Salut @gojo01 , je vais seulement rebondir sur ça
J'aimerai aller voir un psy, mais déjà premièrement j'aurai du mal à me confier il me faut un peu de temps pour réfléchir, et deuxièmement, mes parents payent suffisamment de choses
Tu peux en parler à l'infirmerie de ton lycée qui te donnera contact si besoin, ça reste privé, tu peux lui rappeler
Tu peux en parler à ton médecin
Tu peux aussi prendre RV dans un CMP
Chacun peut rencontrer tes difficultés et ça peut s'arranger

@Fort-Knox Oui, merci beaucoup, pourquoi pas mais le plus dur reste de s'ouvrir et ce n'est pas facile. Je connais déjà un psy, pour moi ce serai un mieux si je le connais. Si mes parents savent que je me sens mal ils voudront que j'aille le voir lui, ça leur paraîtrera mieux que d'aller autre part en voir un autre et pour moi aussi, c'est juste moi qui est gêné de leur faire payer d'autre chose.

@gojo01
Perdu ?
Non, incertain dans un monde fluctuant, c'est normal...

Je trouve que tu as déjà un parcours intéressant, des expériences que tes collègues de classe n'ont pas, c'est peut-être ce qui faut te faire sentir en décalage.
Je n'ai pas de conseils à te donner, parce que je trouve que tu as une façon très saine et mature d'envisager ton cheminement. si le coût du psychologue que tu aimerais rencontrer te gêne, par rapport à tes parents, je suis sûre que tu peux en discuter avec eux, pour inventer un donnant donnant, ou gagnant gagnant qui satisfasse tout le monde.

Les chemins droits sont souvent ennuyeux, je suis sûre que ta vie va être très intéressante !

@apis-32 Oui, je pense que c'est la meilleure chose à faire, après mes parents seront sûrement d'accord, c'est juste moi qui estime trop avoir, et je n'aime pas abusé de ça, même si ça peut paraître "normal" que mes parents m'aident.

D'ailleurs mes parents me prennent toujours un peu pour un adolescent "classique" et irresponsables, car je suis paresseux et flemmard et que pour eux je n'ai pas conscience de tout déjà que je n'arrive pas du tout à bien bosser avec tout les problèmes que j'ai en tête, ils continent donc toujours à croire tout cela.
Je n'estime en aucun cas être un adulte, mais sur certaine situation ça m'embête un petit peu qu'ils me considèrent ainsi. Je trouve que sur certains points, ils se trompent.
C'est peut-être car je ne leur parle pas assez, mais je n'aime pas ça, c'est pour ca que j'envisage un psy mais ca me gêne aussi.

Et j'espère également que ma vie sera des plus passionnantes !

Salut à tout le monde,
Je suis littéralement perdu, je cherche un sens à ce que je fais depuis quelque temps. Avant je ne réfléchissais pas à des choses comme ça ou très rarement je faisais ce qu'on me demandait et tout aller bien. Aujourd'hui je ne vois pas l'intérêt d'obéir comme ça et de travailler comme je le fais et je crois que cette état d'esprit impacte sur ma réussite qui diminue. Le voir me démotive. Et même quand j'arrive à me remotiver la nature me remet un coup pour me remettre à genoux. J'aimerais discuter avec des gens qui ont ou qui ont eux le même genre de phases de questionnement. Merci d'avance pour toutes réponses encore plus si elle amène à une discussion.

@raptor49 Bonsoir,
Tu as l'air bloqué dans une situation qui ne te convient pas. Tu cherches un sens au fait d'obéir et de travailler comme tu le fais : est-ce tu souhaiterais plus de libertés tout en restant dans le même cadre ? Est-ce que tu travailles peut-être trop par rapport à ce que tu en attends / ce que cela t'apporte ? Est-ce un souci de rééquilibrage ? Quid de la possibilité de faire autre chose, si tu ne trouves pas de sens à ce qui a l'air de beaucoup t'occuper ? Quels sont les risques ?

