• Artelise Artelise

    Kikoo les gourmands gourmets !

    Le mois de janvier arrive à son terme.
    Le nouvel article pour cette animation va donc être publié sous peu.

    N'oubliez pas que tous les autres sujets de cette animation restent actifs.
    N'hésitez donc pas à partager avis, commentaires, conseils ou recettes en tout genre !

    Le prochain aliment mis à l'honneur sera... l'oignon !

    je me baserais essentiellement sur les articles du wikipédia et celui de Passeport santé. Si certains veulent réviser avant le quiz 😉

    @ bientôt !

    posté dans Cuisine En lire plus
  • Artelise Artelise

    @Lapin a dit dans QUIZ - La réponse adéquate 4 :

    Et je tiens à pointer @Hilda-1 qui, alors que tout le monde répondait avec des menaces à la 26, a été la seule à mettre quelque chose de positif ?

    posté dans Animations Communauté En lire plus
  • Artelise Artelise

    @Biquette

    ouep ! c'est une citrouille creusée maison !

    Elle trône actuellement sur le poteau qui marque l'entrée de la propriété, de manière à être visible pour les usagers de la route qui passent devant la maison que nous louons.

    A noter que c'est ma princesse qui a dessiné le "visage" et moi qui ai creusé. 😉

    posté dans Loisirs En lire plus
  • Artelise Artelise

    Les œufs !

    Un peu d’histoire.

    Les œufs font partie intégrante du régime des êtres humains depuis la préhistoire. De nombreux débris d’œufs découverts sur différents sites archéologiques en témoignent. Nos ancêtres consommaient des œufs de cane, d’oie ou encore de pintade.
    La consommation d’œufs était également assez courante chez les grecs, les chinois (amateurs d’œufs de pigeons) et les égyptiens. Il est intéressant de noter que ces derniers pratiquaient l’incubation artificielle pour obtenir des poulets. Les phéniciens, quant à eux étaient plutôt amateurs d’œufs d’autruches, tandis que les romains étaient friands d’œufs de paons.

    La tradition des œufs de pâques, quant à elle, est aussi vielle que la fêtes de Pâque elle-même. Pour comprendre, il faut se souvenir que cette fête est là plus importante et la plus ancienne de la chrétienté : elle commémore la résurrection du Christ depuis le IIe siècle ! Les chrétiens se préparent à cette fête longtemps à l’avance en respectant le Carême. Or, durant cette période de 40 jours, la consommation d’œuf était interdite. Or, les poules continuaient évidemment de pondre ! On conservait alors les œufs jusqu’à la mi-carême. Ce jour-là on faisait des crêpes, des bugnes, des beignets et autres recettes festives utilisant des œufs. Puis on reprenait l’abstinence liée au Carême. Le jour de Pâques, il était alors de tradition d’emporter les œufs que l’on avait conservé avec soin afin de les faire bénir (parfois en procession). Souvent peints et décorés, on les offrait alors à ses proches, à ses amis et à ses voisins.

    Dans le courant du XVIIIe siècle, c’est à Louis XV – dit « le bien-aimé », que l’on doit d’avoir vu l’aviculture se développer à Versailles. Pour satisfaire le roi qui était un grand amateur d’œuf à la coque et de meringues, les poulettes avaient été installées jusque dans les greniers ! Sous le règne de ce roi les français consommaient 60 oeufs par an et par personne.

    Quelques chiffres

    Il est intéressant de savoir que les poules sauvages ne pondent pas plus de 4 à 20 œufs par ans. Pourtant, les poules d’élevages peuvent produire en moyenne 240 œufs par an. Ce rendement a été rendu possible grâce d’une part au grand nombre de croisements réalisés par les éleveurs depuis le XVIIIe siècle et qui a permis de créer des races particulièrement productives ; et d’autre part par les méthodes d’élevages qui « leurrent » les poules avec des journées artificiellement longues tout au long de l’année.
    En Europe, trois pays se partagent la première place en termes de production d’œufs de poule. Il s’agit de : la France, l’Allemagne et l’Espagne.

    Il est bon de savoir que si vous êtes un particulier, vous avez le droit de vendre votre surplus d’œufs, à condition de respecter certaines contraintes (vente directe, taille de l’élevage…) et d’effectuer une déclaration.
    (Pour en savoir plus)

    Pour nous informer sur l’origine des œufs que nous achetons, il existe un système de notation inscrit sur chaque œuf.
    Le premier chiffre permet au consommateur de connaître le mode d’élevage des poules pondeuses. Les deux lettres suivantes permettent d’identifier le pays de ponte (FR pour France)
    Ensuite, un code permet d’identifier l’élevage d’origine.

