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    Réalisateur: Sean S. Cunningham
    Casting principal: Betsy Palmer, Adrienne King, Jeannine Taylor, Robbi Morgan, Kevin Bacon, Harry Crosby, Laurie Bartram, Mark Nelson, Peter Brouwer
    Genres: Horreur, Slasher
    Année: 1980

    Synopsis (tirée d'Allociné) : En 1957, un jeune garçon, prénommé Jason, meurt noyé au camp de Crystal Lake. L'année suivante, les deux responsables du camp sont tués. Crystal Lake ferme. Mais en 1980, Steve Christy décide de le rouvrir un vendredi 13, jour anniversaire des décès survenus vingt-trois ans auparavant. Lors de la préparation du camp pour son ouverture, les moniteurs du centre disparaissent les uns après les autres pendant la nuit…

    Mon avis: Pour commencer mon odyssée culturel à travers cet ère mythique qu'est les années 80s, j'entame ma première étape en 1980 à commencer par Vendredi 13. C'est là un des films qui a contribué à populariser le cinéma d'horreur de type slasher, initié à ma connaissance par le film Halloween de John Carpenter. C'est aussi le premier d'une saga mythique qui va introduire la figure horrifique iconique de Jason, bien qu'il n'apparait pas encore comme un antagoniste dans ce film.

    Dans ce film, on prend la formule traditionnel du slasher: un mystérieux assassin traque un par un des ados insouciants qui mènent alors leur vie habituel de jeunes (ici des moniteurs pour une future colonie de vacance) et les tuent de la manière la plus horrible qui soit. Le suspens et la peur sont au rendez-vous, accompagné d'une musique particulièrement effrayante à chaque meurtre, et le réalisateur s'arrange toujours pour faire durer le mystère du tueur en ne montrant presque rien de lui, si ce n'est des bouts de bras et de jambes, ainsi que les armes employés. Les mises en scènes sont bien manoeuvrés pour nous rendre nerveux quand aux moments où les moniteurs vont rencontrer leur fin horrible, nous donnant ainsi le pressentiment de ce qui va arriver à l'avance.

    Les effets spéciaux de l'époque sont plutôt bien fait, grâce au travail fantastique de Tom Savini, qui fait pratiquement croire que les égorgements, les coupures, et les décapitations sont vraies, ce qui change assez des productions 3D certes spectaculaires mais surréalistes à mon goût.

    Le twist de fin rappellera assez Psychose pour ceux qui l'ont vu, avec le tueur étant clairement dérangé suite à un traumatisme qui justifie ses meurtres, et l'on appréciera bien le jumpscare à la fin du film.

    Au final, Vendredi 13 est un des films d'horreurs les plus cultissimes de tous les temps, et on lui pardonnera facilement l'absence de Jason, tellement il parvient à nous donner des sueurs froides au bon sens du terme. A voir en urgence pour les amateurs du genre 🙂

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    @orabig pour info les remasters sont aussi dispo sur consoles, donc tout le monde devrait pouvoir profiter de cette merveille du jeu vidéo ! 🙂

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    Première série coréene que je regarde, et après visionnage de la série intégrale sur Netflix, je dois dire que je suis bien sur le cul ! (Au sens positifif bien entendu)

    On a une intrigue très originale et passionnante assez similaire au Battle Royal japonais, où des joueurs endettés participent à un jeu mortel pour empocher des milliards de Wons. Les personnages sont bien conçu, développés, et interprétés par leurs acteurs respectifs, avec des backgrounds sympathiques pour la plupart, et on s'attache facilement à certains. Cela créer ainsi des sentiments de peine quand viens la fin pour certains, de manière assez tragique.

    En effet le cours du jeu et de l'histoire en général va pousser certains personnages à prendre des décisions assez contestables et douteux au niveau de la moralité, et les sentiments les plus noires de certains ne tardent pas à se dévoiler au fur à mesure des épisodes. La mise en scène des épisodes et des différents jeux justifient bien les thématiques voulus et donne ainsi une profondeur à la série.
    Au final, Squid Game mérite bien son succès, et on attend avec impatience ce que donnera la deuxième saison à venir, car

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    Salut ! En parlant d'entreprise, je voulais profiter pour parler d'une expérience assez rageante quand j'ai essayé de chercher un job.

    J'ai cherché pendant un moment sur le net et j'ai fait le tour d'un site appellé Restoteam, qui est censé être une plate-formes d'annonces pour des restaurants qui recrutent. J'ai tenté ma chance, puis sur l'un d'eux, un restaurant appellé "Chez Stéphane" rechercherait des serveurs, alors j'ai essayé de les contactés par le seul contact disponible qu'est un numéro de téléphone, commençant par un 06, donc un portable. Quand j'ai pu avoir le propriétaire, je lui ai parlé de l'annonce, et il s'est tout de suite montré désagréable, irrespectueux, et insultant. Je ne pourrais vous faire une transcription précise, mais j'ai bien retenu un très "charmant" "Cassez les couilles". Puis il a raccroché en me disant sarcastiquement que je suis vraiment professionnel en l'appelant. Une vraie preuve d'hypocrisie de la part d'un mec qui poste une annonce d'emploi. ça m'a assez bien mis sur le cul évidemment et ça m'avait assez bien énervé. Le goût amer de cette rencontre m'est resté dans la bouche pendant un certain moment je dois dire, et ça m'a assez bien frustré et dérangé dans mes autres activités.

