas directement concernés mais qui sont touchés par ce qui c'est passé. Il y a des personnes plus ou moins sensibles, et qui encaissent différemment l'actualité anxiogène. Si ça leur fait du bien de faire la minute de silence, qui peut prendre du sens en permettant de ne pas faire comme si de rien n'était, pourquoi pas.

Après on peut faire une minute de silence tout seul dans son coin, mais ça n'a pas la même ampleur que de le faire collectivement.
Pour ma part, je trouve donc que c'est bien de la proposer pour ceux qui le souhaite, mais bien entendu, ça ne doit surtout pas être obligatoire.

Pour la suppression des cours, si c'est remplacé par des temps de discussion, pourquoi pas. Il ne faut pas oublier que dans les établissements scolaire, il peut y avoir des futurs radicalisés parmi les élèves. Ce temps peut être pédagogique et peut rendre service à la société.

Bah le principe des soutien-gorge, et surtout leur utilité, c'est d'être à l'aise lorsqu'on a des nichons conséquents. Par exemple, courir sans soutien-gorge, ça fait carrément mal s'il y a du monde au balcon.

En théorie, ça a une vocation purement utilitaire... mais comme ça concerne cette partie du corps qui est très sexualisée, le soutien-gorge s'est vu attribuer une fonction érotique, esthétique pour la silhouette, sociale pour ne pas voir le bout des tétons à travers les vêtements (pas bien !), voire révolutionnaire, quand on décide de ne pas en mettre.

Mais rien n'empêche de considérer ce vêtement par sa fonction initiale et utilitaire, tout simplement...

Je trouve pour ma part que la sanction n'est pas incompatible avec la bienveillance.

D'une façon générale, une sanction, c'est une obligation imposée dans le but de faire comprendre que ce qu'on n'a fait n'est pas adapté. Exemple, on a dépassé les limitations de vitesse, le PV est là pour nous rappeler qu'il ne faut pas le faire.

Donc en soi, la sanction peut être pédagogique, et se donner la peine de faire de la pédagogie, c'est de la bienveillance.

Mais avant toute chose, il y a une question de priorité. Et la première chose à faire est de protéger la victime, par tous les moyens.
La seconde chose c'est d'éviter la récidive, et c'est là où on peut se pencher sur la cas du harceleur, et voir ce qu'il est possible de faire pour qu'il comprenne qu'il ne faut pas agir de la sorte, soit par une sanction (souvent insuffisante) soit par du dialogue, ou encore mieux les deux.
Et en troisième lieu, il faut se préoccuper de la prévention, et les cours d'empathie peuvent faire partie du programme.

Toutes ces étapes sont à la charge de l'institution, aussi bien protéger la victime, que prendre en charge le harceleur, que faire de la prévention. C'est souvent là où le bas blesse...

En tant que parent, notre rôle est bien sur de veiller sur notre enfant, d'alerter et de solliciter. Et aussi de faire en sorte que notre enfant ne devienne jamais un harceleur.

C'était une bêtise, mais le fait d'en parler, ça peut aussi être une seconde bêtise...

Il faut relativiser : cet épisode a été instructif pour toi. D'abord ça a démontré par l'exemple qu'il fallait apprendre à dire non, et ça t'a aussi appris qu'il ne fallait pas transgresser les règles car ça te met visiblement trop mal à l'aise.
Il faut donc accepter la leçon, et tourner la page.

Concernant le danger concret, étant donné qu'il n'y a pas eu de caméras, et que c'était quand même un acte vraiment minime, il faut se préparer à mentir si jamais le collègue lâche le morceau en partant (mais visiblement, il n'y a aucune raison).
S'il le fait, c'est que c'est vraiment quelqu'un de pas sympa. Il n'y aura donc aucune raison de le protéger, donc il suffira de dire qu'il a menti (par jalousie par exemple) et c'est tout. Ca sera parole contre parole.
Et s'il ne dit rien, tout rentrera dans l'ordre, et tout le monde sera content.

Les gens n'ont pas toujours besoin de tout savoir. Nous même on ne sait pas tout sur les autres, et ça ne nous pose pas de problèmes...

@Cynthia80 la question, ce n'est pas du tout ses films... Quand un boulanger est mis en examen, on ne se pose pas la question de son super pain qui était si délicieux.

Là la question, c'est pas les films que Depardieu a fait, c'est les accusations dont il fait l'objet.
C'est ça le problème.

La diffusion ou pas diffusion, c'est une question secondaire, et qui est à la discrétion de chacun.
Selon leur positionnement, les gens décideront s'il ont envie de diffuser, ou s'ils ont envie de regarder ces films, mais personne n'est censé prendre une décision pour tout le monde à ce sujet.

La justice, par contre, prendra une décision collégiale concernant les faits qui lui sont reprochés.

La surcharge des médecins entraine le même problème pour tout le monde, : comment faire quand on est vraiment malade et que c'est urgent. J'ai un nouveau médecin qui garde des places d'urgence et j'ai pu constater que ça fonctionnait. Mon ancienne docteure faisait de même en théorie, à part que ces créneaux n'étaient jamais accessibles.

J'ai aussi dans ma ville un service 24/24 en plus des urgences, où les médecins ne délivrent qu'un arrêt de 1 ou 2 jours maxi, le temps d'aller voir son médecin traitant... à part que le délai est souvent pas suffisant...

La désertification médicale de la France est un vrai problème...