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Hilda Van Holp
Il paraît que c'est la journée mondiale du compliment.
Vous êtes de belles personnes (sujet, verbe, compliment j'ai tout bon)
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Hilda Van Holp
Je suis revenue de vacances en Alsace (c'était très chouette) et pendant mon absence les premières roses du jardin sont apparues. J'ai planté le rosier il y a deux mois. Alors ce sont vraiment les toutes premières.
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Hilda Van Holp
La violence c'est toujours la faute de insérer le nom du dernier truc moderne. Si tous ceux qui jouaient aux jeux vidéos ou regardaient des films avec de la violence devenaient des délinquants eh ben...Vous pourriez même plus sortir dehors. Parce qu'on est nombreux a avoir été biberonné à ça. Il y a cinquante ans c'était telle lecture, tel ceci, tel cela qui rendait agressif...
Ca nous a aussi permis de savoir ce que c'est et de comprendre pourquoi il ne faut pas reproduire ça dans la vraie vie.
Ce qu'il y a en ce moment surtout c'est l'effet loupe et les statistiques. Si il y avait eu ces deux choses là 50 ans auparavant je pense que l'on pourrait constater que c'était bien pire avant. Quand une baffe était quelque chose de banalisé déjà...
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Hilda Van Holp
Finalement je vais pouvoir être dans les temps. Youpiii ^^
"Alicia se contempla une fois encore dans le miroir
- C’est bluffant. J'ai vraiment l’impression de la voir. Merci à tous !
L’équipe de costumes, coiffure et maquillage s’applaudit satisfaite du résultat. Il n’y avait pas moins de cinq heures de travail pour en arriver à cette métamorphose. Lorsque son agent lui avait dit qu’elle avait les traits et la corpulence pour le rôle Lady Oscar elle ne l’avait pas vraiment pris au sérieux à vrai dire. Et puis le physique ne faisait pas tout. Il y avait une diction, une posture, une allure, des regards. Alicia avait travaillé sans relâche pour obtenir le meilleur résultat possible. Le directeur du casting ne s’y était pas trompé. Elle avait été retenue.
Premier jour de tournage. Elle avait tellement hâte ! La jeune femme relu le script posé sur la tablette afin de se souvenir par quelle scène ils allaient commencer. Elle emprunta le couloir afin de rejoindre le décor le nez toujours dans son script lorsque soudain…elle heurta quelqu’un.- Excusez m…
La phrase mourut sur ses lèvres. Elle était en face d’elle-même. Bêtement elle leva le bras gauche et son double fit de même. Il n’y avait pas de miroir pourtant. Elle approcha son index du front de l’autre elle qui fit de même. Elles se touchèrent mutuellement et son autre elle éclata de rire.
- Allez j’arrête de vous embêter. Je ne peux pas m’empêcher de faire ce coup là à chaque fois.
Elle tendit la main à Alicia
- Céline. Votre doublure cascades. Enchantée !
Alicia serra la main de la jeune femme avec un énorme sourire
- Vous m’avez bien eu !
- Et encore vous n’avez pas rencontré vos fesses !
- Pardon ? - Votre doublure fesses
- Ah oui pour la scène du bain. Il faut que j’y aille mais j’ai hâte qu’on se photographie ensemble. A plus tard !
Les deux jeunes femmes se firent un petit signe de la main. Ce premier jour de travail s'annonçait vraiment bien !"
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Hilda Van Holp
Salut tout le monde.
Je suis Hilda, 42 ans demain et Auvergnate.
Il y a un petit moment que j'ai envie de venir discuter avec vous et je me décide enfin à franchir le pas. Je travaille et d'ailleurs j'aime bien mon travail mais je fais aussi du théâtre et j'ai une vie sociale plutôt bien remplie. En fait je suis curieuse et j'aime faire pas mal de choses.
Au plaisir de vous lire et d'échanger
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Hilda Van Holp
Hello Moi,
Comment vais-je ? Moi et moi rions de cette formule creuse dite « de politesse ». Mais elle a une importance capitale. De moi à moi, en toute intimité, j’aime me poser régulièrement cette question.
