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Egon
@Hilda-Van-Holp a dit dans Conséquence du harcèlement scolaire :
Atteindre le bien-être psychologique qui fait qu'on s'en fiche est probablement THE solution comme c'est le cas pour Jabba Junior. Parce que soyons honnêtes : est ce que beaucoup monde peut prétendre ne pas avoir été harcelé durant sa scolarité ?
Jamais été harcelée. Internet biaise un peu le truc et laisse croire que 90% de la population en aurait été victime au cours de sa scolarité, ce qui n'est évidemment pas le cas.
Et je suis partisane de la méthode un peu plus musclée pour calmer le jeu rapidement. La violence, c'est pas bien ? D'accord, mais le monde dans lequel l'on vit est violent à différents niveaux. Les enfants harceleurs sont eux aussi violents et le tiennent certainement d'un contexte violent dans lequel ils baignent.
Dans certains cas, il n'est malheureusement pas possible de tendre l'autre joue sinon cela est pris comme un encouragement.
J'aimerais pouvoir dire que des cours d'empathie suffiraient à remettre les enfants harceleurs sur le droit chemin mais leurs comportements n'a tellement rien à voir avec les cours, que ça frise le ridicule. Il attaquer le mal à la racine et donc l'éducation des enfants en question. Pour cela, il faut donc intervenir au domicile, poser les limites, redonner les bases et ça ne se fait pas d'un claquement de doigts. Si les parents sont défaillants, ça a aura malheureusement une influence sur les enfants toute leur vie. On peut seulement atténuer les choses à force d'action sociale. -
Egon
Ça me fait penser que dans le tram, des gens s'engueulaient par rapport au port du masque. Une nana refusait de le mettre et le ton est monté assez vite. Elle traitait les gens de moutons qui regardent trop BFMTV et persistait à laisser son masque sur le menton. Les gens sont graves.
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Egon
Je me permets de poster mon avis sur le film que j'avais déjà posté sur un autre fofo au moment du visionnage :
"Beautiful Boy. Nic est accro au crystal meth et l’on va suivre sa lutte et celle de ses proches contre son addiction : le désespoir de ses parents qui sont impuissants devant la détresse de leur fils, les désintox, les rechutes, les mensonges, les fuites en avant, le cercle vicieux dans lequel ils s’enfoncent tous au fil des années et l’espoir d’un jour meilleur qui s’amenuise à mesure que tous les efforts faits d’un côté comme de l’autre ne mènent à rien. Je trouve que les affres de l’addiction étaient plutôt bien retranscrits tout comme le désemparement des proches qui, bien qu’étant de bonne volonté, voulant aider, finissent petit à petit par lâcher prise eux aussi, pour ne pas totalement perdre le contrôle de leur propre vie.
Et puis, le film montre aussi que l’on peut tout avoir : des proches aimants, des bonnes conditions de vie, être “gifted”, faire des études, ça n’empêche pas pour autant de se sentir vide, pas à sa place ou plus exactement comme le dit si bien Nic dans le film : “I know now I need to find a way to fill this…big…black hole in me”. Et comment combler un trou noir ? On ne peut pas alors on trouve juste un moyen ou un autre de fuir son existence.
À cela, on ajoute une bonne bande son (Bowie, Nirvana, Sigur Ros…) et de jolis plans des côtes californiennes et ça donne un film plutôt pas mal." -
Egon
C'est parti pour à nouveau 7h de train. Je retrouverai enfin mon chez moi vers 23h si tout va bien. °_°
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Egon
J'ai perdu mon corps est un film d'animation français réalisé par Jérémy Clapin.
Pitchou :
Dans un hôpital de la région parisienne, une main amputée s'échappe pour retrouver le corps auquel elle appartient. C'est celle de Naoufel, un jeune homme qui rêvait d'être à la fois pianiste et astronaute. (source wiki).
C'est un film très doux, assez contemplatif, plein de poésie, avec un accompagnement musical très agréable. Je ne m'attendais pas à grand chose en démarrant le film et j'ai finalement passé un bon moment.
Avez-vous déjà vu ce film ? Qu'en pensez-vous ?
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Egon
@Hornet a dit dans Unpopular Opinion :
@djino Ma sœur aime pas les frites, le jus d'orange, le Coca... c'était le cas enfant et ado, alors que tous les enfants et ados aiment tout ça, et ça n'a pas changé
Okay, donc vous êtes une fratrie de chieurs, en fait. Comment on peut ne pas aimer les frites ? è_é
Et la vraie chantilly (celle qu'on fait maison) n'a vraiment pas grand chose à voir avec la chantilly en tube qu'on achète en supermarché. J'aime les deux mais quand y'a de la chantilly maison, j'ai tendance à sauter direct dessus là où je vais assez vite me calmer avec la chantilly industrielle.
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Egon
Bonjour à tous !
