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Ripley
Bon là je fatigue moi. Je vais vous laisser là pour ce soir les ami(es). C'était bien chouette.
Je vais aller changer mon avatar... LOOOOL même pas en rêve !!
Passez une bonne fin de soirée et une bonne nuit !!
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Ripley
@Shanna a dit dans Zoom sur affiche :
@Ripley J'ai reconnu le bras de Schwarzie, il est le seul à l'avoir.
J'avoue que ton affirmation est absolument sans aucune équivoque possible. Schwarzy possède bien son propre bras.
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Ripley
@LeaPierce Aaah mais purée je viens de poster un truc similaire aussi dans l'autre topic.
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Ripley
Merci. Au moins maintenant on sait la tête qu’il a et qui c’est. Mais il court toujours.
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Ripley
J'ai une main télescopique de zombie de Walking Dead. Je m'en sers depuis des années (forcément inépuisable).
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Ripley
@Jabba-the-Hutt a dit dans Les dessins animés de notre enfance :
Les Snorkies
Qui qui qui...
Ca y est je suis foutu je vais avoir la musique en tête pour toute la journée.
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Ripley
J'ai fini la série en 3 jours, ce qui ne me ressemble pas du tout mais Flanagan oblige; et effectivement le bonhomme est toujours au top du top des mes réalisateurs favoris (actuellement d'ailleurs je n'en vois pas de meilleur au niveau du genre abordé).
Comme le fait remarquer @jool, on retrouve les têtes habituelles de ses productions. Cela dit j'ai trouvé Bruce Greenwood bluffant dans son rôle de Roderick Usher.
Avec ses faux airs de Vincent Price, cela crée un lien supplémentaire avec tout l'univers des diverses adaptations cinématographiques de Poe, dont l'incroyablement stylisée version de mon Roger Corman adoré Fall of the House of Usher (1960).
A ce propos, si vous n'avez jamais goûté au cycle de Poe de Corman, je vous suggère plus que fortement de vous y pencher et tout particulièrement sur The Pit and the Pendulum (1961) et The Mask of the Red Death (1964). Ce sont mes favoris mais évidemment tous les autres sont très bons également.
J'ai trouvé vraiment intéressant également que chaque épisode évoque une oeuvre de Poe différente jusque dans le titre de chacun.
Pour finir j'ajouterai qu'il y a même une minuscule allusion à H.P. Lovecraft et ses Montagnes Hallucinées via le rôle extraordinaire d'Arthur Pym tenu par Mark Hamill qui prouve qu'il n'est pas qu'un doubleur vocal.
Je me réjouis donc des prochaines oeuvres de Flanagan qui ne seront plus chez Netflix mais sur Prime Video, son contrat avec la maison au grand N ayant pris fin.
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Ripley
@Shanna a dit dans Les duels du cinéma - Nouveaux thèmes ! :
Je vote pour Mai Tai.
Je vote pour Mai Tai.
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Ripley
Vidéo du club de Championship Norwich City FC promouvant l'aide aux problèmes de santé mentale. Franchement exceptionnelle.
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Ripley
@jool a dit dans La Chute de la Maison Usher (The Fall of the House of Usher) :
@Lapin
Ouais bon c'est toujours la question du seuil de tolérance à l'horreur...le mien est bloqué à 99 alors peut-être que je me trompe en disant que tout passe crèmeLes autres, Marcel, Peri, Ripley vous voyez ça comment ?
J’avoue que j’ai souvent le même souci (surtout que Madame est une petite nature 🫣).
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Ripley
Habitant en Valais, canton vinicole par excellence, j'apprécie évidemment un bon verre de temps en temps (en apéro et/ou accompagnant un bon repas par exemple).
Mes préférences sont le Cornalin et la Syrah pour le rouge et le Païen (Heida) et le Johannisberg pour le blanc.
Je ne suis par contre pas un fan de rosé.
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Ripley
Je l'ai vue il y a une année mais franchement elle fait partie du haut du panier de AHS à mon goût.
P.S. Mon Dieu que cette saison contraste avec la première partie de la suivante pour laquelle je n'attends pas la suite avec impatience.
Modération (jool)
Je me suis permis de mettre sous spoiler la partie qui parle de ce que justement il ne faut pas savoir avant d'avoir vu la saison. -
Ripley
Bon ben... Je sais pas si c'était vraiment une bonne idée de venir.
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Ripley
C'est dommage d'avoir arrêté car la suite n'est pas en reste. En tous cas contrairement à beaucoup de séries à rallonge elle a su garder assez de qualités pour me tenir en haleine. Saul Berenson reste mon personnage préféré.
