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Miliam
@chickais
J’ai un copain qui se fait contrôler régulièrement que ce soit dans la rue comme en voiture, il est français et de couleur noire. J’ai une amie qui est française d’origine algérienne qui se fait contrôler plusieurs fois dans l’année quand elle prend le train et que y’a la douane (alors qu’elle ne contrôle pas forcément les autres passagers) comme en voiture par la police.J’ai je ne sais combien d’année de permis, je me suis faite contrôler deux fois en tout. Mon grand-père ne s’est pratiquement jamais fait contrôler de sa vie alors qu’il avait un vieux Berlingot pourri, même pas en norme/état pour circuler. Si il avait été contrôlé, sa voiture aurait été saisie car c’était un danger public.
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Miliam
@Barbouille
Je ne sais pas si c'est surtout valable dans le privé, je ne suis pas assez renseignée pour affirmer des choses à ce sujet. J'amenais simplement un autre élément de compréhension de ce qu'il peut être mouvant dans notre société. Après, cela dépend des expériences de chacun. J'ai des connaissances qui pratiquent notamment parce qu'ils bossent à côté de leurs études et que la charge des études qui augmente depuis des années plus ce qui est demandé au boulot c'est insoutenable. Tout ça pour être payé une misère.J'en connais d'autres qui bossent dans le public et qui pratiquent car trop de travail. Comme mon ex qui lui ne fait pas grand-chose à son poste et joue même aux jeux-vidéos au travail. Y'a de tout je dirai.
Après je ne sais pas que quand on fait des métiers bien spécifiques et prenants comme agriculteur... on peut vraiment le faire.
Quand je vois comment ça se passe dans certains boulots, ce que vivent les gens... je comprends que certains en restent à faire leur travail et pas plus pour s'économiser parce qu'ils ont des études, des enfants, ont tout simplement envie d'avoir une vie et de décrocher car certains métiers... on ne décroche pas quand on rentre du travail.
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Miliam
Je trouve ça ridicule d'allonger le travail à 64 ans. Y'a des métiers pénibles physiquement mais aussi psychologiquement. Par contre, faire la chasse aux superprofits comme le patron de Total qui augmente son salaire de 50%, les actionnaires et j'en passe pendant que les gens d'en bas triment... Là y'a personne.
Mais le problème c'est les étrangers qui profitent du système et ne viennent ici que pour les aides (c'est tellement l'Eldorado la France), le problème c'est les chômeurs qui ne veulent pas travailler et qui sont des fainéants, le problème c'est les étudiants car plutôt que de faire des études ils doivent obéir aux gens qui pensent qu'ils doivent aller travaille et faire un métier dans lequel ils ne sont pas bien, le problème c'est les fonctionnaires car ils coûtent tellement chers qu'on se rend compte qu'après des milliers de suppression de postes bah qu'on en a finalement besoin que ce soit dans nos écoles, dans nos hôpitaux etc.
La retraite à 64 ans n'est, à mon sens, absolument pas nécessaire. Au contraire. Elle dessert beaucoup de personnes, situations dont les femmes qui sont fortement concernées. La plupart des économistes sont contre cette réforme des retraites et trouvent qu'elle n'est absolument pas nécessaire.
Je me pose la question, si on ouvrait la gestion des comptes, où en est le gouvernement, qu'est-ce qu'il a fait ? Je pars peut être loin mais cette retraite à 64 ans, outre le fait que c'est sûrement dû au fait que la population est vieillissante et a de moins en moins d'enfants, c'est pas aussi pour tenter d'éponger ce qu'on ne sait/voit pas ? Sans partir dans du complotisme hein, je ne suis pas adepte. C'est simplement une question que je me pose.
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Miliam
@Calcifer
Je comprends votre colère. C'est difficile dans pas mal de domaines. Comme partout, il y a des personnes qui triment, d'autres moins, d'autres peut être beaucoup moins.J'ai cette tendance à penser qu'il y a un changement sociétal qui s'opère. Les valeurs changent. Notamment, au travers du phénomène du Quiet Quitting. C'est le fait de faire son travail sans trop en faire (pas de surimplication surtout pas en dehors des horaires de travail, pas d'heures supplémentaires etc.). C'est faire son travail dans les règles du contrat de travail et du code du travail. En d'autres termes, c'est agir à la hauteur de son salaire.
Ce qui est en contradiction avec ce qui est véhiculé par certaines cultures comme les Etats-Unis au travers du terme Hustle Culture. C'est la culture de la surperformance au travail. Se dépasser au travail, s'impliquer à 200% pour faire de grandes choses etc.