    Pour rappel :

    • 0 = Élevage biologique. Ce qui signifie que les poules sont alimentées avec de la nourriture biologique. Elles ont accès à des parcours extérieurs où elles disposent de végétation. En intérieur, elles disposent de nids, de perchoirs et de l’alimentation dont elles ont besoin.
    • 1 = Élevage en plein air. Ce qui implique que les poules ont accès à un parcours extérieur au cours de la journée. Les œufs Label Rouge sont marqués du code 1.
    • 2 = Élevage au sol. Cela indique que les poules évoluent librement à l’intérieur d’un local sans parcours extérieur.
    • 3 = Élevage en cage aménagée. Ce mode d’élevage représente la part la plus importante de la production française. Il répond à des normes européennes. Dans ce mode d’élevage les poules vivent en groupes de 12 à 60, où elles disposent en particulier d'un nid, de perchoirs et d'une aire de picotage et de grattage.

    Questions de tailles.

    Un œuf d’Autruche correspond, peu ou prou à 25 œufs de poules.

    Dans le quiz, je vous avais mis au défi de reconnaitre l’œuf de caille dans l’image suivante :
    taille-oeufs_quiz.jpg

    Pour donner la bonne réponse, il fallait indique l’œuf n° 3. Cf. image ci-dessous.

    taille-oeufs.jpg

    Les apports nutritionnels des œufs de poule :

    Le jaune d’œuf est une importante source de vitamines. Notre organisme peut y puiser de la vitamine A, D et K, mais n’y trouvera pas de vitamine C.
    Il est bon de noter que si l’on veut profiter de l’apport protéinique des œufs, il faudra manger le blanc de l’œuf ! Le jaune ne contenant pas de protéines.

    Les apports nutritionnels des œufs sont donc importants et on pourrait être tenté de penser que si un œuf se casse, on peut laisser notre chien venir lécher l’œuf tombé au sol, que ça ne peut pas lui faire de mal. Alors qu’en réalité si le jaune de l’œuf ne posera aucun problème à votre animal, le blanc de l’œuf, quant à lui, fait partie des aliments toxiques ! il ne faudra donc pas laisser votre chien y toucher.

    Bon à savoir !

    Lorsqu’on ouvre une boite d’œufs, il arrive que certains œufs soient un peu « sales », avec des petites traces noires ou des petites plumes collées. C'est vrai que cela peut donner envie de les laver, comme on le fait avec les légumes. C’est pourtant une mauvaise idée ! Joël Gautron, directeur de recherches à l’INRAE et spécialiste des œufs nous expliquer pourquoi c'est une fausse bonne idée : « Ce qui donne la couleur à l'œuf, c'est une fine couche de matière organique, un biofilm naturel qui est à la surface appelé cuticule. Or, il y a des pores dans la coquille, qui permettent des échanges respiratoires entre l'extérieur et l'intérieur de l'œuf. Si vous lavez les œufs, vous risquez d'enlever cette fine couche, vous allez alors permettre aux bactéries de pénétrer à travers les pores dans l'œuf, ce qui présente un risque sanitaire ».
    Si les bactéries rentrent dans l’œuf que vous vous apprêtez à consommer, vous encourez un risque de problèmes intestinaux, de symptômes de type gastro-entérite, jamais agréable, voire dans le pire des cas une salmonellose qui peut être grave chez les personnes les plus fragiles.

    C’est d'ailleurs pour cela qu’il est interdit pour les industriels et les éleveurs de laver les œufs.

    Un peu de Culture :

    Le Joaillier, Pierre-Karl Fabergé, qui s’est rendu célèbre pour ses magnifiques œufs était de nationalité russe !

    Les œufs des Shadoks sont en… fer !

    la citation suivante : « la politique de l’autruche, c’est une politique qui court vite, une politique qui fait de gros œufs, c’est tout. » est un extrait de la saga de Kaamelott. C'est une réplique de Karadoc.

    Enfin, la dernière question était en réalité la plus facile puisqu’il était impossible d’y donner une mauvaise réponse !

    La poule aux œufs d’or est tout à la fois

    • un titre d’une fable de La Fontaine

    • le titre d’un livre de Claude Izner

    text alternatif

    • le titre d’un film américain de 1952 de Jean Yarbrough

    text alternatif

    et un jeu télévisé québécois !
    text alternatif

    😉

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  • Artelise Artelise

    @Kachina

    L’accès à la musique, de nos jours est si simple, si rapide, si aisée et si variée que j’avoue avoir peine à imaginer à quoi la vie pouvait ressembler avant, dans ces époques où la musique se limitait aux chants religieux ou aux marches militaires. Arrivait-il à ces gens de chantonner pour eux-mêmes et d’esquisser alors quelques pas de danse joyeux en effectuant leurs tâches quotidiennes ? ou bien la musique avait-elle pour eux un caractère si sacré qu’ils auraient jugé cette attitude douteuse, voire carrément sacrilège ?

