Coucou,
Mon dentiste m'a indiqué que je souffre de bruxisme l'an dernier. Il m'a fait faire une gouttière sur mesure pour la nuit mais honnêtement, je n'arrive pas à m'y faire.. Je la porte quelques nuits et je me retrouve avec des migraines, ce qui n'est pas mieux. Je vais retenter de m'y adapter car je sais que j'en ai besoin pour préserver mes dents mais bon. Mon dentiste m'a incité à essayer de la porter au moins lors d'épisodes plus intenses. Après, pour moi c'est dû à l'anxiété que j'ai de nouveau du mal à contrôler alors je vais aller consulter pour envisager de reprendre de la médication. À suivre donc...
Bon courage à ceux qui en sont également atteints, ce n'est guère quelque chose de plaisant...
Bonne journée!

Bonjour,
Je ne peux que compatir puisque j'ai moi-même eu la phobie des aiguilles pendant une longue période. L'hypnose pourrait être une bonne idée, voir que ta fille soit accompagnée par un spécialiste pour un traitement sur le long terme. Le mieux que je puisse te conseiller, c'est d'essayer d'en parler avec ta fille ou, si elle refuse, de l'encourager à s'exprimer par écrit. Car dans cette phobie, il y a une part d’irrationalité assez importante et même si les personnes qui en sont atteintes en sont souvent conscientes, il est difficile de s'en persuader alors l'exprimer par écrit peut souvent aider. Regarder des vidéos/photos pour se désensibiliser est également une bonne solution sur le long terme.
Après, pour mes petits trucs pour la prise de sang à venir: être là avec elle et la ''forcer'' à bien respirer (lui dire inspire, expire sur un rythme lent et régulier car la panique fait augmenter le rythme de la respiration et on oublie bien souvent de respirer), lui donner un objet sur lequel focusser son attention (moi je ne me sépare jamais de mon tangle). Ce sont ces petits trucs qui continuent à m'aider (bien que je n'ai plus la phobie des piqûres, j'en ai toujours très peur, comme pour mon extrême peur du dentiste).
Après que la prise de sang soit passée, il serait bon d'en discuter avec elle ou, encore une fois, de l'encourager à s'exprimer par écrit afin de commencer à désamorcer cette phobie.
Bon courage pour la suite

Pas d'anecdotes croustillantes pour mon premier emploi. J'ai été embauchée comme étudiante au gouvernement, j'avais 18 ans. Ça a été difficile au début car c'était ma première expérience professionnelle et que j'ai atteri dans un milieu où la moyenne d'âge était de 40 ans et plus.. Et j'étais super timide, ce qui n'a pas aidé au début..
Quant au boulot en tant que tel, rien d'extrêmement passionnant, je complétais des formulaires et des tableaux Excel selon les demandes des agents de conformité. Je m'occupais aussi de plusieurs tâches administratives (faire le courrier, la numérisation, etc.) Par contre, j'adorais ça car ça me permettait de faire autre chose que d'étudier et ça m'a énormément aidé dans mes études vu que c'était dans mon domaine alors j'ai vu certaines notions au boulot avant qu'elles ne soient abordées en cours
Voilà voilà

@jed a dit dans Mal-être au travail :

Tu as un CDD d'un an si j'ai bien compris.
Tu as le droit de changer de travail quand tu veux et aucune obligation d'informer un supérieur sur cette recherche. Juste regarde si tu as une période de préavis à ton contrat.
Si tu n'es pas bien ni considérée tu devrais chercher ailleurs

Merci pour ta réponse Oui, j'ai ce qu'on appelerait un CDD, les règles sont cependant différentes chez moi vu que je suis au Québec.
Pour ce qui est d'informer mon supérieur, ok parfait, car honnêtement, mon travail au ministère, c'était mon premier emploi alors je n'ai jamais fait face à ce genre de questionnement..
Je vais voir ce que ma supérieure me dit mais si je ne peux pas avoir la formation, je pense que je vais simplement démissionner et chercher pour un endroit où je serais respectée.