« Comment vais-je « ? ». Les réponses changent selon les périodes et les événements. Car bien entendu (de moi à moi toujours) il ne s’agit pas de me répondre « bien » mi-bien » ou « mal » voir « très mal ». Ca c’est ce qu’il faut dire à tous ceux qui ne sont pas moi. Je peux ensuite développer si ils m’y invitent, si ils le souhaitent. Mais ce n’est pas obligatoire. Pour moi en revanche je veux faire l’effort. Et c’est formidable de voir le champs des possibilités qui s’ouvre une fois que la réponse est là : claire comme de l’eau de roche. Cela me fascine, j’en ai même le souffle coupé parfois.
Je crois qu’elle est là la clef. Me demander souvent comment je vais et prendre le temps de me sonder. Changer ce qui doit être changé, conserver ce qui me rend heureuse voir l’améliorer. Puiser dans mes ressources, mes possibilités mais aussi dans celles que les autres peuvent offrir. En créer des nouvelles et apprendre encore et toujours. Me tromper, retenter, réussir parfois suite à un échec manqué.
Voilà cher Moi ce que je tenais à me dire. De ne jamais perdre de vue cette petite question si banalisée qui est pourtant la clé de tout. Même si le temps défile bien vite. La possibilité d’appuyer sur le bouton « pause » est là, il est primordial de l’utiliser.
Au risque de passer pour la narcissique que je suis peut-être : je m’aime bien. Je resterais à mes côtés demain, pour toujours et à jamais…jusqu’à ce que la mort nous sépare.
Bien à Moi.
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Hilda Van Holp
@Hornet Idem !! Deux semaines dont une en Bretonie
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Hilda Van Holp
Moi je suis la grosse lourdingue qui demande à la caissière ou au caissier
"je vous dois quelque chose ?"Et quand on me parle de carte de fidélité
"Ah non je suis pas fidèle"Voilà voilà...
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Hilda Van Holp
Désolée j'ai été très prise ce week end. Effectivement c'est simple et efficace. J'aime bien moi quand ça va à l'essentiel ^^. Et moi aussi j'aurais pris peur avec les yeux brillants des chats dans la nuit.
Voici ma ptite bafouille. Je précise que ce n'est que mon imagination même si c'est inspiré de l'actualité.
"Les bras croisés, en contemplation devant la baie vitrée, il laissait le paysage calme et paisible l'envelopper.
Une dernière fois.
La nuit prenait doucement ses quartiers et le temps semblait suspendu. Kiev se parait de son écrin de lumière.
Pourtant demain…
Il desserra un peu sa cravate. Il ne savait pas quand il pourrait à nouveau porter un costume. Le pourrait-il un jour d’ailleurs ? A partir de demain, il serait la cible à abattre. La peur lui serra la gorge. Mais il ne savait pas si c’était pour sa famille pour son pays ou pour lui. Peut-être pour tout. Les armes n’étaient pas très nombreuses en Ukraine. Il avait fallu se désarmer au profit de la Russie. Mais il avait de la ressource, de l’imagination et il savait communiquer. Il était hors de question de garder le silence. On allait le voir, on allait l’entendre. Il ne se passerait pas un jour sans que le monde ne soit au courant du déroulement de cette guerre. Il lui était d’ailleurs difficilement supportable d’être dans l’attente. L’attente des chars d’assaut qui allaient essayer de détruire son pays. Mais frapper le premier n’aurait pas joué en faveur de l’Ukraine si incroyable que cela puisse paraître. Poutine ne se serait pas gêné pour faire de lui l’agresseur. Celui qui avait tous les torts. Celui qu’il fallait « pacifier » par la force.
D’un geste résolu il dénoua sa cravate et la lança à l’autre bout de son bureau. Son treillis et son pull kakis l’attendaient. Il était désormais prêt à en découdre."
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Hilda Van Holp
Non nous on dit "étiquettes de boîte aux lettres". Mais je préfère nominette. C'est beaucoup plus choupi et plus court aussi.
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Hilda Van Holp
Ahh la première voiture ! Moi c'était une twingo bleue/violine. D'occasion bien sûr et avec radio cassette.
Je ne sais pas si vous voyez comment est fait l'habitacle mais la vitesse à laquelle vous roulez est affichée en énorme et en digital. Du coup tous mes passagers le zyeutaient et faisaient des commentaires.
Au bout du 30 ème "on roule à tant" j'en ai eu assez et j'ai planqué la vision sur mon compteur pour le passager en installant stratégiquement une photo de Garou dont j'étais fane à l'époque.