Le Quiet Quitting c'est lever le pied au travail et établir une frontière très claire entre la vie professionnelle et la vie privée pour éviter de craquer afin d'avoir une vie plus sereine. Refuser des appels en dehors des heures de travail etc.
En même temps, quand je vois comment mes parents, grands-parents etc. ainsi que d'autres proches ont morflés, ont de sacrés problèmes de santé à cause de leur travail, je comprends tout-à-fait que le rapport au travail change avec le temps et que les mentalités évoluent. Si c'est pour payer des problèmes de santé parfois conséquents liés au fait qu'on a trimé toute sa vie... quand on sait que selon les stats, certaines personnes meurent peu après le temps de leur retraite parce qu'ils ont eu des boulots pénibles par exemple... le travail est important mais la santé l'est beaucoup plus à mes yeux.
Après entre être dans le Quiet Quitting et ne rien faire... c'est deux choses différentes.
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Miliam
@wawa007
Je comprends. Personnellement, j'ai également tendance à penser que le nombre de professionnels qui contrôlent sont largement inférieurs à la population ainsi qu'aux personnes de passage dans notre pays et donc forcément que beaucoup de personnes passent entre les maillent du filet. Pouvons-nous tout contrôler ? Telle est la question. Par contre, renforcer les moyens des professionnels, employer peut être davantage de personne est nécessaire. -
Miliam
Je ne pense pas regarder. J'ai regardé une saison, celle qui a été diffusée lors du confinement mais ça ne m'intéresse plus du tout.
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Miliam
Je trouve cela profondément triste. D'un côté comme de l'autre. Perdre un proche aussi tragiquement... je n'ai pas les mots qui pourraient décrire ce que je pourrai ressentir. Mais être soi-même responsable d'avoir tué quelqu'un sans le vouloir et sous l'emprise de drogue... je me sentirai profondément mal. Là on en parle parce que c'est une personne connue, seulement ça arrive aux personnes qui ne le sont pas. Je crois que Pierre Palmade est dépendant / addict' à la cocaïne si je ne me trompe pas (à vérifier) et si c'est le cas, malheureusement la dépendance prend le dessus sur beaucoup de choses dans notre vie. J'espère non-seulement que la justice fera son travail mais que lui de son côté sera suivi, aidé, accompagné pour se sortir de sa dépendance. Notamment parce que même si son permis est suspendu à vie ou temporairement, ça ne règlera pas le fond du problème. Et parfois la dépendance implique le fait d'être un danger pour soi-même et les autres sans forcément passer par la case permis de conduire.
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Miliam
Hellow !
Difficile de faire quelque chose contre un système. Il sera toujours plus fort que nous. Mon point de vue est peut être défaitiste mais il n'y a pas grand-chose à faire malheureusement.
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Miliam
On marque le coup genre aller au restaurant mais sinon on n'y accorde pas grande importance.
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Miliam
Ce que je remarque depuis un moment, c'est que notre société évolue sur la question de l'identité, du genre, de l'orientation sexuelle. Mais également que des concepts sociétaires restent bien encrés comme la virilité. Scientifiquement; elle n'existe pas, c'est une construction sociale tout comme la hiérarchisation des genres (la femme est faible, l'homme est fort etc.). Depuis notre naissance, nous sommes conditionnés par notre société binaire qui ne reconnaît que les hommes, les femmes, qu'une orientation sexuelle, des rôles de genre bien précis et sexistes, misogynes etc. Et apprendre que la nature n'est pas binaire, qu'elle est plus complexe que ça, que le rôle des hommes et des femmes ne reposent sur rien mis-à-part une construction sociale... c'est une remise en question énorme et cela amène une autre vision de la vie, de la conception de celle-ci etc.
Progressivement, des personnes qui ne correspondent pas aux standards de la société se cachent de moins en moins et veulent des droits. Ce qui est parfaitement normal. Seulement, des personnes ne reconnaissent pas cela au point de devenir violentes, méprisantes, rejetantes... en soi les phobies de type homophobie, transphobie etc. Contrairement à une phobie classique comme celle des araignées par exemple, ces phobies posent un réel problème dans notre société car elles ne sont pas sans conséquences. Des victimes qui se suicident comme Lucas et bien d'autres, des personnes qui se font tabasser, rejeter etc. Une personne ayant une phobie pour les araignées ira peut être consulter (c'est du cas par cas mais ça arrive souvent que les personnes atteintes de phobie aillent consulter). Mais je ne pense pas qu'une personne transphobe, homophobe va vraiment consulter et reconnaît qu'elle a un problème (ça peut arriver mais je ne pense pense pas que c'est majoritaire) puisque le problème c'est les homo, les trans, le système / lobby qui est perverti etc. (oui on me l'a vraiment sorti : c'est la décadence).
