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Comme mon fils me connaît bien, il m’a offert pour mon anniversaire une très belle tasse et une boule à thé qu’il a commandées avec son papa, le tout emballé dans un papier cadeau sur lequel il avait collé des petites lettres en relief formant un « JE T’AIME MAMAN ! » (le point d’exclamation a toute son importance) et sur une feuille il m’a dessiné des fleurs et une chenille (que j’ai prise pour un arrosoir mais ça je ne lui ai pas dit). Et ce matin au réveil il est venu me rejoindre dans mon lit et on a fait un looong câlin collés l’un contre l’autre sous la couette et je serais restée comme ça toute la vie.
Voilà j’ai fait le plein d’amour...
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Moving
Alors…
• Qui suis-je ? Prénom ? Je suis Moving. Voilà...
• Âge ? 32 ans
• Genre ? Genre plutôt sympa...
• Localisation ? Île-de-France
• Emploi / études ? Un truc où il faut utiliser ses mains et son cerveau, du moins ce qu’il en reste.
• Que signifie ton pseudo ? J’écoutais Move Over de Janis Joplin en m’inscrivant et je suis dans une période de ma vie où j’ai besoin que les choses bougent (en plein reconfinement, oui vous aussi vous percevez l’ironie de la chose…)
• Comment ai-je découvert PopcornFr ? Je cherchais un forum de discussion, j’ai vu de la lumière, je suis entrée…
• Pourquoi me suis-je inscrit sur PopcornFr ? Pour échanger, découvrir, partager des choses, tisser de nouveaux liens, besoin d’une grande bouffée d’air frais.
• Qu'est-ce que j'aime ? En vrac, danser, la musique, les petits déjeuners, la photographie, lire, danser, l’Histoire, marcher, écouter les gens parler une langue étrangère, danser, les crumbles, la musique, faire les voix des personnages dans les livres pour enfant et ah oui… danser.
• Qu'est-ce que je n'aime pas ? L'utilisation excessive de smileys , les trucs fourrés à la viande, me retrouver au milieu d’une discussion où je ne comprends rien, ce déchirement de rupture amoureuse quand je termine un(e) bon(ne) film/série/livre, les gens savants qui humilient les autres plutôt que de leur apprendre
• Qu'est-ce qui m'occupe l'esprit en ce moment ? Joker.
• Quel est mon domaine d'expertise ? Euh… les langues ? (j’ai vu ton petit regard lubrique !)
• Quels sont mes goûts et préférences en ce qui concerne :
la musique ? Je suis vraiment éclectique.
le cinéma ? Un peu de tout je crois, excepté la plupart des blockbusters.
les jeux vidéo ? Le Solitaire ça compte ?
les séries ? Entre autres Misfits, Community, Glow, The End of the F***ing World…
les sports ? [scoop/on] La danse [scoop/off], la course à pieds…Voilà, au plaisir de vous lire et de faire votre connaissance avec le temps ...
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Je suis en vacances depuis vendredi et j’ai tendance à vouloir en profiter autant que possible avant de retrouver mon fils demain (bon je serai toujours en vacances mais le type de sorties est assez différent). Aujourd’hui je me faisais une joie de retrouver une collègue sur Paris pour une expo et boire
undes verres. Bon elle m’a plantée... J’étais d’abord contrariée et surtout déçue. Mais finalement, je suis allée courir un peu, le temps était parfait, ni pluie ni trop chaud puis j’ai passé une grosse partie de l’après-midi à lire tout en écoutant de la musique, notamment des albums que je n’avais pas écoutés depuis très longtemps. Buller, c’est bien aussi en fait... -
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Hier soir avec mon fils on se fait un petit apéritif saucisson sec et tomates cerises. Je ne bois presque jamais mais je me dis allez, un petit plaisir pour une fois, je me verse un petit verre de blanc et là il me dit « ça c’est du jus ? ». Je lui réponds non, que c’est du vin et qu’il ne faut pas qu’il prenne ça pour du jus car c’est de l’alcool, que ce n’est pas pour les enfants et que même les adultes ne doivent pas en abuser. Ça a piqué sa curiosité, forcément, me voilà donc partie sur des explications à n’en plus finir sur les dangers de l’alcool, mais tant qu’il me pose des questions, j’essaie d’y répondre. Vient le moment où j’essaie de lui expliquer pourquoi c’est difficile pour les alcooliques d’arrêter l’alcool:
-«... Et tu comprends, ça peut être très difficile pour eux d’arrêter l’alcool mais il y en a qui y arrivent... !
