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pedropop
@Cygoris "
Ce fait divers a aussi été relaté aux news télévisées
"L'adolescent de 15 ans, suspecté d'avoir agressé à l'arme blanche, le 13 septembre dernier, une enseignante de 63 ans au sein du lycée Malherbe de Caen (Calvados), a été mis en examen pour «tentative d'assassinat», apprend-on ce mardi 4 octobre 2022
Un tournant dans l'affaire. Le lycéen de 15 ans qui avait blessé avec un couteau une enseignante du lycée Malherbe de Caen a été déféré le 28 septembre et mis en examen, a annoncé, ce mardi 4 octobre, le parquet de Caen.
«Il a été incarcéré en milieu médicalisé», a précisé la procureure Amélie Cladière, et «la question des raisons de ce passage à l'acte reste entière à ce stade de l'instruction».
Une information judiciaire avait été ouverte pour «tentative d'assassinat» à la suite de cette agression qui s'est déroulée le 13 septembre dernier.Un lycéen ayant assisté à la scène avait expliqué que l'agresseur avait blessé l'enseignante à la gorge avant de repartir en courant dans un couloir pour revenir vers elle en tentant de la blesser à nouveau.
L'enseignante et l'élève s'étaient alors «débattus» jusqu'à ce que des sirènes retentissent et fassent fuir l'agresseur, rapidement arrêté ensuite.
Dès les premières heures qui avaient suivi les faits le ministre avait déjà réagi à cet acte, qu'il avait «condamné avec fermeté», dans un communiqué publié sur son compte Twitter.
L'adolescent suspect n'est ni connu des services de police, ni par son établissement pour une quelconque altercation avec l'enseignante, avait-on appris par la suite. L'agresseur n'avait du reste pas de cours avec cette professeur de lettres agrégée et en fin de carrière.
D'après les témoignages recueillis, il aurait annoncé, sur un forum partagé par les élèves de la classe, quelques instants avant, son intention de passer à l'acte.
En garde à vue, il avait déclaré que depuis la classe de 4e, il entend des voix lui intimant l'ordre de tuer un professeur.
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Une enseignante poignardée par un élève de 13 ans, le 15 mai 2009Une professeure de mathématiques d'un collège proche de Toulouse a été victime d'agression de la part d' un adolescent qu'elle avait puni. Ses jours ne sont pas en danger. Xavier Darcos s'est rendu sur place.
Une enseignante du collège François-Mitterrand de Fenouillet, près de Toulouse, a été blessée au couteau vendredi par un élève de 13 ans qui lui aurait fait part de son intention de la tuer. La victime a été opérée pour une hémorragie interne au thorax.
« Le pronostic vital n'est pas engagé, mais les blessures sont plus importantes que le diagnostic initial », a indiqué le responsable de la communication du rectorat de Toulouse.
Ce jeune de 13 ans, élève de cinquième, semble avoir agi parce que l'enseignante, professeur de mathématiques de 32 ans, refusait de retirer une punition infligée pour un devoir non rendu.
Le ministre de l'Éducation, Xavier Darcos, a condamné l'agression et s'est rendu dans la journée de vendredi dans l'établissement, considéré comme « un collège tranquille » de la banlieue de Toulouse.
L'élève avait été puni la veille pour ne pas avoir rendu à temps un devoir. Vendredi, à l'issue de son cours, il est retourné voir l'enseignante. Comme elle lui a confirmé sa punition, il a sorti de son sac un couteau et lui aurait dit « bien, je vais te tuer » avant de la frapper.
Le collégien, entendu puis « remis à la brigade des mineurs de la gendarmerie », est issu d'un milieu modeste. Il a quelques difficultés d'apprentissage mais n'est pas repéré comme un enfant violent, affirme-t-on au sein du collège. Au moins une dizaine d'enseignants ont été victimes d'agressions similaires, avec armes, depuis deux ans
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pedropop
conduire alcoolisé peut se terminer aussi par un drame sur l'une des nombreuses routes du réseau routier français
""Une augmentation de 29% des accidents mortels. Le ministère de l'Intérieur atteste d'une hausse significative de la mortalité routière en avril 2022 par rapport à avril 2021. Le retour des beaux jours fait craindre une augmentation du nombre d'accidents, en particulier de ceux impliquant une conduite alcoolisée.
"On constate effectivement une augmentation de la présence d'alcool chez les conducteurs", explique M.... B......., le patron de l'escadron départemental de sécurité routière. "Et effectivement, avec le retour des beaux jours et la fin des contrôles sanitaires, malheureusement, les mauvaises habitudes reprennent, mais surtout chez les jeunes".
Plusieurs accidents dernièrement
Le week-end dernier, plusieurs accidents graves voire mortels ont impliqué de jeunes conducteurs. Un homme de 20 ans est mort dimanche 15 mai à Castelsarrasin (Tarn-et-Garonne), après avoir percuté un arbre.
Toujours dans le Tarn-et-Garonne, un jour plus tôt, trois personnes ont été blessées dans un accident, très matinal, à Saint-Aignan. Deux d'entre elles, de 19 et 22 ans, ont été gravement blessées.Avec l'arrivée des beaux jours, le patron de l'Escadron Départemental de Sécurité Routière (EDSR) se démultiplie pour faire de la prévention dès le plus tôt possible.