De par cette évolution du genre, de l'orientation sexuelle... la sexualité est remise en question en profondeur mais aussi beaucoup des conceptions sociétaires tombent à l'eau (stéréotypes de genre etc.), ce qui est imposé et conditionné depuis des siècles commence à se morceler. Une femme est féminine, a les cheveux longs, des bijoux, est élégante, a les poils rasés, est sensible et plus faible qu'un homme (c'est biologique/génétique soit-disant) etc. Un homme est fort (plus fort qu'une femme), a plus de carrure qu'une femme, est viril, ne pleure jamais sinon c'est une femmelette etc. Des personnes quittent ce modèle de pensée complètement erroné parce qu'il ne repose sur rien et cette manière de pensée occasionne mine de rien beaucoup de souffrances. Alors qu'à côté, une nouvelle vision du monde se veut sans doute libératrice, inclusive, respectueuse etc. Promeut une paix et un vivre ensemble. Car c'est ça l'objectif, que l'on vive ensemble en harmonie. Des personnes se rendent compte de ce qu'il se passe, se renseignent, sont aussi directement concernées. Tandis que d'autres, rejettent en bloc ce qu'ils ne comprennent pas / les dépassent. Et ce rejet, issu à mon avis de beaucoup d'ignorance ainsi que de conditionnement sociétaire & culturel / religieux, passe malheureusement bien souvent par la violence. Ce qui n'est évidemment pas normal et cela doit être fermement condamné pour éviter que des personnes violentes puissent avoir le sentiment d'agir en tout impunité / sans retombée.
Concernant J. K. Rowling, j'avais entendu qu'elle avait eu des propos pas très clean mais je ne savais pas que c'était à ce point-là. Merci d'avoir créé ce topic car c'est beaucoup plus clair pour moi. Ce qu'elle fait n'est pas normal et j'espère sincèrement qu'elle sera punie par la loi. Des propos proférés comme cela en toute impunité... c'est inadmissible à mes yeux. Beaucoup de personnes souffrent et une personne aussi connue qu'elle, qui a bercé de nombreux enfants avec ses œuvres (je parle aussi pour moi)... c'est vraiment honteux.
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Miliam
Hellow !
Je dirai méchanceté gratuite et conditionnement au patriarcat en plus peut être de problèmes personnels. Quand on est bien avec soi-même, on a pas besoin de rabaisser les autres.
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Miliam
Etant fan de l'univers Harry Potter, j'ai hâte de me l'offrir. Je profiterai d'une promo car vu le prix... j'ai pas envie de mettre autant. Je crois que sur Instant Gaming il est dans les 50€, je ne sais plus. Le gameplay a l'air vraiment sympa. J'ai vu quelques let's play sur Youtube, ça donne clairement envie !
Surtout que je viens de finir FFVII Remake (il me reste que la partie avec Yuffie) et que le FFVII Rebith va sortir dans un temps assez long sur PC...
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Miliam
@JuS
Oui enfin je suppose que ta mère n’est pas AED pour dire ça. Désolée mais dire des choses comme ça… c’est pas être en corrélation avec la réalité. C’est déjà arrivé dans le collège où j’ai bossé qu’un AED se fasse viré au cours de son contrat. Je sais que les CPE m’ont dit que c’est déjà arrivé qu’elles mettent fin à un contrat et que le job d’AED n’était pas facile. D’ailleurs, tous les profs que j’ai croisé au collège, les deux CPE du collège ainsi que d’autres membres du personnel m’ont tous dit que c’était un job qui n’était pas facile du tout. Chaque collège est différent, a sa propre manière de fonctionner etc.Ce n’est pas un job facile comme n’importe quel job et très prenant psychologiquement parlant. Et pourtant j’en ai fait des jobs plus d’ordre de la fatigue physique comme bosser à l’usine. De nombreuses fois j’ai épaulé des collègues car elles craquaient etc. Moi-même j’ai déjà craqué une fois car fatigue cumulées + cours + mémoire + boulot + période où les ados n’étaient pas faciles et j’ai plus de trente ans. On est tous humains. Les métiers de l’humain ne sont pas faciles.
