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Twillily
@Incognita Oui, pas de souci je ferai un petit topic dessus dès que je l'aurai lu
Ainsi je pourrai (enfin) voir la série tirée du livre sur Prime, il parait qu'elle est pas mal...
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Twillily
@icescream a dit dans Pile à lire :
elle trimballe tout en brouette
@Artelise a dit dans Pile à lire :
ah ! c'est clair que Taschen, ils ne savent pas faire léger, une brouette semble donc le minimum.
Oui, c'est clair que c'est du lourd, mais c'est parfait pour calmer mon mec quand il m'emmerde
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Twillily
@Music a dit dans Pile à lire :
ça prend de la place tout ça !
Oui ! Mais ça me permet de jouer à Tetris !
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Twillily
@Mai-Tai a dit dans Pile à lire :
Twillily waouh t'as gagné au loto ?
Si seulement !
Non comme je disais j'ai profité des soldes sur le site Taschen (pour les 4 premiers ouvrages), ça vaut vachement le coup (-50% sur des tas de livres)... quant au reste des achats, c'est soit de la seconde main soit achetés en librairie mais accumulés depuis un petit moment, j'aimerais bien pouvoir lire un peu plus !
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Twillily
Plus hip-hop que rap, et plutôt old school, type De La Soul, Grandmasterflash...
J'aime bien en écouter de temps en tempsou encore The Roots, les Stereo MCs, DJ Shadow, Run DMC...
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Twillily
Aux dernières soldes chez Taschen j'ai fait une petite razzia...
Du coup dans ma pile à bouquiner (qui doit peser un bon 15-20 kg) j'ai par exemple...
Un beau bébé de 3.84 kg
Produites par la Detroit Photographic Company entre 1888 et 1924, ces images de cartes postales photochromes et Photostint sont les toutes premières photos couleur d’Amérique du Nord. Un voyage unique à travers ses peuples, ses paysages et une époque que nous offre ce vaste panorama qui balaie le Nouveau Monde, du Chinatown de New York aux riches ocres et bruns du Grand Canyon.
Un autre beau bébé de 3.48 kg
Revivez une époque révolue avec ce recueil de documents liés au voyage datant de 1869 à 1939. Les affiches, billets, menus et précieux photochromes, assortis aux citations d’écrivains voyageurs comme Jules Verne ou F. Scott Fitzgerald, évoquent les longs voyages en Orient-Express, le Grand Tour de l’Europe et le Transsibérien.
Quand la nuit tombe sur le Berlin des Années folles
Glissez-vous au cœur des coulisses, dans le fragile consensus politique du Berlin des années 1920. Ce livre unique, puissamment évocateur, rassemble les illustrations de Robert Nippoldt, les descriptions de Boris Pofalla et un CD de 26 enregistrements originaux rares pour composer le portrait plus vrai que nature des gens, des lieux et des idées qui ont fait vibrer cette métropole en effervescence pendant une décennie de mutations.
Les Archives des films Walt Disney. Les films d'animation 1921–1968. 40th Ed.
Une des monographies illustrées les plus complètes sur les dessins animés Disney, maintenant disponible en édition abrégée pour célébrer les 40 ans de TASCHEN. Cet ouvrage monumental comprend des photos des coulisses, des croquis préparatoires et planches d’assemblage des cellules pour des scènes restées célèbres. Il couvre tous les longs métrages d’animation réalisés du vivant de Walt, ainsi que des courts métrages expérimentaux moins connus et des films musicaux à épisodes.Et chez d'autres éditeurs...
La fabuleuse histoire de la Tour Eiffel
Monument décrié à sa construction pour son avant-gardisme, la dame de fer a séduit les Parisiens et veille sur la ville depuis 125 ans.
Pascal Varejka, historien renommé et spécialiste de Paris, raconte l'épopée de sa construction de manière accessible pour tous. Les nombreuses anecdotes, archives et gravures d'époque permet d'imaginer le tourbillon que représentaient pour Paris l'Exposition universelle et la construction de cette tour, qui a changé irrémédiablement le visage de la capitale.La fabuleuse histoire de l'Exposition Universelle Paris 1900
En 1900, Paris, qu'on surnomme " la Ville Spectacle ", rayonne aux yeux du monde entier et prépare son entrée en fanfare dans le XXe siècle avec la tenue de l'Exposition universelle. Si la ville, incarnation du luxe et d'un certain art de vivre, est au centre de l'attention, c'est qu'elle est à la pointe du progrès – les frères Lumière viennent d'inventer le cinématographe, on inaugure la ligne Porte Maillot-Porte de Vincennes – et au cœur d'un bouillonnement culturel et artistique – l'Art Nouveau est alors à son apogée. À travers des photographies d'époque, des gravures et des documents d'archives, ce livre nous présente Paris dans le tourbillon du siècle qui débute.
