Rêvant de courir nu sous la pluie
Sans crainte des paparazzi
Ou à l'ombre confortable
Bercé dans mon hamac
Par cette insupportable canicule
A boire et à bailler
En me grattant les testicules

Si @ytica passe dans le coin et veut bien jouer avec
...avec cocktail et azur bien sûr
voilàvoilà, j'ai trop honte, 3 jours en mode invisible...

Yaho et Tsétsé aimaient à grimper sur leur BAOBAB fétiche
De la haut, ils pouvaient observer les ELEPHANTS et veiller sur eux
Car dès que des braconniers approchaient, ils couraient prévenir le chef de leur village
Mais ce qu'ils attendaient avec impatience, c'était l'arrivée des touristes venus pour le SAFARI photo
Alors le spectacle pouvait commencer, Yaho et Tsétsé ouvraient tout grands les yeux
Ces hommes et ces femmes tout de blanc vêtus, gesticulaient, criaient, riaient
Ils vont attirer tous les prédateurs des environs se dit Yaho
Le chef leur avait bien dit de ne pas tourmenter ces visiteurs
Mais c'était plus drôle que de garder les chèvres !
Comme le jour où la vielle lady au visage sévère leur avait demandé
"Où sont les toilettes, petit ?"
Sa grimace inoubliable lorsque Yaho lui montra les buissons non loin du village !
Et que Tsétsé lui criait en s'enfuyant "Faites attention aux serpents !"
Ils étaient plutôt gentils, ils leurs donnaient souvent des fruits sucrés aux gouts inconnus,
emballés dans du beau papier
La vielle Aloé avait même eut l'idée de confectionner une médecine qu'elle appelait
"Mon secret de longévité" qui se vendait très bien aux dames un peu ridées
Elle seule en connaissait le secret enfin yaho aussi puisque c'est lui qu'elle chargeait d'en recueillir les ingrédients
Les EPICEs et les plantes cela ne le gênait pas, mais l'urine de singe ca c'était plus difficile
surtout que les chimpanzés le reconnaissait de loin maintenant, ils le bombardait de leurs crottes en riant
"Un jour, quand nous seront grands, moi et Tsétsé nous aussi, nous irons leurs rendre visites dans leur village et nous allons bien nous amuser !"

"Comme j'aurais voulut le voir ce légendaire PHARE d'Alexandrie, en compagnie de Marc-Antoine et de Cléopâtre
Visiter les EXOTIQUES jardins suspendus de Babylone dans l'ombre d'Alexandre Le Grand
Encourager les valeureux spartiates aux Thermopyles, ou découvrir l'Amérique caché à bord de la Pinta sans OUBLIER la Chine et sa grande muraille"
Elle était pourtant bien ma rédaction
Ils m'ont privé de télé, trop de mauvaises notes ce trimestre
Pas assez attentif, trop d'imagination, qu'ils ont marqués sur mon carnet de liaison
Je me fiche bien de la télé, dans les livres, Je voyage à l'INFINI,
Avec mon cartable comme seul bagage

PAPEETE . Dernière escale …C’était aussi le lieu de rendez-vous qu’il lui avait fixé…

Elle avait passé la nuit sur la plage arrière de son voilier et venait de se réveiller. Elle fixait l’océan. Elle ne s’était jamais senti plus vivante. Il ne lui fut pas si difficile de choisir le meilleur antidote pour oublier les DECEPTIONs du quotidien. Un matin, elle avait décidé de partir à la découverte de nouveaux paysages, au HASARD, histoire de défier son destin.

L'élément phare à ses yeux, de briser net les cordes du convenu, . et surtout d’empêcher le temps de s’écouler de façon irréversible, était de naviguer . Elle en avait parcouru des miles , contourner bien d'IMPROBALEs frontières, pour parvenir jusque là.

Maintenant elle naviguait. Il lui manquait. Chaque jour, il lui apparaissait avec une intense précision. Elle avait hâte de retrouver ses muscles, de renouer avec ce plaisir gustatif. "L’absent" était devenu une évidence .La distance semblait même les rapprocher même si elle ignorait encore si il viendrait et quand ?….

Lisa venait d’accoster. Elle n’avait pas pu le joindre et le prévenir de son départ hâtif.. mais elle ne pouvait plus l’attendre . Ses bagages se réduisaient à un petit sac à dos pour n’être encombrée que d’un seul but : le retrouver.

Etait-ce lui sur la plage, qui s’obstinait à scruter cet espace infini ?. Son voilier avançait doucement, sur la proue, se détachait en lettres capitales son prénom : L I S A

C’était comme si la mer venait de lui renvoyer ses EMOTIONs ! . Elle ne s’attarda pas plus, plongea et nagea jusqu’au port.

