• Miliam Miliam

    Désolée les gars mais je n'aime pas les raisins secs et encore moins dans le taboulé...

    posté dans Cuisine En lire plus
  • Miliam Miliam

    Ah mais le basket c'est un super sport ! J'aime beaucoup et je trouve dommage qu'il n'est pas autant développé en France comme aux Etats-Unis. Dans ma famille, d'anciens basketteurs et coachs. Et je regardais parfois des matchs de NBA sur BEinSport. J'avais vu les Harlem Globetrotters aussi. Je n'ai que rarement joué car j'étais plus dans le domaine musical mais j'aimais bien aller voir mes proches jouer. Continues ta passion en tout cas ! C'est vraiment chouette !

    posté dans Sport En lire plus
  • Miliam Miliam

    @bingo

    Alors… le pervers narcissique est une classification psychanalytique. Il n’apparaît pas dans la classification psychiatrique tel que le DSM V. Notamment parce-que cela fait débat et pour certains professionnels de la santé cela n’existe pas. Pour d’autres si.

    En théorie, le pervers narcissique fait partie de la classification des perversions. Dans cette classification psychanalytique, on retrouve deux types de pervers : le sexuel (qui apparaît dans le DSM) et le narcissique.

    • Le pervers sexuel regroupe les exhibitionnistes, voyeurisme, frotteurisme, masochisme, sadisme, pédophilie, fétichisme et transverstisme. C’est une déviation par rapport à l’acte sexuel normal. Il a besoin de l’autre pour « jouir » mais dans le sens psychanalytique du terme.

    • Le pervers narcissique, lui, est assez égocentrique et a une haute estime de lui. Il n’a pas d’empathie pour les autres et les instrumentalisent pour « jouir ». Leur capacité d’aimer l’autre est déficiente. Un coup il est fort sympathique et agréable, une autre fois pour x raison vous êtes limite la pire personne qu’il a rencontré et cherchera à vous détruire. Il manipule beaucoup et utilise des mécanismes d’emprise. Souvent il se tourne vers des personnes fragiles, détruit le psychisme de l’autre, joue sur les non-dits, le doublé-sens des mots, ment, insinue etc. Mais dénie la réalité pour se protéger des souffrances. La faute est niée, banalisée, rejetée sur les autres. Il n’y a pas de conflit pour lui. Et peut aussi se placer en victime. Les relations sont souvent sous emprise, assujettissement et asservissement.

    Ce qui est problématique c’est que le terme pervers narcissique est devenu un véritable fourre-tout. Ce n’est pas parce-qu’on a été avec quelqu’un de toxique qu’il est forcément pervers narcissique. Un mari violent n’est pas forcément pervers narcissique etc. Ça rejoint finalement le post de départ : les limites entre perception et interprétation.

    Pour les psychopathes, je l’ai expliqué plus haut.

    La différence entre psychopathes et sociopathes est très fine, porte à confusion. Ce qui les rassemble c’est un désintérêt pour les lois et normes sociales, pour les droits des autres, une absence de remords ou de sentiment de culpabilité, ainsi qu’une tendance à un comportement agressif.

    Les sociopathes seraient plus émotionnels. Par exemple ils auraient tendance à être plus nerveux, ont souvent des crises de colères, au niveau social et culturel c’est assez bas. C’est compliqué pour eux d’avoir un travail stable dans le temps. Ils n’est pas facile de former des liens avec les autres même si ce n’est pas totalement impossible. Les crimes et délits seraient plus désorganisés et improvisés.

    Les psychopathes, eux, planifient et manquent d’empathie. Enfin selon un de mes profs, ils ont de l’empathie mais pas de sympathie. Ils sont incapables de créer des liens. Ils charment souvent qui fait que ça leur permet de manipuler les autres. Ils sont intelligents, ont un travail stable, plutôt une bonne place dans la société. Ils contrôlent leurs émotions. Ils sont plutôt froids et calculateurs.

    Il est difficile de faire des généralités sur ces personnes atteintes de ces pathologies. Notamment sur leur histoire et comment ils en arrivent là. C’est au cas-par-cas. Qu’est-ce qui fait qu’on va avoir telle pathologie et pas d’autres ? C’est encore une question qui n’est pas complètement résolue dans le domaine de la Psychologie. L’inné, l’acquis ? L’environnement, la personnalité, l’histoire familiale, les comportements de la famille etc. Beaucoup de choses jouent dans notre développement en tant qu’individu.

    posté dans Sciences Humaines et Sociales En lire plus
  • Miliam Miliam

    @ayamé
    On a commandé quelque chose pour nous faire plaisir 😄 !