Ici Egon aux manettes pour un sujet qui me tient particulièrement à cœur.
Ce topic a pour but d’offrir un repaire aux fans de basket-ball. Vous ne le savez peut-être pas mais ça fait 4 ans que je joue au basket. Je joue milieu de terrain à l’AS Concarneau section girl. Je vous explique les origines de ma passion que j’ai toujours étouffé jusque-là :
Alors à l’âge de 9 ans à la veille du nouvel an j’étais à un repas de famille et Père avait loué un joli chalet surplombant la vallée des Singes. Les adultes de la famille discutaient de tout et de rien mais les débats se sont envenimés quand Père a décrété que les dividendes qu’il percevait dans son conseil d’administration étaient insuffisants pour subvenir à nos besoins. Du coup, moi jeune âme pure j’ai pris la poudre d’escampette. (J’aime bien dire des fois à la place « la poutre d’escampette en référence au kiki de mon premier copain hihi). En descendant les marches de l’escalier de notre chalet j’aperçus 5 jeunes d’allures modestes. Leurs chaussures étaient débraillées et souillées. Manifestement c’était des enfants de SMICARD. Mais ils jouaient à un curieux jeu. Un gros ballon orange et deux filets de pêches en guise de « panier ». J’avais déjà fait du sport auparavant comme du cricket ou du mini-golf mais là ça me semblait curieux et fascinant. J’ai interpellé l’un des jeunes freluquets qui s’appelait Jonathan. J’ai été introduite, introduite dans l’équipe hein... n’est-ce pas ? Hihi. J’ai commencé à jouer au poste de pivot et j’étais starter comme on dit aux States à toutes leurs parties les jours d’après. Je découvris la frénésie et l’adrénaline du sport à la fois de contact et d’adresse. Je me rappelle de mon premier panier marqué en junior en 2003. J’étais dos au panier et après un euro-step doublé d’une feinte de tir sur un pied j’ai fait frémir le filet. Père qui avait des contacts avec la presse d’Alsace m’a assuré la couverture du petit Strasbourgeois futé du lendemain !
Les années ont passé mais j’aime toujours autant la sensation de partir au dunk après un windmill renversé à 360 degrés. Je suis également fan de NBA depuis l’époque de Georges Eddy sur Canal + et j’ai une franchise américaine que je supporte depuis de longues années : Les Washington Bullets. Depuis que Larry Bird a joué dans cette équipe je les soutiens à fond et je pense d’ailleurs que cette année Rodrigue Beaubois à toutes les chances d’être élu MVP de la ligue. Pour moi le débat pour le GOAT n’a pas lieu d’être et mon choix du cœur est clairement Jerry Stackhouse qui a fait carrière chez les Philadelphia Nuggets. Voilà c’est tout pour moi et n’hésitez pas à partager votre passion de la balle orange tout comme moi.
PS : Depuis quelques temps le forum fait face à une recrudescence de troll, Kourski étant notamment le leader d’une révolution. Alors les plaisantins et les non passionnés de la balle orange merci de s’abstenir.Enjoy !
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Egon
@Frank Bonchoiiiiiiir ! Je préfère le chocolat perso (noir ou au lait).
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Egon
Je n'aime pas Nolan, je ne m'en cache pas. Je trouve qu'il rend ses films inutilement alambiqués et qu'ils s'avèrent souvent vides de sens au final, basant tout sur l'esthétique. Je passe donc mon tour quand son nom est accolé à une nouvelle sortie ciné.
Interstellar fait donc partie des films de ces dernières années que j'ai volontairement zappé, d'autant plus qu'il y avait une hype autour. Je ne m'étais absolument pas renseignée à tel point qu'avant le visionnage, je ne savais pas du tout de quoi ça parlait, seulement que ça se passait dans l'espace d'après ce que l'on voyait des affiches.
Mais, je connaissais la musique. Dès que je l'ai entendu, elle a fait remonter tout un tas de souvenirs qui devraient rester relégués dans un coin de ma mémoire. Je l'avais découverte en voiture. J'avais été saisie par cette bande son d'une dizaine de minutes, je me souviens que j'étais happée. On m'avait perdu pendant toute sa durée. Aussitôt, j'ai noté le nom et je l'ai longtemps écouté en boucle. Loin des musiques de Star Wars et autres OST de jv, elle tranchait complètement, comme si l'on se retrouvait pendant quelques instants coupés du reste du monde, dans un habitacle qui nous isole de l'extérieur (ici la voiture, la fusée dans le film). Vous savez cette sensation lorsque l'on découvre une musique qui nous touche au plus profond de nous dans un contexte où l'on se sent parfaitement bien. Et ce bruit de tic tac pour nous rappeler ce temps hors du temps, ce temps qui ralentit l'espace de quelques minutes alors que tout autour de nous continue d'avancer à un rythme normal. Comme l'impression de ne plus être dans le moment présent car celui-ci n'existe pas. On est projeté vers un infini sans pour autant bouger de là où l'on est, c'est la magie de la musique. Elle transfigure le quotidien et le transcende pour qu'il devienne autre que comme il nous apparaît habituellement.