@joleen Bonsoir ,
Ce que je voudrais c'est réussir dans ce que j'ai entrepris mais jai l'impression de ne plus pouvoir alors que je sais très bien que je pourrais réussir. Je ne trouve plus la motivation et chaque fois que j'ai un élan de motivation quelque chose me met un taquet. J'aimerais arriver à surmonter ça.

@raptor49 Qu'est-ce qui te met "au taquet" ? Est-ce que tu pourrais expliciter un peu plus ta situation ? Je ne pense pas qu'il soit opportun de t'apporter des réponses générales et banales, mais plutôt comprendre ta situation afin de chercher avec toi des pistes.

@joleen je suis actuellement en prépa et je me démène pour réussir la première année a été difficile plutot à cause du covid ... Mais la c'est plus une affaire de notes alors que j'essaye mais j'ai l'impression que le fait de pas avoir la motivation de réussir comme avant ça me bride et ça m'empêche de réussir. Après socialement j'essaye de faire des efforts pour garder un lien avec mes amis du lycée et j'ai l'impression aussi que ça sert à rien.
Ce qui impacte directement ma motivation alors que c'est complètement autre chose que les études.
Merci beaucoup de vos/tes réponses(j'ai pas l'habitude des forums)

@raptor49 si ça peut t'aider. Je suis passée sur la même phase, à l'époque (y a pas si longtemps que ça) j'étais en M1 de droit, et je m'ennuyais royalement, je ne savais pas ce que j'allais faire comme M2 et j'étais même pas motivée pour en faire. J'avais presque plus de pote car je bossais et etudiat en même temps. Je me sentais coincer dans une vie que je ne reconnais plus. Puis un beau matin, j'ai eu un déclic, et je me suis poser la question "pourquoi je m'obstine en droit?". Et là paf, j'ai réalisé que c'était même pas moi qui ai choisi la filière mais mon père, que j'étais juste en mode auto pilote dedans et que si je continue comme ça, certes je vais reussir mais au détriment de moi-même. Et la j'ai eu comme un sursaut et je me suis inscrite en 1er année de chinois. J'ai été traitée de folle, et plein de chose mais ça été l'une des plus brillante décision de ma vie.

Alors, de par cette expérience, je te conseillerai de chercher ton "pourquoi" et une fois que t'as ta réponse, tu t'accroches dessus pour effacer tes doutes et te remotiver. Parfois ça va être dur, et c'est normal. Si ça te ronge de trop, passe à autre chose aujourd'hui et le toi de demain y réfléchira, y a des jours où t'en pourras plus, durant ces jours là prend une pause. Et surtout, surtout, surtout t'es pas obligé de toujours tout réussir haut la main la première parfois la réussite prends des déviations.

@tany-mena je te remercie
Je vais au réfléchir au pourquoi. Tu as probablement raison on ne peut pas toujours réussir tout du premier coup.