    Prenez Judas Macchabée, par exemple - cet antique héro juif à qui Handel consacra un Orotario au milieu du 18e siècle. On peut imaginer que ce chef de guerre motiva ses troupes à l’aide de quelques chants patriotiques où les tambourins et cymbales devaient avoir la part belle. On peut même imaginer que son retour triomphal, après la libération de Jérusalem, fut accueillie par quelques flûtes, lyres et harpes et des chants inspirés des psaumes hébreux.
    Mais quid de son quotidien ? Aurait-il été homme à aimer faire une pause et chercher le repos ou sa motivation dans quelques notes de musiques ? ou bien aurait-il été considéré comme un véritable boulet à apprécier ce genre de loisirs ?

    Aurais-je le temps et le loisir d’aller admirer son portrait au cœur du Louvres et puissè-je l’observer fixement durant des heures, je n’aurais sans doute toujours pas de réponses à ce sujet… Allez, je vais, en son honneur aller écouter un peu de musique, quelque chose en rapport avec ce qu’il fut, ce qu’il incarna et ce qu’il incarne toujours : l’espoir, la détermination et… et la victoire.

    et mon morceau en hommage à Judas Macchabée

    posté dans Animations Communauté En lire plus
  • Artelise Artelise

    je suis ravie de lire que votre intérêt pour mes quiz semble vouloir se maintenir.

    Je suis ravie aussi de lire que cela vous donne l'occasion d'apprendre deux ou trois petites choses.

    J'ai donc pour projet de continuer, mais je vais devoir trouver un autre support puisque Kahoot m'avait fait un joli coup de [biip] et que je vais annuler mon abonnement chez eux.

    Par ailleurs, nous allons partir en vacances dans moins d'un mois et je serais absente durant près de trois semaines. Je ne pense donc pas pouvoir vous proposer un nouveau quiz avant le mois d'aout.

    posté dans Cuisine En lire plus
  • Artelise Artelise

    @Mai-Tai a dit dans [Sondage] - La célébrité la plus sexy de l'univers (selon nous) :

    Sexy et beauté c'est très différent

    je dirais même plus ! chacun aura sa définition de la beauté et sa propres définition de la "sexytude".

    tout l'intérêt de ce genre de petit sondage rigolo.. au delà du fait de nous distraire.. c'est de voir quelle personnalité arrive finalement à rassembler suffisamment d'avis "favorables" malgré cette multiplicité de ressentis / critères tellement propres à chacun.

    😉

    posté dans Animations Communauté En lire plus
  • Artelise Artelise

    @Hilda-Van-Holp

    oki, merci de ta réponse.

    Curieusement, ça me fait penser à ma petite soeur.
    Mariée depuis des années, elle s'appuyait tellement sur l'affection de son mari que le jour où il a fait un faux pas, elle s'est effondrée. Littéralement. Elle a sombré dans une dépression telle qu'elle ne parvenait plus à manger. Il a fallut l'hospitaliser.
    La dépendance affective que cela a révélé m'a laissé pantoise et je me suis posée la question : est-ce vraiment de l'amour ? Le terme de "béquille affective" ne m'étais pas venue à l'esprit, mais est-ce ce là le rôle que le mari de ma soeur jouait (et joue toujours - puisqu'ils sont de nouveau en couple) ? le fait est qu'il s'était déclaré très peu de temps après que ma soeur se soit séparée du père de ses deux premiers enfant (compagnon violent). A-t-il juste servit de béquille ? C'est à méditer, je crois.

    Sinon, pour en revenir au sujet de l'animal de compagnie. Je ne sais pas si il existe vraiment des animaux qui nous servent de béquille affective dans le sens qui vient d'être exprimé. Mais je sais, d'expérience, à quel point leur présence peut parfois nous être indispensable sans pour autant que l'on s'appuie sur leur seule affection pour avancer dans la vie. Lorsque je vivais seule avec mon chien, nous nous apportions une affection et un soutien mutuel. Mais s'il m'aidait à mieux supporter ma solitude, il ne comblait pas mon besoin de contact humain.

