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Lissilma
Le pire c'est que j'ai vraiment rencontrer cette bestiole et que j'ai marché dessus. Beurck le CRACK qui en a résulté était écoeurant. Brrr j'en ai encore froid dans le dos.
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Lissilma
Bon weekend à tous et toutes.
Il y a quelques années de cela j'ai eut une révélation fulgurante! Que dis je un éclair de lucidité foudroyante qui à sonné le glas de toutes mes espérances. Cette amère constatation emporta au vent tous mes repères et brouilla sur le papier mes projets d'avenir si bien dessiner.
En ce temps là je me voyais bien en Indianna Jones parcourant la jungle à la recherche de temple Incas si bien décris autrefois par Delnis. Prête affronter moultes coupeurs de têtes, trafiquants d'oeuvres d'art anciennes ou bandits en col blanc des organismes officiels de protection du patrimoine. Oui de tous ces dangers aucun dans ma fièvre de découvertes et d'aventures ne m'impressionnait mais hélas ce si beau rêve fut un jour brisé net par la rencontre fortuite d'un indésirable. Oh par n'importe quel nuisible! Que nenni gente dame et beaux messieurs, non non non ce fut lors d'un voyage au Vietnam que je rencontrais LA chose en question. Un cafard version XXXL, voyez vous nos petits insectes européen ? Cette petite chose noire, se faufilant rapidement et sournoisement soudain dans les recoins sombres de vos logements. Multipliez donc sa taille par trois et vous aurez une vue parfaite de l'insecte qui me fixait en agitant ses antennes sur le carrelage blanc de la salle de bain. En un instant comme une baudruche se dégonfle mon envie d'aventures exotiques s'évanouit aussitôt et le couinement qui s'échappa de mes poumons n'avait rien à envier au cri d'une souris prise dans une tapette du même nom.
La vie est parfois cruelle et un insecte peut briser vos rêves à jamais. -
Lissilma
@ytica merci c'est gentil. Bon week end à vous
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Lissilma
Bonjour à tous et toutes, petit passage en coup de vent , désolée!
Comment ce rendez vous tant attendu avait il put se terminer en désastre? Pourquoi les Dieux lui en voulaient ils à ce point? La question était de taille et la réponse peu évidente. Les dés n'avaient ils pas été pipés au départ? Comment avait elle put une seule seconde songer qu'il ressentait de l'attirance pour elle? Selon les critères de beauté que vantaient sans cesse les magazines , elle était hors norme! Petite, pulpeuse sans aucune once se sophistication, d'ailleurs elle était toujours la meilleure pote de tous, celle à qui l'on confiait les peines de coeur sans jamais lui demander si elle souffrait. Elle était celle qui savait si bien consoler ou encourager selon les cas mais, jamais, personne ne lui posait la simple question qui aurait put tout changer à ses yeux "Tu vas bien?" C'est peut être à cause de l'absence de cette question que lentement elle avait ériger autour de son coeur un rempart si haut et tellement épais que rien ni personne n'aurait put l'ébranler. Personne sauf lui. Il l'avait regarder si intensément pendant le cours de gymnastique qu'elle en avait perdu tout ses moyens et s'était retrouvée les fesses par terre sous les quolibets de ses compagnes de volley balle. Elle n'était pas douée pour le sport en général et là l'émotion l'avait rendue encore plus gauche que d'habitude mais... il ne s'était pas moquer comme les autre non il avait juste sourit... doucement et cela lui avait réchauffer le coeur et l'âme.
C'st à l'issu de ce cours humiliant qu'il lui avait proposé un rendez vous. Une date unique pour elle: son premier rencart. Mais elle aurait dut le savoir, les rêves de Cendrillon ne sont que des contes pour enfants sages, elle l'avait découvert à ses dépends. Arrivée légèrement en avance, elle s'était dissimulée dans les buissons qui jouxtaient le lieu de la rencontre quand un groupe excité était passé tout près d'elle sans la remarquer. Qui remarquerai une ombre? Une voix moqueuse avait demandé.- "Penses tu que la godiche viendra à ton rendez vous Thiméo?
- Pour sur! J'y compte bien, les désespérées de la vie n'attendent qu'un signe du Prince Charmant pour sortir de leur trou.
- Alors on va bien s'amuser!
Ils s'étaient éloignés riant et plaisantant du bon tour qu'ils allaient jouer sans se douter une seule minute qu'ils venaient d'enfoncer une dague de glace dans le coeur tendre d'une fille trop sensible.
Le lendemain matin un promeneur découvrit le corps sans vie d'une adolescente flottant sur les eaux sombres d'un petit lac.
Parfois les mots sont plus mortels que les armes. Nous devons tous nous en souvenirs quand notre langue acérée veut se déchainer sur autrui.
Telle était ma pensée du jour inspiré par les mots à caser.
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Lissilma
@artelise bonnes vacances et profitez bien de ces agréables moments.
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Lissilma
Ma petite fille a voulu trouver LE mot et paf c'est tomber sur... intensément.
