• Hermit616 Hermit616

    Bien le bonjour, je suis Hermit616, mais appellez-moi Hermit pour abréger.

    J'ai 29 ans et j'suis étudiant en lettres et je suis un grand fana sur tout ce qui touche aux manga, anime, littérature, cinéma, séries TV, BD, et bien d'autres domaines touchant à la pop culture. Je me suis inscrit sur le site afin de trouver d'autres personnes tout aussi passionnés que moi pour discuter des sujets de prédilection que j'ai cité plus haut.
    Je viens à peine de m'inscrire et il me faut encore découvrir ce qu'il y a d'intéressant a faire a part parler pop culture !
    Même si je dois garder les pieds dans la réalité, j'évite toute questions concernant la politique, pas ma tasse de thé, et source de problèmes en générale. A part ça, soyez libre de discuter de tout et de rien avec moi !

    Bon je crois que tout est dit. Si il y a des questions, ne manquez pas de les poser !

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  • Hermit616 Hermit616

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    Auteur: Neil Gaiman
    Genres: Roman court, Conte noir
    Année: 2002

    Synopsis (tirée de Babelio) : Coraline vient de déménager et découvre son environnement, une étrange maison qu'elle et ses parents partagent avec des voisins peu communs: deux anciennes actrices et un vieux toqué éleveur de souris savantes. "Je suis une exploratrice !", clame Coraline. Gare pourtant : derrière la porte condamnée, un monde magique et effrayant l'attend. Attention, grand frisson.

    Mon avis: Le premier Gaiman que je lis perso, et après lecture complète je dois dire que c'est assez sympa. On a là un mixte entre roman et conte quant à la narration, les codes de ce dernier sont exploités à merveille en nous offrant un conte fantastique et horrifique à la fois.

    On peut voir aussi Coraline comme la version Neil Gaiman d'Alice au pays des merveilles, avec notamment comme points commun la naiveté infantile des deux protagonistes, une enfance insouciante, et un voyage extraordinaire dans un autre monde, ainsi que deux antagonistes féminins hostiles (La reine de coeur d'Alice et l'Autre-mère de Coraline) qui mettent des bâtons dans les roues des deux enfants. Sans compter que les péripéties sont bien narrés et respectueux du code du conte, et on s'attache sans problème à l'héroine principale du livre. Assez court selon moi, mais très intéressant, à lire au moins une fois, surtout si on a apprécié le film qui en est tiré. 🙂

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    Pour ma pile spéciale Cyberpunk, le programme actuel est le suivant:

    • Neuromancien, de William Gibson

    • Comte Zéro, de William Gibson

    • Mona Lisa s'éclate, de William Gibson

    • Le Samouraï virtuel, de Neal Stephenson

    • Player One, d'Ernest Cline

    Souhaitez moi bon courage !

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  • Hermit616 Hermit616

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    Réalisateur: Mark L. Lester

    Genre: Action

    Casting principal: Arnold Schwarzenegger, Alyssa Milano, Rae Dawn Chong, Vernon Wells, Dan Hedaya, James Olson

    Synopsis (tirée d'Allociné): Après avoir mené de nombreuses missions périlleuses, le colonel John Matrix, un ancien combattant d'élite, coule des jours heureux avec sa fille Jenny, âgée de 12 ans. Mais le général Arius, dictateur déchu, fait kidnapper celle-ci et charge Matrix d'assassiner l'actuel Président du Valverde. Ce qui n'est pas dans les plans de notre héros...

    Mon avis: Parmi les films qui ont contribué à créer les fondations de la carrière légendaire d'Arnold Schwarzenegger, Commando est un de ceux qui mettent en avant l'un de ses rôles les plus badass au cinéma. Le personnage qu'il incarne, l'ancien colonel de la Delta Force John Matrix, est la quintessence même de la badasserie, non seulement pour ses prouesses physiques au combat, mais aussi pour ses répliques badass cultissimes qui tuent.