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  • Miliam Miliam

    Ahhhhhhh !!! Je ne serai pas objective car j'adore les Harry Potter et ils font partie de ma liste de films préférés. Team Ravenclaw !

    posté dans Films En lire plus
  • Miliam Miliam

    Personnellement, je n'apprécie plus Mélenchon et je suis déçue de la FI, du moins de certains membres. Pour moi il déborde et je le considère comme étant dans un extrême. Cela n'en reste pas moins un très bon orateur mais ses débordements me dérange.

    posté dans France En lire plus
  • Miliam Miliam

    Le jeu d'échecs, ou les échecs, (prononcé : /e.ʃɛk/) est un jeu de société (parfois considéré comme un sport dans certains pays du monde, dont la France) opposant deux joueurs de part et d'autre d'un tablier appelé « échiquier » composé de soixante-quatre cases, 32 claires et 32 sombres nommées les cases blanches et les cases noires. Les joueurs jouent à tour de rôle en déplaçant l'une de leurs seize pièces (ou deux pièces en cas de roque), claires pour le camp des blancs, sombres pour le camp des noirs. Chaque joueur possède au départ un roi, une dame, deux tours, deux fous, deux cavaliers et huit pions. Le but du jeu est d'infliger à son adversaire un échec et mat, une situation dans laquelle le roi d'un joueur est en prise sans qu'il soit possible d'y remédier.

    Le jeu a été introduit dans le Sud de l'Europe à partir du xe siècle par les Arabes, mais on ignore où il fut inventé exactement. Il dérive du shatranj ou chatrang qui lui-même est la version perse du chaturanga de l'Inde classique. Les règles actuelles se fixent à partir de la fin du xve siècle. Le jeu d'échecs est l'un des jeux de réflexion les plus populaires au monde.

    Il est pratiqué par des millions de gens sous de multiples formes : en famille, entre amis, dans des lieux publics, en club, en tournoi, par correspondance, contre des machines spécialisées, entre ordinateurs, entre programmes, sur Internet, aux niveaux amateur et professionnel. Depuis son introduction en Europe, le jeu d'échecs jouit d'un prestige et d'une aura particulière qui du « jeu des rois » l'a fait devenir peu à peu « le roi des jeux » ou encore « le noble jeu », en référence à sa dimension tactique et à sa notoriété mondiale. Il a très largement inspiré la culture, en particulier la peinture, la littérature et le cinéma.

    La compétition aux échecs existe depuis les origines. On en trouve trace à la cour d'Hâroun ar-Rachîd au viiie siècle. Le premier tournoi de l'ère moderne a lieu à Londres en marge de l'Exposition universelle de 1851. La compétition est régie par la Fédération internationale des échecs (FIDE). Parallèlement, l'Association of Chess Professionals défend les intérêts des joueurs professionnels. Le premier champion du monde d'échecs est Wilhelm Steinitz en 1886 ; le champion en titre est le Norvégien Magnus Carlsen depuis 2013.

    Voici 11 meilleurs joueurs d'échecs

    (source : le palais des échecs)

    Garry Kasparov

    Cet homme est incontestablement l’un des plus grands joueurs d’échecs du monde. Il est sans doute le plus grand joueur d’échecs de tous les temps, selon les statistiques. Il est probablement le plus grand joueur d’échecs de tous les temps. De 1985 à 2000, Garry Kasparov a été le champion du monde.

    Il a fait une erreur majeure contre Vishwanathan Anand. Il a également fait une erreur majeure contre Deep Blue. Vous pouvez facilement retrouver ces moments clés en video.

    Anatoly Karpov

    Karpov, un rival acharné de Garry Kasparov, a été champion du monde entre 1975 et 1985. De 1993 à 1999, il a également été champion de la FIDE.

    Karpov est connu pour son style de jeu, qui consiste à ne prendre aucun risque et à punir les petites erreurs de l’adversaire. Karpov a commencé à jouer aux échecs à l’âge de 4 ans et a pris sa retraite à l’âge avancé de 62 ans.

