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pedropop
une petite vidéo sur le site de france Info
Aurores boréales : le ciel français inondé de couleurs
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https://www.francetvinfo.fr/meteo/aurores-boreales-le-ciel-francais-inonde-de-couleurs_5684789.html
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pedropop
une petite vidéo sur la présentation du salon international de l'agriculture (2023) à Paris
- 4000 animaux, 10.000 litres de lait... Les chiffres (fous) du Salon de l'Agriculture
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pedropop
@agathe c'est le salon international de l'élevage qui se tient à Rennes et non pas le salon international de l'agriculture qui est toujours programmé au parc des expos à Paris
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https://www.space.fr/
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pedropop
@Miliam certains parents sont confrontés à la violence de leur enfant qui est un enfant tyran. Ce dernier menace parfois l'un de ses parents avec l'un des couteaux de cuisine pour obtenir ce qu'il veut ou pour ne pas faire ce qu'on lui oblige à faire ou lors d'une remarque que l'enfant refuse d'entendre sans tuer son père ou sa mère mais en le menaçant de se servir du couteau qu'il a dans la main , contre eux. Je me souviens avoir regardé un reportage sur ce sujet, il y a plus de 15 ans. Cet adolescent détestait peut-être son professeur au point de vouloir lui faire du mal physiquement sans avoir voulu la tuer.
Est-il capricieux? Est-il surprotégé par ses parents ? Comment se comporte t-il au sein de son milieu familial ? -
pedropop
@pedropop " Chaque année, l'alcool tue plus de 1 000 personnes sur les routes, notamment la nuit et sur route secondaire (2 accidents mortels sur 3).
Dans la grande majorité des cas (à 90 %), les conducteurs alcoolisés sont des hommes et 25% des tués ont entre 18 et 24 ans.
Par ailleurs, 55 % des accidents mortels sont liés à un taux d’alcoolémie supérieur à 1,5g/l de sang : le risque d’être responsable d’un accident mortel est 8,5 fois plus élevé chez une personne ayant bu de l’alcool.
En effet, l’ingestion d’alcool diminue les capacités physiques : temps de réaction allongé, difficulté à adapter la conduite aux circonstances, trouble de la vision, défaut de coordination des gestes…
Cumulé à la prise de stupéfiants, l’alcool au volant multiplie par 14 le danger d’un accident mortel, par rapport à un conducteur négatif à l’un ou l’autre.
Enfin, la prise de médicaments peut être incompatible avec la conduite.
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Chaque année, 700 personnes sont tuées sur les routes dans un accident impliquant un conducteur ayant consommé des drogues, soit 21 % de la mortalité routière, selon les chiffres de la Sécurité routière publiés en 2020"Drogue au volant : un état incompatible avec la conduite
Augmentation du temps de réaction, diminution de l’aptitude à décider rapidement et altération de la conscience de son environnement
En plus d’être interdite, la consommation de tous les types de drogues représente un danger réel sur la route :
le cannabis entraîne une somnolence, ralentit la coordination des mouvements, allonge le temps de réaction et diminue les facultés visuelles et auditives ;
l’ecstasy masque la sensation de fatigue et altère les capacités mentales, donne l’impression trompeuse que l’on est maître de soi et de sa conduite, et favorise un comportement irrationnel au volant ;
la cocaïne suscite une conduite agressive associée à des erreurs d’attention ou de jugement pouvant aller jusqu’à la perte de contrôle du véhicule ;
les opiacés provoquent une baisse de l’attention, altèrent la capacité à décider rapidement et de façon adaptée, et réduisent la conscience du danger et des obstacles ;
le LSD, les champignons psilocybes, la mescaline font partie des drogues hallucinogènes. Leur consommation induit des troubles de la perception, des illusions délirantes, un sentiment de confusion ou d’angoisse allant parfois jusqu’à la crise de panique.
Le risque de se tuer ou de tuer quelqu’un
→ La conduite sous l’emprise du cannabis multiplie par deux le risque d’être responsable d’un accident mortel.
→ Un accident mortel sur cinq implique un conducteur positif aux stupéfiants. Cette part passe à un accident sur trois, la nuit au cours des week-ends.
→ Les conducteurs contrôlés positifs aux stupéfiants dans les accidents mortels sont à 93 % des hommes et représentent 23 % des 18-24 ans et 21 % des 25-34 ans.
→ Parmi les conducteurs positifs aux stupéfiants impliqués dans un accident mortel, la moitié présente également un taux d’alcool supérieur à 0.5 g/l.
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pedropop
Nous avons appris en lisant la presse nationale qu'il est fragile, qu'il a été harcelé dans son collège (nous ne savons pas pourquoi et pendant combien de mois il a subi ce harcèlement moral de la part de certains de ses camarades de classe).