    Je sais ce que c'est que d'avoir des animaux chez soi sans pour autant s'y attacher d'un point de vue affectif. Ma grand-mère avait des chats chez elle. Ils avaient vocation de chasser les souris. Ni plus, ni moins. Et ils n'avaient pas plus de valeur à ses yeux que les lapins qu'elle élevaient à des fins gastronomiques.
    Mais mes parents ont adoptés chiens et chats dès qu'ils ont pu et j'ai grandit avec des animaux à la maison. J'ai pu expérimenter très tôt toute l'affection qu'ils sont capable de nous donner, leur empathie et leur absence totale de jugement... quoique ... Fripouille (une chatte) boudait ostensiblement si on la laissait seule à la maison durant plus de 24h. Elle était du genre à attendre notre retour, planter des yeux accusateur dans les yeux de ma mère avant de lui tourner le dos et quitter les lieux d'un pas d'impératrice profondément offensée. 😄

    Je n'ai jamais aimé l'expression animal de "compagnie", ça a une connotation de servitude, ça sonne comme "dame de compagnie". Or, pour moi, un animal qui vit dans un foyer, est bien plus que ça. Peut-on parler d'un membre de la famille ? d'une certaine façon, oui.

    posté dans Animaux En lire plus
  • Artelise Artelise

    Kikoo,

    afin de tester le fonctionnement de quizizz et les limites qui me sont imposés en mode "gratuit", voici un petit test (10 questions) sur le thème des fruits et légumes de saison en été.

    Pour faire le quiz, merci de cliquer sur le lien ci-dessous.

    Fruits et légumes de saison

    Note : quiz disponible à partir de 10h 😉

    posté dans Cuisine En lire plus
  • Artelise Artelise

    @Kachina

    Il est des chansons que l’on écoute, comme ça, d’une oreille tellement distraite qu’on les entends à peine. D’autres qui vont vous interpeller un moment, auxquelles nous accorderont un peu d’attention, juste ce qu’il faut pour comprendre, au moins, le refrain. Il y aura, ensuite, ces chansons qui nous plaisent particulièrement et que nous auront plaisir à écouter et écouter encore, au moins pour un temps. Qu’elles s’adressent à nous à travers leurs paroles qui nous « parlent », ou leurs mélodies, leur riff, leur rythme, ces chansons résonnent en nous et s’impriment dans notre cœur de mélomane. Enfin, il y a ces chansons qui vont s’adresser directement à notre âme, sans qu’on comprenne vraiment pourquoi et qui vont atteindre au fond de nous quelque chose de tellement enfoui, tellement personnel, tellement intime, que même nous, ne pouvons totalement comprendre pourquoi on se retrouve ému, secoué, bouleversé.

    Cette chanson, c’est Gerard Lenorman qui l’a chanté. Je l’ai découverte par une fin d’après-midi, dans la pénombre de ma chambre d’adolescente solitaire. Je ne sais plus comment j’étais entrée en possession de cet album « quelque chose et moi ». Je ne sais plus, je vous l’assure. Je ne sais plus comment j’avais découvert sa voix si particulière, en l’écoutant à la radio sans doute. Tout ce dont je me souviens, c’est de cet instant hors du temps, hors de moi, hors de tout… Et de ces paroles…

    Et je n'attends rien
    Ni des dieux ni des rois
    Quelque chose et moi
    Quelque chose et moi
    Comme un prisonnier s'émerveille
    A regarder vivre une fourmi
    J'ai recu de bonnes nouvelles
    Il parait que ca va bien la vie
    J'ai envie d'ouvrir la fenetre
    Pour me voir passer dans la rue
    Savoir si j'ai changé de tete
    Revoir ce que je ne suis plus
    la la la la....
    Et je n'étais plus seul au monde
    Et je n'ai plus peur ni froid
    La nuit ne sera plus très longue
    Oui, je sais que tu existeras
    Il était un soir
    Il était une fois

    Et l’émotion, cette émotion inexplicable. Et ces larmes que je n’ai pu retenir. Ce sentiment confus, étrange, indescriptible, indéfinissable…
    De fait, moi, qui avait été embrigadée dans une secte et qui n’avait réussi à m’en sortir que peu de temps auparavant, je n’attendais plus rien ni des dieux, ni des rois, ni de personne, en fait. Oui, moi, l’adolescente solitaire que tout le monde trouvait au mieux bizarre et que personne ne cherchait à fréquenter, je me sentais prisonnière. Prisonnière d’une vie que je ne contrôlais pas, à vivre au milieu de gens qui ne me comprenaient pas. Et oui, j’avais terriblement besoin d’entendre quelqu’un me dire que, malgré tout «ça va bien la vie ».
    Et enfin, oui, j’avais envie d’ouvrir ma fenêtre, de me voir passer dans la rue et découvrir ainsi que j’avais changé. Je voulais croire de tout mon cœur, de toute mon âme, de tout mon esprit que changer était possible. Que je pouvais être autre. Que ma vie pouvait l’être.

