Jean-Marie Cavada présentait une "Marche du Siècle" sur la Résistance, en présence d'un public. Le sujet était la Résistance. A la fin de l'émission, il remercie les invités, et n'oublie pas de mentionner Monsieur Untel qui aurait du être là mais qui n'y était pas. Et on entend au fond de la salle un mec qui gueule : "Il est mort !"
Grand silence.

Les futurs roi Guillaume V et Georges VII d'Angleterre ont une ancêtre directe native de ma commune (Louis de Kéroual).
Sinon, un maire que je soupçonne à juste raison de trafic financier.

Demain soir, nous aurons bouffé les 2/3 de cette année de merde.

Je suis définitivement dégoûté du Cyclisme. Même les "amateurs" reçoivent des "remontants". C'est un ancien copain de travail qui me l'a dit (il courrait dans le temps).

"Louis XVII et les 101 prétendants". Maurice Etienne et Jacques Hamann.

J'ai croisé durant deux secondes le regard de Jacques Villeret à Orly. Il s'empiffrait avec un copain dans un des restos de l'aéroport, le pauvre gars. J'ai croisé aussi le regard de Brice Lalonde, à une manifestation anti-nucléaire à Plogoff. Il était venu incognito en couple, avec deux amis. Ces deux-là ont du se dire "Un casse-couille qui va demander un autographe". Mais je ne suis pas comme cela.
Je me suis entretenu une minute avec le Comte de Paris en 1987 à la mairie de Brest (exposition pour le "Millénaire capétien". J'avais un service à lui demander. Sans suite.
J'ai croisé dans ma banque Jo Le Guen, le rameur de l'Atlantique et autres contrées.
J'ai vu Yann Tiersen à Ouesant faire des photos sur une plage.
Sinon, Jean Desailly qui promenait son chien, à Paris. Jacques Perrin, sur la même rangée que moi dans un avion.
Et vu de loin pas mal de gens connus (dans la rue, concerts gratuits d'Europe 1 l'été, Topaloff faisant le camelot dans un supermarché...).

Quand on m'a opéré des amygdales et végétations en 1968 (à 7 ans); j'ai eu le droit à "Tintin en Amérique". Un jour que j'ai feuilleté l'album, mon malabar rose est resté collé sur une page. La trace y est toujours.

Tintin, c'est pour les enfants; Astérix, c'est plus complexe à saisir.

Des pros !

Saviez-vous que la principauté de Monaco s'étendait jusqu'à la frontière italienne jadis ?

Toute cette affaire de régions a bien du occuper nos chers politiciens et hauts-fonctionnaires surpayés pendant des mois. A défaut de résoudre certains problèmes très... épineux !

Ces jours-ci, il y avait deux grands championnats cyclistes dans le Morbihan. Une coureuse (qui a eu l'argent et l'or) a déclaré : "Je ne supporte pas de perdre; j'aime bien entendre les gens m'acclamer". Est-ce vraiment sportif comme attitude ? Quand on voit Poulidor qui a toujours été charmant malgré sa déveine de ne jamais avoir gagné le Tour de France !

Ma femme avait 19 ans quand on est sorti ensemble (je la connaissais comme ça depuis un an). Elle était un peu enrobée, c'est vrai. Elle a perdu 25 kgs dans les premiers temps de notre vie commune (elle mangeait pas mal de saloperies avant). Elle a 54 ans maintenant et je voudrais bien qu'elle reprenne 5 kilos, pour avoir un peu de réserve. Rien à faire !
Ne vous entêtez pas à vouloir perdre toujours plus; ce n'est pas bon pour la Santé au final.

Intuition, voyance, transmission de pensée...

En vacances, ma femme téléphone un jour à sa mère d'une cabine. Elle raccroche et me dit : "Tu ne sais pas ?". Et je réponds : "Ta soeur est enceinte !". Et elle venait d'accoucher quatre mois plus tôt !

Début février, j'ai dit à ma femme et à notre copine veuve : "Les filles, avec l'espèce de virus qui est en Italie, je n'ai pas trop l'intention de réserver pour notre petite balade envisagée à Paris en mai ! Qu'en pensez-vous ?"

Souvent je pense à des gens que je n'ai pas vu depuis un moment, et je les croise le lendemain en allant chercher mon tabac ou mon pain.

Quand j'avais 15-20 ans, je m'amusais à faire des prédictions avec un pendule. Des choses du genre "Qui ne sera plus chef d'état d'ici six mois dans le Monde ?". Cinq fois sur cinq j'ai visé en plein dans le mille. Ces curieuses choses se sont arrêtées avec la fin de l'adolescence. On dit que les jeunes sont très réceptifs. Un jour, tout cela sera scientifiquement expliqué.

Comment voulez-vous que règne la quiétude quand tout ce que nous pourrions produire en France est fabriqué à l'Etranger (engendrant ainsi le Désordre !) ? Un jeune qui doit se lever le matin pour aller au travail ne se couche pas à 2h00 du matin.

Dans un autre genre, pour se simplifier la vie : pour ne pas oublier quelque chose derrière vous, joignez-y vos clefs de voiture ! Vous ne risquez ainsi de ne pas l'oublier.

@Trichemire a dit dans La matraque ou le consensus façon Macron :

@erwin La dernière fois que la gauche a tenté quelque chose, c'était avec Mitterrand. On a bien vite vu les limites du plan Mauroy. Le "socialisme" n'est pas une grande perte.

Nous continuerons par défaut avec un gouvernement néolibéral, que ce soit avec Macron, ou avec quelqu'un d'autre.

Si nous voulions véritablement changer les choses, alors il faudrait revoir le fonctionnement de notre modèle de société et notre rapport à la consommation ( comme le mentionne @Kaa ). Favoriser les circuits courts serait un début.

