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Sophie
Bonjour,
Je suis un peu nostalgique de vieux forums et j'ai l'impression d'avoir enfin trouvé un endroit qui pourrait me convenir (quelqu'un.e a eu la bonne idée d'en parler sur un autre site ; merci à cette personne !)
J'ai toujours eu du mal à me présenter. Jamais fait, en fait...
J'aime échanger à propos de tout ce qui touche aux sciences humaines ; philo / socio / psycho/Histoire.
J'aime les longs débats !
En ce qui concerne mes goûts, ils sont assez fermés, mais très passionnés : littérature improprement nommée "classique" ; musique metal principalement extrême ; cinéma SF, d'horreur et art&essai ; éthique ; histoire et anthropologie ; phénomènes psychosociaux ; et de plus en plus : la vie quotidienne, les difficultés rencontrées, les rapports humains, l'entraide pour s'en sortir dans tout cela.
J'aime la randonnée et les membres de ma famille ont quatre pattes.
J'ai un peu l'impression de faire une liste froide, mais j'ai prévenu que j'étais mal à l'aise avec les présentations !
Au plaisir d'échanger ici et là !
Sophie (qui approche de la quarantaine même si ça ne définit pas une personne !)
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Sophie
@pompon Bon moi je ne pense pas qu'il va couper les ponts pour, j'imagine, si peu !
Mais il est vrai qu'utiliser un tel mot fort, "désapprouver", cela ne peut lui apporte rien. Ça ne permet que de te défouler ; est-ce bien la peine ?
Aujourd'hui dans ce métier de nombreux indépendants sont aussi en (parfois grande) partie industrialisés...
Choisir d'être salarié d'une grande surface c'est s'octroyer un peu plus de confort. Les générations actuelles attachent une extrême importance à la vie privée et quotidienne. C'est une priorité ; et je pense que c'est une très bonne chose. Travailler pour vivre et non l'inverse.
Réjouis-toi qu'il ait un travail stable, qui lui plaise (c'est la seule chose qui compte... son bonheur). Qu'il soit (je lui souhaite) en bonne santé. Que vous soyez en lien ! Etc !
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Sophie
Je ne sais pas si vous connaissez cette autrice d'une bande dessinée assez particulière, dont les articles disent souvent qu'elles fait pleurer son lectorat - c'est mon cas...
Ses histoires racontent la fin de vie d'animaux (de multiples espèces) et ont notamment pour vocation de dénoncer les diverses maltraitances, directes ou indirectes, que leur inflige l'espèce humaine. (L'artiste est d'ailleurs engagée dans la cause à laquelle elle reverse une partie de ses bénéfices.)
Je trouve les graphiques très beaux. Le ton est extrêmement émouvant ; pourtant à la dénonciation, pour moi, s'ajoute un certain effet apaisant à la lecture. Jenny Jinya nous rêve un univers où les animaux sont pris en charge et réconfortés dans l'au-delà, par une "faucheuse d'amour" qui transforme la fin de leurs souffrances en un réconfort "matérialisé".
C'est poétique, et d'un fantastique sombre qui laisse toujours place à de la lumière.Je suis, sur cette question, une âme sensible, mais je ne m'abstiens pas ! Les larmes qu'elle me procure me sont très bénéfiques. À chacun.e de voir donc si l'ouvrage est trop pénible ou non .
La plupart des histoires sont disponibles intégralement sur Facebook - c'est là que je l'ai découverte ; cela m'a permis de bien connaître l'ouvrage avant de me le procurer.
La BD est disponible en français ; personnellement je préfère la lire en anglais.Loving Reaper
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Sophie
@zisseler Salut ! Bienvenue
Et ça te donne envie de rager de t'être inscrite ici ?! -
Sophie
@Kachina a dit :
ca me fait même pas rêver .
@Music a dit :
C'est très bling bling, et au final, ce que je préfère est la salle de ciné
Pareil. Exactement comme toi Music, j'aurais dit : sauf l'écran éventuellement.
Mais j'ai un vidéo-projecteur donc en fait j'ai ce qu'il faut !Pour moi un lieu de bonheur c'est plutôt un intérieur où mes chiennes boueuses peuvent entrer en courant et même, si elles veulent, s'amuser à m'esquiver une minute avant d'accepter d'être essuyées. Et où ça ne créé par de dégâts parce que le sol et les meubles ne sont pas des fragiles !
Même en vacances je n'apprécie pas quand une chambre d'hôtel se la joue un peu classe... En fait, rien que d'aller à l'hôtel, faut vraiment que j'aie pas trop le choix . Et ça va être du 1er prix et le seul truc qui peut ne pas me satisfaire c'est quand c'est trop serré. Mon environnement doit être fonctionnel, c'est tout !