    Et cet émotion que j’ai éprouvé ce jour-là a été tellement intense, tellement profonde que, encore aujourd’hui, je ne peux pas entendre ne serait-ce que les premières notes de cette chanson sans fondre en larme.

    posté dans Animations Communauté En lire plus
  • Artelise Artelise

    @Jed a dit dans Mnemmeth :

    soit le bienvenue sur ce forum de qualité comme elle a déjà dû te le dire

    Ben, en fait, j'ai dû le saouler à parler de truc, de muche et de pouet... du forum popcorn.. et aussi, j'ai dû réussir à éveiller sa curiosité à lui dire "telle série, telle film.. patati patata... je l'ai lu sur popcorn"..

    ou alors, il veux absolument pouvoir participer aux quizz de @Shanna 😄
    Il a pas de bol, l'animation en cours, c'est sur la musique, c'est pas son fort ^^

    posté dans Présentations En lire plus
  • Artelise Artelise

    Tout d’abord, merci pour votre participation.
    Vous avez été 18 à vous mesurer à ce @quiz.

    Et j’ai l’immense honneur de pouvoir établir un vrai podium !


    Pour commencer, je vous avais demandé de répondre un petit sondage.
    Je vous demandais quelle était votre principale motivation lorsque vous décidiez de favoriser les fruits et légumes de saison.
    La plupart d’entre vous ont répondu qu’ils souhaitaient privilégier la qualité.

    La question suivante en a dérouté plus d’un, mais c’est bien au mois de Juillet que les étals de nos marchés vont être les plus riches et proposer le plus de choix en matière de fruits et légumes.

    En revanche, il est intéressant de noter que la plupart d’entre vous savent que l’asperge est réputée pour être un aphrodisiaque pour la gent masculine.

    Sans transition, je vous parlais ensuite des cerises. Ces fruits délicats, ne peuvent être cueillis qu’à pleine maturité, c’est pourquoi il faut les conserver rapidement. Si vous préférez les conserver à température ambiante, il est alors conseiller de les consommer dans les 48 heures. Si vous souhaitez les consommer sur une plus longue période, vous pouvez les placer dans le bac à légume de votre réfrigérateur. Vos cerises resteront alors consommables durant environ 5 jours.

    La question suivante portait sur vos goûts et vos préférences personnelles. Je vous remercie d’avoir joué le jeu. Je vous demandais quel est le fruit estival que vous retrouviez avec le plus de plaisir. Parmi les 5 propositions, c’est la fraise qui a reçu le moins de suffrage – peut-être parce qu’il s’agit d’un fruit que nous retrouvons aisément dans nos supermarchés en hors saison grâce à ses cultures sous serres.
    La pastèque n’a pas eu beaucoup plus de succès. Mais son cousin, le melon, a récolté 5 voix en sa faveur. Ce qui est juste un peu mieux que la framboise (4 votes), et juste un peu moins que Le couple pêche/nectarine qui emporte les suffrages avec 6 votes !

    En parlant du couple pêche / nectarine, vous savez tous faire la différence 😉entre les deux fruits. Ça se complique, toutefois, lorsqu’il s’agit de faire la différence entre Brugnon et Nectarine. Ces deux fruits sont tous deux issus de la même espèce (le Prunus persica), mais ont tous deux connu une évolution génétique naturelle différente : la chair du brugnon va adhérer au noyau, tandis que celle de la nectarine n’y adhèrera pas.

    Passons maintenant à la question concernant le poivron. Une très grande majorité d’entre vous savent très bien que la couleur de ce fruit (classification botanique) dépend de sa maturité. Ces légumes (classification culinaire) changent en effet de couleur durant le mûrissement : le poivron vert est cueilli avant sa pleine maturité. Laissé sur le plant, il virera au jaune, puis à l'orange et ensuite au rouge, qui est le plus sucré.

    La question 9 portait sur la symbolique des fruits. Je dois avouer que lorsque j’ai créé le quiz, la source que j’avais déniché expliquait que c’était la grenade qui était surtout lié aux notions de fertilité et de prospérité. Toutefois, en creusant d’avantage, j’ai découvert que la banane pouvait également être associée à ces symboliques. J’ai donc attribué le point à la personne qui avait choisi la banane plutôt que la grenade pour répondre à la question.

    Pour information, voici les symboliques associées aux autres fruits :

    • Pomme : Connaissance, tentation, beauté, santé.
    • Banane : Fertilité, prospérité, simplicité.
    • Orange : Fertilité, abondance, joie, pureté.