Le château de cartes s'effondrera de lui-même. Mais à quel prix ?

A 18 ans, j'ai décidé de devancer mon Service Militaire. Voilà. A 18 ans, on est plus un gosse. A minuit, à 4h00, on me réveillait pour me dire : "C'est à ton tour de faire la garde".
J'ai eu une enfance et adolescence pas facile (parents divorcés quand j'avais 5 ans, mère tombée malade quand j'en avais 9 et décédée à 17 ans). Donc, il faut que la Jeunesse arrête de croire qu'elle est toujours une enfant. Quand j'ai eu 18 ans, j'ai pensé "Ouf !".
Quand on voit à quel stade de bêtise dans lequel se complaisent une bonne partie des jeunes et moins jeunes.

On pourrait aussi penser à gommer Poutine et d'autres ! Ca serait pas mal ! Ca changerait plus les choses !

Télégramme de Brest (en ligne).

« Dix petits nègres », l’un des romans les plus lus au monde, change de nom. Le best-seller d’Agatha Christie devient « Ils étaient dix ». Objectif : « ne pas blesser », selon l’arrière-petit-fils de la romancière.

Oubliez les « Dix petits nègres ». Le roman policier d’Agatha Christie, un des livres les plus lus et vendus au monde, change de nom, amputé du mot « nègre » dans sa version française, pour « ne pas blesser ». « Nous ne devons plus utiliser des termes qui risquent de blesser », s’est justifié sur RTL, qui a révélé cette info, l’arrière-petit-fils de la romancière, James Prichard, dirigeant de la société propriétaire des droits littéraires et médiatiques des œuvres d’Agatha Christie.

Le nouveau titre français, qui sort ce mercredi aux éditions du Masque, est « Ils étaient dix ». Mais il ne s’agit pas seulement d’un changement de titre. Le mot « nègre », cité 74 fois dans la version originale du récit, n’apparaît plus du tout dans la nouvelle édition, traduite par Gérard de Chergé. « L’île du nègre », où se déroule la machiavélique intrigue imaginée par Agatha Christie, est devenue dans la nouvelle version « l’île du soldat » (comme dans les versions en anglais).
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« Les éditions du Masque ont opéré ces changements à la demande d’Agatha Christie Limited, afin de s’aligner sur les éditions anglaise, américaine et toutes les autres traductions internationales », a précisé l’éditeur, contacté par l’AFP. « La traduction a été révisée selon les dernières mises à jour de la version originale, mais l’histoire en elle-même ne change pas », a souligné l’éditeur. « Quand le livre a été écrit, le langage était différent et on utilisait des mots aujourd’hui oubliés », a expliqué de son côté James Prichard.
Aux États-Unis, le nom changé dès 1940

Le célèbre roman d’Agatha Christie (1890-1976), dont le titre original est « Ten Little Niggers » (« Dix petits nègres »), fut écrit en 1938 et publié en 1939 en Grande-Bretagne. Dès sa sortie aux États-Unis, au début de l’année 1940, il fut publié (avec l’accord de la romancière) sous le titre « And Then There Were None » (« Et soudain il n’en restait plus »). La France, où le livre fut publié pour la première fois en 1940, était l’un des rares pays (avec l’Espagne et la Grèce notamment) à conserver le titre « Dix petits nègres ».

« Au Royaume-Uni, (le titre) a été modifié dans les années 1980 et aujourd’hui, nous le changeons partout », a rappelé M. Prichard. « Mon avis, c’est qu’Agatha Christie était avant tout là pour divertir et elle n’aurait pas aimé l’idée que quelqu’un soit blessé par une de ses tournures de phrases (…). Ça a du sens pour moi : je ne voudrais pas d’un titre qui détourne l’attention de son travail. Si une seule personne ressentait cela, ce serait déjà trop ! », a insisté l’arrière-petit-fils de la romancière.

Ce changement de titre intervient après qu’en juin, aux États-Unis, la plateforme de streaming HBO Max avait fait polémique en retirant temporairement de son catalogue le film « Autant en emporte le vent », en arguant que ce film (de 1939) « dépeint des préjugés racistes qui étaient communs dans la société américaine ». Le film a depuis été remis en ligne, avec une introduction présentant des éléments de contexte.
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« Triomphe du politiquement correct »

Adapté au cinéma (notamment avec Charles Aznavour) et à la télévision, « Dix petits nègres » est un best-seller mondial. Il s’est vendu à plus de 100 millions d’exemplaires. « C’est l’un des plus grands succès de tous les temps, c’est son plus grand succès et c’est le livre de crime le plus vendu de l’histoire », a rappelé James Prichard.

L’annonce du changement de titre du roman d’Agatha Christie a provoqué de nombreuses réactions sur les réseaux sociaux. « Il y a quelques mois encore, on était des milliers à rire de bon cœur des incultes qui s’indignaient de ce titre. Désormais, l’inculture triomphe et règne. #dixpetitsnègres », a ainsi posté le philosophe Raphaël Enthoven sur son compte Twitter. Pour le journal Le Figaro, il s’agit d’« un nouveau triomphe du politiquement correct ». Interrogé sur France Inter, François Busnel, présentateur de l’émission littéraire de France 5 « La grande librairie », a jugé « absurde » ce changement de titre. « On peut tout lisser mais un livre se replace dans son temps (…). Au lieu de juger, on devrait lire », a-t-il dit.

Ils le sont, aux bottes du Grand Capital.
Je ne suis pas spécialement "communiste". J'ai même été dans ma jeunesse à une mini-manif quand Marchais est venu à Brest (1979). Mais je suis contre le Capitalisme qui ne connait pas de limites.