Et comme je n'avais pas de clim j'avais un mini ventilateur qui faisait un bruit de l'enfer !
Voilà voilà ^^
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Hilda Van Holp
Allez ! Avec les bons mots cette fois. Je sens que la journée va être longue
"Lentement il pointe son arme en direction de celui qui, il y a trente minutes encore était son ami.
- Je savais que je trouverais ta planque. Je peux te renifler à des lieues.
Pourtant Enzo les Biscotos était réputé pour être le roi du camouflage. Son immense carcasse s’extirpe d’un tapis de feuilles d’automne et se déplie lentement tel les ailes d’un aigle qui va prendre son envol. Killian se retrouve d’un coup enveloppé de l’ombre immense de Enzo. Il ne peut s’empêcher de trembler un peu sous le ciel cotonneux. Il le tient toujours en joue. Ce matin sera décisif pour sa carrière.
- Fais pas le malin avec moi Biscottos !
Il parlait beaucoup trop il le savait. Cela traduisait sa nervosité il le savait aussi. Enzo à l’inverse semblait être un mur que les émotions ne semblaient pas visiter. Aucune parole, aucun regard ne trahissait ses pensées. A croire que l’idée de clamser ne lui faisait aucun effet ! Le colosse pose l’index sur son cœur.
- Vise bien mon gars. T’auras pas de deuxième chance.
Il tire et une immense tâche de peinture rouge se forme sur la veste militaire du colosse. Celui-ci lève un pouce approbateur et donne une bourrade à Killian.
- Bien joué. A chaque fois que tu perds au paintball on t’entend chouiner.
- C’est pas vrai !!
Enzo sort un deux sucres d’orge de sa poche et en tend un à Killian qui s’en empare précipitamment. Il lèvent les bonbons et les font s’entrechoquer.
- A la mémoire d’Enzo les Biscottos !
- Tu viendras visiter ma tombe ?"
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Hilda Van Holp
@Egon a dit dans Les coups de vieux :
@Elenwey Il y a quelques années, je bossais avec des djeunz de 18/20 ans qui étaient persuadés que j'étais des leurs avec juste le bac en poche alors que j'avais déjà 27 berges sonnées, c'était assez amusant.
Maintenant, je suis plutôt dans un service où la moyenne d'âge est celle des mes parents, donc c'est moi la djeunz à qui on dit : "tu es un bébé".
déjà quand on dit "djeunz"....
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Hilda Van Holp
« Ah nan mais je suis trop Ire là
- C’est so abusé cette altitude !"
Et c’était parti ! Comme à chaque fois que des candidats de téléréalité s’exprimaient c’ était devenu viral. Lorsqu’il s’ agissait de se moquer du ridicule savamment mis en scène par la prod (mais chuuut c’est un secret bien gardé) le net entrait en ébullition.
C’est ainsi que sur Tik tok était né le challenge de la danse « Ire la da da ». Hier, en entreprise, deux grutiers s’étaient filmés en train de demander à leur patron d’adopter une meilleure altitude. Ca ne pensait pas à mal pourtant. Juste à rire, à s’amuser. On pouvait même dire que ça générait une certaine créativité. Le problème c'était que la société n'arrivait pas encore tout à fait à faire la différence entre le comique et la moquerie. Mais ça viendrait. Et puis il y avait tellement d'insultes et de menaces sur les réseaux sociaux...
Lentement Iris se massa la nuque en regardant les dernières images de l’émission qu’elle produisait. Elle avait prévenue la chaîne que c’était la dernière saison dont elle s’occupait. Toute cette médiocrité orchestrée lui minait le moral petit à petit. Elle se sentait comme une batterie qui ne parvenait plus à se recharger à 100%.
C’est elle qui avait casté les deux jeunes gens : Kimberley et Alvin. Charlotte et Gabin dans la vraie vie. Elle avait été obligée de se botoxer et lui était cracké jusqu’aux dents pour tenir le coup. Ils jouaient les imbéciles et amusaient la galerie. Elle était styliste jeune talent tandis que lui était prof au sein des Compagnons Bâtisseurs. Ils gagnaient bien leur vie mais voilà. Ils avaient envie de monter dans le train de la célébrité.