Bonsoir,

je sens que j'ai absolument besoin de parler de ce qui m'arrive en ce moment parce que je pète réellement un câble. Comme l'indique le titre, j'ai eu 25 ans cette année et actuellement je me sens mal dans ma tête, je ressasse, je repense à ce que je n'ai pas vécu à mon âge. J'ai jusque-là eu une jeunesse pas ouf, à pas sortir (introversion à la fois donc je ressentais pas spécialement le besoin de sortir + anxiété sociale, sachant que je ne savais pas bien faire la différence entre les deux il y a qq petites années de ça.
Je suis en train de réaliser que mes années de fac se terminent et que je suis allée à quoi, deux soirées en (6) ans, et que j'osais pas demander même à des potes assez proches (ou du moins je le croyais) pour sortir, par peur de déranger (anxiété sociale bonjour) etc. Donc au final je suis passée à côté de plein de choses (d'ailleurs j'ai jamais eu de mec parce que j'osais pas les approcher). J'ai toujours eu du mal à faire des rencontres et je côtoie toujours 2-3 personnes même si on se voit pas souvent. Je vois que pas mal de personnes autour de moi sont en couple et commencent à avoir des enfants. C'est la goutte d'eau qui a fait déborder le vase dernièrement. Coup dans la tronche. Brutal.
Et là je suis en stage, et j'ai eu une sorte de déclic, d'avoir une grosse envie de sortir (et aussi un peu de faire n'importe quoi, j'avoue), reste plus qu'à trouver des personnes pour sortir (j'en ai potentiellement trouvé une là donc je suis contente parce que c'est pas souvent que j'ose demander). Donc on va se voir prochainement (j'espère).
Mais voilà, j'ai l'impression d'être un désastre ambulant. Toujours à la ramasse derrière les autres, comme si je mettais plus de temps à réagir que les autres.
Tout à l'heure, quelque chose a bouilli en moi comme si j'allais devenir folle (je reconnais cette sensation, je l'ai déjà eue il y a qq années, ce qui m'a d'ailleurs valu de passer qq jours en HP)...

Je saurais même pas décrire tout ça, je suis juste amère, mélancolique, dégoûtée, j'ai peur DE VIEILLIR...
et tout ça parce qu'en ce moment j'arrive enfin à devenir moi, je suppose aussi que j'arrive à me débarrasser de cette putain d'anxiété sociale qui me gâchait la vie....Je crois "juste" que c'est pour ça.
Puis d'un autre côté, je me dis que d'avoir passé autant de temps aux études, ça n'a pas dû aider, enfin je sais pas. Peut-être que si j'avais travaillé plus tôt j'aurais été dans une situation similaire. Bref. J'essaye de pas trop chercher à comprendre. J'ai des regrets mais je me dis que c'est que ça devait être comme ça. En plus de ça je souffre d'acouphènes depuis mes 20 ans donc je ne me rends pas en concert parce que ça me dérange trop. Et ça ça fait hyper mal aussi parce que la musique c'est tellement ce qui me fait du bien .

Puis aussi j'ai été bien trop "couvée" plus jeune, et ça a je pense pas dû aider. Mais j'en parle pas spécialement à ma famille parce qu'ils m'engueulent du genre "c'est pas de notre faute, c'est toi qui as qu'à sortir...".
Tout ça me met hors de moi. J'ai peur d'être avalée par cette peur ou le fait de devenir folle. Mais vraiment. Et j'espère que ça ne va pas arriver.
J'ai même assez honte d'en parler mais il faut que ça sorte, ça permet déjà de mettre des mots dessus.

J'aimerais bien faire une activité pour compenser un peu tout ça, puis ça me ferait du bien, mais la période de l'année à laquelle on se trouve n'est pas propice à ça.
Puis maintenant que j'ai beaucoup moins de gêne à sortir, j'ai peur que ça devienne un cercle vicieux donc je me dis que je dois trouver un équilibre pour pas faire n'importe quoi tout en sortant quand même. Il y a les personnes addicts à la drogue et il y a ça...
Après mon stage, j'ai prévu de "profiter" ultimement de ma jeunesse, j'ai fait un service civique il y a deux ans et j'ai envie de continuer mon engagement en faisant un volontariat en Europe. Enfin j'espère. J'espère que ça ira d'ici là...

Je sais qu'on ne peut pas revenir en arrière mais j'ai peur de péter les plombs un de ces quatre. J'aimerais en parler autour de moi mais on va me faire la morale, ça va pas être mieux. Merci d'avoir lu jusque-là en tout cas.

@jus Il ne faut selon moi pas attendre le point de ruptures. Si tu te sens mal, je ne peux que te conseiller de te faire aider. Allez voir un médecin spécialisé directement, ou non spécialisé pour t'orienter. J'ai moi même des crises d'angoisse relativement importantes qui me causent des insomnies (ou l'inverse). Bref c'est un cercle vicieux et une aide m'a été et m'est toujours nécessaire. Il ne faut pas avoir honte et les médecins sont soumis au secret professionnel (même si je pense qu'un soutien familial pour une démarche globale est quand même mieux).

