Le film a fait beaucoup de bruit, j'ai été tentée car j'avais apprécié l'ambiance de The Witch.

Quelle déception et quelle beauté à la fois.
Trop de détails ont suffi à me faire sortir du film : un charisme masculin qui frôle le néant, un message subliminal devenu trop évident pour être subtil, une robe qui semble cousue à la va-vite, une musique d’une platitude affligeante et une ambiance parasitée par un mélodrame digne des pires clichés. Quant à la voix...
Ne me tirez pas dessus...

Je suis en rémission, après des années de galères et d'errance médicale.
Nous manquons quelque peu d'un Dr House, en France.
Reprendre le travail après des mois et des mois d'ici quelques semaines... Quel bonheur.

Plusieurs livres, dont l'acquisition me donnerait presque les larmes aux yeux.
Jetez un oeil à la beauté de cette anthologie :
Le livre des ombres sous la direction d'Alex Paré.
Axé sur des oeuvres d'art uniques, principalement du XVIIIe et du XIXe, évoquant les spectres, les sorcières...
On y retrouve des toiles inédites du fameux Füssli, mais également des oeuvres que je n'avais jamais croisées auparavant...
Je ne sais plus si dans ce fil, nous pouvons agrémenter nos propos d'images.

Sinon, j'ai terminé Peau de Sang de Audrée Wilhelmy. Toujours dans cette quête de me réconcilier avec la littérature contemporaine. Un enfer personnel. Oui, c'est novateur, oui, c'est hypnotique... Mais bordel. C'est illisible.

Bonjour à tous,
Me voilà de retour parmi vous. Impatiente de rencontrer les nouveaux venus et de retrouver le sourire des tolliers.

Aller voir un groupe de Death avec ma fille. La voir s'amuser et faire son sport pour la semaine.

Je pense m'être enfin débarrassée de cette sorte de manie qui consiste à cristalliser sur n'importe qui. La réalité est plus pesante mais n'est pas si exempt de douceur.

Bienvenue.
Nous allons nous entendre.

@Egon Gagné !
J'ai absolument adoré ce livre.
Ma citation préférée :
« Voyez-vous, il y a à mon sens trois attitudes possibles devant cette vie absurde. D’abord l’attitude de la masse, hoï polloï, qui refuse simplement de voir que la vie est une blague. Ceux-là n’en rient pas, mais travaillent, accumulent, mastiquent, défèquent, forniquent, se reproduisent, vieillissent et meurent comme des boeufs attelés à la charrue, idiots comme ils ont vécu. C’est la grande majorité. Ensuite, il y a ceux, comme moi, qui savent que la vie est une blague et qui ont le courage d’en rire, à la manière des taoïstes ou de votre Juif. Enfin, il y a ceux, et c’est si mon diagnostic est exact votre cas, qui savent que la vie est une blague, mais qui en souffrent. C’est comme votre Lermontov, que j’ai enfin lu : I jizn takaïa poustaïa i gloupaïa choutka, écrit-il. » Je connaissais maintenant assez de russe pour comprendre et compléter : » Il aurait dû ajouter : i groubaïa, une blague vide, idiote et sale. »

Hop, je te lance la balle, Egon.

Je relance. Le livre que vous devez chercher est connu pour son épaisseur. Prix Goncourt.

Référence à ma citation. Louis C.K.