    Enfin, lors de la 10e et dernière question, je vous demandais si vous saviez quel était le légume le plus consommé au monde. Vous avez été une majorité à estimer qu’il s’agissait de la tomate et vous avez eu raison. Voici quelques chiffres pour vous aider à prendre la mesure du phénomène :

    • Tomates : Environ 189 millions de tonnes (le légume le plus consommé).
    • Concombres – y compris cornichons : Environ 87 millions de tonnes.
    • Carottes : Environ 44 millions de tonnes.
    • Poivrons : Environ 38 millions de tonnes (poivrons doux uniquement).

    Encore une fois, je vous remercie pour votre participation.

    text alternatif

    Je pense continuer avec cet outil pour les prochains quiz que je continuerai de vos concocter régulièrement – tant que vous manifesterez de l’intérêt pour eux.

    Que diriez-vous, pour notre prochain quiz de parler de la carotte ?
    N’hésitez pas à me faire savoir quel thème vous intéresse. 😉

    posté dans Cuisine En lire plus
  • Artelise Artelise

    @Kachina a dit dans Décris-moi un mouton :

    Mastodonte - Soulagement - Dommage - Confiance - Effet(s) - amusement - molaire - immobile

    La chambre d’étudiant qu’occupait Théo depuis quelques mois déjà, semblait d’autant plus petite qu’il avait un gabarit hors du commun. Il avait été plus grand que les autres dès l’école primaire. Puis, à l’adolescence, il s’était élargi au niveau des épaules. Longtemps, il avait trouvé que c’était dommage car sa haute stature le desservait dans nombre de situation. Souvent craint par ses camarades de classe qui le cataloguait d’office dans la catégorie des brutes sans même le connaitre, il avait également connu le désarroi de ne plus rien trouver à sa taille dans les rayons enfants, dès ses 14 ans et de voir ses pieds dépasser du lit deux ans plus tard.
    Et puis, un jour, il avait rencontré Mael.
    La rencontre avait eu lieu devant l’auto-école où il prenait ses cours de conduite. Arrivé en avance pour son cours, il avait vu son prédécesseur arriver en voiture et galérer lors de l’ultime épreuve de sa session d’apprentissage : un créneau. Une fois qu’il eut enfin terminé sa manœuvre, le jeune homme était sorti du véhicule. Il avait poussé un énorme soupir de soulagement et avait fait mine de fermer la portière. C’est alors qu’il avait vu Théo. Il avait alors figé son geste et, soudain immobile il avait demandé, sans aucun préambule :
    « Vous prenez la suite ? »
    « En effet », avait simplement répondu Théo.
    C’est alors que le jeune homme s’était retourné vers le véhicule pour pousser le siège conducteur au maximum, avant de déclarer avec beaucoup d’humour :
    « Voilà, de cette façon, il sera plus facile de glisser votre carcasse de mastodonte dans la voiture. »
    Il avait souri avec espièglerie avant d’ajouter : « moi, j’ai le problème inverse : il faut tirer le siège au maximum, si je veux avoir une chance d’atteindre les pédales. »
    Et il est vrai que le jeune homme, non content d’être fluet, était plutôt petit. On l’aurait pris, aisément, pour un adolescent. Il ne semblait pourtant pas s’en offusquer ni en tirer ombrage. Au contraire, il semblait prendre les choses avec beaucoup d’amusement et il agissait malgré tout, en toute humilité, avec confiance et un aplomb qui avait profondément ému Théo.
    Les choses en étaient restés là, ce jour-là. Et elles auraient pu en rester là, définitivement si le moniteur de l’auto-école ne s’était pas arrangé pour que les rendez-vous de ses deux apprentis se succèdent régulièrement. « Oh, mais quel étrange hasard », avait-il dit un jour avec un sourire amusé aux lèvres.
    « Le hasard, mais bien sûr ! » avait songé Théo.
    Mais il fallait reconnaitre que le vieil homme avait vu juste. Que le chemin de Théo se soit entremêlé avec celui de Mael était sans doute une des meilleures choses qui soit arrivé au jeune homme. Il avait, grâce à lui, fait la paix avec sa taille et accepté l’idée que sa massive stature n’était en rien incompatible avec une carrière dans la chimie, même si ses parents l’avait longtemps rêvé en champion de rugby.
    Théo soupira, accorda encore une poignée de seconde d’évasion à son esprit et revint à son cours : la fraction molaire.

