Salut à tous, @Quiz .
Soyez les bienvenus sur cette troisième édition de mes Balades à Enigmes jouable via Streetview, la banque de données d’image 360° de Google.
Les règles :
Comme pour les précédentes éditions, le but sera ici de s’orienter depuis un lien de départ, et d’indications fournies dans le récit.
Petite différence avec les éditions précédentes : ici le trajet sera discontinu. Rues difficilement accessibles, bâtiments à traverser, nécessité de passer des portes, de monter des escaliers, ces actions devront être exécuter par des « sauts », c'est à dire de nouveaux liens protégés par des mots de passe.
Ces mots de passe sont aisés à deviner car reposant sur l'observation des environs.
A noter que pour simplifier, les mots de passe sont en un seul mot (pas d’espace ni ponctuation), et en minuscule ou chiffres (pas de majuscule).
Si vous jouez depuis un smartphone ou une tablette, je vous invite
- à scinder votre écran en deux, entre le streetview d’un côté, et l’énoncé de ce topic de l’autre. Ca sera plus pratique pour passer de l’un à l’autre.
- à jouer depuis votre navigateur (Safari, Chrome, Firefox) plutôt que depuis l’appli Google Maps, laquelle pourrait ne pas afficher certains indices essentiels à la seconde partie de la balade.
L’objectif :
Les gagnants seront ceux qui me communiqueront sur ma messagerie privée le mot-sésame qui se cache derrière le lien ci-dessous, lien actuellement brisé mais réparable une fois le parcours bouclé :
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/33/5/1629461947-xxxxx0000.jpg
Si tout ça manque de clarté, si vous avez la moindre question, ou si vous êtes perdus, je suis tout disposé à vous aider.
Et maintenant si vous vous sentez prêt(es), attaquons !
Le jeu :
lien de départ >>> « Gare de Sitges » <<< lien de départ
Comment suis-je arrivé ici ? Parisien en quête de dépaysement et fraichement débarqué à Barcelone, j’étais prêt à péter un câble au contact de la fameuse « Barna » qui m’apparaissait presque aussi aliénante que cette satanée « ville Lumière » que je cherchais justement à fuir l’espace de quelques semaines.
C’était sans compter sur ce courrier mystérieux arrivé hier dans ma boite aux lettres, porteur d’un billet de train à destination de cette ville.
M'y voilà, prêt à me se lancer.
-
Je suis dehors, face à la gare. Deux directions d’offrent à moi. Je n’ai pas de test PCR à faire, mais allons du côté de ce commerce qui en pourvoie.
Dés que j’en aurai la possibilité, je tournerai à gauche. -
Me voila dans une nouvelle rue. Une plaque faite de carreaux de faïence sur la façade du n°45 m’indique le nom de la rue, celui d’une île très connue. Je note la 1e lettre de ce nom.
Au premier croisement, je me retrouve dans l’impossibilité de continuer tout droit. A gauche ? A droite ? Les deux édifices qui me font face ont de l’allure mais je choisis de bifurquer du côté de celui qui est en exercice depuis bientôt 140 ans. -
Un nouveau croisement ? Engageons-nous sur la voie visiblement interdite à tout véhicule motorisé, hormis les deux-roues.
-
Au bout, il me faut à nouveau choisir mon chemin. D’un côté, d’importants travaux de voirie obstruent une rue déjà pas bien large. Allons de l’autre.
-
Qu’il soit alternatif ou continu, il me faut passer dessous à l’intersection suivante.
Arrivé à hauteur du numéro 56 de la rue, une imposante porte en bois voutée de larges pierres attire mon attention. Y’a pas à dire, ca a une toute autre allure que les petites boutiques pour touristes que je rencontre depuis 10 minutes. A la droite de la porte, une plaque gravée d’un nom. Je décide de noter la 4e lettre du nom. -
Le prochain croisement me remémore mes cours de catéchisme. Je me rappelle vaguement ce saint martyr, généralement représenté ligoté à un arbre et criblé de flèches. Et c’est justement le cas ici, sur un autre de ces carreaux de faïence. Il se contente même de tourner la tête vers la nouvelle direction qu’il me faut prendre. Allons y.
-
Dans cette rue, la maison n°25 adresse de courts messages aux piétons, mas c’est le seul en français qui retient mon attention. Et je note la 2e lettre du deuxième mot.
