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Artelise
voici ce que cette couleur m'a inspiré.
4 saisons, 4 haikusLa mésange bleue
Chante dans les branches nues
Le printemps arriveCiel bleu mer bleue
A l’horizon se mêlent
Camaïeu d’étéBlés mûrs et blonds
Sur fond de ciel bleu acier
Contrastes d’automne.Gants bleus élégants
Et chaude écharpe turquoise
Froidure de l’hiver.
Edit :
@ayamé a dit dans Décris-moi un mouton :
Et puis j'ai écouté le chant de la Terre, judicieusement surnommée la planète bleue. Celui du vent qui peut se faire tout doux comme très violent, symbolisant alors toute mes colères, mais ma fureur de vivre tout autant.
que j'ai aimé cette phrase !
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Artelise
La nuit, quand l’obscurité et le silence imposent soudain une paix toute relative au monde, mon âme s’apaise. Mon esprit, comprimé tout le long du jour par des contraintes de toutes sortes, fait le mur et s’enfuit au loin. Mon regard plonge au plus profond du ciel étoilé. Je respire et je laisse mon imagination vagabonder, ne laissant de place en mon cœur que pour une seule et unique émotion : la sérénité.
Enfin… Ok… d’accord, soyons honnêtes !
Ça, c’est la réponse poétique.
Parce que, en vrai, la nuit, quand l’obscurité et le silence baignent enfin ma chambre, ben, je dors, hein. -
Artelise
La rose rouge est, dit-on, un gage d’affection profonde et durable. C’est pour cette raison, qu’elles se vendent par millions le jour de la St Valentin, que la rencontre ait eu lieu 3 jours avant l’inévitable date ou des années plus tôt. Et, dans notre quête désespérée d’affection, on se met en frais : on s’habille avec soin, on choisit un restaurant « chic » et « romantique », voire on cuisine en mettant les petits plats dans les grands et on passe un temps fou à choisir une musique d’ambiance propice à la génération de sentiments amoureux. Tout ça pour retourner gentiment et irrémédiablement dans une routine quotidienne tue-l’amour qui use jusqu’à la corde des sentiments pourtant sincères mais fragiles. Fort heureusement, le 14 février revient ! Alors on en profite pour repriser nos sentiments, comme on peut. Parfois, ça suffit. Parfois, la petite étincelle suffit pour raviver le feu. Et parfois, ça ne suffit pas. Parce que même la trame a disparu et qu’il n’y a tout simplement plus rien à repriser. Et on s’étonne. On se demande comment et pourquoi on en est venu à se dire que finalement, on se contenterait bien de la présence d’un chien ou d’un chat.
Aimez vous les uns les autres ! nous a-t-on dit. Et on y croit. Et on essaie. Mais on oublie aussi trop souvent que ce conseil n’a jamais été suivit de clause du genre « lors de vos anniversaires » ou « juste à Noel » et encore moins « juste lors de la St Valentin ». Alors oui, aimons-nous ! Mais tous les jours ! Un petit geste, un sourire, un petit mot, un café préparé avec soin… il suffit de peu pour entretenir le feu. Mais veillez aussi à ce que ce ne soit pas à sens unique. Jésus n’a pas dit « aimes les autres ». Il a dit « aimez vous les uns les autres ».
(note : pour ceux que ça continue d'intéresser, je n'ai pas renoncé à mon défi consistant à continuer mon récit avec notre étrange valise. Simplement, je vais le faire de manière séparée. Pour ne pas lasser, d'une part, mais aussi pour ne pas dénaturer le défis ici et ne pas prendre le risque de me cantonner à un style).
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Artelise
Un grain de folie, ça a parfois un petit côté magique,
Car ça donne à la vie un petit côté fantasmagorique.
Brin solitaire, ou six en petit bouquet dans la main, serré
Tendu avec tendresse, amour et humilité
Le muguet aux délicates clochettes fait vœu de renouveau
Porteur d'espoir, d’un paisible souvenir, il évoque un écho
Et lorsque 13 ans ont passé, nul besoin de gâteau,
Ou d’improbable cadeau : à lui seul il redonne sens aux anneaux.
A la bonne saison, nul besoin de ramper pour les trouver
On les voit de loin au-dessus de l’herbe fraîche, dressés. -
Artelise
C'est un joli témoignage.