Le chef de l'ESDR rappelle que l'alcool est responsable de 30% des accidents mortels au niveau national. Quand un conducteur alcoolisé consomme en plus de la drogue, le risque d'être responsable d'un accident mortel est multiplié par 29, selon lui.
"Un accident est si vite arrivé : il suffit d'une fois"
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pedropop
@agathe Pierre Palmade est très faible donc il est dans le fond de son lit de plus il a interdiction de sortir de sa chambre d'hôpital
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pedropop
@ayamé "Dans la plupart des cas, les hallucinations auditives ont pour cause une forte consommation d'alcool, de médicaments ou de substances toxiques. Le trouble psychique de type schizophrénie en est également l'une des grandes causes, tout comme certaines maladies neurologiques ou certaines pertes d'audition."
L'adolescent n'a pas été reconnu schizophrène, il n'avait pas non plus pris une forte dose d'alcool, de médicaments ni de substances toxique. Il espérait, j'imagine, que s'il disait qu'il avait entendu une petite voix, au moment où il allait commettre son acte, lui disant de tuer sa prof d'espagnol,, que le médecin et les enquêteurs le croiraient..il l'a tué de sang froid et n'était pas dans un état de sidération quand il est rentré dans la classe voisine de la classe de la prof d'espagnol
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pedropop
@ayamé trop de stress peut nuire à notre santé et augmenter notre risque de maladies du cœur et d'AVC.
"Les chances de survie et la récupération fonctionnelle après un AVC dépendent de la rapidité d'intervention. Un accident vasculaire cérébral doit être pris en charge moins de trois heures après l'apparition des premiers symptômes. Cette prise en charge rapide permet d'espérer une récupération du fonctionnement de la zone atteinte et une réduction du handicap."
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pedropop
@ayamé il a pris le couteau chez son père. (pour information, ses parents sont séparés) la veille donc il était conscient de ce qu'il allait faire le lendemain matin en cours d'espagnol .Il avait mis le couteau dans un rouleau de papier sopalin, pour que ses camarades témoins de son acte ne devinent pas que dans ce rouleau de papier sopalin se trouvait le couteau dont il allait se servir pour planter sa prof d'espagnol quand il s'est approchée d'elle. il avait donc prémédité son acte. IL a dit qu'il avait entendu une petite voix pour que l'on croit qu'il était possédé. Il entend une petite voix en pleine nuit, il trouve cela normal au point de ne pas en parler à ses parents !! si C'était la première fois il en aurait parlé à l'un de ses parents et si ce n'était pas la première fois, il en aurait parlé à sa mère et/ ou à son psy, non ?
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pedropop
@ayamé voici un extrait du règlement intérieur de son ancien collègue qui doit être signé par l'élève et par les responsables légaux
(...)
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La mission confiée par l’Etat impose au service public d’Education de contribuer à l’égalité des chances, de
transmettre des connaissances, de former des femmes et des hommes responsables, capables d’adaptation, de créativité et de solidarité.
(..)
" CONDUITE ET TENUE DES ELEVES3.1 COMPORTEMENT
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Les élèves doivent respecter les règles de sécurité. Ils doivent se conformer aux instructions données par les professeurs ou par tout autre membre de la communauté scolaire.
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La tenue, le langage, les rapports entre tous les membres de la communauté scolaire doivent toujours être corrects et courtois.
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Tout acte d’agression physique ou verbale, de menace, d’intimidation, de racket sera sanctionné.
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La tenue vestimentaire de chacun doit être respectueuse de la personne et de la collectivité. Le collège est un lieu de travail et les élèves doivent s’y présenter en tenue adaptée à un contexte de travail. La propreté vestimentaire et corporelle est la règle de l’établissement et doit être respectée.
3.2 MATERIEL
- Les élèves ne doivent apporter au collège que le matériel nécessaire aux études.
3.3 PREVENTION DES ACCIDENTS
Afin de respecter la sécurité de chacun, il est interdit
:-
D’introduire dans le collège des objets ou produits
dangereux, prohibés ou nuisibles à la santé -
De manipuler en dehors des cours des objets nécessaires mais qui peuvent être dangereux (compas, ciseaux, …)
IV - DISCIPLINE
En cas de manquement au Règlement Intérieur ou en cas d’acte grave des punitions scolaires ou des sanctions disciplinaires peuvent être prononcées.
4.1 LES PUNITIONS SCOLAIRES
Elles représentent une réponse immédiate à un comportement gênant ou à un manquement au travail scolaire. Elles sont prises à l’encontre d’un élève par tout adulte de l’établissement
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Excuse orale ou écrite
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Inscription sur le carnet de correspondance ou sur l’espace numérique du collège
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Devoir supplémentaire assorti ou non d’une retenue
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Exclusion ponctuelle d’un cours. Le professeur rédige un rapport et s’entretient ensuite avec la conseillère principale d’éducation ou le chef d’établissement, dans la demi-journée qui suit l’exclusion. L’élève exclu sera accompagné à la vie scolaire avec un travail à réaliser.
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Exclusion provisoire d’une activité facultative
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Interdiction de récréation dans la cour
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Retenue avec travail scolaire. En cas d’absence non justifiée à une retenue, une sanction pourra être prononcée.