  Comme ma muse à moi fait le pont, je plagie...Katchina  p.191

"En dépit de toutes les subtilités du monde et du bien qu'on prend où on le trouve, un plagiat n'en est pas moins un plagiat, comme un chat est un chat. Mais s'inspirer d'un maître est une action non seulement permise, mais louable."
-Alfred.de Musset-

“Prenez mes idées, j'en aurai d'autres.” -Coco Chanel-

               LA GESTE DU CHEVALIER DE MALADRESSE                      

D'un triste sire, j'étais la prisonnière, dans sa tour enfermée
De m'en sortir, mon soupirant, eu l'idée
Enfourchant son IMPROBABLE monture
Le pont-levis il prit d'assaut
Quelles EMOTIONs, quelle belle allure !
Mais il Rata sa cible et tomba dans l'eau
Qu'il est touchant mon chevalier
Dans son armure toute rouillée
Le voilà qu'il remet ça!
Traverse les douves et fait naufrage
Il ne va pas s'arrêter là
La DECEPTION ne nuit point à son courage
Munit d'une échelle, il entreprit l'ascension
Mais une fois de plus, rejoignit les goujons
Le HASARD faisant bien les choses
Il y avait un escalier
Que la vie serait morose
Sans mon entêté chevalier
Le cœur est son droit
A mon aimé maladroit

J'ai bricolé quelque chose pour essayer de me rattraper

Dans la pièce, seuls les ENGRENAGES de l'horloge qui indiquait le quart de 15 heures, se faisaient entendre, ainsi qu'un chuchotement venant de derrière le lourd rideau

• "Holmes, que faisons nous ainsi camouflés, dans la bibliothèque de lady Althéa, par une si belle journée de PRINTEMPS ? vous ne m'avez encore rien dit !"
• "Des objet disparaissent mystérieusement, elle nous a engagé pour résoudre cette énigme"
• "Quel genre d'objets?
• "Un tableau représentant le portrait d'un jeune homme et une tour Eiffel miniature"
  Watson allait ajouté quelque chose, mais resta muet la bouche grande ouverte..
  Un cercle lumineux venait d'apparaitre au beau milieu de la salle, il scintillait, hésitant entre le jaune doré et le VERDATRE.
• "Dieu-du-ciel ! " souffla Watson au bord de l'apoplexie
  Un pieds chaussé d'une bottine surgit du cercle, puis un pantalon chino suivit d'une redingote et à l'intérieur, un petit bout de femme surmontée d'un chapeau haut-de-forme !
• "Remarquez, Watson, comme ses bottines sont lacées minutieusement !" murmura Holmes, aucun détail ne lui échappe, tout le monde le sait.
  La petite silhouette sautilla avec aisance jusqu'au bureau, se saisi d'un sablier cuivré qui soutenait un livre d'Oscar Wilde, et s'en retourna vers le cercle.
• "Maintenant Watson !"
  Les deux gentlemen surgirent de leur cachette d'un seul homme, mais se prirent les pieds dans le tapis et s'affalèrent l'un sur l'autre
  Après un clin d'oeil ,un sourire malicieux et l'exposition de son appendice lingual, la créature sauta vivement dans le cercle qui vibra et enfin disparut
  -"Watson, je vous défend de mentionner ces EVENEMENTS dans vos chroniques, vous m'entendez ,! et relevez vous, vous m'écrasez !"
  Le docteur lui souffla dans le cou "De toute façon, qui le croira ?"

Supplices des nuits sans sommeil
Peuplées de lourds cauchemars
Boulets aux pieds, sursauts au réveil

Nuits légères, rêveries un peu mièvres
La tête dans les nuages
Au matin debout, sourire aux lèvres

Voltige et Cabriole. et c'est pour qui ?

Comme suis en vacance à partir de lundi, je serai moins présent
J'en mets un autre (plus personnel) pour la route

P'tite tête de pioche, qu'a rien dans la caboche
Les bêtises de gamin, c'est la faute aux copains ?

P'tite tête de con, d'ado avorton
Qu'a ramené les flics à la maison
Fils indigne, c'était mauvais SIGNE
Mais t'as pas compris le MESSAGE, t'es pas resté sage
Si t'as volé, c'est la faute à la société ?
La connerie aux AGUETS, t'as recommencé
Pour TRANSPORTER ces paquets, fallait être discret

P'tite tête de majeur, qui assume ses erreurs
Qui ancre ses deux pieds, dans la REALITE
Rêvant de grands ESPACES, faut bien qu' jeunesse se passe
Il était temps de t' prendre en main, t'es plus un gamin

J'en ai fait voir de toutes les couleurs, à mes parents travailleurs

Je ne sais pas si ça a déjà été posté mais si vous cherchez une babysitter...