En graphique j'ai La Sirène des Pompiers d'Hubert & Zanzim
Et en romans, biographies...
Je pense que j'ai de quoi m'évader un petit moment
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Twillily
Emily Warren Roebling
C'est grâce à la série "The Gilded Age" (saison 2) que j'ai appris l'existence de cette femme talentueuse et dévouée à l'édification d'un célèbre pont...
Emily Warren Roebling (1843-1903) est connue pour sa contribution à la réalisation du pont de Brooklyn, après que son mari Washington Roebling a contracté la maladie des caissons. Son mari, ingénieur civil, était l'ingénieur en chef de la construction du pont de Brooklyn.
En 1864, pendant la guerre civile américaine, Emily fait la connaissance de Washington Roebling, le fils de l'architecte du pont de Brooklyn, John A. Roebling, ingénieur civil membre de l'équipe du gouverneur. Emily et Washington se marient le 18 janvier 1865.
Alors que John Roebling entame les travaux sur le pont de Brooklyn, les jeunes mariés se rendent en Europe pour étudier l'utilisation de caissons, indispensables à la construction du pont. En novembre 1867, Emily donne naissance au seul enfant du couple, John A. Roebling II.
Au retour de leurs études européennes, le père de Washington meurt du tétanos. Washington prend immédiatement en charge la construction du pont de Brooklyn. Très investi dans le projet, Washington descend régulièrement dans les piliers de construction et contracte le mal des caissons, qui l'affecte au point qu'il doit garder le lit.
Emily intervient à ce moment-là et prend le relais, en tant qu’ingénieur de terrain, achevant la construction du pont de Brooklyn. Étant la seule personne à voir son mari pendant sa maladie, Emily est en mesure de transmettre des informations en provenance de Washington à ses assistants et de faire des rapports sur l'avancement des travaux. Pour ce faire, elle développe une connaissance approfondie de la résistance des matériaux, de l'analyse des contraintes et de la construction de câble, grâce aux enseignements de Washington.
Pendant les quatorze années qui suivent, le dévouement d'Emily à l'achèvement du pont est inflexible. Elle récupère, au fur et à mesure, une grande partie des fonctions de l’ingénieur en chef, y compris la gestion du projet et la supervision quotidienne. Emily et son mari planifient ensemble la suite des travaux. Elle se charge d'échanger avec les responsables politiques, les ingénieurs et avec tous ceux qui sont à un moment associés aux travaux, au point que beaucoup pensent qu'elle est également derrière les plans du pont.
En 1882, le titre d'ingénieur en chef de Washington est mis en danger en raison de sa maladie. Afin de lui permettre de conserver son titre, Emily se rend à des réunions d'ingénieurs et d'hommes politiques, pour défendre son mari.
Au soulagement des Roebling, les responsables politiques répondent favorablement aux discours d'Emily et permettent à Washington de rester l'ingénieur en chef du pont de Brooklyn.
Le pont de Brooklyn est finalement achevé en 1883. Peu de temps avant l'inauguration, Emily Roebling, un coq à la main en signe de victoire, est la première à traverser le pont.
Lors de la cérémonie d'ouverture, Abram Stevens Hewitt honore Emily dans son discours et qui dit du pont qu'il était :
« ...un monument éternel à la dévotion sacrificielle d'une femme et à ses aptitudes à une éducation supérieure, dont elle a été trop longtemps empêchée. »
Des milliers de personnes ont assisté à la cérémonie d’inauguration qui fut présidée par le Président Chester A. Arthur. Un feu d’artifice fut tiré pendant une heure ! En 24 heures, environ 150 000 personnes ont traversé le pont de Brooklyn, en utilisant la promenade que John Roebling avait conçu uniquement pour les piétons.
Aujourd'hui, le pont de Brooklyn (qui s’était dans un premier temps appelé le « New York and Brooklyn Bridge », puis le « East River Bridge », avant de devenir le « Brooklyn Bridge ») porte une plaque dédiée à la mémoire d'Emily, de son mari Washington Roebling, et de son beau-père, John A. Roebling.