4.2 LES SANCTIONS DISCIPLINAIRES
Les sanctions relèvent des principes généraux du droit dans le respect des dispositions règlementaires. Elles représentent une réponse aux atteintes graves ou répétées aux personnes, aux biens ou aux obligations des élèves. Les sanctions disciplinaires sont prises par le chef d’établissement ou le conseil de discipline.
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L’avertissement écrit, envoyé à la famille et inscrit dans le dossier de l’élève.
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Le blâme assorti d’un entretien avec la famille
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L’exclusion temporaire de la classe qui ne peut excéder 8 jours et au cours de laquelle l’élève est accueilli dans l’établissement
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L’exclusion temporaire de l’établissement ou du service de restauration qui ne peut excéder 8 jours
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L’exclusion définitive de l’établissement.
Chacune de ces sanctions peut être assortie d’un sursis.
4.3 LES MESURES DE PREVENTION ET DE REPARATION
Elles visent à éviter la survenance d’un acte répréhensible ou à le réparer.
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La confiscation d’un objet non utile à la scolarité ou interdit dans l’enceinte de l’établissement. L’objet sera remis à une personne identifiée lors de l’inscription de l’élève
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La fiche de suivi. Document que l’élève doit présenter à chaque fin de cours où sont notés
comportement et attitude au travail. La fiche de suivi est visée par la famille chaque jour et amenée
à la vie scolaire en fin de semaine -
La corvée. Petit travail d’intérêt général de courte durée effectué dans l’enceinte de l’établissement.
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Le changement de classe en cours d’année
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La mesure de responsabilisation. Elle consiste à participer, en dehors des heures d’enseignement à des activités de solidarité, culturelles ou de formation à des fins éducatives. Sa durée ne peut excéder 20 heures. Lorsqu’il s’agit de l’exécution d’une tâche, celle-ci doit respecter la dignité de l’élève, ne pas l’exposer à un danger pour sa santé et demeurer en adéquation avec son âge et ses capacités.
Elle peut être exécutée au sein de l’établissement, d’une association, d’une collectivité, d’un groupement rassemblant des personnes publiques ou d’une administration de l’Etat. La mise en place d’une mesure de responsabilisation est subordonnée à la signature d’un engagement par l’élève et de sa famille à la réaliser.
4.4 LES INSTANCES MISES EN PLACE
Le collège met en place des instances disciplinaires qui ont un rôle de prévention, de modération, de conciliation et de médiation :
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Le groupe de prévention du décrochage scolaire, présidé par le chef d’établissement ou son représentant. Il est composé de la CPE, de l’infirmière, du médecin scolaire, de l’assistante sociale, de la psychologue de l’Education Nationale – conseillère d’orientation, du référent décrochage
scolaire de l’établissement et si possible du professeur principal. Le GPDS examine la situation de l’élève et fait des propositions de prise en charge. -
L’équipe éducative est composée du chef d’établissement ou de son représentant, de la CPE et de l’équipe pédagogique de la classe de l’élève. Elle se réunit en présence de la famille et de l’élève pour faire le point
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La commission éducative, présidée par le chef d’établissement ou son représentant est composée de représentants élus au conseil d’administration (3 représentants des personnels d’enseignement et d’éducation et 2 représentants des parents d’élèves) et de l’équipe pédagogique de la classe. La commission éducative se tient en présence du ou des responsable(s) de l’élève et de l’élève lui-même. Elle a pour mission d’examiner la situation d’un élève dont le comportement est inadapté aux règles de vie dans le collège et de favoriser la recherche d’une réponse éducative personnalisée.
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Le conseil de discipline se réunit sur décision du chef d’établissement sur proposition d’un adulte de l’établissement pour des faits graves concernant un élève. Il peut être assorti d’une exclusion du collège par mesure conservatoire
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Il savait qu'il est interdit d'introduire dans l'enceinte de son établissement scolaire, un objet dangereux comme le couteau qui se trouvait dans son cartable -
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pedropop
@ayamé "
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"On parle de choc frontal lorsque l’extrémité avant d’un véhicule percute l’avant d’un autre véhicule ou d’un obstacle. Ce qui rend ce type de collision particulièrement dangereuse, lorsqu’elle implique plusieurs conducteurs, réside dans le fait que l’intensité du choc est proportionnelle à la vitesse et au poids des deux véhicules. Les chocs frontaux représentent près d’un quart des accidents de la route.Dans la plupart des cas, cela inflige des blessures aux jambes et au bassin du conducteur et du passager positionné à sa droite De plus, la décélération est brusque qu’elle provoque des blessures internes particulièrement graves. La violence de ce type de collision a des conséquences mortelles, et même une fois sur place, les secours n’ont pas toujours la possibilité de changer la donne.
A propos de l'enfant de 6 ans. comment était-il attaché à l'arrière de la voiture conduite par son père ?