Le chat a bondi sur l’enfant
Comme une mère surveillant ses petits, le chat ne quittait pas des yeux l’enfant marchant à quatre pattes. Et, dès qu’il a vu ce dernier s’approcher de la porte ouverte et de l’escalier, il a bondi sur lui, lui a sauté sur le dos, l’obligeant à reculer. Ensuite, pour que le bambin ne recommence pas, le chat est resté en sentinelle devant la porte.
En rentrant chez elle, la mère s’aperçoit que son enfant n’est plus dans son parc. Et c’est en visionnant sa caméra de surveillance qu’elle a vu comment le chat de la famille avait sauvé l’enfant d’une chute dans l’escalier.

Histoire vécue

Je sais qu'il est là, tapis dans la pénombre, comme chaque nuit, prêt à prélever sa dose
Le vampire embusqué, à tricoter de nouveaux tourments
Ca y est, je l'entends, est il à gauche ? À droite ? Il s'approche, il s'éloigne, il revient,,,
Il me nargue ce fichu moustique, auteur de mes insomnies
Mais je connais ses tactiques à ce sacré loustic
Alors je brandi ma tapette et saute sur le lit en poussant mon cri de guerre
Il faut les grands moyens contre un guerrier sanguinaire
Et je fouette en bas, et je fouette en haut, et je tournicote comme un derviche tourneur
Enfin je tente une feinte, puis le silence, plus rien,,,,
Je l'ai eu ? Oh oui je t'ai eu, criais-je au beau milieu de ma chambre en désordre
Epuisé, je m'endormis en souriant béatement d'avoir vaincu
Pour me réveiller au matin avec un gros bouton sur le,,,

Je vous remercie en passant de m'avoir fait une place si douillette, vive le plume-art

Toute ressemblance avec des personnes ou des situations ayant existé blablabla...

Le secret de Laura

Pour tromper l'ennui de ce pays exotique
C'est au bal du gouverneur, qu'elle se rend ce soir
Au bras d'un prince, elle devra danser
Ou peut être bien celui d'un officier
Mais faisant fi des conventions
Avec légèreté et discrétion
Dans le parc, elle se faufila
Son rendez-vous l'y attendait
Comment aurait elle pu oublier ?
Sous le phare, elles vont danser
A l'infini, elles vont valser,

• Cela n'est plus possible Armand !
• Quoi donc Elisabeth ?
• Mais les vents de Victor, qu'il fait au moindre effort !
• Il n'est pas question de le remplacer, il a servit mon père dans les colonies et lui à même sauvé la vie pendant les EVENEMENTS Afghan, et puis cessez de rimailler c'est agaçant à la fin !
• Je n'y peux rien, c'est comme un ENGRENAGE sans fin
  et ne faites pas diversion, vous savez qu'il tremble et qu'il a la vue qui baisse
  Hiers je l'ai prié de changer l'eau VERDATRE du bocal à poisson
  Des pieds à la tête il s'est mouillé
  Veston et pantalon !

" glinglinglingling!"

• ah, on a sonné, qui cela peut il être ?
• mais non c'est Victor qui amène le thé, ne soyez pas bête
• merci Victor, vous pouvez disposer
• Vous avez vu ? ne faites pas l'innocent !
  Au PRINTEMPS de l'année dernière
  En servant la comtesse, il a basculé en avant
  La tête dans la soupière !
• Effectivement, nous nous y sommes mis à trois pour l'en retirer, et comme cocher il ferait l'affaire ?
• C'est imprudent, vous n'y pensez pas, il s'assoupit sans crier gare!
• soit ! je vais y penser sérieusement
  mais arrêtez de rimer
  nous ne sommes plus des enfants
• Armand, vous avez rimé !
  Gêné, Armand reprit sa lecture du "TEMPS"

L'impatience me gagne, je garde espoir de vous relire sans retard et que vous me contiez par le menu vos folles virées en goguette.
(Avec photos à l'appui)

"Voyons Helmut, cachez votre impatience, elle est en retard parce qu'elle à l'espoir d'être la plus jolie femme de la soirée !"
"Ach so, la petite goguette"
( je sais, c'est mauvais mais ça meuble)

Le retard et l'espoir nourissent l'impatience des fêtards en goguette

Du haut de la cathédrale, perché sur une gargouille, le bossu observait le point noir sur le parvis.
Si lointain et pourtant il devinait les sombres pensées du prêtre
Un sillage se formait dans la foule de gueux, de mendiants et de ménagères, traçant un sentier comme un souffle sur la poussière
Qu'il l'attendait !, qu'il l'espérait !, qu'il la rêvait sa venue !
Elle entendait la populace susurrer des insultes qu'elle n'écoutaient pas
Ignorant les regards étonnés ou embués de jalousie
Avançant tête haute, provocante, l'envoutante Esmeralda apparu
D'émotion, Quasimodo glissa de la statue. Lorsqu'il se releva, il vit son reflet dans une flaque d'eau.
Alors tous ses espoirs d'être aimé en retour partirent en morceaux

2 - Cruella