Sinon pour moi le véritable luxe il est là :
Ou là :
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Sophie
@Artelise Il y a longtemps, j'avais lu des études sur le sujet, qui concluaient, en gros, à la fonction sociale essentielle des conversations du quotidien, apparemment vides de sens.
Ces études, que je ne retrouve pas, m'avaient en tout cas extrêmement convaincue.Je pense qu'il y a moyen de retrouver les travaux sociologiques sur le sujet en passant par la notion de "bavardage ordinaire" plutôt qu'à la traduction anglaise.
J'ai personnellement tendance à considérer qu'il ne faut jamais se forcer à rien. Mais c'est peut-être parfois un mauvais conseil.
À froid et cyniquement, on le sait toustes que c'est de l'échange creux. Mais ce comportement de "parler dans le vent" participe à la cohésion et par conséquent à l'intégration, la reconnaissance, des individus dans le groupe. Ce qui peut être un problème pour les personnes qu'un tel bavardage rebute (c'est le cas souvent dans le TSA, mais pas seulement). Pas non plus un problème insurmontable puisqu'il y a d'autres moyens !
Mais il est vrai que l'on peut être rapidement considéré froid, et par une hyperbole souvent faite, antipathique quand on ne joue pas le jeu des codes établis.
Les répercussions sociales vont avoir elles-mêmes des répercussions psychologiques...En dehors de ce premier jugement possiblement subi, je crois aussi que ces conversations creuses, avec tout le langage non-verbal qui les accompagne, le ton, les traits du visage..., permettent de nous jauger les uns les autres (deviner des affinités communes ou une forme de compatibilité), et sont donc parfois de superbes portails pour des relations qui peuvent devenir amicales. Pour beaucoup d'entre nous, j'imagine que c'est le 1er pas inévitable quand on rencontre autrui. Et la relation débute réellement quand on sort justement du small talk, comme je l'ai supposé dans mon message précédent.
S'efforcer de satisfaire ce qui chez autrui répond à un besoin (alors qu'on ne l'éprouve pas soi-même) me semble donc bénéfique, et si, notamment dans le cas précis de tes enfants, cet apprentissage aboutit, je pense que c'est tant mieux. Ça leur donnera un "outil" en +.
S'il n'aboutit pas, de mon point de vue personnel, ils deviendront simplement des personnes pour lesquelles il faut un peu + de temps pour se faire une idée et pour apprécier ou non. Des personnes qu'il faut réellement apprendre à connaître ; mais je dirais que vraiment beaucoup d'individus sont comme ça aussi (et ce fil le montre...). Donc encore une fois, pas un problème insurmontable ! Et surtout ça ne change rien en soi à la "valeur" (pas joli ce mot) d'une personne.
Je précise que je n'ai pour ma part pas réellement de soucis avec ce mode d'échange. Ou seulement par périodes (quand je ne vais pas bien, c'est extrêmement pénible). C'est une relation à autrui qui en outre nous permet de temps en temps d'ensoleiller un peu le quotidien d'autrui, parfois des gens isolés, et en cela je dirais que, comme un sourire, ça ne coûte rien ou ça coûte peu, mais ça peut offrir beaucoup.
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Sophie
@Hornet Il faut parler des deux, à condition d'en parler dans vos termes en effet : l'insécurité grimpante probablement due à l'oisiveté et au sentiment d'abandon de certains jeunes, et les violences sexistes et sexuelles qui sont encore bien trop encadrées par les résidus d'une culture du viol. Les deux faits divers, mais surtout les deux arrière-plans à considérer pour éviter leur continuelle reproduction.
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Sophie
@apis-32 a dit dans Le consentement (dans tous les types d'interactions) :
@Coyotito
Je trouve que c'est plutôt bien de signifier aux filles qu'elles doivent savoir dire non explicitement.C'est un dangereux retournement de problème.
Oui, c'est bien d'apprendre à dire non.
Pour autant, ce n'est pas parce que la capacité à affirmer un refus est parfois ce grâce à quoi on évite un pépin, que l'absence de cette capacité est en cause lorsqu'un consentement est bafoué.Les circonstances favorables à un acte immoral, délinquant ou criminel, n'atténuent en rien la responsabilité de la personne qui le commet. L'occasion fait le larron ; mais le larron est responsable. Et c'est d'autant plus grave dans cette question précise, que l'incapacité à dire non constitue une faiblesse dont il peut être fait abus.
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Sophie
Il est fou ce défi ; j'adore !
Je vais me rendre compte que je ne lis pas autant que je le voudrais, mais bon ! Je vais rajouter des p'tits cœurs pour ce qui m'a particulièrement plu ! J'en suis à :
AB ---
C. Cossé Laurence, La terre des folles
DEF ---
G. Goethe, Les souffrances du jeune Werther
H. Hoffmann, anthologie Dans la nuit d'E.T.A. Hoffmann
IJKLMNOPQRSTUVWXYZ ---
Bon... Il me reste bien du boulot
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Sophie
Je découvre ta signature
D'après mes derniers renseignements, il serait tout à fait possible que le Graal ne soit ni un vase, ni une coupe, mais... un récipient.
