@jool a dit dans Ceux dont les fautes sont flagrantes peuvent ils encore nous diriger :
si c'était aussi simple que prendre de la vitamine C/D/Zinc/Magnésium ça serait formidable. A côté de ça des gens meurent ou gardent des séquelles pour les cas les plus graves, et ce ne sont pas ces méthodes alternatives qui les ont sauvés.
Ce ne sont pas ces méthodes alternatives qui les ont sauvés tout simplement parce qu'ils ne les ont pas appliquées.
Facile de dénigrer quelque-chose sans l'avoir testé.
Je vais reparler du cas de mon frère : 69 ans, cancer de la prostate, puis infarctus, hypertension,
hygiène de vie déplorable. Il a attrapé le covid. Il était tellement essoufflé et fatigué que même parler l'épuisait.
Il a été soigné à domicile avec zinc et vit D, ça a duré 10 jours, puis guérison.
Idem pour sa compagne ( infarctus et grosse insuffisance cardiaque à vie ).
Ceci dit, je suis pour le vaccin pour toutes les personnes fragiles et à co-morbidités importantes :
ce sont elles qu'il faut vacciner dans le monde entier car ce sont elles qui en meurent.
Sans oublier les traitements actuels et disponibles qu'on utilise malheureusement trop peu.
L'Ivermectine a obtenu des résultats spectaculaires en prévention de la Covid-19 dans plusieurs études randomisées : environ 80 % de risques en moins d’être infecté, en moyenne. Ainsi, quand on associe l’ivermectine à un spray nasal, l’efficacité semble totale : dans une étude majeure, cette efficacité était de 100 % chez des centaines de soignants pourtant en 1ère ligne
(0 infection dans le groupe traité, contre 58 % d’infections dans le groupe témoin !). Il est manifeste qu’une simple association ivermectine/spray nasal ( solution saline ou bétadine verte ) pourrait suffire à écraser la courbe épidémique en peu de temps.
" Semble, pourrait " : on notera l'humilité de ceux qui tiennent ces propos .
• Et il y a d’autres molécules efficaces, comme la fluvoxamine : cet antidépresseur a montré une capacité à réduire de 100 % le risque d’hospitalisation (oui, 100 %) dans une étude publiée dans un des journaux médicaux les plus prestigieux au monde (et cela a été confirmé par une étude française montrant que les patients traités par ce type d’antidépresseurs avaient beaucoup moins d’infections et de formes graves que les autres) ;
• Certes, tout le monde n’a pas la chance d’être soigné dès les 1ers symptômes, mais il reste des substances très efficaces à l’arrivée à l’hôpital : toujours l’ivermectine et la fluvoxamine, bien sûr, mais un autre médicament, le proxalutamide, a permis de réduire la mortalité des patients hospitalisés de 84 % dans une étude randomisée contre placebo menée sur plus de 600 patients ! Par ailleurs, la simple vitamine D donnée sous une forme rapidement assimilable a également obtenu des résultats spectaculaires , avec des risques de passage en réanimation et de décès drastiquement réduits.
• Et même si vous avez le malheur d’arriver en soins intensifs/réanimation, il y a encore des substances encore trop peu utilisées qui augmentent fortement vos chances de survie : l’ivermectine toujours, la vitamine D, les injections de vitamine C ainsi que de fortes doses de méthylprednisolone (un corticostéroïde plus efficace que la dexamethasone).
Si vous vous demandez encore pourquoi on ne généralise pas ces traitements à l’efficacité démontrée scientifiquement, c’est parce que Big Pharma a pris le contrôle des systèmes de santé occidentaux.
Et il faut ajouter à cela qu’une bonne proportion de la population est déjà protégée du coronavirus, sans avoir été infectée, grâce à une immunité croisée avec d’autres coronavirus.
Cette hypothèse avait été soulevée par le Pr Raoult dès le printemps dernier, mais elle vient d’être prouvée de façon certaine : oui, de nombreuses personnes sont protégées du nouveau coronavirus grâce à des infections antérieures à d’autres coronavirus… ou même grâce à une infection légère au Sars-Cov-2 !