    Jose Raul Capablanca

    Jose est né en 1888. Il est considéré comme l’un des meilleurs joueurs d’échecs au monde. Beaucoup ne le connaissent peut-être pas en raison de la période à laquelle il a joué. Si vous êtes un passionné d’échecs, vous serez en mesure de le reconnaître. De 1921 à 1927, il a été le champion du monde. Il est connu sous le nom de « machine humaine à jouer aux échecs ». Sa position et sa stratégie de jeu étaient son point fort. Il est un maître de la pensée schématique. Jose était l’auteur de nombreux livres d’échecs, dont Chess Fundamentals. Ce livre est largement considéré comme l’un de ses meilleurs.

    Vishwanathan anand

    Un joueur d’échecs indien. Les échecs étaient destinés à être un passe-temps amusant. Vishwanathan anand a fait découvrir le jeu à des millions de joueurs par ailleurs passionnés de cricket.

    Bobby Fischer

    Bobby Fischer est né à Chicago, dans l’Illinois, le 9 mars 1943. À l’âge de six ans, il commence à s’intéresser au jeu. Il abandonne l’école à 16 ans pour se consacrer uniquement au jeu. Il est élevé sans père mais entretient une relation étroite avec sa mère Regina Wender Fischer. Avant de mourir en janvier 2008, il a accompli de nombreux exploits dans le domaine des échecs.

    Il affronte Donald Byrne en 1956 et remporte la partie « du siècle », ce qui lui vaut une attention internationale. Il atteint le sommet de l’échelle en 1958, battant le record de Boris Spassky, et passe au niveau de grand maître. Il remporte l’un des huit championnats d’échecs américains cette année-là.

    En 1966, il participe au super tournoi de Californie, où il se classe deuxième derrière Boris Spassky. Le génie des échecs a remporté 20 parties consécutives en 1971, ce qui en fait la plus longue série de victoires continues de l’histoire des échecs. Il a joué contre Boris Spassky en 1972, avant de devenir le champion du monde d’échecs. Ses mauvaises relations avec le gouvernement américain l’ont poussé à fuir le pays, avant de mourir d’une insuffisance rénale le 17 janvier 200.

    Magnus Carlsen
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    Magnus Carlsen est un ingénieur norvégien. Il est né de deux ingénieurs, Sigrun Oen (et Henrik Albert Carlsen). Il est né en Norvège le 30 novembre 1990. Le garçon est un enfant brillant qui fait preuve d’une grande intelligence dès son plus jeune âge. Il s’est perdu dans le jeu d’échecs après que son père le lui ait fait découvrir.

    Il a remporté son premier titre d’échecs norvégien à l’âge de huit ans. Il a terminé deuxième du championnat du monde d’échecs de la FIDE pour les jeunes de moins de 12 ans, qui s’est tenu en Grèce en 2002.

    Il a fait ses débuts internationaux lorsqu’il a remporté le tournoi d’échecs Corus, groupe C, qui s’est tenu à Wijk aan Zee. Il a été surnommé le « Mozart » des échecs.

    2004 : Carlsen gagne contre Anatoly Karpov, mais il perd contre le joueur international le mieux classé, Garry Kasparov. Il était le plus jeune grand maître à cette époque, en avril 2004. Carlsen a reçu le titre de meilleur joueur d’échecs des Oscars en 2009 et il l’a conservé jusqu’en 2013. Il a été champion du monde de blitz en 2009, et en 2010, la FIDE l’a nommé meilleur joueur. Il est devenu le deuxième plus jeune champion du monde en 2013, après sa victoire sur Viswanathan Inand en Inde. Anand a été battu par lui en 2014. Il a défendu son titre avec succès en 2014.

    Mikhail Tal

    Mikhail Tal, enfant juif, est né le 9 novembre 1936. À huit ans, il commence à s’intéresser aux échecs. Alexander Koblencs a appris au joueur letton, originaire de Riga, à mieux connaître les échecs. Dans sa jeunesse, il a été en proie à de graves problèmes de santé. Ce joueur d’échecs s’est marié trois fois et est mort d’une hémorragie de l’œsophage le 28 juin 1992.