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  • Artelise Artelise

    je connais pas, mais j'ai pas l'impression que ça va me manquer ^^

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  • Artelise Artelise

    @Kachina

    Vitesse - Invité(e) - Complicité - mécanisme - faculté - rugueux - déracinée - Thé - paradis – innocence

    pardon, je n'ai pas réussi à faire plus court ^^

    « Ah ! toi aussi, tu as été invitée ? »
    Mon voisin de table n’avait pas pris la peine de cacher son mépris. Son ton rugueux et son regard hautain ne laissait pas la place au doute : il ne m’aimait pas.
    Je ne me donnais pas la peine de lui répondre. J’ignorais totalement ce qui avait pu nourrir son animosité à mon égard et je ne voulais pas le savoir. Enfin si, j’en mourrais d’envie, en réalité, mais je savais que si j’entrais dans son jeu, je risquais fort de perdre plus de plumes que lui. Et puis, le moment était mal venu. La « cérémonie du Thé » allait commencer d’ici quelques minutes et je ne tenais pas à être celle qui gâcherait l’ambiance.
    Je savais que la décision de notre nouveau patron avait le don d’agacer un bon nombre de mes collègues qui pensaient pour la plupart que notre patron, japonais de naissance, ne supportait tout simplement pas de vivre en Europe, loin de son pays natal et qu’il organisait des cérémonies rituelles pour ne pas se sentir trop déraciné. Je ne comprenais pas vraiment moi-même quel pouvait être le but des ces réunions informelles qui semblaient réunir dans le plus parfait hasard les différents collaborateurs de l’entreprise. Mais j’avais aussi l’intuition que cette nouvelle approche n’ait pas été choisie en toute innocence ; qu’il devait s’agir d’un quelconque et complexe mécanisme de sélection.

    En vérité, le rituel auquel notre nouveau patron avait décidé de nous inviter les uns après les autres n’avait pas grand-chose à voir avec la véritable cérémonie du thé. Outre le fait qu'il manquait la composition florale, la vitesse d’exécution des différentes étapes était bien trop élevée pour seulement s’approcher de l’esprit véritable d’une cérémonie authentique, mais combien de mes collègues étaient capables de s’en rendre compte ?

    Notre patron, M. Yushiro versa l’eau chaude sur le thé macha qu’il venait de préparer dans la grande tasse cérémonielle. Il la tendit alors à son premier hôte. Mon collègue saisit la tasse, la porta à ses lèvres et but une longue gorgée avant de rendre la tasse à notre hôte. Ce dernier reprit la tasse d’un air impassible et indéchiffrable. Que pensait-il ? que jugeait-il ainsi ? que cherchait-il à déceler au juste chez ses subordonnés durant ces étranges séances ? Je l’ignorais, évidemment. Je m’efforçais de n’en rien laisser paraitre, pourtant, en mon for intérieur, c’était une véritable tempête d’émotions contraires qui me laissait entrevoir autant l’enfer que le paradis. Car, j’en étais désormais convaincue : c’était mon avenir qui se jouait en ce moment même. Et à l’instar de mes collègues, sans aucun doute, je m’interrogeais sur ce qu’on attendait de moi. Je n’avais toujours pas la réponse lorsque ce fut à moi que M. Yushiro tendis la tasse.

    Je cédais alors à une impulsion. Rejetant ma peur de passer pour une lèche-botte, un faux-cul ou une hypocrite, repoussant brutalement mes craintes de paraitre ridicule, je m’inspirais autant que possible de ce je savais du comportement que j’étais censé adopter face à mon hôte lors d’une telle cérémonie. J’inclinais donc poliment ma tête avant de saisir la tasse, prit le temps d’observer l’objet que je tenais en main avant d’en siroter le contenu posément à trois reprises et m’inclinant une fois encore je rendis la tasse à notre hôte en murmurant un compliment sur la tasse qu’il avait choisi. Je me senti rougir. J’avais soudain envie de m’enfuir, qu’est-ce qui m’avait pris, au juste, d’agir comme je l’avais fait ? Je n’étais pas japonaise, je n’appartenais pas à cette culture. Mon patron n’allait-il pas s’offusquer de mon attitude ? Et si, au lieu d’y voir un hommage, il y percevait une sorte de moquerie ? Soudain mortifiée à l’idée que j’avais peut-être commis la plus grosse gaffe de ma carrière, j’observais du coin de l’œil la suite des évènements.

    M. Yushiro tendait la tasse à son dernier invité qui, à ma grande stupéfaction, agit exactement comme je l’avais fait. Partagée entre étonnement et soulagement – au moins, je ne serais pas la seule à avoir choisi une telle approche – je me mit à l’observer. Je ne le connaissais pas. Il ne semblait pas plus japonais que moi et pourtant, il avait lui aussi décidé de se conformer autant que possible au rituel authentique. Nos regards se croisèrent brièvement. Et durant cette fraction de seconde, il y eu entre nous comme un éclair de complicité.
    Toujours dans le silence feutré que la cérémonie exigeait, M. Yushiro se mit alors à nettoyer ses ustensiles. Ses gestes s’étaient considérablement ralentis, comme si, finalement, il avait décidé de se conformer au rythme lent et méditatif du rituel ancestral. Il me tendit alors le fouet dont il s’était servi et j’osais demander de quel bois il était fait. M. Yushiro me répondit sereinement et tendit un autre ustensile à celui de mes collègues qui avait respecté le rituel. Ils échangèrent à leur tour quelques mots au sujet de l’objet. Puis M. Yushiro invita alors ses convives à quitter la salle de réunion.