Mais ce qu'il faut retenir, surtout, c'est que même les personnes atteintes de ce syndrome, surtout lorsqu'il s'exprime au féminin, ont conscience de leur différence, mais ne comprennent pas l'origine de cette différence et que, cette ignorance multipliée par l'ignorance de l'entourage / collègues / proches et les mots et remarques qui peuvent fuser de manière "innocente", peut causer une grande souffrance, un profond mal-être.Et le seul moyen de remédier à cela, c'est de lutter contre l'ignorance. Plus les gens auront conscience que les TSA ne sont pas un trouble rare mais qu'il est, au contraire, bien plus courant qu'on ne voudrait l'admettre ; plus on aidera les gens à comprendre de quoi il s'agit et de quelle manière ça peut impacter sur la personnalité et le comportement des gens ; plus on les aidera à comprendre comment réagir face à ces troubles et plus on chassera les peurs, les malentendus, les a priori. On s'approchera alors d'une véritable inclusion dans le vrai et le plus pur sens du terme.
Ce genre de BD mériterait une bien plus grande visibilité. Et devraient être lues par un maximum de gens même si ce n'est pas "leur délire".
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Artelise
Je ne sais pas si ça va te rassurer ou pas.
Mais moi, quand je participe aux Battles (vote ou, comme pour la première fois ici, en tant que candidate), ce qui me motives, c'est la curiosité. Celle de voir comment les / mes adversaires vont interpréter le thème, de quelle manière ça les interpelle, ce que ça leur évoque. Je garde à l'esprit, toujours, qu'on a pas la même culture, pas la même sensibilité, pas la même façon de penser et que c'est ça qui fera la richesse de la Battle.
Quand je vote pour une proposition, je vote évidemment avec ma propre sensibilité, ma propre réflexion, ma propre approche du thème. ça ne veut pas dire que l'autre proposition était "nulle" ou "HS". ça veut juste dire que l'autre m'a davantage parlé - à moi - (et parfois, ça tient pas à grand chose ) Et puis, c'est un peu comme quand j'arrive dans une pâtisserie et que j'hésite entre tarte au citron et tarte au citron meringué.. un jour, je vais préférer l'une et le jour suivant, ça sera l'autre. Question d'humeur, de météo, d'heure, de lumière... ^^ bref, ça se joue à rien et j'en ai conscience quand je vote dans les Battle. Il ne s'agit donc pas de juger le gout de la personne qui a proposé l'extrait, pas pour moi, en tout cas.Bisous (si tu le permets).
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Artelise
Depuis mon inscription sur ce forum, j'ai vu passer le sujet maintes fois.
Maintes fois, je me suis demandé ce que je pourrais bien répondre à la question.
Longtemps j'ai hésité.
Et puis, finalement, je me suis dit qu'entre les futiles" j'aime pas les brocolis" et "j'aime pas le Rap", il y avait peut-être un truc plus profond et utile à dire.Alors, me voilà, me voici, pour vous informer que je ne supporte pas l'hypocrisie.
Et je ne supporte pas les gens incapables d'entendre et d'encaisser la moindre petite critique.Alors, ne vous y trompez pas. Je ne suis pas parfaite, il m'arrive aussi d'être susceptible et de grogner, tempêter voire fulminer si on vient me faire un reproche (surtout si je ne le trouve pas justifié). Mais je préfère toujours la franchise et l'honnêteté. Et si, après être venu me reprocher quelque chose, on argumente posément et calmement et qu'on me laisse le temps de digérer un peu l'information et de réfléchir, alors, la plupart du temps, je suis capable d'entendre ce qu'on a à me dire.
Et je l'avoue, je ne supporte pas les gens qui, sous des couverts de "tact" ou de "diplomatie" vous font de grands sourire polis mais qui vous critiquent une fois que vous n'êtes plus à portée d'oreille. Tout comme je ne supporte pas les gens incapables de se remettre en question ou d'entendre un autre point de vue que le leur. -
Artelise
Les extrémités de ce pont croate se rejoindront-elles ? C'est la question que se posent les riverains qui observent la construction époustouflante depuis des mois et qui ont déjà exprimé à plusieurs reprises des doutes sur la finalisation du projet. Le pont Cetina est l'un des projets de construction les plus spectaculaires jamais entrepris en Croatie. Suspendu à une hauteur de 70 mètres, il fait partie d'un contournement que les habitants de la ville côtière d'Omiš attendent depuis 25 ans.