Les surveillants, les enseignants de son collège public étaient-ils au courant ?
Nous ne savons pas non plus comment il se comportait avec ses camarades de classe et vis-à-vis de ses enseignants et de ses surveillants dans son collège.
Comme cela l'a impacté, il est resté fragile, il souffre sûrement d'un mal être (lequel ?)A t-il développé un sentiment de persécution, au point de vouloir tuer sa prof d'espagnol ?
Comment s'est passé son intégration en septembre dans le lycée privé sous contrat de Saint-Jean de Luz?
Pourquoi a t-il fait une tentative de suicide ?
Etait-il de nouveau harcelé ? Par qui ? Les surveillants du lycée ont-ils vu des lycéens harceler l'adolescent ?
Est-ce qu'il allait de temps en temps voir l'infirmière scolaire du lycée ? Y a t-il une infirmerie dans ce lycée privé ? Je sais ce qui n'est pas toujours le cas dans les lycées privés sous contrat contrairement aux lycées publics
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Est-ce que ses parents avaient-ils pris contact avec l'une des associations citées ci-dessous?Un adolescent fait une tentative de suicide toutes les 10 minutes
En cette journée nationale de prévention du suicide, il faut rappeler que 10.000 adolescents se suicident chaque année. Une tentative toutes les 10 minutes dans notre pays. Les associations d'écoute et d'aide soulignent le manque de moyens disponibles pour faire face au problème.
En cette journée nationale de la prévention du suicide, le chiffre est parlant. Un adolescent fait une tentative de suicide toutes les 10 minutes dans notre pays. L'adolescence : un âge compliqué et une population particulièrement exposée au risque suicidaire. Le suicide est même la deuxième cause de mortalité chez les moins de 24 ans et ce sont les filles qui sont les plus touchées. Derrière les drames personnels et familiaux, un véritable enjeu de société car le nombre de victimes par suicide (10.000 par an et environ 200.000 tentatives) est trois fois supérieur à celui des accidents de la circulation. D'où l'importance de la prévention.
Les associations d'écoute et de prévention en première ligne :
La prévention est essentielle, mais difficile à mettre en pratique. Un jeune en détresse ou un adulte confronté au risque suicidaire ne se tourne pas, naturellement, vers son entourage ou vers son médecin. Combien de familles découvrent le problème trop tard en reconnaissant "si on avait su" ou "nous n'avons rien vu venir" ? Même difficultés dans le milieu scolaire ou professionnel : le sujet reste encore tabou . Pas facile de libérer la parole, surtout dans certains secteurs, l'agriculture par exemple : un agriculteur passe à l'acte tous les deux jours.
En matière de prévention, les associations spécialisées dans l'écoute, le conseil et la prévention jouent un rôle essentiel au plus près des besoins du terrain. Mais elles manquent de moyens financiers et pour certaines de bénévoles, pour accompagner au mieux la personne en crise. de nombreuses associations peuvent vous aider ou aider les familles concernées. En voici quelques unes : SOS Amitié, le Refuge, Suicide Écoute ou Phare Enfants-Parents. ""
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pedropop
@pedropop
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A propos de la dangerosité de certains antidépresseurs ?
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Les antidépresseurs sont-ils dangereux ?Du fait divers tragique au débat de société. Pour l’instant, ce n’est qu’une éventualité, mais la polémique sur le rôle des antidépresseurs dans certains passages à l’acte violents a déjà fait rage aux Etats-Unis. Vendredi, le procureur de la République de La Roche-sur-Yon a annoncé que le médecin vendéen qui s’est suicidé le 30 mai après avoir tué ses quatre enfants et son épouse prenait de la sertraline. Ce médicament peut-il entraîner des tendances suicidaires ou de l’agressivité?
Qu’est-ce que la sertraline, commercialisée sous le nom de Zoloft?
C’est un antidépresseur de deuxième génération, comme le Prozac ou le Deroxat. On utilise couramment ces médicaments apparus dans les années 1980 car ils sont bien tolérés et d’un maniement facile. Contrairement aux traitements de première génération, ils ont peu d’effets indésirables (tremblements, sécheresse de la bouche).
Les antidépresseurs sont-ils efficaces?
Bien sûr. Ils soulagent les symptômes de la dépression au bout de quelques mois. Cependant, il faut plusieurs semaines pour ressentir les premiers effets du traitement.
Peuvent-ils, dans certains cas extrêmes, conduire au suicide?