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Lissilma
Bonne semaine à vous, que celle ci vous soit agréable et douce et non étouffante.
Cela faisait des années que Marcus Maximus savait que les victoires n'apportaient pas le bonheur. Sa candeur, le jeune centurion l'avait laissé sur le bas côté d'un fossé avec le contenu de son estomac lors de sa première campagne. La violence de la guerre était une réalité et que l'on nomme celle-ci mission de pacification ou de civilisation, le message final était toujours le même: Rome était le centre de la civilisation et en tant que tel l'empire se devait de transporter dans les contrées barbares les bienfaits de sa grandeur. La soif de domination de l'empire était insatiable et qu'importait la souffrances des peuples conquis! Seul Rome comptait!
Envoyée en Gaule, un jeune homme valeureux mais crédule avait crut l'espace d'un instant voir un signe des Dieux quand une nuée de corbeaux avait survolé le camps. Fort de cette conviction à laquelle il voulait éperdument croire, il s'était montrer féroce au combat. Tous les sens aux aguets, il avait fait des ravages. Son épée avait tranché les chairs, pourfendu les têtes dans un ballet macabre. Enivré par le sang, les cris et la fureur de vaincre, il avait atteint les sommets dans la férocité. Cependant alors que la nuit tombait sur une campagne désolée, dont le sol imbibé par le sang des combattant, demandait grâce, sa conscience lentement émergeait du néant... et il avait été horrifié par ses actes. Cependant à l'issu de ce premier combat il avait été promus.
Bien des années plus tard, Marcus Maximus se souvenait encore des regards implorants de ses premières victimes. L'officier subalterne d'une centurie, les cheveux blanchis sous le harnais ne trouvait pas au crépuscule de sa vie le repos de l"âme. -
Lissilma
La tête dans les étoiles, elle rêvait ! Mais son espoir était si grand et son désir si intense qu'il brillait de mille feux. Comme un météorite son désir pour lui avait traversé le néant intersidéral. Son imagination fertile voulait qu'elle devienne la nouvelle planète autour de laquelle il orbiterai. Mais son amour pour lui la consumait et telle une comète elle brûla don énergie.
Si @Delnis veut bien joué avec arlequin et concerto -
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Lissilma
@zazoute l'aurore se teintait de rose et déjà il crapahutait dans la Lande. Une journée d'exploration l'attendait, contre son flanc la besace remplit de victuailles l'accompagnait. La vie était belle et Jean se sentait libre.
Les mots zouave et amertume vous attendent. Bonne journée -
Lissilma
Candeur si cela vous plait! Bonne nuit à tout les couches tard! Sinon bon mardi aux autres!
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Lissilma
@ayamé waouh avec un tel texte la température grimpe grimpe sur le thermomètre. Quelle est cette chaleur qui m'envahit soudain, la soif rend ma gorge sèche. Bon je file prendre une douche.
Rêverie et supplice pour qui veut si coller. -
Lissilma
"Au clair de la lune mon ami Pierrot, prête moi ta plume pour écrire un mot!"
Ben non z'e veux pas écrire une poésie ze veux zuste faire une réclamation. Le marchand de sable est en vacances alors qui va venir saupoudrer mes petits z'yeux pour que ze puisse faire dodo? Vous le savez vous? Pas le croquemitaine en interim z'espère! Maman z'ai peur! -
Lissilma
@kachina waouh alors ça c'est du texte! J'adore!
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Lissilma
@music Des films fantastiques asiatiques oui. Mon péché mignon depuis le covid. Merci pour tes appréciations.
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Lissilma
Incrédule, Prune regardait autour d'elle sans comprendre ce qui lui arrivait vraiment. Comment et pourquoi se trouvait elle dans ce lieu étrange et lugubre, propre à faire frissonner les plus courageux?
Tout avait commencé à cause d'un pari. Une stupide proposition que son orgueil mal placé avait refusé de décliner. D'ailleurs ce n'était pas la première fois qu'une telle chose se produisait. Son caractère de cochon, son entêtement et sa grande bouche la mettait toujours dans le pétrin. Elle le savait! Mais rien ni faisait, elle succombait toujours à la provocation et relevait fièrement tous les défis. Mais là! Soit elle avait mal joué ses cartes, soit les dés étaient pipés d'avances, car pas un seul instant, elle n'aurait songé se retrouver dans... l'antichambre de l'enfer.
Tout avait débuter par une soirée pyjama chez Laurie. Laurie la pom-pom girl géniale du lycée, la fille la plus populaire et la plus courtisée du bahut qui l'avait invité chez elle! Bon sang de bois, rien que cela aurai du lui mettre la puce à l'oreille. On ne joue pas quand on a une mauvaise main. Le jeu était truqué, il fallait si attendre, très tôt dans la soirée, Miss Popularité avait remis les pendules à l'heure: c'étaient les talents de rédaction innés de la jeune invitée qui étaient sollicités, sa présence physique était tolérée. Mais diable une lettre de motivation pour l'université valait bien ce sacrifice et cette entorse au bon goût. Ecrire n'était pas un exercice que la donzelle avait l'habitude de pratiqué, son terrain de jeu de prédilection était plutôt le flirt avec de beaux garçons ou des filles... c'était selon son humeur ou son appétit. Quand à perdre son temps un samedi soir à rédiger une telle missive, l'idée l'avait profondément ennuyé jusqu'à ce qu'elle se souvienne de sa misérable souffre douleur, qui malgré les couleuvres qu'elle tentait régulièrement de lui faire avaler ne baissait jamais la tête, ni ne courbait l'échine.