Depuis des mois, les extrémités du pont qui enjambe la rivière Cetina se rapprochent depuis les deux sorties de tunnel qui émergent chacun de leur pan de falaise et qui se font face. Après un lent rapprochement, ils devraient enfin se retrouver. Mais même quelques jours avant le "mariage" prévu, une chose est évidente : les pièces du pont ne s'emboîtent pas. Un côté regarde toujours l'autre de haut.
Alors, normalement, l'improbable devrait toutefois se réaliser.. depuis déjà une semaine, la partie "supérieure" est progressivement abaissée et les deux morceaux du pont devrait donc finir par se rejoindre... le 25 février prochain..
Affaire à suivre, donc.
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Artelise
« Tiens écoute ça, Jeanie ! »
L’homme, installé sur le fauteuil en rotin de sa véranda attendit juste ce qu’il fallait de temps pour que son épouse parvienne à portée de voix. Il tenait son journal à bout de bras, dans ses mains usées par l’âge.
« A vendre. Superbe petite maison au bord du lac de Fallfail. A 5mn du village de Byrock. 150 m² répartis sur deux étages entièrement rénovés… »
« Tu m’étonnes entièrement rénové ! » s’exclama la vielle femme.
Péniblement, elle s’avança jusque vers son propre fauteuil et s’effondra dedans, plus qu’elle ne s’y assit.
« Il faut dire que l’ancien proprio l’avait laissé dans un sacrément sale état ! » surenchérit le vieil homme.
« Et c’est peu dire ! » conclu la veille commère.
Le silence s’installa un moment, chacun d’eux plongés dans leurs souvenirs. La vieille femme frissonna soudain.
« Tu crois qu’ils parviendrons à vendre ? » demanda-t-elle.
« Bah, si personne ne vend la mèche, p’têt bien. » répondit l’homme en haussant les épaules. « Tu vendrais la mèche, toi ? ».
« Ben tout de même... c’est toute la famille qui y est passé ! »
« Ouais, en même temps, c’est pas nos affaires, hein ! Moi, je dis, si personne vient me demander, j’irai pas jacter. »
« c’est pas faux. Et puis, ça pourrait faire du bien au village un peu de sang neuf ! » -
Artelise
J'ai découvert les albums de Tintin dans la bibliothèque de mon collège.
J'ai tout de suite aimé le côté épuré des dessins qui pouvaient néanmoins être très riches en détails. J'ai aussi apprécié que les phylactères ne prennent jamais le pas sur le dessin, ne donnant que le strict nécessaire en terme d'information pour que l'on comprenne les tenants et les aboutissants du récit. Ce qui donnait une aventure relativement rapide à lire; or c'était justement ce dont j'avais besoin à l'époque.A l'époque, je ne me posais aucune question sur le "fond", c'était le côté aventure qui me plaisait et l'humour.
Plus grande, j'ai prit davantage de recul et j'ai commencé à discerner différents états d'esprits et approches dans les différents albums. Mais j'ai eu la chance d'avoir un prof de français qui avait, tout au long de son enseignement au collège (durant 4 ans, donc) insisté sur le fait qu'il ne fallait jamais "juger" une oeuvre sans la remettre dans son contexte. Oui, les albums "Tintin et les Soviets" et "Tintin en Amérique" peuvent paraître choquants à nos yeux. Mais il ne faut pas oublier qu'ils sont surtout le reflet d'une époque et de sa mentalité. Et si certains aspects de ces albums sont troublants, voire choquant à nos yeux, c'est aussi le signe et le témoignage d'une évolution dans nos modes de pensées.
J'aime beaucoup l'éclairage que @Angelina-0 nous apporte.
Mes albums préférés sont ceux, grosso modo de la troisième période ; Le Crabe au pinces d'or jusqu'à Tintin au Tibet.
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Artelise
@barbouille a dit dans L'amitié entre un homme et une femme hétéro est-elle possible ? :
Pour finir je dirais que je ne catalogue pas les gens dans des cases, "lui c'est mon ami", "elle m'a voisine", "lui mon compagnon de promenade". Les relations sont appeller à changer et à évoluer et essayé par des moyens quelquonque et artificiel de laisser les gens dans des cases que l'on a défini est une perte d'énergie et de temps. Je ne dis pas que ce sera forcément le cas,
J'ai le temps de venir également commenter ça, donc.
