• Yoyo Yoyo

    Pour les amateurs de blagues nulles:

    Maman et papa steak se promènent dans la forêt avec leur fils. Soudain celui-ci disparait. Mais où est-il demande maman steak affolée?
    Il steak haché répond le papa...

    Toto appelle sa maman,
    -maman! maman! Je me suis fait mal!
    -où ça toto?
    -ici!

    Qu'est-ce qui est jaune et quand on appuis sur le bouton devient rouge?
    .
    .
    .
    .
    .Un canarie dans un mixer

    Dslé 😓

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  • Yoyo Yoyo

    @ayamé a dit dans 1er gouvernement Élisabeth Borne :

    @yoyo a dit dans Le remaniement ministériel du second mandat Macron :

    on crois tous voir midi à sa porte.

    Je pense que c'est plus subtil que ça :

    @ayamé "C'est plus subtil que ça", hum… Je ne suis pas le neuneu que tu crois chère amie. Le soir, je laisse mon neurone batifoler sur le forum les synapses à l'air parce qu'il a sué sang et eau toute la journée. Sur popcorn, il a quartier libre mais, cette légèreté n'est pas à prendre pour de la pomponnerie.

    quand je vois des inégalités dont perso je ne souffre pas ( donc, pas de midi à ma porte ),

    Ce n'est pas ce que "voir midi à sa porte" signifie. Je parlais d'affiliation politique, pas de condition sociale

    Inégalités de plus créées dans l'illégalité ( bien écouter les vidéos qui disent pourquoi ).

    Ces vidéos sont orientées politiquement, aucune objectivité, le gars étant "Coordinateur des intermittents et précaires. "comment pourrait-il avoir un autre discours. Ils ne m'ont pas convaincu ces deux pitres prêchant pour leur paroisse.

    Je ne sors pas de ma tour d'ivoire une cuillère en argent plantée dans le derrière non plus. J'ai appris à mériter les choses et je sais ce qu'est le sens de l'effort.
    En parallèle de ma scolarité, je devais me trouver un job la moitié de mes vacances. Dès quinze ans, dans un snack, le mois d'aout ; À 16 ans, dans un fast-food (avec cette flagrance de graillon qui s'attache), puis j'obtiens le BAFA à 16/17 ans
    et deviens animateur de colos pendant la moitié de mes vacances scolaires. Ensuite inspecteur d'eaux de piscine (ça, c'était cool) mais c'était quand même un mois d'aout à travailler ; Ensuite barman (à tailler la bavette aux piliers de bars, intéressant malgré tout) ; vendeur d'encyclopédies en porte-à-porte (une vraie punition celui-là) ; développeur de photos (c'est fou tout ce que l'on voyait passer comme obscénités) ; père Noël pour un commité de commerçants (la honte si des ami(e)s m'avaient reconnu) ; Livreur de matériel HiFi chez Sony pendant ma première année d'études (les clients laissaient toujours des pourboires) ; opérateur téléphonique pour le téléachat de Pierre Bellemard (les mamies croyaient qu'on le connaissait bien), etc. Et, tout cela avant de commencer ce qui sera plus tard mon réel travail (Géomaticien/Urbaniste).
    Mes parents m'en ont fait baver bien que l'on ne manquait de rien, c'était pour me familiariser avec le monde du travail et connaître la valeur de l'argent. Ils m'ont confronté à la dureté de la vie et je les en remercie. Pour trouver un job, je pouvais écrire une cinquantaine de lettres manuscrites par semaines. Après avoir épluché les pages jaunes, j'appelais les entreprises par centaine en candidature spontanée et sans faire de pause des heures durant. À ce rythme-là on déniche vite un emploi, il faut juste s'en donner les moyens.
    Puis, à 26 ans, j'ai repris intégralement mes études par correspondance. Je voulais intégrer une école de recherche en géomatique. Franchement, j'en ai chié, mais je n'ai rien lâché.
    Si inégalité il y a, c'est davantage entre ceux qui souhaitent réellement s'en sortir et se donnent du mal et ceux qui se laissent vivre en remettant la faute sur les autres. Ceux qui n'ont rien foutu en classe, passant leur temps libre à trainer, jouant les Tanguy jusqu'à plus d'âge... Et, quand arrive l'heure de chercher du taf, envoient 3 CV par mois tout en se plaignant de ne pas avoir de réponse. Ils se pointent en survêt/basket aux entretiens d'embauche (décroché parce que nombre d'employeurs ne trouvent personne à employer). Ceux-là qui se plaignent de leur sort en remettant la faute sur les riches, ou pourquoi pas le président de la République, franchement ils ne m'émeuvent pas beaucoup, même pas une petite larme. 
    Quant à l'intérim, 6 mois de travail payé à 120% (paie 100% + 10% de prime de précarité +10 % de congés payés) puis un an d'allocation à ne rien faire tout en touchant des quasi-paies. À 60% du salaire brut, les intérimaires au chômage touchent 80% de leur revenu, what else... Les APL, la Caf ? Ma voisine sans travailler mais grâce à ses trois gamins avait même pu s'offrir une voiture neuve. Comme si les impôts de ceux qui travaillent étaient directement versés sur son compte. Ses enfants qui au passage s'élevaient tous seuls, en attendant de déclarer un jour que s'ils ne trouvent pas de travail, c'est la faute au président de la République…
    Franchement, nous ne sommes plus dans cette époque de capitalisme sauvage où tout était à faire niveau social. Il y a désormais des abus, des mentalités d'assistés professionnels, ça en devient insupportable.
    L'année dernière, j'ai eu deux mois au chômage. Comme j'avais eu une prime de rupture de contrat de travail, ils l'ont déduite et je n'ai pas eu droit aux allocations. Il aurait fallu que j'attende six mois pour toucher la première. J'ai cotisé toute ma vie pour les autres, mais quand vient mon tour rien !
    De plus, la conseillère n'en revenait pas qu'avant l'entretient, j'avais rempli l'intégralité de mon dossier de recherche pôle emploi, pourtant personne ne le fait, parait-il. Ce qui prouve bien que les gens ne se donnent pas les moyens de trouver. Rien qu'en ayant fait cela j'ai reçu la proposition d'embauche que je voulais avant même d'avoir cherché… Du travail, il y en a, que l'on rajoute encore des aides sociales et plus personne n'aura la moindre raison d'aller travailler. Ces prétendues inégalités sont en grande partie du foutage de gueule, il y en a certes, mais combien sont amplement dues à la passivité de ceux qui s'en plaignent.

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