Quelques chiffres et dates clés
- 14 ans : le temps de la construction du pont
- 15 millions de dollars : le montant de sa construction
- 1 825 mètres : sa longueur
- 600 : c’est le nombre d’ouvriers ayant participé à la construction du pont
- 24 mai 1883 : date d’ouverture du pont au public
- 21 : c’est le nombre d’éléphants ayant traversé le pont en 1884 après que des rumeurs aient circulé sur le fait que le pont n’était pas solide
- 2 : C’est le nombre de parties du pont. La partie inférieure réservée aux voitures et la partie supérieure réservée aux piétons et cyclistes.
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Twillily
Première expérience auditive grâce à mon frère en 94 (j'avais 15 ans), dès la sortie de l'album Music for the Jilted Generation. Mes titres préférés étaient Voodoo People et No good. J'écoutais déjà des artistes tels que Björk, Massive Attack, pas mal de trip-hop, de house music. C'est vers 19-20 ans que j'ai commencer à vraiment aimer des choses un peu plus punchy, puissantes tels que The Prodigy, The Chemical Brothers (Galvanize
), à acheter leurs albums (Firestarter est un des titres que j'ai beaucoup aimé aussi), à fréquenter les soirées électro, festivals et autres raves. Le concept de The Prodigy était vraiment bon et novateur car il associait chanteurs, danseur et synthé, guitariste à l'occasion aussi), beaucoup plus électrisant sur scène qu'un DJ derrière des platines. De très bons souvenirs mais maintenant je préfère écouter des choses plus douces
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Twillily
J"ai découvert le groupe grâce à ma prof de musique au collège qui était fan de Queen, on chantait leurs chansons avec nos petites voix de Mickey "Galileoooooo Figarooooooooooo"
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Twillily
@Cygoris a dit dans Vos musiques des années 70 :
@Twillily Puisque tu évoques cette série remarquable, je t'invite à en découvrir un peu + ici :
https://www.popcornfr.com/post/319111Un vrai régal ce dossier
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Twillily
@Cygoris Quelle belle fille cette Diana Rigg
et qu'est-ce que j'ai adoré cette série !
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Twillily posté dans Parler Musique • En lire plus
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Twillily
@ayamé oui
c'est prouvé que les gauchers ont une grande capacité d'adaptation dans un monde majoritairement conçu pour les droitiers. Nous avons dû nous adapter et non l'inverse.
En France (ainsi que dans d'autres pays) on a quand même fait de gros progrès (et de plus en plus d'objets sont désormais adaptés pour les gauchers comme les guitares, les ciseaux etc.) mais il semble malheureusement que dans certains pays on contraigne encore les gauchers à devenir droitiers...J'ai trouvé ce graphique
Dans de nombreux pays d’Asie ou d’Afrique, il est mal vu d’utiliser la main gauche et on en dissuade encore les enfants apparemment.
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Twillily
Merci @Cygoris ! Je n'avais jamais entendu ce live, la voix de Bowie (par rapport à la version que j'ai posté) est déjà différente (et pourtant peu d'écart entre les deux prestations), on la sent plus posée, un peu éraillée, fatiguée et c'est charmant, c'est une version beaucoup plus lente et douce. J'aime bien les deux !
De Bowie j'aime aussi, parmi tant d'autres...
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Twillily
Gauchère ! J'ai appris à m'adapter (souris, ciseaux de la main droite) mais j'avoue que le pire pour moi ça a été le stylo plume... les anneaux de classeur
, l'épluchage avec la lame de couteau à l'envers c'est sympa aussi...
Petite il y a des choses que j'ai voulu apprendre comme le tricot (auprès de ma mère, droitière)... j'ai abandonné au bout de quelques mailles.
Je n'ai jamais mal vécu le fait d'être gauchère, bien au contraire, c'était rare et ça me plaisait, j'avais l'impression d'être particulière.
J'ai trouvé cet article intéressant
Pourquoi y a-t-il des gauchers ?
*Au XIXe siècle, l’historien Thomas Carlyle s’est demandé pourquoi les droitiers étaient si nombreux. Il a avancé une hypothèse surprenante : tout est né… de la position du cœur. Pour protéger cet organe vital, les hommes ont été obligés, depuis qu’ils se battent, à porter le bouclier de la main gauche, donc à tenir l’épée de la main droite. Celle-ci, de génération en génération, s’est alors consacrée aux tâches demandant plus de force et d’adresse.