-
Il peut être de Prusse, persan ou même cobalt. Je vais suivre celui de ces volets, à l’intersection suivante.
-
J’arrive sur une petite place. Sur la façade du numéro 2 un indice va m’aider à trouver mon chemin.
-
Les rues sont particulièrement étroites ici. J’aime cet esprit de dédale qui invite à s’y perdre. Le style architectural aussi change. Plus ancien… médiéval.
Au bout de la rue, une autre de ces pittoresques maisons blanches à fenêtres bleues fait le coin. J'en longe la façade en prenant soin de noter la 3e lettre du nom de cette maison, indiqué au dessus de sa porte. Puis je continue dans la même direction -
Cette maison de pierre devant laquelle je passe en impose. Je ne peux pas louper son nom, il est gravé dans le mur, pile au coin de la rue dans laquelle il me faut maintenant tourner. Notons donc la dernière lettre.
En face du n°5 de cette ruelle, une pancarte placardée à la porte m’invite à rentrer. Ne nous laissons pas prier. -
Me voila arrivé dans ce qui ressemble à une habitation fortement… décoré, c’est le cas de le dire. J’explore rapidement les trois, quatre pièces qui la compose puis me dirige vers l’escalier.
-
Ah, la déco se veut à l’étage plus sobre. Ca fait déjà plus « musée ». Explorons rapidement tout ça. Les pièces semblent ici numérotées. Y être attentif peut m’être utile à l’avenir. Pour me changer des escaliers, je pars en quête d’un ascenseur.
-
Un autre étage du musée. Je décide de ne pas m’y attarder. Le temps de glaner une autre information et je redescend.
-
Retour au rez de chaussé. Cette nouvelle pièce m’évoque une ancienne chapelle gothique. Un tableau m’indique qu’elle était rattachée à un ancien hôpital. Attiré par la lumière du jour de la pièce voisine, je m’attarde brièvement devant ces trois statues bronzant au soleil et jouissant d’une vue imprenable sur la Méditerranée. Cette pièce porte, comme les autres, un numéro. Je le note. Continuant sur ma lancée je traverse une dernière galerie direction la salle 12. Les murs de cette dernière salle s’apparentent à de gigantesques tableaux. Je sors à l'air libre.
-
De retour dehors. La porte par laquelle je viens de passer semble s’être muée en un grand miroir. Pas le temps de m’interroger sur cette étrangeté, je continue mon chemin dans la petite ruelle avoisinante, surplombée par cette courte passerelle faite de pierre et d’arches. Au bout d’une trentaine de metres, j’accède à une courette. Je remarque immédiatement cette imposante porte sur ma gauche, bordée de deux cyprès. Voyons si l’on peut y entrer.
-
Oui, c’est ouvert. Joli patio. Beaucoup de faïence, de blanc et de bleu. L’identité visuelle de la ville est bien là. Et enfin un peu de verdure. Montons.
-
Nous sommes en haut. La porte bleue sur ma droite ne semble pas décidée à s’ouvrir, tentons notre chance de l’autre côté.
-
L’ambiance colorée change ici. Au bleu de la mer s’ajoute le rouge du soleil, me rappelant le logo omniprésent de ce Palau. J’arrive dans une grande pièce où le blanc de la cheminée contraste fort avec le rouge des murs. Après un rapide détour par cette autre pièce au dallage en échiquier, mon étape suivante va consister à… oui, monter. A nouveau. Justement il y a un escalier.
-
J’arrive dans cet atrium ouvert sur la mare nostrum. Notez que je n’en perd pas mon latin. Je ne tarde pas à trouver une porte vers l’exterieur, suivie d’un escalier conduisant au toit-terrasse de l’édifice. J’y entraperçois à nouveau la mer au travers d’une série d’ouvertures circulaires dans le mur, cerclées de bleu. Combien d’ouvertures d’ailleurs ? Je les compte et ce nombre va rejoindre les autres annotations de mon carnet.
Mon périple s’arrête ici, je pense disposer des 9 caractères alphabétiques et numériques me permettant de réparer l’URL de fin et d’accéder au mot sésame.
Bon courage à tous ! Et amusez vous bien !
Si jamais le coeur vous en dit, les deux balades précédentes sont toujours jouables ici :
- Balade 1
- Balade 2