C'est pourquoi alors que Prune rédigeait la quatrième et dernière lettre de voeux, les filles présentes à la soirée et sous l'injonction de Laurie décidèrent de jouer à un jeux "à faire peur". La maîtresse des lieux sortit de son placard, une tablette en bois ancien. Des lettres et des chiffres peintes à l'encre noire se trouvaient sur la face visible de l'objet. A sa vue Prune fut prise d'un tremblement... une planche de divination. Ce genre d'objet ne devait pas être prit à la légère, surtout par des filles saoules. Les quelques verres de vodka qu'elle avaient ingurgitées au cours de la nuit, les avaient rendues téméraires et imprudentes.- "Non, il ne faut pas jouer avec cet artefact, cela pourrait être dangereux! s'écria Prune qui s'était approché doucement du groupe, si seulement à cet instant elle avait fermé son clapet?
- Dangereux... mais ce n'est qu'un jeux. Couina Constance qui malgré son prénom en avait très peu.
- Et si danger il y a, offrir une victime sacrificielle devrait résoudre le problème." Murmura Laurie en regardant dans la direction de Prune.
Mus par un instinct de prédateur collectif, les quatre filles présentes se jetèrent à l'unisson sur la brebis égarée. Illico presto, Prune se retrouva agenouillée sur le plancher de la chambre, les bras entravés dans le dos, le bas d'un pyjama faisant office de corde.
Enivrée, Laurie rampa vers sa proie immobilisée. Les yeux brillant sous l'effet de l'alcool, les cheveux plaqués sur son front humide, la reine des apparences était méconnaissable. Elle avait jeté le masque! Toute trace d'amabilité et de compassion avaient désertés ses traits fins, ne restaient plus que le visage d'une fille avide et dévergondée. - Mademoiselle Chasteté, pucelle de son état et reine des premières places si tu savais comme je te hais. Excellente dans toutes les matières, la fille coincée du cul mais que toute les mères citent en exemple, tu nous débecque Prune on ne peut plus de supporter et d'ailleurs Prune c'est quoi ce prénom ridicule?
Tout en vomissant ses insultes Laurie s'était rapproché près, très près, trop près de son jouet. Une main hasardeuse se glissa sous le chemisier blanc et remonta lentement tout le long du ventre plat, rampa vers les balconnets de dentelle blanche qui dissimulaient de petits seins ronds et fermes. Un sourire narquois illumina le visage de la prédatrice quand sa victime eut un mouvement de recul précipité. Des flammes infernales semblaient briller dans ses prunelles devenus enflammées. - " Ne t'inquiète pas pour ta vertu en cette instant Prunette, là où je vais t'envoyer celle ci sera plus précieuse que l'eau dans le désert. Ta virginité sera une pépite que tous voudront posséder, tu seras convoiter tel un trésor mais une fois déflorer ta vie n'aura plus aucune valeur... alors si je puis te donner un conseil ma chérie, n'accorde ta confiance à personne, n'aime personne ainsi tu vivra plus longtemps." Un rire cynique conclu les propos acerbes de Laurie, puis avec une gloutonnerie presque animal elle embrassa les lèvres de la jeune fille. Féroce, ardente, impétueuse Laurie menait une bataille pour prendre possession de cette bouche si tendre.
Derrière elles, les autres participantes de la soirée pyjama semblaient comme envoutées, un chant sauvage s'échappait de leur gorge et leur litanie montaient crescendo dans les aigues.
Soudain, les lumières de la chambre vacillèrent et... une odeur épouvantable de souffre empesta la pièce. Le passage vers l'Enfer venait de s'ouvrir et Prune disparut dans un tourbillon apocalyptique d'où émanait des cris de douleurs et de souffrance. Puis tout aussi soudainement qu'il était apparu le maelstrom démoniaque disparut. Ne restait plus dans la petite chambre que cinq filles hébétées et tremblantes qui se regardaient pétrifiées.
Bien loin de là, Prune retrouvait ses esprits. Le coin n'était pas des plus accueillant. Sous un ciel enflammé, des gibets se dressaient au loin où des corps décharnés pendaient comme autant de décorations macabres.
En elle même Prune maudit pour la première fois de sa vie, les filles qui l'avait amené dans cet immonde endroit. Elle se jura que si jamais elle parvenait à se sortir d'une quelconque manière de ce lieux de désolation et bien sa vengeance risquait d'être à l'aulne de ses souffrances. Incommensurable!
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Lissilma
@Artelise une image s'il te plait pour titiller nos plumes!