Je ne catalogue pas les gens en me disant : lui, c'est mon beauf... donc, je mets telles ou telles barrières et telles ou telles limites.
Je constate : avec cette personne, je discute bien. Je sais que je peux me montrer honnête avec elle. Lorsque nous sommes ensemble, nous sommes bien et nous partageons de bon moment de rire et de détente. Je n'ai pas envie de sexe avec lui et il n'a pas envie de sexe avec moi : donc, c'est un ami. Et c'est aussi naturel que ça.
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Artelise
@cupide a dit dans Faut que je vous avoue... :
je suis nulle en cuisine et maladroite aussi. Et pour repasser j'y suis nulle.
C'est bon pour une femme??Ce n'est bon ni pour une femme, ni pour un homme.
Il est dommage pour n'importe qui, de ne pas avoir d'aptitudes en cuisine ou en repassage. Ceci dit, l'un comme l'autre ne sont pas sans solution. ce sont tous les deux des domaines dans lesquels on peut s'améliorer. MAIS le désir de s'améliorer dans ces domaine doit être motivé par l'envie de manger mieux et meilleur et d'avoir des vêtements bien repassés. Et certainement pas parce que, en tant que femme, on se doit de savoir faire ces choses là !! C'est réducteur et sexiste de penser que ce sont des aptitudes / tâches exclusivement féminines. Une femme a tout à fait le droit de ne pas être douée en cuisine ou en repassage. Elle peut l'être dans d'autres domaine (mécanique, bricolage, peinture... etc).
Chacun a le droit d'avoir ses points forts et ses points faible et l'essentiel, c'est de s'accepter tel que l'on est et de trouver autours de soi des personnes capables de nous accepter tel que l'on est. -
Artelise
Ce que j'aime bien, chez cette actrice, c'est qu'elle est capable de jouer un palette de rôle très riche et variée qui ne s'appuie pas systématiquement sur sa plastique et son magnifique sourire.
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Artelise
Kikoo !
Je mets mon article dans la section Arts mais c'est évidemment plus large que ça !
Ma question porte sur les boutiques que l'on trouve quasi-systématiquement à la sortie des musées et des expositions. On y trouve des goodies de nature, tailles et prix variés avec un lien plus ou moins direct avec le musée ou l'exposition auxquels ils sont liés.
Moi, perso, j'ai carrément du mal à ressortir de ces boutiques sans avoir acheté au moins un petit quelque chose. J'aime investir dans un bouquin (si la boutique propose quelque chose d'intéressant, pertinent et abordable), mais, à défaut, j'aime bien prendre une carte postale, un marque page ou encore un crayon ^^ (je raffole des stylos)
Et vous, vous passez tout droit sans même prendre le temps de regarder ? vous accordez au moins un petit coup d'oeil ou vous fouillez la boutique en quête d'un souvenir (et s'il vous arrive de ne rien trouver d'intéressant, vous êtes déçus ?)
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Artelise
Ze chanson que j'aime écouter en boucle à l'approche de Noël !
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Artelise
Pour apporter mon propre témoignage sur le sujet :
Lorsque j'ai donné naissance à mon premier enfant, j'étais en Angleterre.
J'avais été suivie de manière très naturelle par une sage femme qui m'avait gentiment expliqué quelles étaient les avantages et les possibles inconvénients de l'allaitement. Et j'avais fait mon choix. Je voulais tenter l'aventure de l'allaitement, pour mon bébé, pour moi, pour nous deux.Et puis, il s'est fait attendre.. trop.. alors on a déclenché l'accouchement. ça a été long. Mais il est né et j'ai eu droit à un peau à peau merveilleux avant qu'on me fasse finalement la péridurale que j'avais refusé jusqu'alors.. parce que, ben, fallait faire un peu de couture ^^
Plus tard, lorsqu'il a fait comprendre qu'il avait faim, on me l'a amené. On m'a aidé à me caler contre mes coussins, on m'a expliqué comment caler mon nourrisson tout contre moi, comment lui présenter le sein... Sauf, que, ben, non. Rien à faire : monsieur refusait obstinément de poser sa langue sous le téton et ne parvenait donc pas à téter. Pas de soucis de frein de langue, juste un nourrisson qui levait sa langue au dernier moment et ne parvenait donc pas à téter.