-Oui, COMME TOI !!
-... »J’avais l’intention de me resservir un deuxième petit verre, il m’a calmée.
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Il y a deux jours, je me suis perdue. Ça arrive me direz-vous, rien d’insolite là-dedans... Oui mais pas n’importe où !
Pour le contexte, je devais passer la nuit chez mon copain, a priori une jolie soirée en perspective. Entre temps l’allocution de notre ami Macron nous a fait un peu l’effet d’une douche froide, et puis voilà que pour couronner le tout, grâce à un petit traître de léporidé ayant probablement semé des poils ici ou là, et malgré un ménage digne de ce nom, je pars dans une belle crise d’asthme, avec en gros, pour les chanceux qui ignorent l’effet que cela peut faire, l’impression de m’oxygéner avec une micro paille à moitié bouchée, pendant que mon mec se demande s’il ne s’est pas couché à côté de Dark Vador... Bon, on oublie la soirée coquine, si je peux déjà survivre à cette nuit ce serait déjà pas mal. Le temps défile et la crise ne passe pas vraiment, d’autant plus que je n’ai pas d’inhalateur et ai oublié mes antihistaminiques chez moi. J’ouvre la fenêtre, j’essaie de me détendre, je sens que les choses se calment un peu et après un bon moment finis enfin par m’endormir, au bord du lit pour être au plus près de l’air frais.
Tout aurait pu se finir gentiment ainsi si le vent n’avait pas fait grincer le volet... Je finis par me réveiller à moitié, mes poumons semblent alors plus coopératifs, je me relève donc pour fermer la fenêtre, la moitié de mon cerveau réveillée me disant qu’elle rejoindrait bien l’autre moitié rapidement... Tiens, c’est ma vessie qui a pris le relai... Je décide d’abord de l’ignorer mais pas moyen d’être tranquille, elle continue de se rappeler à moi... Ma moitié de cerveau à peu près active prend donc l’initiative d’aller aux toilettes tout en conservant l’autre moitié endormie, aussi elle préfère ne pas allumer les lumières... Bon je commence à connaître l’appartement, j’arrive à me diriger et arriver jusqu’aux WC sans me prendre un meuble. Même stratégie à l’intérieur des toilettes, je m’assois donc dans le noir mais au bon endroit. L’essentiel est fait, il ne me reste plus qu’à retourner m’écrouler sur le lit pour finir cette nuit déjà amputée de quelques heures de sommeil. Oui mais voilà, une moitié de cerveau ça ne suffit pas toujours... En me laissant nonchalamment tombée sur le trône, je n’avais apparemment pas fait attention à la direction de mes jambes... Une fois relevée, je m’avance donc au hasard dans la pénombre et tâtonne pour retrouver la poignée de la porte, mais les toilettes sont grandes... les normes handicapées c’est bien mais on a vite fait de louper la sortie visiblement, surtout dans le noir... Bon voyons, le lavabo doit être à ma gauche, la poignée juste après... Or sous mes doigts je ne reconnais rien de familier, tout n’est que surfasse lisse. Bêtement je commence à paniquer et promène mes mains partout devant moi pour retrouver si ce n’est pas la sortie, au moins l’interrupteur... en vain ! J’ai oublié de vous dire que mon copain, ayant emménagé il y a peu dans un appartement tout neuf, a profité d’avoir de grandes toilettes pour y stocker provisoirement la porte du couloir qu’il jugeait trop encombrante, ainsi que deux énormes structures d’étagères en acier qu’il n’a pas encore installées, celles-ci reposant sur la fameuse porte, elle-même appuyée sur le mur. Vous voyez où je veux en venir, je finis par reconnaître quelque chose qui ressemble à une poignée, ma moitié de cerveau plus ou moins en éveil pousse la porte qui ne bouge pas et se dit pendant quelques centièmes de seconde « tiens, je ne me souvenais pas qu’il fallait la tirer, celle-ci »... Et ce qui devait arriver arriva, je tire la porte vers moi, mais pas celle que j’espérais évidemment. La porte en question quitte son point d’équilibre, les étagères partent avec et viennent s’écrouler sur le mur d’en face, me frôlant au passage, le tout à 3h du matin dans un fracas de fin du monde et un cri primitif lâché par ma deuxième moitié de cerveau subitement arrachée du sommeil et désormais bien réveillée...