Cette musique c'était déjà tout ça pour moi. Maintenant, sa portée s'élargit et en même temps permet de raviver cette sensation de plénitude dans mon esprit.
Et finalement, deux ans plus tard je prends la peine de visionner le film dans le cadre du challenge ciné du forum. Je n'ai pas été aussi émue que certains par ces 2h40 (qui se seront étalées sur environ 4h pour moi, pause pipi comprise). Mais j'ai été transportée par l'histoire et j'ai retenu mon souffle en suivant l'équipe dans l'espace. J'avais déjà compris la fin assez tôt (même si celle-ci est sujette à interprétation comme mentionné dans certains commentaires) mais dans le feu de l'action, je me laissais prendre au jeu.
Je crois que la scène qui m'a le plus marquée bizarrement, c'est celle où ils amerrissent sur la première planète et qu'ils se font engloutir par une vague énorme. Visuellement, elle est impressionnante. Scénaristiquement, elle révèle certains clichés qui vont me faire tiquer à différents moments du film.
Je trouve aussi dommage que la plupart des personnages ne soient pas développés, tout tournant autour de la relation de Cooper et de sa fille Murphy (même si celle-ci est bien retranscrite).
Puis, je déplore le retournement de situation qui, avant même de nous apparaître directement, est déjà annoncé plusieurs minutes auparavant par la musique, ça gâche tout l'effet.
J'aurais aussi préféré un peu plus de contexte sur les conditions apocalyptiques du film. Pourquoi la nourriture vient à manquer ? Qu'est-ce qui fait que mère nature se venge et laisse mourir les humains ? Qu'en est-il des animaux et de la nature en général ? Ce qui me fascine dans les univers apocalyptiques et post-apocalyptiques ce sont avant tout les causes. Plus elles sont développées, plus l'univers s'en trouve enrichi. À défaut d'être réaliste, il devient vraisemblable.Mais nous ne le cachons pas, malgré les défauts que je relève (et j'avoue avoir la flemme de tous les citer), j'ai apprécié les heures passées devant. Esthétiquement, il m'en a mis plein les yeux, il m'a captivé sur une thématique qui est loin de mes passions : l'espace et la vie en dehors de notre planète. Mais pendant ce temps donné, j'ai pu effleurer du doigt la sensation que peuvent ressentir les astronautes lorsqu'ils sont envoyés à l'extérieur de notre planète, cette excitation provoquée par l'aventure, par l'exploration et la découverte. Comme le dit Cooper dans le film, ils sont des explorateurs. On y retrouve une sensation commune à chaque type de découverte, lorsque après avoir quitté sa zone de confort et dépassé le stade de l'anxiété de ne plus être dans le connu, on s'abandonne complètement à l'inconnu, et touchons du doigt la plénitude. Cette sensation ne dure que quelques instants, elle est furtive mais tant qu'elle est là, nous ressentons par tous les pores de notre peau l'impression que nous sommes complets et en phase avec l'univers.
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Egon
@Gaip La plupart des topics existaient déjà depuis un moment, ils remontent juste un peu plus maintenant.
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Egon
Je tiens à dire que la seule personne qui a réussi à mettre un match nul à Chibi pour éviter un sans faute, c'est bibi (comment ça je boude encore après l'affront de L'histoire sans fin ?!).
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Egon
Bon bah je crois que je suis dans le caca, en fait. Ils se basent sur d'anciens droits (il restait quelques jours au lieu d'un mois complet) et n'ont toujours pas calculé les nouveaux alors que ça fait un mois que je leur ai filé les attestations employeurs. Bref, je mangerai pas ce mois-ci, pas grave j'ai des réserves.
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Egon
Stars prout, jamais de la life !
Je vote pour Hornet.
Je me suis marrée comme une keunne. -
Egon
J'ai enfin pris le temps de le voir et j'ai pouffé tout du long. Le doublage est excellent !
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Egon
Tain PE pour cracher l'argent, ils prennent bien leur temps mais pour te forcer à suivre la formation d'un prestataire alakon là ils sont rapides hein. Le truc qui m'a le plus donné la gerbe pendant l'entretien téléphonique, c'est le mec qui arrête pas de te rappeler (3 fois dans la conversation) que le RDV avec le prestataire est obligatoire du point de vue de PE sinon t'es radiée. Mais vous êtes sérieux ?! Déjà, on m'oblige à participer à un truc qui ne sert strictement à rien et en plus on me met un max de pression ? C'est vraiment de pire en pire d'être en période de chômage dans ce pays. <<