Les aventures de Covid-19 dans le monde...
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Le masque n'est plus obligatoire depuis lundi dans les établissements scolaires. Un petit constat de la situation s'impose.
Lundi, environ 1/3 des élèves continuent de porter le masque et là je parle de ceux qui le portent au moins au niveau de la bouche (pas des élèves qui le portent sur le menton ou encore plus bas). Vendredi, ce nombre a chuté à peut-être 3 ou 4 élèves par classe grand maximum. Comme je le pensais, au début beaucoup d'élèves portaient le masque pas habitude. Ceci dit, ce matin, le directeur du groupe scolaire où je travaille envoie une lettre par mail aux parents et employés pour signaler une explosion des cas de contamination au COVID. L'établissement décide d'imposer à nouveau le port du masque dans l'enceinte de l'établissement.
Cela aura tenue un semaine
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@dryanaide j'ai 1 mail par jour de la directrice de l'ecole de mon fils avec u cas covid dans sa classe...
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@dryanaide a dit :
Le masque n'est plus obligatoire depuis lundi dans les établissements scolaires...............
Ceci dit, ce matin, le directeur du groupe scolaire où je travaille envoie une lettre par mail aux parents et employés pour signaler une explosion des cas de contamination au COVID. L'établissement décide d'imposer à nouveau le port du masque dans l'enceinte de l'établissement.
Cela aura tenue un semaineDingue cette gestion désastreuse.
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@kallindra nous aussi un cas positif dans la classe de numero 1
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Tout le monde va l'avoir, vaccin ou pas. Grâce à la masse de contaminations qu'il y a déjà eu et l'immunité qu'elle confère, il ne devrait pas y avoir de gros soucis comme en 2021.
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@marie-thérèse
Hier, à la Prima deus contaïres, certains étaient seuls parce que leurs conjointes avaient peur du COVID, un autre parce que sa compagne était encore en quarantaine. Lui était resté négatif, comme nous alors que j'ai fait la bise à une copine qui a déclaré un COVID quelques jours plus tard.
Mais tous les malades récents n'ont eu que peu de symptômes, et pas longtemps.
Il faut continuer à être prudent si on se connait des fragilités.
Mais il faut recommencer à "vivre".
Bon d'accord, ce "matin", je me suis réveillée à midi passé et j'ai un peu l'impression d'être passée sous un rouleau compresseur.
Mais quelle belle soirée ! -
@marie-thérèse immunité pour ceux qui l'on déjà eu ? C'est étrange, car l'un de mes élèves absent cette semaine l'a déjà eu il y a un peu plus d'un mois et il l'avait eu il y a aussi un an ... Donc bon ... Cela semble malgré tout un cas qui n'arrive pas souvent, mais ce n'est pas un phénomène anodin car plusieurs cas de ce genre ont été relevés.
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@dryanaide pareil mon frere a eu le delta puis omicron un mois plus tard donc l'immunité acquise bof
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Et pourtant plus les gens sont contaminés au moins une fois, moins il y a de formes graves.
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@marie-thérèse c'est sur qu'une fois que tous les gens qui font des formes graves seront morts le Covid fera moins de dégat c est logique...
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@icescream c'est malheureusement ce qu'il s'est passé.
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@marie-thérèse je viens de l'avoir, tant mieux si ça immunise un peu
je sais que je peux l'attraper à nouveau
mais est il possible qu'on le rattrape dès qu'on est en contact avec quelqu'un qui l'a ou pas???le plus tard possible sera le mieux
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@chouchou13 je viens de l'avoir aussi. Confirmé avec un test PCR. Les tests rapides étaient toujours négatifs malgré les symptômes.
Après je ne sais pas quel mutant je me suis chopé. Le séquençage n'est pas automatique mais plutôt exceptionel. Mais des gens y ont le droit plusieurs fois d'après les témoignages. -
@marie-thérèse j'espère qu'il n'est pas trop fort et que tu remettras vite
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@chouchou13 c'était il y a 2 semaines. Ça va mieux maintenant.
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AU SUJET DE LA COVID
Plusieurs études récentes semblent aller de concert : BA.2 ou “Omicron furtif”, est plus contagieux que BA.1, mais avec des symptômes similaires.
Dans le cas où une personne serait contaminée par le BA.2 au sein d’un foyer, le risque pour les autres membres de ce foyer d’être infecté la première semaine est de 39%, contre 29% avec le BA.1.
Mais le risque de développer des symptômes graves serait moins probable. D’après des données de l’Institut Pasteur, ce sous-variant est nettement moins dangereux que Delta.
Selon un rapport de l’agence sanitaire britannique publié le 25 février 2022, “le risque d'hospitalisation et de forme grave avec BA.2 serait encore plus faible qu'avec BA.1”.
Une autre caractéristique préoccupante du BA.2 est sa capacité à réinfecter d’anciens malades de BA.1.
Une crainte confirmée par l'Institut de santé danois en février. “Les chercheurs ont trouvé 67 cas dans lesquels le même individu avait été infecté 2 fois à un intervalle de 20 à 60 jours et où les 2 infections étaient dues à des sous-types d'Omicron”, a t-elle annoncé.
Au Royaume-Uni, une autre étude estimait le risque de réinfection "5,4 fois supérieur à celui de la variante Delta ".
Les auteurs de l’étude danoise avancent que ce sous-variant “possède également des propriétés d'évasion immunitaire qui réduisent davantage l'effet protecteur de la vaccination
contre l'infection”.ET DE LA GRIPPE
Une immunité presque inexistante en ce début du printemps.
Une telle circulation grippale n’est pas commune en début de printemps. D’ordinaire, elle démarre en fin d’année, et dure de 4 à 12 semaines, jusqu'au retour des beaux jours.
Interrogé par Sud Ouest, le directeur adjoint du Centre national de référence des virus des infections respiratoires à l’Institut Pasteur, Vincent Enouf, argue que si les restrictions
sanitaires nous ont protégé du Covid cet hiver, notre “immunité collective” est “beaucoup moins bonne” face aux virus habituels telles que la grippe ou la gastro-entérite.
Observable en France, mais aussi au Royaume-Uni il y a quelques mois, cette épidémie toucherait aussi l'Australie actuellement.
Ses symptômes se rapprochent d'ailleurs de ceux générés par une contamination au variant Omicron (maux de gorge, maux de tête, nez bouché, fatigue).
Le virus peut aussi prendre la forme d'une grippe intestinale avec nausées, diarrhées, vomissements...
Vincent Enouf évoque un excès de mortalité attribuable à la grippe qu’on situe “entre 8 000 et 10 000 personnes en moyenne en France chaque année”.
C’est pourquoi Santé Publique France rappelle l’importance du vaccin 2021-2022, dont l’efficacité est estimée à 50 %, et notamment pour les personnes vulnérables.
“Le vaccin est efficace environ six mois, donc les personnes vaccinées à l’automne peuvent encore être protégées", a précisé Vincent Enouf à Sud Ouest. -
Merci.
Intéressant. -
A y est ? y a pu de virus ? il est parti ?
Parce que, au vu des images de foules (sans masque) du WE du 1er mai et des embrassades, et autres enlacements...Bon, les chiffres parlent p-e d'eux-mêmes.
La période printanière aussi.
Mais dans le reste du monde ? -
@cygoris Je suis cas contact du boulot. C'est tombé ce matin.
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@kallindra tu dois rester en isolement ?