Alerté par tout ce raffut, j’entends mon copain accourir, j’aperçois enfin un filet de lumière dans un interstice puis la porte s’ouvre (la bonne cette fois). Enfin mon sauveur apparaît, me voilà délivrée. Il me voit désorientée, me prend dans ses bras et me demande ce que que je fabrique : « Euh... je me suis perdue... ».Cette nuit restera gravée dans nos mémoires et dans le mur des toilettes qui porte les stigmates de cet incident. Pas sûre que j’aurai le droit de revenir dormir là-bas, à moins peut-être d’apporter un peu d’enduit...
Moralité : pas besoin de grands espaces pour se perdre.
À retenir également : tout ça c’est la faute du lapin ! -
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Après avoir passé un certain temps sur les routes ces deux dernières semaines, je me permets de pousser un triple coup de gueule :
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A ceux qui s'endorment à 80 ou 90 km/h sur la voie du milieu sur une route limitée à 130 km/h tandis que la voie de droite est COMPLETEMENT inoccupée, et qui poussent les autres automobilistes soit à dépasser par la droite, ce qui est une infraction, soit à contourner par la gauche en traversant les trois ou quatre voies ce qui est emmerdant au possible,
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A ceux qui doublent et se rabattent juste devant ta tronche alors qu'ils peuvent pousser quelques mètres de plus pour respecter une distance de sécurité décente,
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Aux mêmes mais qui en plus te doublent sans clignotant et par la droite,
A tous ceux-là, sachez-le, je vous hais.
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Posée sur ma poubelle, qui ensuite ne voulait plus me lâcher:
Trouvée dans ma salle de bain:
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Le premier petit bonheur du jour (et un peu d'hier aussi), entre deux répétitions de danse, je vais à la boulangerie du coin avant qu'elle ne ferme pour avoir du pain pour le petit déjeuner du lendemain. Je prends deux traditions et le boulanger me dit "allez je vous offre la troisième". Oh ben c'est gentil dis donc.
-"Allez, tenez ça aussi".
Ah un pain aux raisins ? Et puis le voilà qui me refourgue une une torsade au chocolat, une brioche, deux pains au chocolat... Bon je sais que si ce n'est pas mangé, ce sera jeté, mais quand même, tout le monde ne file pas ses produits aussi facilement.
-"Mais c'est super gentil ! Je ne suis même pas une habituée, c'est la première fois que je viens !
-Ben comme ça vous reviendrez. " (grand sourire du boulanger).
Moi qui n'avais rien à grignoter entre mes deux répétitions, timing parfait ! Et donc aujourd'hui, après avoir ouvert toutes les fenêtres pour profiter de la fraîcheur du petit matin, j'ai pris le temps de savourer mes viennoiseries... Et même si j'ai encore de quoi dévorer demain matin et après demain matin, j'ai clairement trop mangé...Le second petit bonheur plus tard dans la matinée au travail, encore en digestion de mon petit déjeuner pantagruélique, dans un moment d'attente où je lutte pour ne pas m'endormir sur ma chaise car le travail ne se bouscule pas au portillon (assez rare pour ne pas en profiter mine de rien) :
-"Madame, je vais chercher un café, je vous en rapporte un ?"
Mm... les gens lisent-ils dans mes pensées ? -
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J'ai tellement pensé à @Delnis en m'enregistrant et réalisé à quel point il avait du courage sur les karaokés !
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Je suis partie de chez mes parents un an après avoir terminé mes études supérieures, à 24 ans. J'ai trouvé du travail tout de suite après l'obtention de mon master, cela m'a permis de mettre de l'argent de côté avant de m'installer avec mon copain. J'avais fait des petits boulots aussi pendant mes études, des jobs d'été également.
Je ne regrette pas une seule seconde d'avoir quitté le domicile parental, au contraire, je regrette de ne pas être partie plus tôt, il y aurait peut-être eu moins de dégâts... Ma mère est une personne malade, toxique, paranoïaque... Je vivais constamment dans la peur de ce qui pouvait me tomber dessus, encore et encore.
Je regrette aussi de ne pas avoir vécu seule dans un premier temps plutôt que de m'installer avec mon copain tout de suite. Mais avec l'éducation que j'avais reçue, j'étais incapable de me lancer seule dans la vie à 18 ans avec confiance, sans appréhension et sans culpabilité... Maintenant je suis séparée de mon copain, je vis seule depuis quelques mois pour la première fois...