""
À partir de 6 ans et jusqu’à 10 ans, le rehausseur simple (sans dossier) convient. Il est moins large que le rehausseur à dossier, et permet donc d’installer plus facilement trois enfants à l’arrière, même dans une petite voiture. La présence du rehausseur permet de positionner la ceinture de manière à ce que, au-delà de son rôle de protection, elle fasse le moins de dégâts possibles en cas de choc. Une ceinture bien positionnée passe au milieu de la clavicule et en haut des cuisses. En cas de choc, elle peut faire quelques dégâts sur la clavicule et les os du bassin, mais le plus souvent sans grande gravité.
Cependant, il vaut mieux que la ceinture passe trop près du cou que trop près du bord de l’épaule. En cas d’accident, l’enfant pourrait être projeté par-dessus la ceinture.
La place centrale à l’arrière est la moins exposée. En effet, si l’enfant est bien attaché, seule la force exercée par la ceinture peut engendrer de légères blessures.
Alors que s’il est assis sur le côté, en cas de choc latéral, il peut être impacté par la portière, avec à la clé des traumatismes beaucoup plus graves. Même chose en cas de choc frontal: l’enfant assis au centre n’aura pas d’obstacle devant lui, alors que, pour ceux assis sur les côtés, la tête peut venir heurter le siège avant.
""les trois voitures remorquées dont la twingo verte et en bas à gauche, la voiture de la famille
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pedropop
.**
""erreur de destinatairemessage envoyé à Ayamé à 16 h07
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pedropop
@pedropop "
«Chaque année, 700 personnes sont tuées dans un accident impliquant un conducteur ayant consommé des stupéfiants, à l’image de la cocaïne. Justement, comment la cocaïne interfère-t-elle avec la conduite ? Que se passe-t-il dans la tête du conducteur ?La cocaïne est la deuxième drogue illicite la plus consommée en Europe. Dans la mesure où elle est stimulante, elle présente un effet notable sur les pensées et sur les actions. Qu’il l’ait snifé, fumé ou injecté, le consommateur a souvent l’impression d’agir normalement. Au regard des autres en revanche, il peut donner l’impression d’agir de manière erratique et imprévisible.
Au volant, la « coke » entraîne une agressivité de conduite et une altération de la perception ce qui occasionne très souvent une perte de contrôle du véhicule. En fait, les symptômes les plus courants peuvent avoir un impact sur la conduite : excès de confiance donc, accompagné d’une euphorie, de bouffées d’énergie, d’une faible capacité dans la prise de décision, d’une impulsivité, de difficultés de concentration, d’une sensibilité accrue à la lumière, d’un manque de coordination…
Dans les faits, les temps de réactions sont allongés alors que le conducteur peut adopter un comportement dangereux, comme se lancer des défis (passer les feux avant qu’ils ne deviennent rouges et finir par les griller un feu rouge)
Pourquoi la consommation de cocaïne affecte-t-elle la conduite ?
La cocaïne a de nombreux effets néfastes sur le cerveau et le corps. Elle amène par exemple le cerveau à libérer de grandes quantités de dopamine. Cela provoque une euphorie et un bonheur extrêmes, suivis d’un choc émotionnel intense**. Cette sensation n’est pas naturelle et peut conduire à une mauvaise gestion des risques**.
Cette drogue expose aussi à un risque cardiovasculaire car le cœur doit travailler beaucoup plus fort lorsque cette substance se trouve dans l’organisme.""
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pedropop
@pedropop ""Le Hezbollah contournerait les sanctions US par le trafic de drogue en Europe
Selon une étude américaine, les membres du Hezbollah interviennent comme intermédiaires sur la route de la drogue – depuis l'Amérique du Sud vers l'Europe en passant par l'Afrique de l'Ouest, permettant ainsi de faire entrer dans les ports de Belgique et d'Allemagne des centaines de tonnes de cocaïne et autres stupéfiants.11 juin 2019" + le port du Havre
A voir ou à revoir " Hezbollah, l’enquête interdite, documentaire en trois volets de Jérôme Fritel et Sofia Amara (France, 2023), 3 × 55 m. Inédit. Dimanche 5 février à 20h50 sur France 5,
"Jérôme Fritel et Sofia Amara cosignent Hezbollah, l’enquête interdite, trépidant documentaire en trois parties, qui croise l’histoire du Hezbollah, né il y a quatre décennies, et une enquête de la DEA (agence fédérale américaine chargée de lutter contre le trafic de drogue). Baptisée « opération Cassandre », elle mettait en lumière, dans les années 2008-2015, le financement du Hezbollah, parti religieux chiite souhaitant instaurer la charia au Liban, par le trafic de cocaïne. Commentaire enlevé, infographies, archives et témoignages pointus, le spectateur est embarqué dans un incroyable récit, une sorte de « Narcos chez les barbus »."""
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pedropop
@pedropop ""Le nombre de consommateurs ayant expérimenté la cocaïne a été multiplié par quatre ces 20 dernières années.
Responsable de 10 000 hospitalisations par an, et de complications médicales dont la gravité et la fréquence augmentent, l’ampleur des effets de la consommation de cocaïne nécessite d’informer le public, les usagers et leur entourage sur la dangerosité du produit, de sensibiliser les professionnels de santé au repérage des consommations, à l’accompagnement des usagers, à la réduction des risques et à la prise en charge des complications médicales.