    Exemple: "T'as la trouille mon salaud, mais tu devrais, car le béret vert que t'as devant toi va te buter la gueule !" (Cooke) "J'avale deux bérets verts au petit-déjeuner et justement j'ai très faim" (John Matrix), suivit d'un bon crochet du droit de Matrix.

    Pas de véritable histoire, si ce n'est le kidnapping de sa fille faisant plutôt office d'excuse pour justifier l'action qui s'ensuit, Commando est essentiellement un film bourré de scènes d'action d'anthologie, avec des balles qui mitraillent de partout, et offrent ainsi un excellent moment à passer devant son écran.

    Un film culte qui vaudrait mieux ne pas passer à côté si on est fan de films d'action et d'Arnold Schwarzenegger !

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  • Hermit616 Hermit616

    Hello !

    Bien pour répondre au sujet du topic, Hermit revoit au français Ermite. C'est un bout d'un nom de plume que je me suis donné pour écrire des articles et des écrits sur la pop culture, l'Ermite pas net. pouvait pas vraiment utiliser cela comme un pseudo car ça répond pas aux conformités, alors j'ai juste pris le nom anglais Hermit. Et pour ce qui est du 616, ça renvoi à la continuité principale de l'univers Marvel en comics.

    Bien, en espérant avoir été assez claire et satisfait la curiosité de certains 🙂

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  • Hermit616 Hermit616

    Je me relance en ce moment dans le genre Cyberpunk, et donc je suis en train de lire ou plutôt relire un des meilleurs romans du genre par William Gibson, considéré encore à ce jour comme l'un des fondateurs du mouvement Cyberpunk. J'ai nommé Neuromancien !

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    Fiche et Critique à venir après lecture et au petit matin proche !

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  • Hermit616 Hermit616

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    Réalisateur: John McTiernan
    Genre: Science-fiction, Action
    Casting principal: Arnold Schwarzenegger, Carl Weathers, Elpidia Carrilo, Bill Duke, Richard Chaves, Jesse Ventura, Sonny Landham, Shane Black
    Année: 1987

    Synopsis (tirée d'Allociné) : Le commando de forces spéciales mené par le major Dutch Schaeffer est engagé par la CIA pour sauver les survivants d’un crash d’hélicoptère au cœur d’une jungle d’Amérique Centrale. Sur place, Dutch et son équipe ne tardent pas à découvrir qu’ils sont pris en chasse par une mystérieuse créature invisible qui commence à les éliminer un par un. La traque commence.

    Mon avis: Predator est à mes yeux, et sans doute aussi pour d'autres fans d'Arnold Schwarzenegger, un de ses films les plus indécrottables de son palmarès cinématographique. Incarnant une nouvelle fois un colonel des forces spéciales (il en avait déjà jouer un dans Commando), l'acteur montre de nouveau son grand talent pour la badasserie via son personnage, qu'il n'hésite pas à montrer durant tout le film. Le reste du casting est pas mal non plus et certains ont un tel charisme de badass attitude qu'on s'y attache beaucoup et on sera donc peiné de leurs morts. Comme par exemple Blain et sa sulfateuse redoutable, qui a montré sa valeur dans le domaine du cinéma d'action notamment lors de la scène du raid du camp rebelle.
    Puis vient l'intrigue principale où la troupe se fait traquer et voit ses membres tuer un par un par un mystérieux chasseur, le titulaire Predator, qui se la joue assez amateur de safari, traquant du gibier dangereux. La mise en scène de la traque se veut presque proche d'un film d'horreur, comme dans le genre slasher à peu près, où le suspens prime ainsi que la peur ressenti face à un ennemi inconnu et intouchable de prime abord. Presque tous se font tuer, et il faudra compter sur les talents de guérilla et de commando du héros pour venir à bout de son ennemi enfin. Un final assez semblable à David et Goliath en somme, mais qui se voudra bien spectaculaire pour les yeux.