    Mikhail était un grand joueur et possédait des qualités offensives exceptionnelles. En 1953, il a remporté son premier titre de champion de Lettonie. Il a reçu le titre de maître candidat. Il a gagné le titre d’échecs de l’URSS en 1957. La FDE lui a décerné le titre de grand maître après qu’il ait battu de nombreux joueurs d’échecs soviétiques internationaux. Il a été couronné champion du monde après avoir battu le senior Mikhail Botvinnik lors du championnat du monde de Moscou en 1960. Il a joué 86 matchs consécutifs entre juillet 1972 et avril 1973 sans en perdre aucun. Il a joué 94 matchs consécutifs entre octobre 1973 et octobre 1974 sans en perdre aucun.

    Alexandre Alekhine

    Il était connu pour ses exploits en tant que joueur d’échecs français et a également écrit au moins 20 livres sur les échecs. Alexander est né en Russie le 31 octobre 1892. Il utilisait un style imaginatif et agressif pour jouer aux échecs. Sa mère lui a appris les échecs et il a commencé à jouer à un jeune âge. Il avait 53 ans lorsqu’il est mort.

    Sa carrière a commencé à Moscou, où il a participé au tournoi de printemps du club d’échecs de Moscou en 1907. Il a été le vainqueur en 1908. Il commence à participer à des tournois internationaux, où il se classe premier ex aequo avec Aron Nimzowitsch. En 1924, il établit un nouveau record en jouant les yeux bandés contre 26 autres joueurs. Ce record a été battu à nouveau l’année suivante.

    Alexander a gagné le match du championnat du monde de 1927 contre Aron Nimzowitsch. Il remporte la bataille contre Bogolijubow et reçoit le titre de grand maître russe, en 1929. Quatre ans plus tard, il remporte 17 matchs dans le match les yeux bandés contre 32 autres adversaires. Il perd le match de championnat du monde de 1933 contre Max Euwe et remporte à nouveau le titre lors d’une revanche en 37. Il a fait partie de la 8ème Olympiade des échecs, qui a eu lieu à Buenos Aires. Il a remporté 9 médailles d’argent.

    Emmanuel Lasker

    Il est né en Allemagne, le 24 décembre 1868. Dès son plus jeune âge, il est doué pour les mathématiques et les échecs. En 1889, il a reçu le titre de maître allemand. Emmanuel était connu pour sa capacité à analyser et découvrir les faiblesses de ses adversaires avant de capitaliser sur leurs forces. Pendant 27 ans, il a détenu le titre de champion du monde. Il est mort à 72 ans.

    Lasker, alors âgé de seulement 25 ans, remporte le match contre Wilhelm Steinitz en 1894 pour devenir champion du monde. Comme il a été champion du monde de 1894 à 1921, il est toujours considéré comme l’un des plus grands joueurs de tous les temps. Il a ensuite été battu par Capablanca. Beaucoup de gens se souviennent de lui après la victoire de 1914 contre Capablanca, qui s’est déroulée à Saint-Pétersbourg. Six des huit matches majeurs qu’il a disputés en tant que champion dans sa carrière, il les a remportés.

    Mikhail Botvinnik

    Il est né à Vyborg le 17 août 1911, puis s’est installé en Finlande le 17 août. Il a appris les échecs dans son enfance, comme tous les autres joueurs d’échecs. Il a été élevé à Saint Petersburg. En 1931, il remporte le premier titre de champion d’URSS. Il remportera encore 5 fois le championnat d’URSS entre 1933 et 1952. Comme en 1941, il a été le vainqueur du champion absolu de soviétique. La FIDE a invité six personnes à déterminer le champion en 19546 après la mort d’Alexander Alekhine. Il a pris part au jeu et, en 1948, a remporté le tournoi du championnat du monde de la FIDE. Il a ensuite conservé le titre après avoir joué contre David Bronstein en 1951. Il a remporté le match pour conserver son titre de champion en 1958 en jouant un match retour contre Vasily Symslov. De même, il a conservé le titre de champion du monde de la FIDE en 1960 après un retour de match. Il se retire des matchs de championnat en 1960. Ses calculs profonds et ses compétences en fin de partie sont ce que la plupart des gens retiennent de lui.