La production mondiale de cocaïne a doublé entre 2014 et 2020, pour atteindre le niveau record de 1982 tonnes en 2020
65€ c'est le prix moyen du gramme de cocaïne en 2021 (70€ en 2018). 1gr de cocaïne = 5 à 10 prises ou "rails"
66% c'est le taux moyen de pureté de la cocaïne en 2021 (contre 46% en 2011)
2,8% des jeunes de 17 ans et 5,6% des adultes (4 fois plus en 20ans) avaient déjà expérimenté la cocaïne en 2017Les complications médicales liées à la consommation de cocaïne ont été multipliées par 6 entre 2010 et 2016
- Source : Rapport mondial sur les drogues 2022, ONUDC ; OFAST 2021 ; INPS 2020 ; Drogues, chiffres clés, OFDT, Juin 2019
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pedropop
@chickais
pas de code pénal ni de psychiatres lors du procès de Jeanne d'Arc au printemps 1431
""Les psychiatres qui se sont penchés sur son cas ont conclu que les voix et les visions de Jeanne étaient les symptômes d'une épilepsie temporale
Ces constats ont incité les psychiatres qui se sont penchés sur son cas à conclure que les voix et les visions de Jeanne étaient les symptômes d'une épilepsie temporale. Ce trouble psychique se caractérise par des états de rêve, des sensations de déjà-vu, ou de souvenirs ; la durée des crises n’excédant pas une minute. Pourtant, l'explication épileptique a été invalidée par d'autres spécialistes, car aucune mention de convulsions juvéniles n’a été rapportée durant le procès de Jeanne. D'autres auteurs ont alors émis l'hypothèse que l'insistance de Jeanne à se présenter comme une envoyée de Dieu, chargée d'une mission divine pour sauver le royaume de France, était le signe d'une schizophrénie paranoïde ; un trouble psychotique qui se caractérise par un délire flou et non structuré."" -
pedropop
@Miliam "Me T S tient à rappeler que son client "parle à la troisième personne"
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Pour Albert Moukheiber, docteur en neurosciences, et psychologue :Parler avec soi-même ou de soi-même à la troisième personne a un nom : l'illéisme.
Parler de soi à la troisième personne, ce n’est pas exactement prendre du recul, c’est se voir différemment, comme si vous examiniez le cas d’une autre personne. C’est converser, de façon distanciée avec soi-même. On ressent les émotions, mais à la 3e personne. Il semblerait que c’est une façon très intéressante de gérer le stress.""
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pedropop
"La cocaïne crée-t-elle une dépendance?
Elle peut toutefois être l’une des drogues dont il est le plus difficile de se sevrer. Les personnes qui développent une dépendance à la cocaïne ne maîtrisent pas leur usage. Elles ressentent un besoin intense de prendre de la drogue, même lorsqu’elles sont conscientes que cet usage leur cause des problèmes médicaux, psychologiques et sociaux. Se procurer et prendre de la cocaïne peut devenir leur plus grande préoccupation.
Toute méthode d’usage de la cocaïne peut entraîner une accoutumance. La quantité de cocaïne consommée et la fréquence de son utilisation ont un effet sur l’accoutumance.
Si une personne arrête de prendre de la cocaïne, elle peut avoir l’impression de « s’effondrer ». Lorsque cela se produit, son humeur change rapidement, passant d’un « high » à un sentiment de détresse, menant à un état de manque intense.
Un usage excessif de cocaïne dans le but de maintenir ce « high » entraîne rapidement une toxicomanie.Les symptômes du sevrage de la cocaïne comprennent, entre autres : épuisement, sommeil prolongé et mouvementé ou insomnies, faim, irritabilité, dépression, pensées suicidaires et désir intense de reprendre de la cocaïne. Le souvenir de l’euphorie procurée par la cocaïne est puissant et entraîne un risque réel de rechute.
Est-ce qu’il y a des dangers liés à l’utilisation?
Cette drogue peut être très dangereuse, qu’elle soit prise une seule fois ou souvent.
L’usage de cocaïne entraîne un épaississement et une constriction des vaisseaux sanguins, réduisant ainsi l’alimentation du cœur en oxygène.
En même temps, la cocaïne fait travailler davantage les muscles du cœur, ce qui peut causer des crises cardiaques ou des accidents vasculaires cérébraux, même chez les personnes en bonne santé.
La cocaïne fait monter la tension artérielle, ce qui peut causer l’éclatement des vaisseaux sanguins affaiblis dans le cerveau.
Une personne peut faire une surdose même après n’avoir pris qu’une petite quantité de cocaïne.
Une surdose peut provoquer des convulsions et une défaillance cardiaque. Elle peut affaiblir la respiration ou même l’arrêter. Il n’existe pas d’antidote contre une surdose de cocaïne.La consommation de cocaïne avec de l’alcool entraîne la production de cocaéthylène dans le foie. Ce puissant composé augmente le risque de mort subite en plus du risque associé à l’usage seul de la cocaine.
Quels sont les effets à long terme de l’utilisation de cette substance?
La cocaïne augmente dans le cerveau le niveau des substances chimiques qui procurent le même sentiment de bien-être que lorsque nous mangeons, buvons ou avons des rapports sexuels.
