Oui, je voulais grandir, et maintenant je trouve ça chiant d'être grand.
Il faut toujours agir, et si on agit pas faut expliquer ce qui nous prend.
Enfant, la contrainte c'est l'école, pour les plus heureux.
Adulte, les contraintes sont nombreuses, les obligations ennuyeuses.
Petite je n'avais jamais froid, deux, trois pas, et j'étais loin de chez moi.
Aujourd'hui, si il fait froid je ne sort pas, même pour deux trois pas.
Maman ne me dis plus quoi faire, quelle aubaines. Mais, elle ne me prépare plus non plus de bon repas, si ça sens bon chez moi, ce sont mes oignons.
Si je me trouve mal coiffer c'est sur moi que je dois râler.
Pourquoi chez moi il y a toujours des chaussettes célibataire, alors qu'à la maison elle sortais toujours à l'unisson.
Mon réveil m'énerve, et quand je cris le matin pour réveiller les monstres qui tardent à se lever, je m'y revois, mais dans l'autre rôle, donc voilà je suis adulte.
Baisse ta musique...
Hein? J'ai pas dis ça..?

Mais alors pourquoi quand je vois ce rouge à lèvres, au lieu d'en mettre sur mes lèvres j'en colle sur mon nez...?

Dans l infiniment petit
Je suis a l étroit
Cela va de soi
Mais dans ll infiniment grand
Je suis perdue
Alors j'erre entre-deux
Mondes
Que tout oppose .
Je pleure
Sur cette fleur
Qui n est toujours
Pas éclose
Puis je souri
A toi a lui
La vie est terrible
Va falloir
Te faire
Une place
Seul ou quasi
Je soupire
Dans la nuit
Tu es endormi

Un été
Je me suis emballée
Pour un fruit défendu
Un homme
Au doux parfum
Son nom
Ne vous dira rien
Mais son corps
C est autre chose
Celui de la découverte
De l apothéose
Sur un chemin
Détourné
Il m a emmené
J ai pris
Ce qu il avait
A donner
De l amour
De la joie
Les deux a la fois
Et puis je l ai fais
Disparaître
Dans les méandres
De ma mémoire

Il y a un ailleurs
Un jardin
Paisible
Où tout a commencé
Je ne connais
Que l histoire
Que l on m a raconté
Mais parfois
Dans mes rêves
Je le cherche
Un paradis blanc
Où coloré
Un divin
Où démocratique
Une chose
Est sur
Je ne le trouverai
Qu une fois
Ma vie ici bas
Terminée

Petit mix de mes lignes sur le bateau...

Dans un florilège de poèmes annonçant l’hiver,
La lune chante en murmures ;
Que la superficialité de l’existence tire sa vision éblouissante du soleil.
Alors, c’est dans un éclair d’éveil que l’astre se tourne vers la justice.
Car en tous sens, notre essence, faite d’une multitude de clés trouvées sur notre chemin,
Nous conduits à notre destinée.
Et dans un soupir d’amour, sa lumière nous enlace et nous garde ;
Envoyant nos cœurs dans les étoiles à sa lumière scintillante ;
Pour dévorer les images dans une frénésie de songes en vagues de sentiments.

Il y a des gens
Plus ou moins amusant
Des drôles biensur
Mais pas que.
Des donneurs de leçons
Qui usent
Avec outrance
De mots plus ou moins
Savants
Qui cherchent surtout
A démontrer
Leur supériorité.
Mon dieu
J en ai vue
De grands hommes
Ou femmes
Qui avaient la décence
De rester calme .
De ne pas ramener
Leurs sciences
Comme on étale
Du beurre
Sur une tartine
Mais bon !
tout plus que le silence
On ne peut plaire
A tout le monde
Mais n oublions pas
On est tous le con
D un autre.
La roue tourne

Ce matin là
Je n imaginais pas
Que l affront
Viendrait
De toi

Si je ne peux être l’élue ;
D’un monde sans jeu,
De mains et demain ;
Alors je dois passer,
Rester différemment ;
Remettre mon armure,
De fleurs et de couleurs ;
Pour cacher ma lumière,
Eblouissant les regards ;
Alors que mon essence,
Incandescente flamme,
Brûle en mon sein ;
Ma vérité gardée,
Et mon âme intacte.

Solstice d'hiver, longue et interminable nuit
Qui met la vie en sommeil et rend les étoiles étincelantes
Lune, reine de la voie lactée, c'est ton heure de gloire, savoure la
Inonde nous de ta glaciale et douce lumière bleutée
Pourtant tu n'es qu'un petit astre mort, sans eau, sans air, sans chaleur
Simple miroir de l'astre du jour, le magnifique soleil sans qui tu serais invisible.
Terre, Lune, Soleil, le facétieux trio et son éternel ballet, qui dans sa valse à 4 temps, 4 saisons, régit à peu près tout ici bas.
Poussière, tu n'es que poussière et tu retourneras à la poussière,...

