J'inaugure le topic avec celle-ci : Ça fait partie des anecdotes que mes parents adorent raconter à tout le monde même encore aujourd'hui (les parents adorent mettre la honte à leurs enfants °_°). J'avais un camarade de classe qui était aussi un de mes voisins et comme on avait le même âge (mais genre vraiment, on a qu'un jour d'écart) et qu'on avait vite sympathisé, on passait tout notre temps ensemble (que ce soit à l'école comme chez nous). On avait quoi...5, 6 ans tout au plus ? On avait un jeu qui s'appelait "le papa et la maman" pendant une période et qui consistait à imiter un peu les adultes d'après nos grandes connaissances de chtis n'enfants. Le plus marrant c'était quand on se mettait dans mon lit déshabillés et tout (je vous vois venir et les enfants sont des êtes chastes alors prout !). Une fois, la sœur de mon ami est entré dans ma chambre pour venir nous chercher et elle a vu qu'on était à poils dans le lit en train de faire semblant de dormir, elle a prévenu les parents qui sont montés et qui nous ont fâchés en nous intimant de sortir fissa du lit et de se rhabiller.
Ça peut paraître anodin mais je trouve ça plutôt marrant à plusieurs points de vue. Déjà la réaction des parents qui, d'un jeu innocent entre deux mioches, donne une connotation particulière et qui dépasse certainement l'entendement d'enfants de cet âge-là (enfin, à un certain point seulement). Et, d'un autre côté, de voir que si petits, les enfants ont déjà acquis des savoirs et des pratiques assez avancées du monde qui les entoure, seulement ils n'ont pas encore connaissance de la signification de ces pratiques.

Ze retourne dans ma ville adorée (accessoirement la capitale de Noël) pour la période de nowel en n'amoureux.

Je persiste à y croire car, si de mon côté, l'idée d'être autre chose qu'amie avec un garçon ne m'effleure même pas l'esprit, je ne vois pas pourquoi ce ne serait pas possible que les mecs puissent penser de la même manière.
L'attirance intellectuelle, ça existe sans devoir forcément tomber dans l'attirance sexuelle.

Les rafales se faisaient bien entendre cette nuit en Loire-Atlantique mais dans l'ensemble il n'y a pas eu de gros dégâts. Une quinzaine de maisons à 10km de chez nous qui ont quelques dégâts. On a aussi eu le seul blessé de la tempête juste à côté de chez nous (Kourski l'a croisé ce matin quand il est parti bosser ).

Le Finistère a l'air d'avoir pris cher par contre ! À la pointe du Raz y a eu le record de rafale à 210km/h.

Un week-end en amoureux avec une première grosse soirée avec pas mal de monde. On a fait les fifous et malgré la fatigue et les cernes, c'était crop bien.

La semaine, mon réveil sonne à 7h20 et comme c'est la flemme, il resonne à 7h29, moment où je me décide à le couper définitivement et à me lever.
Tout ce qui est petit-déjeuner et salle de bain est expédié rapidement pour pouvoir ensuite glander environ 45min avant d'aller au boulot. J'ai besoin d'avoir autant de temps entre le réveil et la ruée vers le taf parce que je mets beaucoup de temps à émerger (et aussi parce que je déteste faire les choses dans la précipitation).

Vivement la fin de la vie en coloc. Je viens de comprendre que les "papillons de nuit" que je voyais dans une proportion anormale ces dernières semaines sont en fait certainement des mites alimentaires. Qui c'est qui va s'amuser encore à tout virer et nettoyer ce week-end ?

Je sens que le mois de juin va passer à la vitesse de l'éclair avec tous les préparatifs pour le déménagement + la recherche d'un nouveau job. J'ai déjà l'impression de ne plus être chez moi à la coloc ni de ne plus être concernée par mon taf actuel, je suis déjà totalement ailleurs. J'ai pô le temps, mon esprit glisse ailleurs wesh.

Elle m'avait manqué la belle, toujours aussi impressionnante à voir. Toujours envie de traîner toute la journée dans le jardin de l'archevêché :

C'était la dernière petite excursion avant le branle bas de combat en fin de semaine prochaine. Pas de tout repos mais ça aura eu le mérite de nous déconnecter un peu.

Tu sors 30min plus tôt du boulot, trop bien ! Mais pour rester bloquée dans le train à quai pour une durée indéterminée parce que souci de circulation sur la voie entre Nantes et mon bled.

Les joies de la SNCF quand on dépend d'elle pour rentrer chez soi.

@Jabba-the-Hutt Je reste dans la fonction publique territoriale mais je vais travailler pour le département cette fois-ci, dans le domaine de l'aide sociale à l'enfance.

J'avoue que j'ai préféré le laisser dans son moment de solitude parce qu'une fois la machine lancée, ça ne sert à rien d'essayer de le stopper.

Seule fois de la semaine où je me lève un peu plus tard et suis sans vélo, bah c'est bien sûr le moment où les deux trains à venir sont supprimés et où je vais arriver facilement 30min plus tard que prévu au boulot. è_é

Mais bon, faut se rassurer en disant qu'on en est pas au stade du sketch de la semaine dernière où j'avais dû monter dans trois trains différents qui, à chaque fois, au bout de dix minutes étaient annoncés supprimé, passant ainsi mon temps à changer de quai et me taper les allers retours dans le souterrain avec le vélo. <<

Comment bien commencer la journée ? En étant bloquée dans le train de bon matin, juste avant le gare et sans possibilité de sortir. 🤨

(Ça fait déjà 40min et on doit attendre la remorque pour que le train soit ramené sur un quai. Il aurait pas pu tenir 5min de plus ? On serait arrivés à l'heure au lieu d'être bloqués ad vitam æternam).

@agathe Parce qu'elle dépendent en grande partie d'inégalités sociales qui nous sont préexistantes.

Si tu commences ta vie dans une famille des classes les plus pauvres, tu pourras charbonner autant que tu veux, tes chances de te hisser hors de ta classe sont très minces et elles deviennent même quasi inexistantes quand il s'agit d'atteindre les milieux les plus aisés.

On ne part vraiment pas avec les mêmes chances et le travail n'est pas suffisant pour atténuer ces inégalités.

@Elenwey Il y a quelques années, je bossais avec des djeunz de 18/20 ans qui étaient persuadés que j'étais des leurs avec juste le bac en poche alors que j'avais déjà 27 berges sonnées, c'était assez amusant.

Maintenant, je suis plutôt dans un service où la moyenne d'âge est celle des mes parents, donc c'est moi la djeunz à qui on dit : "tu es un bébé".

@Jabba-the-Hutt Oui, j'étais fière de mon coup. Il était interloqué tellement il s'y attendait pas.

C'est pas grand chose mais j'ai enfin retrouvé un logiciel pour télécharger des ziks comme je veux, sans forcément devoir prendre tout l'album d'un coup et ça fait bien zizir.