Un usage régulier de cocaïne peut entraîner des changements durables dans ce système de récompense du cerveau, ce qui peut amener à l’accoutumance. L’état de manque et les symptômes psychiatriques peuvent persister même si la personne cesse de prendre cette drogue.L’usage régulier de cocaïne sur une longue période est associé à nombre de dangers pour la santé et à des comportements problématiques.
En voici des exemples :
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Renifler de la cocaïne peut entraîner l’infection des sinus et une perte de l’odorat, et peut endommager les tissus du nez et percer le cartilage des narines, à l’intérieur du nez.
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Fumer de la cocaïne peut endommager les poumons et engendrer ce qu’on appelle le « poumon du crack ». Les symptômes comprennent de graves douleurs dans la poitrine, des problèmes respiratoires et une température élevée. Le « poumon du crack » peut être mortel.
**S’injecter de la cocaïne peut entraîner une infection causée par une seringue usagée ou des impuretés dans la drogue. Le fait de partager des seringues peut également occasionner une infection à l’hépatite ou au VIH.
*L’usage de cocaïne pendant la grossesse peut augmenter le risque de fausse couche et de naissance prématurée. De même, il peut augmenter le risque de donner naissance à un bébé ayant un poids insuffisant. Comme les femmes qui prennent de la cocaïne pendant leur grossesse souvent consomment aussi de l’alcool, de la nicotine et d’autres drogues, l’ampleur des effets de la cocaïne sur le bébé est encore mal connue.
*L’usage de cocaïne pendant l’allaitement entraîne la transmission de cocaïne à l’enfant, ce qui l’expose à tous les effets de la cocaïne et aux risques associés à celle-ci.
*L’usage de cocaïne est lié à des comportements risqués et violents. Il est également lié à un faible pouvoir de concentration et à un mauvais jugement, ce qui augmente les risques de blessures et de maladies transmises sexuellement.
Un usage chronique de cocaïne peut causer de graves symptômes psychiatriques comme la psychose, l’anxiété, la dépression et la paranoïa.
Un usage chronique de cocaïne peut également entraîner une perte de poids, la malnutrition, une mauvaise santé, des difficultés sexuelles, l’infertilité et la perte de soutiens sociaux et financiers
Comment traiter et soigner une dépendance à la cocaïne ou à une addiction à la cocaïne :
Le traitement d’une dépendance à la cocaïne a pour but de rétablir la santé du patient et de recréer les liens avec son environnement affectif et son milieu professionnel. Le traitement de la dépendance à la cocaïne s’envisage donc à plusieurs niveaux : physique, psychologique et social.
Plusieurs programmes existent pour aider ces patients dans leur sevrage : avec hospitalisation ou en ambulatoire, par des thérapies individuelles, familiales ou en groupe
. Reprendre confiance en soi, imaginer une vie libérée de la dépendance à la cocaïne, trouver des soutiens chez des proches ou dans des groupes d’anciens consommateurs, dépasser ses fragilités en cas de troubles anxieux ou de la personnalité associés : voilà les axes d’un accompagnement permettant d’inscrire le sevrage dans la durée.
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pedropop
@ayamé comme il avait prémédité son acte la veille, je pense qu'il avait aussi pensé à ce qu'il allait dire pour qu'on ne croit pas qu'il ait tué intentionnellement sa professeur d'espagnol et pour que l'on croit aussi qu'il est schizophrène ce qui le déresponsabiliserait pénalement ("j'ai entendu une petite voix la nuit....")
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Les causes d'irresponsabilité pénaleL'article 122-1 du Code pénal dispose dans son premier alinéa que « N'est pas pénalement responsable la personne qui était atteinte, au moment des faits, d'un trouble psychique ou neuropsychique ayant aboli son discernement ou le contrôle de ses actes. »
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pedropop
@pedropop
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A propos de la dangerosité de certains antidépresseurs ?
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Les antidépresseurs sont-ils dangereux ?Du fait divers tragique au débat de société. Pour l’instant, ce n’est qu’une éventualité, mais la polémique sur le rôle des antidépresseurs dans certains passages à l’acte violents a déjà fait rage aux Etats-Unis. Vendredi, le procureur de la République de La Roche-sur-Yon a annoncé que le médecin vendéen qui s’est suicidé le 30 mai après avoir tué ses quatre enfants et son épouse prenait de la sertraline. Ce médicament peut-il entraîner des tendances suicidaires ou de l’agressivité?
Qu’est-ce que la sertraline, commercialisée sous le nom de Zoloft?
C’est un antidépresseur de deuxième génération, comme le Prozac ou le Deroxat. On utilise couramment ces médicaments apparus dans les années 1980 car ils sont bien tolérés et d’un maniement facile. Contrairement aux traitements de première génération, ils ont peu d’effets indésirables (tremblements, sécheresse de la bouche).
Les antidépresseurs sont-ils efficaces?
Bien sûr. Ils soulagent les symptômes de la dépression au bout de quelques mois. Cependant, il faut plusieurs semaines pour ressentir les premiers effets du traitement.
Peuvent-ils, dans certains cas extrêmes, conduire au suicide?