    Paul Morphy

    Paul Charles Morphy est un joueur d’échecs américain, né à la Nouvelle-Orléans, en Louisiane, le 22 juin 1837. Sa carrière échiquéenne ne dura que deux ans, mais il fut un joueur exceptionnel. A l’âge de 10 ans, il commence à jouer aux échecs. En 1857, il a remporté le championnat d’échecs américain. Le tournoi se déroule à New York. Il remporte cette première victoire et se rend en Allemagne, où il bat Adolf Anderssen. Le défi a ensuite été étendu à tous les joueurs audacieux. Howard Staunton, le meilleur joueur anglais, a refusé de relever le défi. La partie d’échecs, les yeux bandés, a ensuite été jouée contre huit joueurs à Paris. Il en a gagné six, mais en a perdu deux.

    Aimez-vous les échecs ? Jouez-vous aux échecs ?

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  • Miliam Miliam

    @bingo

    Sur le plan hormonal, je ne sais pas. Par contre, je n’ai jamais parlé d’amusement en ce qui concerne les psychopathes. Et tous les psychopathes ne passent pas forcément par la case criminalité. Parler des délits c’est important aussi. Le psychopathe ce n’est pas le grand méchant sadique comme dans les films. C’est des stéréotypes et en aucun cas la réalité.

    Également, je n’ai jamais dit que certaines personnes sont prédisposées à devenir mauvais. J’ai expliqué que certaines personnes, en fonction de plusieurs facteurs (inné, acquis, famille, personnalité etc.) ont des facteurs de risque d’avoir une pathologie. Pathologie ne veut pas dire mauvais même dans le cas de la psychopathie. La notion de mauvais renvoi aux ressentis, au jugement. Là, je me dégage de tout jugement de valeur. Je n’ai pas parlé de facteurs de risque dans mon message précédent mais ça allait en ce sens. Je n’ai peut être pas été assez claire. En tout cas, cela reste des facteurs de risques et en aucun cas une fatalité. Certaines personnes ne déclareront jamais une pathologie mentale alors qu’ils avaient les facteurs de risque. Les professionnels parlent parfois de résilience par exemple, ou encore des ressources internes des personnes. Dans certaines pathologies, y’a des transmissions familiales à différents aspects et pas que au niveau de l’héréditarité. Y’a des personnes qui déclarent une pathologie mais y’a déjà des facteurs de risques qui peuvent être pris en compte quand on voit le fonctionnement familial par exemple. Mais ça ne veut pas dire que ces personnes vont déclarer une pathologie. Par contre, dans la psychopathie il me semble que y’a des facteurs héréditaires en effet. Après, la psychopathie ne relève pas de mon domaine de compétence donc je ne peux pas affirmer ou infirmer grand-chose. Mais ramener à des fondamentaux et savoirs que j’ai acquis dans ma formation.

    En fait, il y a le diagnostic de psychopathie mais il y a aussi la personne que l’on rencontre. Une pathologie ne définit par une personne et il ne faut pas, à mon sens, la déshumaniser peu importe la pathologie. Y’a une histoire de vie derrière qui explique le pourquoi du comment une personne est comme ça. Et ça peut parfois paraître tabou vis-à-vis du grand public mais c’est une réalité de terrain des professionnels de la santé qui travaillent dans la champ de la pathologie mentale.

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  • Miliam Miliam

    @icescream
    Courage ❤ ! Je te souhaites d'aller mieux !

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  • Miliam Miliam

    @koursk
    J'ai beaucoup aimé <3. Les séries sont déjà géniales, mais alors le film... vraiment super ! On retrouve l'humour, tout ce qui fait Kaamelott. Un vrai plaisir des yeux et des oreilles. Le costume de Lancelot ne devait pas être pratique par contre ah ah. Mais c'était un super moment. Et je trouve que le film amène un petit vent de fraicheur. C'est-à-dire que même si l'humour reste le même, y'a de nouvelles répliques cultes et des nouveautés. Rien que mettre en pratique un jeu du pays de Galles ! Je trouve que ce n'est pas faire du Kaamelott pour faire du Kaamelott et essayer de caser des trucs pour que ça ne se casse pas trop la gueule. Non, je trouve que c'est vraiment bien travaillé, pensé etc. Les musiques omg ! Qualité Astier quoi ! Que ce soit pour Kaamelott ou autre chose, il n'est pas suffisant et son travail est vraiment très qualitatif. Et à mon sens, c'est quelqu'un de brillant qui sait réfléchir, penser. Le film suit clairement la série... l'état psychologique d'Arthur, sa relation avec Guenièvre etc., non franchement, je n'ai pas grand-chose à dire de négatif. Je ne me suis pas ennuyée une seule seconde, le scénario est bien construit, les effets sont top alors que niveau budget il me semble qu'il en avait pas des masses, les costumes sont sympas, les dialogues tout autant.

    posté dans Films En lire plus
  • Miliam Miliam

    C'est pas nouveau que le 49.3 soit utilisé, bon nombre de gouvernements l'ont utilisé et parfois bien au-delà de 4 fois.