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Ripley
Ah tiens, maintenant j’ai compris les images.
C’était très cool merci encore, je reviendrai malgré ma piètre performance.
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Ripley
The Graduate 1967- 106 min
Réalisation : Mike Nichols
Scénario : Calder Willingham - Buck Henry - Charles Webb (basé sur son roman)
Musique : Simon & Garfunkel - Dave Grusin (musique additionnelle)
Casting principal : Anne Bancroft - Dustin Hoffman - Katharine Ross - Murray Hamilton
Synopsis : Diplôme de fin d’études en poche, Ben Braddock (Dustin Hoffman), jeune homme de milieu bourgeois vivant avec ses parents en Californie et sans but précis pour le futur, se laisse séduire par une femme plus âgée (Anne Bancroft) pour ensuite tomber amoureux de sa fille (Katharine Ross).
Critique : Film important des prémices du Nouvel Hollywood et gros succès surprise au box-office, The Graduate est une comédie dramatique illustrant bien la société américaine de la fin des sixties, déchirée entre le mouvement hippie, la libération sexuelle et le puritanisme encore profondément ancré dans la population.
La réussite commerciale surprise du film démontre clairement un changement profond se profilant dans la jeunesse de l’époque. Changement qui s’étendra justement au septième art, vitrine bien nommée de nos tribulations humaines, avec l’avènement du précité Nouvel Hollywood et l’apparition de jeunes réalisateurs visionnaires tels que De Palma, Spielberg, Scorsese, Coppola et consorts.
Précisément, le film décrivant non seulement une relation adultère entre un jeune homme désenchanté et une femme d’âge mûr, alcoolique et regrettant clairement son mariage (relation qui plus est uniquement sexuelle). Ben, sans aucune expérience de la gente fémine est donc une proie toute désignée pour la mante... Mais comme si cela ne suffisait pas à provoquer la morale de l’époque le novice va ensuite tomber amoureux de la fille de Madame, malgré toutes ses interdictions formelles à ce sujet.
Cependant réduire The Graduate à un brûlot provocateur serait extrêmement réducteur, le succès de ce dernier reposant tout autant sur le génie visuel de son réalisateur. En effet, certains plans de Mike Nichols sont devenus iconiques et repris depuis par de nouveaux élèves (l'ouverture du film sur le tapis roulant de Jackie Brown (1997) étant un exemple parmi d'autres).
Certaines compositions sont quasiment des tableaux jouant sur tantôt un rétroviseur, tantôt un miroir. Les mouvements de caméra n'étant pas en reste lorsqu'on observe cet impressionnant travelling arrière débouchant sur un visage en amorce à gauche du cadre.
Un des plans les plus connus du film est évidemment celui où l'on aperçoit Dustin Hoffman de face sous la jambe d'Anne Bancroft, le travail sur la profondeur de champ donnant toute sa saveur à la scène.
Le second, sans doute le plus irrévérencieux, montre l'acteur de face à nouveau mais cette fois-ci en gros plan, les trois quarts du cadre étant occultés par le dos de l'actrice déshabillée. Afin de faire ressentir au spectateur le fait que Dustin Hoffman ne sait plus où porter son regard, le réalisateur nous balance sans crier gare plusieurs inserts subliminaux de la poitrine dénudée et du ventre de l'actrice. Ou comment allier la technique moderne de tournage à la torsion des conventions en vigueur en 1967... Le public a évidemment adoré.
Il est de de coutume de dire qu’un film n’en est pas vraiment un sans sa musique. Que dire dans ce cas du rôle qu’ont joué les compositions de Paul Simon chantées avec son compère Art Garfunkel ?
Il est en effet quasiment impossible de se remémorer The Graduate sans avoir en tête les airs folks et mélancoliques de sa bande originale.
En premier lieu on pense bien sûr à Mrs. Robinson, patronyme de l’amante de Ben, chanson écrite pour le film mais qui sortira une année plus tard dans une version à la rythmique légèrement modifiée.
Le magnifique The Sound of Silence berce de manière lancinante certaines parties du récit, Scarborough Fair / Canticle étant également de la partie parmi les airs les plus connus.Le succès du film propulsa du jour au lendemain Dustin Hoffman au sommet, ce qui lui permit, grâce à d’excellents choix de carrière, de figurer dans plusieurs gros classiques du cinéma des seventies.
Mike Nichols quant à lui remporta l’Oscar du meilleur réalisateur pour The Graduate, un honneur amplement mérité.
Disponibilité support physique :
- Blu-Ray France Zone B (Studio Canal)
- Blu-Ray USA Zone A (Criterion)
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