Tu réalises qu'en tronquant mes propos, tu les déformes ?
J'ai dit qu'il n'existe pas de communauté de type groupement de de différents troubles neurologiques et qu'il n'y avait pas de bannière sous laquelle ils défilaient tous ensemble. Ce qui n'est pas faux ! Le symbole de la pièce de puzzle ne fait pas l'unanimité, même chez les personnes autistes. Le ruban arc-en-ciel non plus. Il est même décrié par un grand nombre d'autistes puisqu'il s'agit d'un symbole choisi par une association qui considère l'autisme comme un cancer qu'il fut éradiquer.
autre exemple de tronçonnage de propos pour servir tes intérêts :
Voici ce que tu rapportes : "ils revendiquent une certaine forme d'identité ou d'existence en marge de la société, ils mettent sans cesse l'accent sur leur différence".
Voici ce que j'ai écrit : "Mais je pense que le communautarisme peut avoir un effet pervers : d'une certaine manière, ils revendiquent une certaine forme d'identité ou d'existence en marge de la société, ils mettent sans cesse l'accent sur leur différence."
Tu utilises une forme de défense que je n'aime pas et que je ne trouve pas honnête. Plutôt que de répondre aux objections que l'on te fait, tu tentes de retourner l'argument et de renvoyer la faute chez l'autre. Tu fais souvent usage d'ironie ou de sarcasme. Or, dans mon expérience, j'ai fini par associer cette approche à un manque cruel de véritables (contre) arguments.
enfin, et là, j'avoue que je trouve le coup très bas et très malhonnête (et que ça me met carrément en colère) : tu utilises un procédé que l'on appelle le procès d'intention.
Tu ne nous connais pas et pourtant tu oses partir du principe que lorsqu'on dit "on est pas contre", c'est en nous laissant la liberté de tenir des propos contraires.
C'est à la limite de l'insulte.
Sur ce, je vais en rester là.
Que le combat en faveur des droits pour les LGBT... te tienne à cœur, je veux bien. Que tu dénigre et tourne en dérision le moindre de nos propos pour peu qu'ils ne vont pas dans ton sens ou ce que tu veux entendre, j'en ai ma claque.