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  • Hermit616 Hermit616

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    Développeur: Irrational Games
    Editeur: 2K Games
    Directeur créatif: Ken Levine
    Genre: FPS
    Plates-formes: PC, PS3, Xbox 360, PS4, Xbox One, Nintendo Switch
    Année: 2013

    Synopsis (tirée de Jeuxvidéo.com) : Bioshock Infinite est un jeu d'action à la première personne. Le titre entraîne le joueur en 1912 et le glisse dans la peau de Booker DeWitt, homme de main et détective endetté. Sa mission consiste à ramener à New York une jeune femme manifestement retenue dans Columbia, une mystérieuse ville flottante. On utilisera pour cela un arsenal varié ainsi qu'une palette de pouvoirs baptisés Toniques.

    Mon avis: Ce nouvel épisode de BioShock prend place dans un cadre inédit, loin de la cité sous-marine de Rapture et de ses sombres intrigues. L'histoire prend place à la fois dans la cité volante utopique de Columbia, qui détient aussi une part d'ombre monstrueuse. L'intrigue du jeu qui consiste de base à secourir une jeune femme pour le compte d'un mystérieux employeur se révélera être plus tard une des histoires les mieux ficelés, complexes, et alambiqués qu'on puisse avoir dans l'histoire du jeu vidéo. Toutefois, cette histoire bien écrite risque fort de perdre les joueurs les moins patients quant à la compréhension du schéma scénaristique, qui implique notamment mondes parallèles et paradoxes temporels, donc attention au cerveau qui chauffe ! 😆

    Pas mal de thématiques sont exploités au plus haut niveau quant à la culture et à l'histoire de Columbia, empruntant à la fin du 19ème siècle au niveau esthétique. La foi religieuse allant jusqu'au fanatisme, le culte de la personalité, la discrimination raciale, l'envie de liberté, la rédemption, et la recherche d'identité sont parmi les thèmes que l'on retrouve le plus au cours du jeu, comme on le verra bien en y jouant, que l'on soit néophyte ou vétéran. Bref, une narration dont la qualité n'est pas à négliger.

    Au niveau du gameplay, on a tous les ingrédients classiques d'un FPS à succès, combinés avec les codes de l'action-aventure, et on reprend presque la même formule que les deux précédents opus. Cela donne un jeu bien fun à jouer, surtout si on exploite la nouvelle mécanique de l'aérotrame, qui donne lieu à des coups spectaculaires. On s'amusera aussi à imaginer diverses tactiques pour battre ses ennemis, avec un mélange d'armes à feu et de pouvoirs de Toniques (les Plasmides du jeu), plus la nouvelle mécanique impliquant les pouvoirs d'Elisabeth (notre compagne durant tout le jeu) qui en plus d'assister matériellement le joueur aléatoirement, peut aussi utiliser ses pouvoirs dimensionnel pour faire apparaitre du matériel utile ou de redoutables alliés.
    Toutefois on regrettera une customization des pouvoirs plus réduit et une linéralité sans véritable liberté, les choix que l'on pourrait faire n'ayant pas de gros impact au final.

    Au final, BioShock Infinite est un jeu magistral alliant bon scénario en béton et gameplay dynamique qui saura à la fois plaire aux fans de la série, mais aussi aux amateurs de tir et de bonnes histoires bien écrites, ainsi que par extension à tout joueur de jeux vidéo qui se respecte !

    Je conclurais en donnant mon avis sur les DLCs, consistant en une campagne de deux épisodes appellés Tombeau sous-marin, qui s'avère être en fait un prologue à BioShock premier du nom. Je ne spoilerai pas trop ici, tout ce que je dirais c'est que la campagne en vaut la chandelle, une nouvelle fois par son histoire bien écrite et les références au jeu de base nombreux, obligé vu le cadre principal. Dans la deuxième partie, l'infiltration est même fortement encouragé, et nous donne ainsi une façon de jouer inédite qui saura bien satisfaire les amateurs du genre. Bref, des DLCs qu'on regrettera nullement d'y jouer !