    Rocard : 28 fois.
    Cresson : 8 fois.
    Valls : 6 fois.

    Après c'est sûr que quand ça vient du gouvernement Macron, on peut s'inquiéter. J'ai comme l'impression qu'ils font leur loi et n'en font qu'à leur tête.

    posté dans France En lire plus
  • Miliam Miliam

    Au début, c'était par praticité car j'habitais loin de ma ville natale donc revenir à chaque fois avec ma télé et ma console, c'est juste pas possible. Donc j'ai opté pour le PC et à vrai dire, je préfère maintenant jouer sur PC. Si jamais, j'ai une manette pour certains jeux. D'ailleurs, les jeux coûtent la plupart du temps beaucoup moins chers, y'a des soldes réguliers voire des jeux gratuits toutes les semaines sur une plateforme. Par contre, la Switch me tente bien (même si finalement j'ai un émulateur qui me permet de jouer aux jeux de cette console).

    posté dans Parler Jeux En lire plus
  • Miliam Miliam

    @shanna

    Comme tout professionnel de n’importe quel domaine, je perçois des choses. Comme le boucher sait voir une bonne viande, un menuisier un bois de qualité… oui je remarque des choses chez les gens. C’est tout-à-fait normal mais ce n’est pas de l’analyse. Et non, je n’analyse pas, je n’ai pas d’avis à donner sur les gens ou les problèmes qu’ils peuvent me confier. L’analyse se déroule dans un cadre bien précis. Je n’analyse pas mes amis, ma famille, les gens. Un ami c’est un ami, la famille c’est la famille, le boulot c’est le boulot. Je ne sais pas si les gens se rendent compte à quel point ça peut être déjà épuisant en consultation alors si je devais m’amuser à analyser les gens que je croise… j’aurais pas fini.

    posté dans Sciences Humaines et Sociales En lire plus
  • Miliam Miliam

    @Kachina
    Ah je ne connaissais pas ! Je connaissais le Henné mais pas une teinture végétale à base d'argile !

    posté dans Carte blanche En lire plus
  • Miliam Miliam

    Je suis fan du groupe Queen depuis au moins le début de mon adolescence. Mon père avait des cd que l'on mettait dans la voiture. Quand le film est sorti, je ne voulais pas le voir. J'avais peur d'être déçue, de me dire que c'est encore un film "à la con". Finalement, quand plusieurs personnes de mon entourage m'ont dit qu'il était vraiment bien, j'y suis allée. Comment vous dire que j'avais des étoiles pleins les yeux comme une gamine ? J'ai beaucoup aimé le film, l'acteur a réalisé tout un travail. J'ai même pleuré à certains moments. Le film est beau, captivant, validé par Queen aussi. Quand j'étais ado, mon rêve était de voir Queen en concert quand mon père m'avait dit que le chanteur était mort. J'étais tellement déçue. Alors ce film ne ramène pas Freddie mais c'était un tout petit peu comme si je les avaient vu en concert.

    posté dans Films En lire plus
  • Miliam Miliam

    Je trouve cela profondément triste. D'un côté comme de l'autre. Perdre un proche aussi tragiquement... je n'ai pas les mots qui pourraient décrire ce que je pourrai ressentir. Mais être soi-même responsable d'avoir tué quelqu'un sans le vouloir et sous l'emprise de drogue... je me sentirai profondément mal. Là on en parle parce que c'est une personne connue, seulement ça arrive aux personnes qui ne le sont pas. Je crois que Pierre Palmade est dépendant / addict' à la cocaïne si je ne me trompe pas (à vérifier) et si c'est le cas, malheureusement la dépendance prend le dessus sur beaucoup de choses dans notre vie. J'espère non-seulement que la justice fera son travail mais que lui de son côté sera suivi, aidé, accompagné pour se sortir de sa dépendance. Notamment parce que même si son permis est suspendu à vie ou temporairement, ça ne règlera pas le fond du problème. Et parfois la dépendance implique le fait d'être un danger pour soi-même et les autres sans forcément passer par la case permis de conduire.

    posté dans France En lire plus
  • Miliam Miliam

    J'ai acheté Kena en solde :3 ! Il a l'air chouette !

    posté dans Parler Jeux En lire plus
  • Miliam Miliam

    @shanna
    De rien :).