J'étais fatiguée, épuisée, j'avais mal (vous vous souvenez, la couture)... J'avais peur. En fait, non, j'étais terrifiée à l'idée que mon fils avait faim et qu'il ne parvenait pas à se nourrir. Horrifiée par l'idée que parmi ses toutes premières sensation en ce monde, ce qu'il ressentait, c'était la faim.
Alors, j'ai renoncé. J'ai dit aux infirmière que, tant pis, il serait nourrit au biberon. Elles ont essayé de m'encourager à tenter encore une fois... ce que j'ai fait, l'angoisse au ventre, les larmes aux yeux. Et on a finit par nous apporter un biberon. Et mon fils a enfin cessé de pleurer de faim.Et puis, quelques jours plus tard, lors d'un examen de contrôle, le pédiatre a repéré un défaut au niveau de la hanche. Il fallait redresser l'articulation. Et mon fils s'est retrouvé durant près de trois mois dans un harnais de pavlik. trois mois, une goutte d'eau dans la vie de mon enfant... une éternité pour moi, avec l'impression de le torturer ^^ et juste l'impression d'un acharnement du destin car le pédiatre m'a clairement dit, à ce moment-là, c'est bien que vous lui donniez le biberon, le harnais complique la vie des mamans qui allaitent (c'est pas que c'est impossible, mais il n'est pas possible d'allaiter allongé - donc pas de co-dodo et il vaut vraiment mieux être chez soi pour allaiter pour pouvoir s'installer confortablement et la position dites du Rugby comporte des risques d'inconfort pour l'enfant qui ne supportent pas toujours cette position). Bref... au final, non, je n'ai pas allaité mon premier enfant..
Et ma deuxième non plus... pour d'autres raisons (pas de place dans la chambre pour un co-dodo, un traitement anti-psoriasis pour traiter des lésions situées juste sous le sein et aucune garanties qu'aucun résidu du traitement ne passerait dans le lait, entre autres).
Et niveau santé, je peux vous garantir qu'ils sont en forme !
En dehors d'une certaine fragilité au niveau des poumons pour ma princesse lorsqu'elle était en primaire et une certaine tendance pour mon fils à faire des fortes fièvres sans raisons apparentes - tendance qui se calme au fil du temps - ils semblent indifférents aux grippes saisonnières, n'ont succombé qu'une paire de fois à la gastro-antérite et lorsqu'ils sont "malades" c'est souvent un soupçon d'angine ou de trachéite dont les symptômes disparaissent souvent très vite, même sans intervention médicale. ^^ -
Artelise
'tain, plus d'une heure à essayer de comprendre pourquoi mon ordi voyait bien mon haut parleur sans pour autant que j'entende le moindre son... plus d'une heure !!!
Et d'un coup, eureka... la question que j'aurais du me poser en tout tout premier... mais au fait, y a pas un interrupteur quelque part ?? et là, bingo.. ^^punaise, je vous jure, je me sens un peu couillonne
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Artelise
Ayamé : tu me fais découvrir plutôt joliment un aspect de la vie de Camille Claudel que je ne connaissais pas. J'aime particulièrement le placement du mot Champ.
Steam-punk : ton texte est très émouvant.
épinard: quelle rigolade ! Bravo, c'est bien trouvé !
Leitmotiv : Pauvre Dédé ! j'aime bien la dynamique de ton texte et la chute
Spillway : j'avoue, même après plusieurs lectures, j'ai du mal à tout comprendre. ^^
Delnis : C'est assez marrant cette manière que tu as eu d'utiliser presque tous les mots dans l'intro de ton récit. Bien vu, toutefois, le placement de "oubli".
Kachina : Je ne suis pas sûre que je voudrais consulter ton chirurgien, mais ton texte a l'avantage d'être imaginatif.
Zazoute : Tu as une écriture qui me plait. J'aime beaucoup les petits détails qui nous mettent dans le contexte présent avant de nous plonger dans le souvenir. C'est très visuel, finalement. Et bravo pour avoir su si bien utiliser le mot champ à multiples reprises. C'est un peu tard pour que ça rentre dans le décompte des points, mais je te double like
Want.wish : oui, en effet, il faut savoir se renouveler. Bienvenue dans le coin !
Petite prose un peu sombre, mais efficace.Voilà, chose promise, chose due et accomplie.
Aux mots précédents : Parapluie, Conjoncture, douceur, adieu
je rajoute : accompl(ir)