@jus a dit dans Crise 25 ans et santé mentale qui part en vrille :

J'aimerais bien faire une activité pour compenser un peu tout ça

Fais du crochet, ça soigne tout ^^.

Non en vrai dsl je n'ai pas de réponse sérieuse à apporter, étant dans une situation similaire. 29 ans, peur de passer le cap de la 30aine, peur de vieillir, phobie sociale qui me bouffe la vie, l'impression d'avoir raté plein de trucs dans ma jeunesse et que maintenant c'est trop tard, trop d'années passées en études et en réorientation vers de nouvelles études, etc.
Donc tout ce que je peux faire, c'est compatir à ta situation. Et que si quelqu'un a une solution, je suis toute ouïe aussi ^^.

@jus je te comprends particulièrement parce que j ai été pas pour les mêmes raisons dans ton cas .
Je n ai pensée qu aux études et cela m a poussé vers une sorte d isolement social.
Faut pas t inquiéter outre mesure vraiment relax tu as toute la vie devant toi .
Se réveiller avec pleins d envies, a 25 ans n est pas trop tard alors fonce ,éclate toi !
C est pas évident au début j avoue mais faire la fête c est vraiment pas difficile. tu as trouvé le point sensible avoir un ou une amie pour sortir
C est préférable.
Cherche bien et lance toi.....
J ai commencé a sortir vers ton âge seulement j allais jamais au soirée plus jeune alors tout était nouveau et merveilleux j ai passé mes 25 à 35 ans un pur délice j en ai 50 aujourd'hui .je regrette rien mes parents m ont préservé de tant de déboires pas de crises d adolescence pas de souvenirs honteux ou désagréable rien de tout cela faut voir le positifa tout cela
A 25 ans on est plus mature pour affronter le monde
Et m a fois pour les enfants tu as le temps j ai eu mon fils à 32 ans l age idéal pour moi. Beaucoup de couple qui c étaient connus jeunes se sont séparés donc je me dit que l un dans l autre j ai pas fais le mauvais choix
25 ans plus tard je regarde ma vie avec le sourire et j ai aimé toutes les étapes un peu moins ces deux dernières années mais bon le vie n est pas un long fleuve tranquille
Alors que te dire ben fait toi aider accompagner s il le faut psychologiquement moi j y ai eu recours quant il a fallu c est efficaceet fait la liste de tes envies et suit là
Petits voyages
petits week-end
petites soirées🥢
tout va s articuler tout seul
Tu as vraiment la vie devant toi et a te lire tu es enfin prête tu vas t eclater vraiment
la vie est belle alors en avant ......pleins de pensées positives pour une nouvelle étape de ta vie
...oublie tout le reste arrête de ruminer .....fonce

Tu veras ta santé mentale va s améliorer de part la prise de décision de t ouvrir aux autres a ton rythme

25 ans mais c'est jeune!! Tu as tout le temps de penser à vieillir et vieillir c'est quoi, c'est commencer à "Se poser" rencontrer un homme faire des enfants et tous les inconvénients qu'il y a avec, car tout n'est pas rose non plus dans se schéma.
Tout le monde n'a pas le même but, certains sont très bien célibataire, ne veulent pas d'enfants, limite asocial et alors l'important c'est d'être bien avec ses choix.
Tu penses que tu loupes quoi finalement, tu n'as pas rencontré de garçon ? Tu n'en a peut être pas envie tout simplement, c'est pas parce que tout le monde raconte ses histoire de fesses que c'est formidable, il y a l'envers du décors aussi, ce qu'on ne dit pas.
Si tu es vraiment mal consulte en effet mais tu peux t'inscrire dans des clubs de sport ou faire du yoga, méditation c'est très bien pour le corps et l'esprit, ça t'apprendras à relativiser chaque chose.
N'essaie pas de vivre à travers la vie des autres, fais la tienne tranquille, trouve ce que toi tu veux faire de ta vie