Tout médicament comporte un risque potentiel. Tout médecin, avant de prescrire, effectue un rapport bénéfice-risque pour la santé du patient. Mais il ne faut pas s’y tromper: la première cause de suicide n’est pas le médicament, mais la maladie dépressive elle-même. Les écrits de suicidés et les témoignages de ceux qui ont survécu témoignent de cette douleur intense. L’acte suicidaire est destiné à faire cesser la souffrance psychique. Cependant, certains antidépresseurs comme le Zoloft ont, dans un premier temps, tendance à lever les inhibitions. C’est un risque que les psychiatres connaissent et qu’ils prennent en compte.
"Bien adapter le type d’antidépresseur à l’état du patient"
Comment?Les antidépresseurs agissent sur les trois ensembles de symptômes de la dépression. Ils ont donc à la fois des effets sur l’inhibition (paralysie de l’action, des émotions, de la pensée), sur la tristesse et enfin sur les idées suicidaires.
Mais ces effets ne sont pas concomitants, si bien qu’il faut être très vigilant au début du traitement en donnant, par exemple, plusieurs rendez-vous aux patients, en prescrivant des sédatifs pour compenser la levée de l’inhibition ou en mettant en garde les proches. L’important, c’est de bien adapter le type d’antidépresseur à l’état du patient.Des procédures judiciaires, aux Etats-Unis notamment, ont suggéré que les antidépresseurs pouvaient parfois causer des coups de folie…
La polémique outre-Atlantique a surtout concerné une autre catégorie de psychotropes : les benzodiazépines. Dans une infime proportion de cas imprévisibles, ces médicaments ont un effet désinhibiteur qui peut conduire à des actes automatiques. Avec les antidépresseurs, c’est beaucoup plus simple. On peut identifier les personnes à risque et adapter la prescription.
Prescrit-on trop d’antidépresseurs en France, comme le dénoncent de nombreux psychiatres?
En France, on consomme plus de médecine qu’ailleurs. On opère plus souvent de la prostate, on hospitalise plus fréquemment, il serait donc surprenant qu’on n’y prescrive pas plus de psychotropes qu’ailleurs ! Aujourd’hui, de 5,5 à 6% de la population traverse un épisode dépressif. Or on sait que 5,5 % des Français prennent des antidépresseurs… La seule question valable est: y a-t-il adéquation entre les deux groupes ? Les dépressifs se soignent-ils et les personnes qui se soignent sont-elles malades? Le débat n’est pas tranché, mais les études montrent que moins de la moitié des malades déprimés sont correctement diagnostiqués et pris en charge.
"Prendre le temps de la réflexion"
Comment améliorer le diagnostic?
Le diagnostic de maladie dépressive doit être soigneux car il est purement clinique: le risque d’erreur est important et aucun examen biologique ne permet de le confirmer. Il est rarement urgent de démarrer un traitement antidépresseur. On peut prendre le temps de la réflexion et revoir le patient une ou deux fois pour s’assurer qu’il s’agit bien d’une dépression.
Les généralistes, grands prescripteurs de psychotropes, sont-ils suffisamment formés?
Pauvres généralistes… Ils ont fait des progrès considérables, sinon la mortalité par suicide n’aurait pas autant diminué.N’avons-nous pas une plus faible tolérance aux difficultés de la vie que par le passé?
Quand j’étais jeune, j’ai eu un grave accident et un religieux m’a lancé: "La douleur est un don de Dieu." J’ai répondu: "La douleur des autres certainement." Nous, médecins, avons beaucoup tardé à utiliser des antalgiques pour prendre en charge la douleur physique. Qu’il est étrange de s’entendre dire qu’il faudrait accepter la douleur psychique… C’est une vue de l’esprit confortable quand il s’agit des autres, mais une autre histoire quand il s’agit de soi. Cependant, la prescription d’un médicament ne doit pas se faire à la légère. Le premier acte thérapeutique, c’est l’écoute.
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pedropop
Nous avons appris en lisant la presse nationale qu'il est fragile, qu'il a été harcelé dans son collège (nous ne savons pas pourquoi et pendant combien de mois il a subi ce harcèlement moral de la part de certains de ses camarades de classe).
Les surveillants, les enseignants de son collège public étaient-ils au courant ?
Nous ne savons pas non plus comment il se comportait avec ses camarades de classe et vis-à-vis de ses enseignants et de ses surveillants dans son collège.
Comme cela l'a impacté, il est resté fragile, il souffre sûrement d'un mal être (lequel ?)A t-il développé un sentiment de persécution, au point de vouloir tuer sa prof d'espagnol ?
Comment s'est passé son intégration en septembre dans le lycée privé sous contrat de Saint-Jean de Luz?
Pourquoi a t-il fait une tentative de suicide ?
Etait-il de nouveau harcelé ? Par qui ? Les surveillants du lycée ont-ils vu des lycéens harceler l'adolescent ?
Est-ce qu'il allait de temps en temps voir l'infirmière scolaire du lycée ? Y a t-il une infirmerie dans ce lycée privé ? Je sais ce qui n'est pas toujours le cas dans les lycées privés sous contrat contrairement aux lycées publics
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Est-ce que ses parents avaient-ils pris contact avec l'une des associations citées ci-dessous?Un adolescent fait une tentative de suicide toutes les 10 minutes
En cette journée nationale de prévention du suicide, il faut rappeler que 10.000 adolescents se suicident chaque année. Une tentative toutes les 10 minutes dans notre pays. Les associations d'écoute et d'aide soulignent le manque de moyens disponibles pour faire face au problème.