Tout médicament comporte un risque potentiel. Tout médecin, avant de prescrire, effectue un rapport bénéfice-risque pour la santé du patient. Mais il ne faut pas s’y tromper: la première cause de suicide n’est pas le médicament, mais la maladie dépressive elle-même. Les écrits de suicidés et les témoignages de ceux qui ont survécu témoignent de cette douleur intense. L’acte suicidaire est destiné à faire cesser la souffrance psychique. Cependant, certains antidépresseurs comme le Zoloft ont, dans un premier temps, tendance à lever les inhibitions. C’est un risque que les psychiatres connaissent et qu’ils prennent en compte.
"Bien adapter le type d’antidépresseur à l’état du patient"
Comment?Les antidépresseurs agissent sur les trois ensembles de symptômes de la dépression. Ils ont donc à la fois des effets sur l’inhibition (paralysie de l’action, des émotions, de la pensée), sur la tristesse et enfin sur les idées suicidaires.
Mais ces effets ne sont pas concomitants, si bien qu’il faut être très vigilant au début du traitement en donnant, par exemple, plusieurs rendez-vous aux patients, en prescrivant des sédatifs pour compenser la levée de l’inhibition ou en mettant en garde les proches. L’important, c’est de bien adapter le type d’antidépresseur à l’état du patient.Des procédures judiciaires, aux Etats-Unis notamment, ont suggéré que les antidépresseurs pouvaient parfois causer des coups de folie…
La polémique outre-Atlantique a surtout concerné une autre catégorie de psychotropes : les benzodiazépines. Dans une infime proportion de cas imprévisibles, ces médicaments ont un effet désinhibiteur qui peut conduire à des actes automatiques. Avec les antidépresseurs, c’est beaucoup plus simple. On peut identifier les personnes à risque et adapter la prescription.
Prescrit-on trop d’antidépresseurs en France, comme le dénoncent de nombreux psychiatres?
En France, on consomme plus de médecine qu’ailleurs. On opère plus souvent de la prostate, on hospitalise plus fréquemment, il serait donc surprenant qu’on n’y prescrive pas plus de psychotropes qu’ailleurs ! Aujourd’hui, de 5,5 à 6% de la population traverse un épisode dépressif. Or on sait que 5,5 % des Français prennent des antidépresseurs… La seule question valable est: y a-t-il adéquation entre les deux groupes ? Les dépressifs se soignent-ils et les personnes qui se soignent sont-elles malades? Le débat n’est pas tranché, mais les études montrent que moins de la moitié des malades déprimés sont correctement diagnostiqués et pris en charge.
"Prendre le temps de la réflexion"
Comment améliorer le diagnostic?
Le diagnostic de maladie dépressive doit être soigneux car il est purement clinique: le risque d’erreur est important et aucun examen biologique ne permet de le confirmer. Il est rarement urgent de démarrer un traitement antidépresseur. On peut prendre le temps de la réflexion et revoir le patient une ou deux fois pour s’assurer qu’il s’agit bien d’une dépression.
Les généralistes, grands prescripteurs de psychotropes, sont-ils suffisamment formés?
Pauvres généralistes… Ils ont fait des progrès considérables, sinon la mortalité par suicide n’aurait pas autant diminué.N’avons-nous pas une plus faible tolérance aux difficultés de la vie que par le passé?
Quand j’étais jeune, j’ai eu un grave accident et un religieux m’a lancé: "La douleur est un don de Dieu." J’ai répondu: "La douleur des autres certainement." Nous, médecins, avons beaucoup tardé à utiliser des antalgiques pour prendre en charge la douleur physique. Qu’il est étrange de s’entendre dire qu’il faudrait accepter la douleur psychique… C’est une vue de l’esprit confortable quand il s’agit des autres, mais une autre histoire quand il s’agit de soi. Cependant, la prescription d’un médicament ne doit pas se faire à la légère. Le premier acte thérapeutique, c’est l’écoute.
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pedropop
Voici un extrait d'un article que j'ai lu sur le site de MNS sur la cause de la déviation du véhicule de Pierre Palmade, le jour de l'accident
"Sambou G., l’un des passagers présents dans la voiture de Pierre Palmade, a également fait des déclarations aux enquêteurs. Il a indiqué que le comédien lui aurait demander de lire un SMS qu’il venait de recevoir sur son portable avant le choc. Alors en ligne droite, il aurait dévié sur la gauche soudainement, percutant la voiture qui venait d’en face. Mais le passager a aussi affirmé que l’humoriste lui avait demandé de fuir les lieux de l’accident, après s’être assuré que les secours étaient déjà là. "
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pedropop
Le photographe breton, Mathieu Rivrin capte, pendant quelques secondes, dans le froid, une incroyable aurore boréale au-dessus du Mont-Saint-Michel