@tigrette bonjour, ce que je veux dire par là ce n'est pas forcément le fait d'avoir des enfants ou non (en réalité, je ne m'en soucie pas vraiment pour le moment même si j'ai des problèmes de santé qui font que de toute façon j'aurai probablement du mal à en avoir...mais c'est autre chose). Je ne pense pas me comparer aux autres, c'est juste qu'il y arrive à un moment où les chemins prennent d'autres directions, certaines personnes se mettent pour de bon en couple, ensuite tout le monde commence à travailler donc pour se voir ça reste plus compliqué.
Puis je pense que passer autant de temps aux études ça gâche la vie (dans certains cas). Peut-être que quand je vais avoir fini ça va aller mieux, j'en sais rien.
Je crois que ce dont j'ai besoin en ce moment c'est d'être bien entourée et de vivre de nouvelles choses. Sauf que le souci est que je suis en stage donc ça pose problème (+ mon stage qui ne me plaît pas plus que ça, puis la routine, merci.) de ce point de vue là je ne sais pas comment faire.
Le gros problème de ma est que j'idéalise tout et que j'ai tendance à "rêver" plutôt que de vivre réellement parfois et quand on arrive face à la réalité, on tombe de bien haut.
Des fois je me demande aussi si je suis pas atypique, j'ai toujours eu du mal à me conformer à certaines choses
Je vais aller voir un psy parce que je sais que ça ne va pas passer comme ça.

@jus Je t'encouragerai effectivement à consulter.
Avec une précision: pense à consulter, si possible, une personne compétente dans le domaine de l'autisme au féminin. L'anxiété sociale est une étiquette que les psy collent trop vite et trop facilement sur les cas de personnes qui, comme toi, souffrent de difficultés dans le domaine des relations sociales et de la communication. Ils s'arrêtent à ce diagnostic sans chercher à se demander s'il ne s'agirait pas d'un symptôme d'un trouble plus large et plus profond.

je rappelle tout de même que l'autisme dit de fonctionnement à haut niveau (sans trouble du langage et/ou de l'apprentissage) - ce que l'on appelait autrefois "syndrome d'Asperger" est aussi appelé : trouble invisible. ça l'est chez l'homme et plus encore chez les femmes. En outre, il s'agit d'un trouble neurologique (qui concerne l'architecture même du cerveau et modifie son mode de fonctionnement) et ça ne passera pas avec le temps. Il ne s'agit pas seulement de vieillir et de gagner en maturité.

Alors, évidemment, il est impossible pour moi d'affirmer que tu es concernée, surtout après avoir lu seulement quelques mots de ta part, mais le peu que tu nous a dit m'évoque l'autisme et, à mon avis, il vaudrait mieux consulter quelqu'un qui soit capable de faire un bilan sans a-priori.

à lire pour en savoir plus

Je ne sais pas si ma réponse sera utile.. J'ai moi même 25 ans, je n'ai pas vécu dans l'excès comme mes amis (fêtes, conquêtes...) mais cela ne me rends pas triste car je suis plutôt casanière, et je pense profité suffisamment de ma vie.
Mais je trouve que 25 ans c'est encore jeune pour dire qu'il est trop tard pour vivre certaines choses ! Mes parents m'ont toujours dit que l'âge c'était dans la tête et que ce n'est surtout qu'un chiffre.
Pour finir moi je pense que l'âge ne doit pas être une barrière ou un frein et encore moins une limite. Profite plutôt de l'instant la vie est bien trop courte !

@sisi D'autant que dans notre société aujourd'hui, les plus belles années ne sont pas forcément sur la vingtaine.
Si chaque âge a ses avantages, notre société (dans sa configuration, son déterminisme, etc...) déforme quand même pas mal le fameux sujet du profiter de la vie et de son âge.