Si je puis me permettre, ne te laisse pas définir par les gens. C’est trop premier job en tant qu’AED, en plus dans ton ancien collège où ta mère travaille… c’est pas forcément évident surtout par des gens qui pensent que le job d’AED est facile (alors là, franchement, je rigole - ça montre surtout comment on est considérés parfois). T’as peut être besoin de plus de temps pour prendre tes marques et c’est normal, ça ne fait qu’une semaine que tu y es. Chacun son rythme, on est tous différents. J’ai l’impression que tu es jeune aussi alors ça n’aide pas non-plus (enfin je suppose). Après, rien ne t’empêches d’aller dans un autre collège, peut être que leur façon de faire / le système ne te convient pas.
Pour te dire, j’ai fait un stage y’a quelques années avec des tutrices de stage qui me cassaient plus bas que terre, j’avais eu 07/20. J’ai tout remis en question en me disant que je n’étais pas faite pour mon métier. Finalement, j’ai fait mon dernier stage et j’ai été notée 18/20 et beaucoup de compliments de ma tutrice de stage ainsi que des patients. Comme quoi, y’a des choses qui dépendent du système dans lequel on est et quand on tombe sur des gens, un système qui ne nous correspond pas… après je ne dis pas que ce système ne te correspond pas, mais je tends plutôt à dire de ne pas se laisser définir par les autres car malgré leur expérience / savoir, ils ne sont pas omnipotents et ne savent pas tout sur tout. C’est pas parce que tu as le diplôme que tu es compétent.
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Miliam
Merci @Swimmingpoule et @Yennefer pour vos réponses. C'est vrai qu'il est difficile de répondre à ces personnes-là. Généralement, pour ma part, elles ne m'écoutent pas et partent dans des monologues. Et ça m'est arrivé qu'elles insistent quitte à me montrer des photos de leurs petits-enfants sous mon nez alors que je n'ai rien demandé ou encore se montrent impolies et c'est vraiment désagréable.
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Miliam
Coucou !
J'ai été AED en collège. Je dirai que ce qui est important c'est de mettre un cadre je pense pour ne pas que les ados testent les limites (car ils vont tester surtout si tu es nouvelle). Pour ça, j'appliquais plusieurs choses :
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Être cohérent dans ses décisions. Par exemple, j'expliquais aux ados qu'en permanence avec moi il n'y avait pas de bruit. Le premier avertissement est oral, le deuxième avertissement je prends le carnet, le troisième avertissement je mets un A dans le carnet. Et si il y a de l'insolence c'est heures de colle voire directement dans le bureau de la CPE. La cohérence c'est de tenir ses décisions, soit appliquer ce que l'on dit aux élèves et encore plus si ils dépassent les limites. Parce que si tu dis que tu vas faire telle chose et que tu ne le fais pas, bah ils vont s'en rendre compte en particulier quand c'est régulier. C'est une faille ouverte dans laquelle ils vont s'engouffrer. Résultat, ma salle de permanence était généralement silencieuse et les ados travaillaient ou dessinaient mais en tout cas s'occupaient. Il y a déjà eu de l'insolence mais c'était vite géré. Ce n'était pas un régime dicté par la peur car j'étais cool mais sévère et juste quand il le fallait. C'est une question de dosage.
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La pédagogie : parfois punir ne sert pas forcément. Certains ont de gros soucis familiaux (ou autre) qui font qu'ils n'arrivent pas forcément à gérer leurs émotions (oui ce ne sont pas des adultes - et encore, y'a des adultes qui ne savent pas gérer leurs émotions) et ça peut se déguiser par l'insolence et autres comportements pas très cool. Je prenais souvent le temps avec les élèves notamment pour les écouter. Parfois, je leur expliquais aussi des choses pour qu'ils comprennent qu'en ayant tel ou tel comportement qu'ils pouvaient avoir, ça ne les aidaient pas au contraire. Par la pédagogie, on règle bien des choses aussi.
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L'humour : personnellement j'utilisais pas mal l'humour. Par exemple, j'avais quelques élèves assez têtues/récalcitrants qui ne voulaient pas se ranger et qui parlaient avec les filles. Alors je les appelaient par leur prénom et je leur disais par exemple "Mehdi, arrête de shiner et va te ranger". Du coup, ça faisait rire tout le monde, les filles taquinaient les garçons et tout le monde allait se ranger. Par la suite, je n'avais même plus besoin de dire qu'ils allaient se ranger. Je n'utilisais pas que l'humour pour ça mais ça désarçonne aussi des situations et les ados aiment bien. Après tous les collègues de l'époque n'utilisaient pas forcément l'humour mais de mon côté ça marchait bien.
Après, finalement, tout a été très bien expliqué par Kallindra. Je rejoins totalement son point de vue notamment sur le fait d'être honnête, sévère quand il le faut, juste et équitable.