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  • Hermit616 Hermit616

    @egon Merci de l'accueil ! 🙂

    Pour répondre a tes questions, hônettement je suis en seconde année de licence de Lettres Modernes. Mes auteurs fétiches en littérature, je dirais plutôt Stephen King et HP Lovecraft, pour leurs histoires d'horreur bien élaboré et jouant sur le suspens. Niveau BD, Alan Moore (Watchmen, V pour Vendetta) me plait bien aussi, et niveau manga je suis assez admirateur d'Hirohiko Araki (JoJo's Bizarre Adventure), tant les références à la culture occidentale dans son manga sont légions !

    Bref, ce sont mes coups de coeur actuels, en espérant avoir satisfait ta curiosité 🙂

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  • Hermit616 Hermit616

    Bien, dans ce nouveau post, je vais vous parler des différents films RoboCop qui sont sortis jusqu'à présent. Cela sera aussi l'occasion de discuter entre fans de cette saga mythique de la science-fiction et du cyberpunk, dont le premier film est un pur produit des années 80 (qui reste à mes yeux l'ère mythique de la pop culture !)

    En espérant éveiller des souvenirs heureux pour les vieux fans du célèbre robot flic de Detroit et attirer l'attention des plus jeunes sur ce film culte !

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  • Hermit616 Hermit616

    Tiré de Démolition Man, un de mes films fétiches, disposant d'une de mes VF favorites !

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  • Hermit616 Hermit616

    Bien, j'inaugure ce topic par une question simple: qu'est-ce qu'un Open World en fait ?

    Question assez facile à répondre pour tous ceux qui ont joué à GTA, Skyrim, et plus récemment à Breath of the Wild et à The Witcher 3: Wild Hunt. Je serais bien d'accord qu'un Open World est un monde gigantesque à parcourir avec son personnage joueur pour accomplir les quêtes et les activités de son choix, ainsi qu'à l'explorer à loisir, sans quasiment de limites et de temps de chargement.

    Toutefois, certains jeux tels que les deux premiers Shenmue et les deux premiers Fallout sont considérés comme des Open Worlds à part entière, alors qu'en fait, pour ceux qui y ont joué incluant moi, les mondes "ouverts" sont en fait divisés en plusieurs zone-fenêtres séparés, avec un écran semblable à un temps de chargement. Difficile de vraiment appeler cela des Open World au sens conventionnel, même si on fait sans doute avec les moyens du bord.

    Du coup, en espérant résoudre la problématique du paragraphe précédent, je repose la question cité plus haut: qu'est-ce qu'un Open World ?

    En espérant avoir divers avis sur la question à partir de tous les jeux que vous avez joués, le mien inclus

    posté dans Parler Jeux En lire plus
  • Hermit616 Hermit616

    @egon Un peu long a expliqué, mais je dirais en tout cas que je cherche a devenir auteur, et aussi un peu rédacteur spécialisé en pop culture. A mes yeux les lettres sont la meilleur voie pour cela.
    Et t'inquiète je tâcherais d'informer le forum de mes autres coups de coeur au fur et à mesure ! 🙂

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  • Hermit616 Hermit616

    Mon coup de cœur actuel, notamment après l’avoir écouté pour la première fois dans Godzilla II : Roi des monstres 🙂

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  • Hermit616 Hermit616

    @cygoris Heureux de savoir qu'il y a quelqu'un partageant le même avis positif que moi, bien que je peux rejoindre également les autres sur les défauts du film, à savoir des erreurs et des absurdités au niveau du scénario. Je maintiendrais encore que le film se regarde pour passer un bon moment devant son écran 🙂

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  • Hermit616 Hermit616

    @icescream C'en est d'après ce que l'on dit, même si perso je n'y ai pas encore joué pour confirmé.

    @kallindra a dit dans Les open world :

    @hermit616 a dit dans Les open world :

    Open World

    Je pense que wikipédira répond très bien à la question :
    Monde ouvert-wiki

    Clairement, mais j'aurai quand même voulu avoir l'avis général des joueurs, plus fiable selon moi pour répondre à la question. Et puis en plus je pensais qu'on pouvait en débattre pour avoir l'avis de chacun.