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@Chibi Idem, j'aime bien partager des musiques de temps en temps et écouter/regarder de temps en temps les vidéos mais je n'ai absolument pas le temps de tout consulter et n'en ai pas l'envie de toute façon, sinon je n'apprécierais pas. Je suis tellement noyée dans tous ces partages de musiques que je mets des cœurs uniquement à celles pour lesquelles je sais déjà que j'aime parce que je les connais, sans avoir le temps de les écouter malheureusement. Et parfois je prends de le temps d'en découvrir certaines et il y a de jolies surprises.
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Quand on essaie de dissimuler quelque chose de gros, je ne dis pas « il y a anguille sous roche » mais « il y a dinosaure sous paillasson ». A tel point que je suis obligée de me concentrer très fort pour me rappeler la véritable expression.
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J'ai commencé à porter des lunettes en primaire, uniquement pour lire, pour utiliser l'ordinateur, et en classe aussi je suppose même si je ne m'en souviens pas très bien. J'étais juste un peu astigmate. C'est resté comme ça longtemps, je n'avais pas à les porter tout le temps. Et puis j'ai eu un enfant et paraît-il que la vue peut beaucoup bouger après ça. Et en effet, j'ai commencé à voir de plus en plus flou. Verdict: myopie en plus de l'astigmatisme qui s'est empiré, et port des lunettes obligatoire tout le temps. Le problème c'est que la plupart des montures me blessent le nez. J'ai essayé un nombre incalculable de lentilles (mention spéciale à mon opticienne qui a été d'un grand professionnalisme et d’une patience infinie mais qui a fermé sa boutique à mon grand regret), aucune ne m'a convenu: sensation de sécheresse, je sentais la lentille tout le temps, vision floue dès que j'avais le malheur d'utiliser mes yeux pour regarder sur le côté plutôt que de tourner la tête (oui j'en étais arrivée là)...
Donc aujourd'hui j'en suis réduite à porter des lunettes qui me font assez mal au bout d'un moment, alors je dois les retirer régulièrement. Avec le masque c'est encore pire, j'ai de la buée quasiment tout le temps. Je ne sais pas comment s'en sortent les autres, mais de mon côté c'est compliqué. Or je fais un métier où aucun détail ne doit m'échapper et je ne peux pas revenir en arrière si je l'ai loupé, donc je ne fais que ça de les mettre, les retirer... Je peux quand même sortir dans la rue sans mes lunettes sans dire aux arbres "bonjour monsieur", et j'arrive même à conduire sans quand j'oublie de les remettre par mégarde, mais pas conduire de nuit. Heureusement que mon œil droit compense pour le moment, car avec mon œil gauche seul, mon monde serait tel une huile sur toile.
J'ai eu du mal à accepter mon visage avec des lunettes en permanence. En plus j'ai découvert des imperfections que forcément je ne voyais pas avant lorsque je ne les utilisais que pour lire ou utiliser l'ordinateur... Maintenant ça va mieux, et en fait je trouve que mes lunettes me vont plutôt bien.
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Danny Pudi, qu'on ne classerait probablement pas dans la catégorie des canons selon les critères de beauté classiques, mais je n'ai pas des goûts classiques :x
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@Shanna @Astyanax Sans musique derrière, c'est courageux, bravo ! Et pas facile à chanter du tout...
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Il faut que je vous avoue que je n’aime pas les périodes de vacances avec mon fils. #mauvaisemère
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@Shanna Heureusement qu'on a "un peu" de mémoire...
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@Shanna Ah mais je ne me force pas du tout, quand je disais "ennuyeux" je pensais pour les autres, moi je serai ravie.
(Bonsoir, j'suis Moving, et je suis en train de ruiner votre battle cinéma !)
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Merci pour vos gentils commentaires. Je vais être toute perturbée pour commencer à jouer maintenant... C'est malin.
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J'ai peu de références en termes de personnages de films d'horreur tout simplement parce que je n'en regarde pas. Si vous insistez un jour pour me faire voir un film d'horreur à vos côtés, vous le regretterez TRES longtemps. Impossible de dormir avec la porte de la chambre entrebâillée, une porte de placard mal fermée d'un centimètre, le moindre bruit c'est la panique, je rallume toutes les lumières, et si par miracle je m'endors, de toute façon je me réveille en hurlant et en vous attrapant à la gorge... voilà, voilà.
BREF. Pour répondre à la question, quand j'avais 14 ans on a regardé l'Exorciste avec une bande de copains chez les parents de l'un d'entre nous, une maison bien sombre et grinçante. Tout le monde disait que la fille était plus drôle qu'autre chose, moi je n'ai pas dormi de la nuit. Pendant 5 jours...
(Merci infiniment de continuer de mettre les images des personnages dans les spoilers :x)