Chaque soir de pleine lune quasiment la même routine s installe ,je ne me fixe pas la dessus sinon j'apprenhenderais celles ci ,a l avance !
Je constate simplement etje bouillonne intérieurement je rêve d une bonne nuit de 5 ou 6 heures en continue sans réveil au milieu !
C est pas dramatique je sais mais c est usant voilà tout ,épuisant et le bon terme !
Je ferai la sieste voilà tout mais là en attendant avec les yeux bien ouverts je fais comment ?

On est Jeudi, pour moi c'est enfin le repos, car désormais le vendredi tout est permis. Et j'annonce que je suis sur d'avoir la bonne réponse au Mystère d'Orabig, enfin son jeu, quoi que

J'ai une colère, mais une colère, ne pas avoir trouvé une oeuvre de mon auteur préféré, mais quelle honte, allez je me suicide en me jetant par la fenêtre, ... je suis au rez-de-chaussée

Quel baltringue je fais, j'aurais du trouver mardi,...

Les jours vont grandir de nouveau c est déjà le cas et heureusement petit à petit nous allons nous diriger vers le printemps

J ai hâte

A celui qui :
Dans le froid
Et l oublie
Survie .
Sur un trottoir
Dans une gare
Enfant
Où vieillard .
Sans un regard
Dans l indifférence
Complète.
Dans la chaleur
D une bouche
D aération.
Seul
Où à plusieurs
Je dédie
Ces mots
Et je tend
La main

Il paraît que l'avenir appartient à ceux qui se lèvent tôt..
Un bonjour à ceux qui se lèvent tôt alors !
Bonne journée

Y'a t il ici bas plus fort, plus intense, plus sincère que l'amour d'un animal ?

Plus je vieillis et moins j'en doute

@delnis Un animal domestique, principalement le chien, est complètement dévoué à son humain.
Si j'en avais le pouvoir, je lui dirais qu'il ne devrait pas.

@music : je ne sais à quel endroit le grain de sable a enrayé la mécanique pour que la situation s'inverse
et que je me retrouve " à l'insu de mon plein gré " ( formule des guignols de l'info ) complètement dévouée à mes chiens.

Le
passant

Seul vêtu de noir
d un manteau long
D une écharpe
Le pas allongé
La silhouette fine
Je contemple cet inconnu
Ses gestes sont lent
Contrairement à son rythme soutenu
De grandes enjambées
Un regard perdu dans ses pensées
Cigarette aux lèvres main gantée
Il court après le temps
Qu il ne rattrapera jamais
Persuadé du contraire
En passant devant moi
Il file encore plus vite
En courant
entravé par son long manteau
Le flux de la circulation il zigzag
Son image finit par disparaître
Au loin a l horizon
Dans un soleil pâle
A la tombé du jour
Il restera néanmoins
L inconnu place cassin

Terre d asile

Je n ai ni faim ni froid
Un toit sur la tête
Un lit douillet
Mais quand je te croise
J ai mal pour toi
Assis ainsi par terre
Tout juste couvert
La main tendu
Voir a genou
J image ton voyage
J imagine le bateau
Qui t a amène ici
J imagine le froid
J imagine la faim
J imagine la peur
Et je suis chagrin
Ma naissance
Et la tienne
A des milliers de kms
Fait de toi un exilé
Et de moi
Une privilégiée

Sur ma table de nuit

Des traits
Un simple dessin
Et trois mots
Écrit en noir
Ceux d un enfant encore .
Je les conserve précieusement
Dans mon tiroir
De ma table de nuit
Avec d autres plus anciens .
Il y a un collier de pâtes
Il y a des photos vieillis
Des bibelots
Un chat en verre
des cailloux peints
Des cœurs découpés
Un petit bonnet de naissance
Un bracelet en plastique
A ton nom.
Des bijoux de fêtes des mères
fait manuellement
Des billes que tu m avais offert
Un dinosaure en plastique
De petits soldats oubliés .
Et peu plus haut
A découvert
A la vue de tous
Un galet roulé peint
Une scène de chasse
De la PRÉHISTOIRE
Des chasseurs et un mammouth
Du feu et des lances.
Des produits de beauté
Des livres
Un parfum
Des photos de toi
Endormi
Dans l autre chambre
Et j attend déjà
Le cœur serré et battant
Ton réveil