    Quelques jours plus tard, je fus conviée dans le bureau de M. Yushiro en compagnie d’une petite poignée des autres collaborateurs de l’entreprise. C’est à ce moment-là que nous obtinrent la confirmation que notre patron cherchait à déceler chez ses subordonnés une certaine faculté à s’intéresser aux cultures étrangères. Faculté qu’il avait testé en organisant les fameuses cérémonies du thé cherchant à savoir combien auraient fait l’effort de se renseigner au sujet de ce rituel afin d’y participer au mieux.

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  • Artelise Artelise

    @Shanna moi aussi, je me suis fait mal aux yeux. 😄

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  • Artelise Artelise

    @Kachina

    "Rien ne serait arrivé si je n'avais pas loupé ma correspondance" pensa soudainement Elanore. Partagée entre un profond agacement et une intense envie de rire, la femme d'affaire jeta un nouveau coup d’œil au panneau d’affichage.
    Et rien ne serait arrivé si je n’avais cédé à ce jeune steward et à son habile jeu de séduction".
    Malgré elle, un sourire espiègle s’épanouit sur son visage. Jamais, au grand jamais, elle n’aurait cru être ce genre de femme. Et pourtant, force était de constater qu’elle avait sciemment laisser l’avion s’envoler sans elle, assumant les frais supplémentaires que cela impliquerait. Parce que, oui, elle avait eu envie de profiter de ce que le jeune homme avait choisi de lui offrir : une palanquée de mots doux, quelques tendres caresses, une heure torride sans lendemain et surtout, surtout ! la conviction d’être encore séduisante.
    Une nouvelle fois, elle jeta un œil au panneau d’affichage et laissa échapper un soupir. Elle avait accepté un délais… mais cette grève allait transformer son escapade en… en quoi au juste ? elle-même, ne le savais pas. Elle ne savait plus. Derrière elle, un homme parlait au téléphone… elle l’entendit geindre et se plaindre. Il parlait des retards de vols, évidemment et pourtant, dans l’esprit et le cœur d’Elanore, ses mots prenaient doucement une signification toute particulière avant de prendre une envergure inattendue pour elle et elle comprit à ce moment là que sa vie ne serait plus jamais la même parce qu'elle venait de prendre conscience que, dans l’absolu, personne n’est sûr de rien. Tout est si provisoire…

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  • Artelise Artelise

    @soudnouss

    Nope pas sous la douche, sous notre tunnel local de 10 km !

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  • Artelise Artelise

    @Kachina

    Elle était assise depuis des heures à la terrasse de ce café, seule, à attendre.
    Le truc, elle l’avait désormais compris, c’est qu’il ne viendrait pas. Cet homme, celui que ses collègues appelaient « Mister Univers ». Cet homme tellement populaire, tellement beau, tellement intelligent, tellement riche… Tellement absent. Il avait eu l’air si sérieux, pourtant, le jour où il lui avait proposé de sortir avec lui.
    Dans quelle mesure, exactement, avait-elle entendu uniquement ce qu’elle voulait entendre ? C’est la question qui lui trottait inlassablement dans la tête tandis qu’elle prolongeait, en vain, son attente. Combien de cafés devrait-elle encore boire pour justifier sa présence à cette table, sans devenir totalement pathétique ? Combien de temps devrait-elle encore laisser s’écouler avant de renoncer ?
    Tout soudain, dans un sursaut de fierté, elle décida que c’en était plus qu’assez. Elle saisit son sac à main, plongea son regard et sa main à l’intérieur à la recherche de son portefeuille. Combien devrait-elle au cafetier ? Quel pourboire devrait-elle laisser en surplus ? Elle réfléchissait encore, lorsqu’elle prit conscience que quelqu’un s’était immobilisé à côté d’elle et que ce quelqu’un lui tendait quelque chose.
    Elle leva les yeux, intriguée. Et son cœur manqua un battement.
    C’était lui. Un sourire penaud accroché aux lèvres et un paquet de bonbons entre ses doigts.
    « J’ai conscience que c’est bien peu, disait-il. Mais ce sont vos préférés, je crois. »

    (Juste, vous croyez que ça se voit beaucoup, que j’ai écrit ces quelques lignes juste après avoir regardé un épisode de ma série coréenne du moment ?) 😄

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