    C'est pourquoi il fallait que je couche ça dans ce défouloir. Après le passé c'est le passé comme on dit. Faudra juste que je pense la prochaine fois si j'ai un entretien téléphonique avec ce même genre d'énergumène de lui dire sans tourner autour du pot d'aller se faire foutre. Et aussi dans mes recherches futures de me renseigner davantage sur la boite avant de contacter (je me suis aperçu plus tard que les avis sur le restaurant que j'ai cité plus haut sont pas très élogieux pour une grande part) et aussi éviter d'appeler un numéro de portable.

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    Vu sur Netflix aujourd'hui.

    Franchement, ce film est une vraie pépite de l'entertainment. La raison étant que je me suis bien éclaté dans ce concentré de 3D, d'effets spéciaux, de scènes épiques, d'humour, et de références à la pop culture en général, spécialement les années 80 ! Là je reconnais bien le style de Spielberg pour ce qui est du cinéma de divertissement, comme il l'a pu le montrer via des films comme Indiana Jones et Jurassic Park pour citer les meilleurs. Au niveau du scénario, c'est pas de l'élaboré, mais ça tient la route, et l'esprit pop culture du film et vidéoludique saura le faire pardonner ce point.
    En bref, ce film me donne bien envie de me mettre à fond aux jeux vidéo ainsi qu'aux jeux en ligne que j'ai pas fait depuis un moment, et je saurais donc le recommander chaudement à tous cinéphile en recherche de divertissement et de nostalgie ! 🙂

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    Tout d'abord, je vous présente le premier film.

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    Réalisation: Paul Verhoeven
    Scénario: Edward Neuimeier et Michael Miner
    Musique: Basil Poledouris
    Casting principal: Peter Weller, Nancy Allen, Ronny Cox, Kurtwood Smith, Miguel Ferrer
    Genre: Science-fiction
    Date de sortie: 17 juillet 1987

    Synopsis tirée d'Allociné:

    Détroit, dans le futur. Le problème de la délinquance se pose de façon permanente. D'un côté, Jones a mis au point une machine guerrière très sophistiquée, ED 209. De l'autre, Leon, un arriviste, a conçu Robocop, mi-homme, mi-robot. C'est lui qui l'emporte et Murphy, un jeune policier assassiné par des bandits, est utilisé pour donner forme et vie au Robocop. Il devient un tueur professionnel au service de la ville... En 1990, Irvin Kershner a réalisé "Robocop II" toujours avec Peter Weller, puis, en 1992, Fred Dekker a signé "Robocop III", cette fois avec Robert Burke dans le rôle-titre.

    Mon avis: Verhoeven nous offre une vision futuriste et dystopique de la ville de Detroit, en proie aux gangs sanguinaires que même la Police locale est incapable d'enrayer malgré le soutien présumé de l'OCP, mégacorporation ambitieuse, corrompu, et dénuée de scrupules. Après une très violente rencontre qui blessa mortellement le policier Alex Murphy, cette même corporation en profite pour lui sauver la mise en faisant de lui le cobaye de leur expérience secrète. Ainsi naquit RoboCop, policier cybernétique à la pointe de la technologie et terreur des criminels. Son arrivée annonce l'espoir d'un retour de l'ordre et de la sécurité à Detroit.

    Si l'on en croit Paul Verhoeven, la transition Alex Murphy-RoboCop peut être comparé à la mort et à la résurrection du Christ, et peut également être apparenté à un messie venue sauver la ville de sa destruction. Une interprétation qu'on peut sans doute bien deviné dès le début de service de RoboCop, qui enchaine alors victoire sur victoire.

    Concernant les effets spéciaux, un grand bravo à l'équipe pour être capable de retranscrire l'ambiance violente, décadente, et gore du film lors des différentes scènes d'action, qui offre un caractère assez jouissif et dynamique au long-métrage.

    Je soulignerai également la bonne présentation de l'univers de RoboCop via un journal télévisé fictif rapportant non seulement des news, mais aussi des publicités montrant divers inventions. Certaines apportent également un côté assez drôle et satirique en comparant Detroit à l'Amérique réelle.

    Le casting de personnages et leurs acteurs sont performants et crédibles, avec mention spéciale pour le personnage de Clarence Bodicker, interprété par Kurtwood Smith. Celui-ci perdure comme l'un des meilleurs méchants de cinéma par son charisme et sa cruauté avéré, présentant une image parfaite d'un parrain du crime.

    Pour tous les fans de science-fiction et de cyberpunk, ce film est pour vous !

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