Ils allaient se briser les ailes. Iris avait vu ce scénario se produire un nombre incalculable de fois. Cependant elle ne les avait pas choisit au hasard. Elle savait que lorsque leur célébrité n’existerait plus ils sauraient faire preuve de résilience et s’adapter puisqu’ils avaient des métiers. Voilà pourquoi il était crucial de ne pas choisir des jeunes sans carrière, sans matelas de sécurité. Iris n’espérait qu’une chose à présent : que ceux qui prendraient le relai derrière elle se soucieraient de cet aspect.
Qui vivra verra.
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Hilda Van Holp
@agathe pourquoi pleurer devrait être associer a quelque chose de mauvais ou d'immature?
C'est naturel et sain. Si chacun acceptait de pleurer autant qu'il en a besoin les émotions s'en trouveraient apaisées et nettoyées. Et il y aurait beaucoup moins de frustration et de violence.
Quand on réalise un rêve qui tient a cœur oui ça peut faire pleurer de joie. C'est une émotion vive et intense. Taylor Swift, beaucoup de gens rêvent de la voir en vrai. Comme c'est le cas pour beaucoup d'artistes qui génèrent une fanbase. Y a aucun problème avec ça. Et ce sont des souvenirs que l'on garde en mémoire a vie.
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Hilda Van Holp
Elle posa sur la table ronde extérieure, deux tasses, quelques bonbons schtroumpfs et du miel. Pourvu que les feuilles de tisane à la salsepareille lui donnent le courage dont elle avait besoin !
Il la rejoignit avec la bouilloire. Son regard bleu océan l’enveloppa. Et son sourire… Pourtant le spleen l’avait envahie depuis plusieurs semaines. Il était un homme et elle avait compris que ce n’est pas lui qui ferait le premier pas pour exprimer ce qui n’allait pas. Avec une tendresse infini il lui caressa la joue. Elle se lova dans sa main qui l’épousait parfaitement. L'âme en symbiose jusqu'à ce que ce sentiment insupportable d'incertitude l'envahisse à nouveau. Elle lui demanda :
- Est-ce que quelque chose te tracasse en ce moment ?
Lentement il retira sa main et baissa les yeux emportant avec lui sa chaleur. Aussitôt elle sentit son ventre et sa gorge se nouer.
- Mes sentiments envers toi ont faibli…
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Hilda Van Holp
"Avoir le rideau coincé dans la fenêtre"
Expression pour signifier que l'on se retrouve avec une lingerie mal ajustée et peu seyante.
Voilà voilà. Vous avez de quoi briller en société avec ça ^^
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Hilda Van Holp
"Cette maison et ce jardin c'est comme un oignon. On ne peut pas les regarder sans avoir envie de pleurer !".
La sentence était tombée et l'agent immobilier avait fait une drôle de tête. Mais Léa n'avait pas l'habitude de mâcher ses mots. Pas dans ce domaine en tout cas. Acheter de l'immobilier n'était pas une mince affaire. Il y avait un coût et un engagement sur le long terme. Histoire d'en ajouter une couche...
"Vous êtes sûre que les propriétaires actuels veulent vraiment vendre ? "
Hop. Le message était passé. Léa flairait parfaitement le potentiel du lieu mais on ne pouvait pas nier qu'il y avait des travaux et des rafraîchissements à faire. Sauf si on aimait le moche et le triste. Oh elle imaginait facilement des personnes mélancoliques de l'ancien temps où tout le monde s'habillait en gris, quand les meubles étaient marrons et lourds, quand les outils étaient rouillés, plein d'échardes avant même d'avoir servi. Le vintage ça plaisait à beaucoup de monde. Principalement aux "c'était mieux avant". N'empêche que la mélancolie ça ne payait ni les rafraichissements, ni les travaux de mise aux normes
"Vous laisseriez votre enfant courir dans ce jardin ?"
Non. Elle n'avait décidément pas confiance en ce lieu tel qu'il était et non elle ne comprenait pas que l'on pouvait laisser ça comme ça. C'était limite criminel ! Mais elle avait la possibilité d'en faire un endroit plein de charme. Les idées fusaient dans son esprit.
" Ecoutez je veux bien faire une proposition parce que l'emplacement est top. Mais il y a beaucoup de travaux il va falloir baisser le prix".