Bonjour,

Je me permets de demander votre avis car je suis prise dans une situation difficile au travail et qui me pousse à me poser la question qui tue à savoir si je reste ou si je quitte.
Pour résumer la situation, je travaille dans un ministère depuis 2018 (comme étudiante, stagiaire puis finalement avec un contrat d'un an actuellement). J'ai débuté en mai, j'ai fais ma formation jusqu'à la fin du mois de juin et notre equipe a été déployée à la prise d'appel pour la ligne Covid. Suite à ça, on a repris nos activités régulières et j'ai pu faire ce pourquoi j'ai été engagée pendant environ un mois. On est de nouveau redéployés sur la ligne Covid depuis septembre pour 1 a 2 jours par semaine (car on a aussi des collègues en arrêt de travail et il faut faire leurs journées).
Sauf que je devais suivre le reste de ma formation (car il me manque des éléments essentiels pour pouvoir faire mon travail) à partir du 25 octobre et ma supérieure m'a annoncé qu'il semblerait que je ne sois plus/pas inscrite, auquelle cas il faudra que je suive la formation ultérieurement (alors que j'attends cette formation depuis mai).
Je ne me sens pas respectée car mes nouvelles collègues (qui ont débuté après moi) sont inscrites à la formation. J'ai donc l'impression de ne pas valoir grand-chose à leurs yeux puisque j'ai seulement un contrat d'un an (que ma supérieure souhaite renouveler, cela dit). Je n'ai aucun avantage non plus à conserver mon emploi puisque je n'ai pas de maladies ou d'assurances contrairement à mes collègues.
J'attends des nouvelles de ma supérieure voir si elle peut faire quelque chose quant à la formation mais entretemps, je commence à regarder pour un emploi ailleurs car je ne me sens pas bien dans cette situation. J'ai l'impression de n'être qu'un bouche-trou appelée à courir comme une folle et pour lesquelles je n'ai pas les compétences.

Devrais-je informer ma supérieure que je regarde pour un emploi ailleurs ou l'informer si je trouve un autre emploi?
Dans cette situation, est-ce que vous conserveriez votre emploi?

Merci beaucoup d'avoir lu jusqu'ici et pour ceux qui auront la gentilesse de me donner leur avis

Bonne journée à vous

Actuellement, je suis dans Le miracle Spinoza de Frédéric Lenoir et dans Les 12 lois universelles du Karma de Chris Liaret.
On va voir combien de temps je mets pour lire ces deux livres... Les deux sont super intéressants mais le travail me fatigue beaucoup ces temps-ci alors difficile d'avoir la concentration nécessaire pour pouvoir lire, comprendre et assimiler

@icescream Verdict, j'ai eu tellement de choses à gérer que je n'ai pas eu le temps de le finir Je vais profiter de l'été pour m'y remettre maintenant que je prends une pause des études

@Barbouille Merci pour la petite blague, ça fait du bien d'ensoilleiler ses journées, surtout par les temps qui courent
Sinon, pour répondre à ta question, soignable est un bien grand mot puisque le seul traitement "définitif" du névrome de Morton réside dans la chirurgie où le nerf malade est sectionné. Mais comme ça risque d'entraîner une perte de sensibilité des orteils, elle n'est pratiquée qu'en dernier recours. C'est pour ça que des traitements moins invasifs sont d'abord essayés, puisqu'ils peuvent enrayer la douleur, tout en conservant la sensibilité.
Pour ma part, j'espère que l'injection permettra de réduire l'inflammation et donc la douleur car les traitements conservateurs (application de glace, crèmes, anti-inflammatoire, bas de décompression, etc.) n'ont pas été efficaces.
De ce que j'en comprends, @ayamé ne fait que des crises qui viennent et partent. Le névrome est bien installé dans mon cas, puisque la douleur n'a pas été soulagée par des moyens moins invasifs.
@ayamé Merci pour la réponse, je me sens moins seule dans ma bizzarerie Bon courage pour la suite des choses

@Astyanax Merci pour la réponse et désolé du délai. Je n'ai pas jamais vraiment aimé mes pieds non plus, ou plutôt, je ne trouve pas les pieds attirants
Sinon, nouvelles quant a mon RDV d'hier: j'ai eu droit à une injection de cortisone (pour moi qui a les aiguilles en horreur, ça n'a pas été une partie de plaisir... Heureusement, je n'ai presque rien senti ) Je retourne chez le podiatre dans 5 semaines pour un suivi, on verra ce qu'il en est à ce moment, en espérant que la douleur soit bel et bien partie.

Bonjour à tous,

Un simple petit sujet sur une affection assez courante du pied... Pour ceux qui sont novices en la matière, le névrome de Morton est une inflammation/micro-tumeur du nerf du pied, le plus souvent entre le 3e et le 4e orteil. Cela cause des douleurs et des engourdissements, notamment.

On m'a diagnostiqué cela il y a deux semaines (moi qui allait chez le podiatre pour voir simplement si mes orthèses étaient encore adaptées, j'en ai pris un coup).
Je retourne chez le podiatre pour un suivi jeudi, voir la suite des choses.

Et vous? Avez-vous déjà souffert de cette affection? Les traitements conservateurs ont-ils suffit ou avez-vous eu besoin de traitements plus agressifs?
Et pour ceux qui n'en ont pas souffert (encore ), connaissiez-vous ce terme ou vous coucherez-vous plus intelligents ce soir?

Au plaisir d'échanger avec vous, bonne journée!