J'ai lu : " La piste de l'ivermectine avait été lancée d'après la publication d'une étude (avril 2020)
dans la revue scientifique Antiviral Research, par la Monash University de Melbourne en Australie.
Les résultats semblaient alors prometteurs puisque le médicament diminuait de 99,98% la charge virale. Et ce, en 48h seulement !
Cet antiparasitaire, aussi utilisé pour combattre la gale ou le paludisme, est par ailleurs classé par l'OMS comme un médicament "sans danger" pouvant "être utilisé à grande échelle"...
Et l'avantage qui en découle, c'est que l'ivermectine n'est pas chère.
Un médicament, qui comme la chloroquine, est donc bien connu de la médecine.
Mais qui se révèle finalement décevant contre le coronavirus ".
Il y a quelque-chose qui m'échappe, là. Il est bien écrit : diminuait et non pas diminuerait...
Alors, pourquoi ce médicament se révèle t-il décevant ?
Mais il y a d'autres molécules à l'essai actuellement, ce qui est une très bonne chose,
car les vaccins ne doivent pas être la seule solution envisagée :
je pense aux personnes immuno-déprimées entre autres dont on sait que le vaccin pour elles
n'aura que peu voire pas du tout d'efficacité.
. le molnupiravir : un 1er essai clinique de phase 2 présenté à la Conférence internationale
sur les rétrovirus et les infections opportunistes (CROI), montre que l’infection par le Sars-CoV-2
a été éliminée en 5 jours chez 47 patients avec le nouvel antiviral, le molnupiravir.
Chez les patients traités avec un placebo au contraire, un quart d’entre eux portaient encore du virus infectieux.
" Il s’agit d’un candidat très intéressant pour guérir les patients à un stade précoce de la maladie ",
souligne Bruno Canard, spécialiste des coronavirus à l’université d’Aix-Marseille.
. le clofoctol (le médicament s'appelle Octofene) s'est révélé comme particulièrement puissant
contre le virus et fait depuis l'objet d'une série d'essais.
Cette molécule disposant déjà d'une autorisation de mise sur le marché, le protocole permettra
un délai plus rapide dans sa mise en place, explique l'Institut Pasteur de Lille.
Je ne me réjouis pas pour autant trop vite, mais je me dis : " qui ne tente rien n'a rien ".
Tout ce que j'espère, c'est que soient bien pris en compte les effets secondaires délétères s' il y en a
au lieu de les minimiser pour assurer la rentabilité.