L’idée, quoique saugrenue, aurait pu être longtemps retenue. Mais dans les années 1990, le préhistorien belge Marc Grœnen a décidé de dénombrer les mains gauches et droites tracées au pochoir par nos ancêtres hominidés, il y a près de 40 000 ans, sur des parois de grottes. Il a observé une proportion de près de 80 % de mains gauches, donc dessinées par des artistes qui se servaient de la droite pour projeter les pigments colorés sur la paroi. Nos ancêtres étaient donc majoritairement droitiers avant l’invention du bouclier (les premiers exemplaires recensés datent du troisième millénaire avant J.-C).
Deux gènes influençant la latéralité ont été identifiés, le LRRTM1, en 2007, et le PCSK6, en 2013. Mais les auteurs de ces découvertes ont sagement précisé que leur rôle restait limité… Pour comprendre comment se décide la préférence manuelle, il faut alors se tourner vers d’autres pistes, liées à l’éducation, à la transmission, à l’environnement social. Il se pourrait que nos ancêtres, en confectionnant des outils plus complexes, à l’orée de l’âge de pierre (il y a 2,5 millions d’années), aient eu besoin que leurs mains se spécialisent, que l’une accomplisse les gestes les plus techniques, et que l’autre lui serve seulement de soutien.
Ensuite, en apprenant les uns des autres, par imitation, ils auraient tous privilégié la même main forte. Pourquoi la droite ? Peut-être par hasard, tout simplement ! Aujourd’hui, cette transmission se poursuivrait de la même manière dans nos sociétés, dès l’enfance. Nous nous servirions de la main droite parce que tout nous porte à le faire, l’exemple de nos parents comme celui de nos premiers modèles, à la crèche, à l’école.
Preuve que tout cela serait principalement acquis, et non inné… Cependant, la transmission n’explique pas tout. Elle se heurte, par exemple, à l’observation des fœtus. Ceux-ci marquent déjà une préférence marquée pour le pouce droit.
Près de 90 % des bébés à naître tètent celui-ci dans le ventre maternel.
La préférence pour la main droite serait donc un mélange complexe de génétique et de transmission, d’inné et de culturel.*Des religions aux ouvre-boîtes, tout se ligue contre la « gaucherie »
Pourquoi, au fil de siècles de sélection et d’éducation, les gauchers n’ont-ils pas tout simplement disparu ? Pourquoi, alors que tout concourt à éteindre leur particularité — des superstitions religieuses qui les stigmatisent aux ouvre-boîtes qui leur résistent — se reproduisent-ils sans même diminuer en nombre ? La biologiste Charlotte Faurie apporte une réponse inattendue. Selon elle, les gauchers ont survécu… Parce qu’ils savent se défendre.
En étudiant des sociétés archaïques violentes, où le taux d’homicides est plus élevé que chez nous, elle s’est aperçue que les gauchers y étaient proportionnellement plus nombreux. Autrement dit, plus la compétition est rude, plus les gauchers tirent leur épingle du jeu. A cela, une raison possible : ils sont habitués à se battre contre des droitiers, alors que le contraire n’est pas vrai. Quand un droitier affronte un gaucher, que ce soit avec une arme ou même avec ses poings, il doit s’adapter à sa posture, à la trajectoire de ses coups, car il n’en rencontre que très rarement. A l’inverse, les gauchers, eux, n’ont aucun mal à « lire » les gestes des droitiers.
Voilà l’avantage stratégique qui aurait aidé les gauchers à survivre et même à conserver leur rang : un simple effet de surprise ! On retrouve d’ailleurs cet atout aujourd’hui dans les sports d’opposition, où les gauchers obtiennent d’excellents résultats en dépit de leur faible proportion d’ensemble. Ainsi, la moitié des escrimeurs de niveau olympique sont des gauchers, et ce sont encore ces derniers qui se distinguent au tennis, au ping-pong (40 des 50 derniers champions de France de tennis de table étaient d’ailleurs gauchers), à la boxe. Les gauchers ne sont pas nombreux, d’accord, mais, si on les cherche, on les trouve !
Source : magazine* Ça m'intéresse
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Twillily
@Cygoris J'aime beaucoup le Glam Rock moi aussi, mes chouchous : T.Rex et Bowie
, tellement flamboyants, créatifs et extravagants, beaucoup de sensualité dans la voix de Bolan...
J'aime bien ce titre de Sweet