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  • Hermit616 Hermit616

    @shanna Merci et il y a pas de quoi. Au plaisir de partager ma passion de la pop culture et de la fiction avec tout le monde sur ce forum ! 🙂

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  • Hermit616 Hermit616

    J'ai regardé les deux films aujourd'hui. Mon verdict dans l'ordre: Le premier opus se veut visuellement épique autant dans la mise en scène des combats que le design des Jaegers et des Kaiju ainsi que les effets spéciaux, plus un casting assez pertinent. L'hommage aux anime japonais, particulèrement les mecha, se ressent à merveille et on ne peut que vouloir en regarder après visionnage de Pacific Rim tellement on tient à comparer tellement c'est similaire ! 🙂

    Pacific Rim: Uprising se regarde si on veut passer le temps sans s'ennuyer ou presque, mais il ne faut pas s'attendre à une pièce de maitre. Le scénario tient pas vraiment la route et de nombreux gâchis sont à déplorer, tels l'absence de figures importantes du premier film. On se consolera toutefois sur les combats plus dynamiques, bien qu'au final on risque de rester quand même sur sa faim. En espérant que tout cela soit rattraper dans un potentiel troisième film.

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  • Hermit616 Hermit616

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    Développeur: 2K Boston et 2K Australia
    Editeur: 2K Games
    Directeur créatif: Ken Levine
    Genre: FPS
    Année: 2007
    Plates-formes: Xbox 360, PS3, PC, PS4, Xbox One, Nintendo Switch

    Synopsis (tirée de Jeuxvidéo.com) : Bioshock sur Xbox 360 est un jeu de tir à la première personne qui vous entraîne dans les profondeurs de l'océan atlantique pour explorer les ruines d'une gigantesque cité sous-marine ravagée par la folie de ses créateurs. Perdu au coeur de cette utopie transformée en abomination scientifique, il vous faudra lutter à l'aide de plasmides (sortes de modules qui modifient l'ADN pour acquérir de puissants pouvoirs) contre des habitants qui ont depuis longtemps renié leur humanité.

    Mon avis: BioShock est un FPS dynamique qui se voit également agrémenté d'un scénario et d'un background en béton, de même qu'il propose des mécaniques de jeu assez intéressantes. Le jeu se passe dans la ville sous-marine de Rapture, une cité utopique qui vire malheureusement au cauchemar des suites d'une guerre civile dévastateur qui laisse derrière elle des mutants accros aux Plasmides (sortes de super-pouvoirs vendu comme de la marchandise) et à l'Adam (ce qui permet de les utiliser), les Chrosômes (Splicers en VO). Le protagoniste se retrouve mêlée malgré lui au conflit après un accident d'avion, et doit donc tout faire pour survivre et s'échapper de cet enfer. Ainsi donc, en plus d'un arsenal diversifié et redoutable, on aura aussi droit à notre lot de plasmides pour faire face à la localité hostile, et on prendra grand plaisir à imaginer nos méthodes de combat par les innombrables possibilités.
    Un dilemme moral nous sera imposé sur la forme des petites soeurs, des petites filles conditionnés pour récolter l'Adam. Il faut traiter avec elles pour obtenir l'Adam nécessaire pour acheter des plasmides et des améliorations et deux choix s'offrent donc à nous: les récolter (les tuer en somme), ou les sauver. A noter que ces choix influent sur la fin du jeu et même le déroulement de la partie, donc prendre ça au sérieux.
    L'histoire du jeu se voudra assez philosophique et inspiré des idéologies des années 40, tel l'objectivisme, sous fond de Science-fiction inspiré notamment d'Aldous Huxley. L'histoire retranscrit par les enregistrements saura approfondir le jeu et nous apprendre ainsi comment tout à dégéner.
    En bref, BioShock est une perle vidéoludique que je saurais conseiller aux amateurs d'histoires bien ficelés et aux joueurs adeptes des sensations fortes, tant il a tout pour plaire !

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