Mais ce n'est pas une corne d'abondance finalement ?!
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Sophie
@Peri a dit dans Vos réactions sur l'actu :
Etre Charlie, ça va au delà. C'est chérir une forme d'irrévérence teintée de blasphème et de désacralisation.
C'est considérer l'esprit "bête et méchant" (pour peu qu'il soit pertinent) comme quelque chose à préserver.Je ne vois pas les choses comme ça.
Je pense qu' "être Charlie" c'est avant tout s'opposer à l'usage d'une violence qui a pour but de faire définitivement taire les personnes qui heurtent nos valeurs. C'est chérir la liberté d'expression, mais pas les différentes formes d'expression qu'elle protège.
Je déteste généralement l'humour de cette presse ; il me heurte, parfois profondément.
À l'époque, je n'ai pas crié "Je suis Charlie". Mais je crois que c'est parce que je lui donnais un sens similaire au vôtre ici.
Mais à choisir entre le terrorisme et la possibilité de - le droit même à - l'irrévérence (même si celle-ci est bel et bien violente pour certain.e.s), bien sûr, "je suis Charlie". -
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Sophie
@Kallindra a dit dans Arrêter de fumer :
la stigmatisation ne fonctionne pas. Je trouve ça ni original ni motivant. C'est un truc débile de la part de quelqu'un qui est non fumeur et qui ne comprend pas
Moi je la trouve d'un cynisme amusant. Et je suis fumeuse.
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Sophie
@Coyotito Merci
Je m'y connais très mal en pop (ou autre ?) et vous me faites enfin comprendre une méprise ancienne... Dans ma tête (un peu brouillonne !) je me rends compte que j'entendais ce morceau avec la voix originale dans les couplets et celle de Carey dans les refrains (il faut dire qu'elle y a mis du sien !)...
J'aime cette ballade. Un jour plus ou moins récent, j'avais écouté Mariah Carey en me disant que, puisque j'aimais celui-ci de ses tubes, je devais l'aimer bien. Bon. En fait non pas du tout. J'aime ce morceau (et la voix de Carey). Je suis ravie de connaître à présent le nom d'Harry Nilsson ; encore une fois : merci !
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Sophie
@Shanna Je suis en train de réécouter (ou d'écouter enfin "pour de vrai" Alors on danse...
Je crois que c'est précisément le projet de Stromae, de mêler ainsi le sombre et le gai... l'être et le paraître. Comme le dit @Lapin :
je trouve qu'il réussit à capturer dans certains de ses morceaux cette espèce de bonne humeur de façade un peu cynique qu'ont les gens qui vont mal
Je ne pense pas qu'il y ait de mal à danser dessus, pas plus qu'à pleurer en l'écoutant... Et personnellement j'aime énormément qu'une musique nous permette les deux.
Cela me fait penser à un de mes morceaux favoris, Flowers on the wall, des Statler Brothers (merci Google de me permettre de ne pas écorcher leur nom !).
Et maintenant, comme j'ai écrit en même temps, je vais devoir relancer Alors on danse !
Pour Stromae, je n'écoute presque jamais, car le style est tout de même très éloigné de ce que j'aime vraiment. J'apprécie surtout, et écoute régulièrement, un titre que je dois toutefois rechercher sur Google... : Tous les mêmes.
Je regarde en général le clip, car c'est son univers entier qui m'attire. Quand je n'aime pas la musique, j'aime souvent tout de même la poésie.
Je le considère très grand artiste.
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Sophie
@Nyanne a dit dans Vos réactions sur l'actu :
Les inondations à Dubaï causées par une modification humaine de la météo qui a mal tourné ?
D'après Nozman, non.
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Sophie
@icescream Pareil (enfin c'est la 1e fois que je la vois, heureusement !)
Mais alors, pire encore : voir Doug Judy dans cet état
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Sophie
@Twillily a dit dans Fatboy Slim :
Ce n'était pas mon chouchou en terme de big beat (je préférais à l'époque l'esthétique, le concept de The Prodigy)
J'aime beaucoup les deux groupes ! Très différents.@Twillily a dit dans Fatboy Slim :
j'aimais surtout les titres Praise You, Right Here, Right now
Moi aussi. Tellement ! Mais The Rockafeller Skank aussi ! C'était son 2e album.
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Sophie
@Angelina-0 a dit dans Tomb Raider I–III Remastered :
Que celui qui n'a jamais enfermé le majordome dans le frigo jette le premier glaçon.
Mais c'était pas justement ça la fonction de cette chambre froide ?!