    Oui tout-à-fait, surtout que c'est un métier qui n'est généralement pas bien compris donc en général, soit les gens me prennent pour leur psy, soit ils s'en fichent, soit ils ont des craintes ou encore sont vachement critiques. J'ai un peu de tout. Sauf que psychologue ne me définit pas. Y'a un humain derrière le psy x). C'est comme t'as des gens qui ont déjà sorti à des collègues "ah bah pour une psy, c'est pas joli joli" ou encore "ah t'es psy et tu te comportes comme ça ?"... mais le psy est humain et lui aussi fait des erreurs ou peut insulter quand on lui casse les pieds (pas en consultation naturellement mais au quotidien - personnellement je râle beaucoup sur la route ah ah). C'est vraiment agaçant car les gens qui disent ça ne comprennent pas le métier de psychologue et n'y connaissent pas grand-chose. C'est comme si j'allais juger une personne qui fait son boulot alors que je n'y connais rien. Je crois que ça agacerait tout le monde.

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  • Miliam Miliam

    Je m’aperçois depuis quelques jours que je ne suis pas comme d’habitude. Je ne me reconnais pas trop. Ce qui m’a fait dire cela, c’est que je m’énerve facilement et pour des choses que je trouve parfois insignifiantes ou même, je ressens que je suis tendue. J’ai du mal à lâcher prise. Là où d’habitude j’ai plutôt un recul et je prends les choses autrement. Je suis même assez calme et posée.

    Pour exemple, récemment j’ai eu l’AG de ma copro et j’ai eu affaire à un voisin faisant de la manipulation psychologique aux autres copropriétaires (culpabilisation, menaces etc.) parce qu’il a des différents avec le syndic dont il est responsable et non-pas le syndic. En temps normal, je serai passé au-dessus ou j’aurai glissé des subtilités en mode bienveillance mais j’y suis allée assez frontalement. En ce moment, j’ai du mal à rester dans mon crédo de la bienveillance.

    D’autres exemples encore me viennent en tête.

    Cela fait plus d’un mois que je suis malade à cause des enfants qui me refilent leur crève. Je dors mal, mon sommeil est perturbé, je ne fais plus de nuit complète et correcte depuis des semaines. Du coup, je me sens plus irritable, parfois des petites choses vont me contrarier.

    Dans ma famille, c’est compliqué aussi. Entre le décès de mon chat qui m’affecte pas mal (d’ailleurs, ça va être les premières fêtes sans lui, j’en ai déjà les larmes aux yeux rien que d’y penser), mon frère qui ne va pas bien du tout au niveau de études (il frôle le burn-out) alors je suis là pour lui car il ne veut pas en parler aux parents pour ne pas les inquiéter. Aussi, j’appréhende toujours les fêtes dans ma famille car je sens que c’est un sujet tendu. Encore avant-hier, je demande à mes parents si je les voient le 24 (car le 25 on se voit mes parents, les parents de mon conjoint et mes parents ne m’ont rien dit pour le 24). Notamment parce que mon conjoint voulait qu’on se fasse Noël tous les deux vu que le 25 on voit nos parents. Je ne savais pas trop car vu le passif de ma famille, c’est toujours compliqué. J’en ai marre que ce soit compliqué. J’aurai bien dit oui à mon conjoint mais je sentais que je ne pouvais pas dire oui par rapport à ma famille. Quand je demande si je viens le 24, mon père me dit que oui et ne s’offusque pas. Ma mère qui me rappelle des heures plus tard (parce qu’elle se pose certainement des questions et a des inquiétudes - d’ailleurs, rien que de le savoir ça me saoûle) et j’ai cru que j’allais déclencher une guerre pour avoir posé cette question. Elle a commencé à monter en pression toute seule, en usant de manipulation pour savoir pourquoi j’ai posé cette question (et ça, ça m’agace - puis-je poser une question sans qu’il n’y ai de retombée ?). Heureusement, j’ai su gérer. Surtout qu’elle a une problématique autour de l’abandon, elle a du mal à gérer ses émotions… le relationnel avec ma mère est compliqué bien que je l’aime. Elle a des comportements toxiques liés au fait qu’elle a peur d’être abandonnée donc son appel ne m’étonne guerre car c’est clairement en lien avec ça. Mais j’en ai marre de payer ses comportements car elle a des problèmes depuis des années, que j’en ai beaucoup souffert, qu’elle en est consciente que y’a quelque chose qui ne va pas mais ne fait rien pour régler ses problèmes. Et plutôt que de lui dire la vérité, gourde que je suis, je lui ai menti en lui disant que j’étais très fatiguée et que je n’avait pas fait attention. C’est un demi-mensonge dans un sens car il est vrai que je suis très à l’ouest en ce moment car je me sens épuisée, fatiguée. Je sais, c’est pas bien, c’est con même. Pourquoi lui cacher les choses ? Mais ma mère a des côtés imprévisibles et je ne sais pas toujours comment réagir.