En cette journée nationale de la prévention du suicide, le chiffre est parlant. Un adolescent fait une tentative de suicide toutes les 10 minutes dans notre pays. L'adolescence : un âge compliqué et une population particulièrement exposée au risque suicidaire. Le suicide est même la deuxième cause de mortalité chez les moins de 24 ans et ce sont les filles qui sont les plus touchées. Derrière les drames personnels et familiaux, un véritable enjeu de société car le nombre de victimes par suicide (10.000 par an et environ 200.000 tentatives) est trois fois supérieur à celui des accidents de la circulation. D'où l'importance de la prévention.
Les associations d'écoute et de prévention en première ligne :
La prévention est essentielle, mais difficile à mettre en pratique. Un jeune en détresse ou un adulte confronté au risque suicidaire ne se tourne pas, naturellement, vers son entourage ou vers son médecin. Combien de familles découvrent le problème trop tard en reconnaissant "si on avait su" ou "nous n'avons rien vu venir" ? Même difficultés dans le milieu scolaire ou professionnel : le sujet reste encore tabou . Pas facile de libérer la parole, surtout dans certains secteurs, l'agriculture par exemple : un agriculteur passe à l'acte tous les deux jours.
En matière de prévention, les associations spécialisées dans l'écoute, le conseil et la prévention jouent un rôle essentiel au plus près des besoins du terrain. Mais elles manquent de moyens financiers et pour certaines de bénévoles, pour accompagner au mieux la personne en crise. de nombreuses associations peuvent vous aider ou aider les familles concernées. En voici quelques unes : SOS Amitié, le Refuge, Suicide Écoute ou Phare Enfants-Parents. ""
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pedropop
@Cynthia80 il dit avoir entendu une voix. Est-ce vrai ? il fabule peut-être. Il se victimise peut-être pour qu'on ne croit pas qu'il ait accompli un acte réfléchi et non pas guidé par une soit petite voix qui a la particularité c'est qu'elle est la voix d'un être qui est égoïste, égocentrique !! Il n'est pas schizophrène donc il ne peut pas avoir entendu une voix !
Pour informations
""Dans la schizophrénie comme dans d’autres maladies, il est important de poser un diagnostic le plus tôt possible. Intervenir au bon moment permet de retarder l’évolution de la pathologie mentale et la transition vers la psychose, qui peut mener au suicide. 80% des personnes schizophrènes ont des hallucinations auditives. Elles entendent des voix. Ces dernières apparaissent généralement à l’adolescence ou au début de l’âge adulte, et peuvent considérablement affecter leur conditions de vie.
Une équipe scientifique issue de la Mount Sinai School of Medicine (New York, Etats-Unis) a tenté de comprendre les origines biologiques de ces hallucinations auditives. Pour cela, les chercheurs ont utilisé une technique d’imagerie médicale afin de comparer le cortex auditif de personnes schizophrènes à celui de personnes non malades. Ils ont constaté que les patients schizophrènes présentaient une anomalie. Les résultats de l’étude sont publiés dans la revue NPJ Schizophrenia.
Une anomalie du cortex auditif en cause
"Puisque les hallucinations auditives ressemblent à de vraies voix, nous voulions vérifier si les patients avec de telles expériences présentaient des anomalies dans le cortex auditif, qui est la partie du cerveau traitant les sons réels de l’environnement externe", explique Sophia Frangou, professeur de psychiatrie et auteure principale de l’étude. Les chercheurs ont utilisé un scanner afin d’obtenir des images haute résolution de l’activité cérébrale des participants qui pendant ce temps là, écoutaient des tonalités à fréquences hautes et basses. Parmi les participants, 16 patients étaient atteints de schizophrénie et 22 étaient en bonne santé. L’équipe scientifique a découvert que la plupart des fréquences sonores apparaissaient "brouillées" sur les parties du cortex auditif des participants schizophrènes.
Il serait possible d’identifier les personnes vulnérables très tôt
"Les résultats de notre étude suggèrent que la vulnérabilité à développer des ‘voix’ est liée à une déviance dans l’organisation du système auditif qui se produit pendant la petite enfance et précède le développement de la parole et l’apparition de symptômes psychotiques de nombreuses années plus tard. C’est particulièrement excitant, car cela signifie qu’il serait possible d’identifier très tôt des personnes potentiellement vulnérables, telles que les enfants de patients atteints de schizophrénie", se félicite le professeur Sophia Frangou. Autrement dit, analyser le cortex auditif permettrait d’identifier les personnes vulnérables avant même l’apparition des symptômes. À l’avenir, l’équipe scientifique va reproduire ces observations sur des échantillons plus importants."""
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pedropop
@Cynthia80 il y a même des adultes tyrans !! ('cf "De l'adulte roi à l'adulte tyran ", de Didier Pleux) qui étaient déjà tyrans quand ils étaient enfant.
"" Comme il l'avait fait pour l'enfant roi, Didier Pleux examine ce nouveau phénomène et en signale les risques (...)
Didier Pleux est docteur en psychologie du développement, psychologue clinicien et un auteur de référence en matière d'éducation""