Je rajouterai de ne pas tomber dans le copinage ou encore dès que y'a des histoires que tu apprends (car des élèves vont finir par se confier à toi à un moment donné) et qu'elles les mettent en danger (viol, revenge porn, harcèlement etc.), il faut tout de suite en parler au CPE.
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Miliam
Quand a chaque diner avec ma belle-famille, un de des proches éloignés de mon conjoint qui me fait la réflexion "quand est-ce qu'on a des enfants ?". Déjà le "on"... Visiblement je dois faire des enfants pour les autres. Bon... Quand on lui répond qu'on en veut pas, le mec n'écoute pas et insiste pour qu'on fasse le choix d'avoir des enfants. Il me montre des photos de sa petite-fille ou encore des phrases du type "tu changeras d'avis plus tard". Mais pour qui les gens se prennent-ils, sérieux ? Et puis, comme si c'était une fin en soi d'avoir des enfants, que ça épanouissait toutes les femmes et que c'était un aboutissement en tant que femme. Je trouve ça mais tellement faux. Y'a des femmes heureuses avec des enfants et d'autres heureuses sans enfants comme d'autres malheureuse avec des enfants et malheureuses sans. Et personnellement, je suis heureuse sans enfants. Pourtant j'adore les enfants mais entre les adorer et en avoir un h24 c'est un autre monde.
Le problème c'est que j'ai remarqué, dès que t'as trente ans et que tu n'es pas dans le moule de la société avec un mari et un bébé, ça ne va pas. C'est vraiment très pénible quand des personnes, et le plus souvent c'est des hommes dans mon cas, t'imposent leur vision du monde et que tu dois limite te justifier du pourquoi tu ne veux pas d'enfant. Alors que c'est une décision qui revient au couple, à chaque membre du couple, qui est de l'ordre de l'intime. Mais non, il y en a toujours qui ont du culot et aucune éducation pour se mêler de choses qui ne les regardent pas.
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Miliam
Scientifiquement parlant, l'homéopathie n'est pas reconnue et il n'y a aucune étude actuellement qui montre qu'elle est efficace ou qu'elle a des effets bénéfiques. Et il y en a eu beaucoup. Par contre, il y a clairement un effet placebo et c'est ce qu'a révélé plusieurs études. De par mon expérience personnelle, j'en ai déjà pris car ma mère était assez là-dedans, ça n'a jamais eu d'effet quelconque et ce peu importe ce que j'avais.
Sinon, j'ai pu discuter avec plusieurs étudiants en facultés de médecine dont un membre de ma famille qui est jeune médecin. Je vous épargnerai un autre membre de ma famille qui est médecin depuis longtemps et qui pense que c'est du sucre. Je voulais des avis construits basés sur des faits et non sur des croyances, alors j'ai été directement discuter avec des personnes qui étaient capable de me donner des avis construits. Notamment parce que comme je n'y connaissais rien à l'époque, je voulais avoir plusieurs angles de vue pour avoir mon idée. J'ai donc consulté des études scientifiques, écouté des expériences de personnes et écouté ce que pensaient des médecins, étudiants en médecine etc. J'ai donc discuté avec ces étudiants dont aussi ma proche qui est jeune médecin (et ouverte sur bien des choses), tous m'ont dit qu'ils pouvaient se spécialiser dans l'homéopathie s'ils le souhaitaient dans leur cursus (parce qu'il y a des médecins-homéopathes). Pour eux, certains étudiants choisissaient cette spécialité non-pas parce que leur efficacité était reconnue, avérée scientifiquement mais simplement parce que c'était une spécialité qui rapportait pas mal d'argent et "sans risque" dans le sens où y'a pas de risque de prescrire de l'homéopathie par rapport à des médicaments. Selon leur dire, peu choisissaient l'homéopathie car ils y croyaient vraiment. Je rapporte juste ce qu'il m'a été dit, rien de plus, je ne prends pas parti, c'est à titre informatif.
Donc je dirai que, pour moi, c'est clairement un effet placebo. Il y a eu beaucoup d'études et aucune n'a révélé qu'il y avait des effets bénéfiques sur la santé. Si ce n'est, un effet placebo dans certaines d'entre elles. Maintenant, vu que quand on prend de l'homéopathie il n'y a pas vraiment de risque pour la santé par rapport à un doliprane si on le surdose par exemple et que certaines personnes y trouvent leur compte, voient des amélioration dans leurs maladies / états etc., je pense que c'est aussi une bonne chose. Un effet placebo n'est pas forcément négatif non-plus.
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