    Une amie qui est exécrable quand on fait des soirées alors qu’en l’espace de plus de 10 ans que je la connais, elle n’a jamais été comme ça. Du coup, je suis un peu énervée mais j’essaye de me raisonner donc finalement je suis aussi inquiète pour elle. Depuis sa nouvelle et fraîche relation, je la trouve changée et pas forcément dans le positif. Je me demande si elle est vraiment heureuse pour casser ses amis ou passer ses nerfs dessus. Et quand on lui dit ce qui ne va pas, on se trompe et ce n’est pas vrai.

    Une autre amie qui me fait des reproches parce que je n’ai pas pris de ses nouvelles durant un mois alors que j’ai eu beaucoup à gérer ces derniers temps. Elle pouvait m’envoyer aussi un message pour prendre de mes nouvelles, ce n’est pas interdit. Je lui ai expliqué calmement ce que je vivais ces derniers temps mais je ne me sens pas vraiment comprise. Et sa réflexion du début « pas de nouvelles, bonne nouvelle ? » m’a assez affecté. Elle m’avait déjà reproché que je ne lui envoyait pas de messages il y a quelques mois alors qu’elle ne répondait pas à mes messages. À un moment, j’ai abandonné, je me suis dit que comme elle est en dépression, elle a peut être besoin d’être seule et elle reviendra quand elle reviendra. Et bien non, pour elle je devais lui en envoyer même si elle ne répondait pas car elle lisait quand même les messages. Elle m’avait dit s’être sentie abandonnée etc. En gros, je me suis pris des reproches limite comme si je n’ai pas assuré dans mon rôle d’amie. Pour moi, je l’ai vécu comme quelque chose d’injuste. Notamment parce que quand j’étais aussi en dépression, je n’avais pas de nouvelles de sa part et je n’en ai jamais fait toute une histoire parce que je me disais qu’elle avait sa voir. Je le ressens comme étant faire des histoires pour rien mais je me dis aussi qu’elle est en dépression et que ce n’est pas facile pour elle, qu’elle ne se rend pas compte etc.

    En fait, je ne me sens pas que en colère mais assez triste, fatiguée, usée. J’en ai marre de faire en fonction des gens, d’être touchée par leurs comportements alors qu’en soi je ne devrai pas être touchée par ça. Y’a plus grave dans la vie. Et puis, j’ai du mal à récupérer alors en ce moment, je crois que j’accumule pas mal. Du coup, le point positif c’est que je prends soin de moi et je me remets en question, je travaille aussi sur moi.

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  • Miliam Miliam

    @chickais
    J’ai un copain qui se fait contrôler régulièrement que ce soit dans la rue comme en voiture, il est français et de couleur noire. J’ai une amie qui est française d’origine algérienne qui se fait contrôler plusieurs fois dans l’année quand elle prend le train et que y’a la douane (alors qu’elle ne contrôle pas forcément les autres passagers) comme en voiture par la police.

    J’ai je ne sais combien d’année de permis, je me suis faite contrôler deux fois en tout. Mon grand-père ne s’est pratiquement jamais fait contrôler de sa vie alors qu’il avait un vieux Berlingot pourri, même pas en norme/état pour circuler. Si il avait été contrôlé, sa voiture aurait été saisie car c’était un danger public.

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