Vivre sans contrainte
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@Marcel en fait c'est une légende urbaine créé par ceux qui veulent dénigrer les propriétaires.
https://edito.seloger.com/actualites/monde/pays-recense-t-plus-de-proprietaires-article-16542.html
En France le taux de propriétaire est bas au contraire
Entre 60 et 65% selon les sources.Dans la réalité il FAUT être propriétaire de son logement, surtout arrivé en retraite (forte baisse des revenus).
Car les loyers augmentent plus vite que les retraites donc ça fini par coincer.
En France l'immo est cher donc faut pas trop tarder à acheterPour revenir au sujet, cela ressemble à une arnaque type pyramidale ! Qui lâcherait 50.000€ pour être sur un terrain qui t'appartient même pas? Et même pas seul?
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@Jed a dit dans Vivre sans contrainte :
Qui lâcherait 50.000€ pour être sur un terrain qui t'appartient même pas? Et même pas seul?
Faut pas oublier la contrepartie : " y vivre jusqu'à la fin de ses jours sans payer de loyer, l'eau, l'électricité et les ordures ménagères ". Mais même cet avantage ne me paraît pas satisfaisant en regard des inconvénients que nous avons mentionnés.
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J'ai lu qu'en Norvège aussi il y avait pas mal de propriétaires. En fait ils achètent très jeunes des qu'ils commencent a gagner un salaire. C'est une sorte de rituel de passage. Ne pas être propriétaire la bas c'est vu comme quelque chose d'immature.
J'ai lu ça dans "au coin du fjord"
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@Jed ah oui effectivement on est un peu en dessous de la moyenne européenne, même si ça augmente depuis les années 80 !
Alors c'est qu'on aimerait bien mais que c'est pas facile lol -
@Marcel surtout vu le prix de l'immobilier chez nous
Dans les années 80 les prêts se faisaient sur 15 ans et maintenant sur 25 ans
Bon après la plus part des gens ne le gardent pas aussi longtemps, ouf! -
@ayamé idem
C'est soit une arnaque soit une secte lol -
@Jed Du coup dans les petits services, il y a peut être des orgies obligatoires
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@Jabba-the-Hutt : il fallait que tu nous la sortes, celle-là, mais pourquoi pas s'il y a : " et plus si affinités ".
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@ayamé La perche était trop belle
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tsssss
Bon le titre c'est "vivre sans contrainte". Il doit donc bien y avoir des avantages à cette formule...
- Pas de frais de propriété ?
- Et puis aussi on sera jamais mis à la porte de sa roulotte
- Et on reçoit des sous. Bon on peut pas les utiliser pour acheter un terrain mais on a des sous.
- Le retour à la nature
- La solidarité ?
Si ça se trouve c'est Fabien Roussel qui mène une enquête à la discrète.
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@Hilda-Van-Holp Vivre sans contrainte dans une relation déséquilibrée par définition, ça me semble conceptuellement assez compliqué tout de même.
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@Jabba-the-Hutt c'est impossible même. Mais si on veut jouer le jeux de ce qui est positif il faut trouver des avantages à ce "projet"
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@ayamé quand vous ne payez plus de loyers et de charges liées au fonctionnement de votre logement je trouve que ce sont des contraintes énorme en moins. Habitat léger comme caravane, mobil home, tiny house, yourte sur un site ayant les autorisations. Clause notariale liées à l'investissement réinjecter sur le site et protection du locataire à durée indéterminée. Et coup de main sur la base du volontariat pour entretenir le site. Ce n'est en aucun cas un seigneur et son cerf. Peut être que des choses sont à revoir d'où le sondage.
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@loona
Et le réalisme, dans tout ça ?
"Vous" proposez une "habitation" mobile, donc légère, pour affronter le changement climatique.
Lors de tornade, que feront les gens ?
Une en février, 5 en mars, 2 en avril.. je ne comptabilise pas les plus récentes.
Lors des orages de grêle, même question.
Et je ne parle pas des pluies diluviennes. -
@agathe j'ignore dans quel région vous êtes mais en nouvelle Aquitaine à part des pluies on est relativement tranquille. Beaucoup de gens vivent à l'année dans des habitations légère à l'année. Il y a les nomades et ceux qui ont choisi une vie plus à l'écart des grandes villes et plus simplement.
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@loona
ce que je viens de voir sur Bordeaux me conforte dans mon opinion. -
@loona a dit dans Vivre sans contrainte :
mais en nouvelle Aquitaine à part des pluies on est relativement tranquille
tousse très très fort
Orages de grèle dévastateurs
Inondations subites
Tempêtes destructrices -
@agathe
Euh on affronte les conditions climatiques autant que pour les maisons en dur.
J'ai vecu 19 ans en caravane et on s'est adapte... en paillant les arrivees d'eau pour qu'elles ne gelent pas comme en 86, ou en surelevant la caravane de 60cm pour cause de crues de la loire, en ayant des arbres a cote pour l'ombre et la relative fraicheur qui s'ensuit.
Au pire on peut la bouger, c'est plus ardu pour une maisonPar contre pour repondre a la question de depart: pas moi j'ai assez donne avec ces 19 ans (en plein de lieux differents)
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@Mnemmeth
il ne faut peut-être pas comparer les "accidents" climatiques d'alors avec ce qui se passe maintenant, et ce qui nous attend dans un avenir proche. -
j'ai longuement tourné la question dans ma tête.. et en réalité, j'ai l'impression que, au final, ce type de contrat est très déséquilibré. Parce que, en réalité, le contractant achète (au prix fort), une promesse.
Car je ne vois pas par quel moyen légal, les propriétaires pourraient garantir à vie (celle du contractant) un droit d'accès à leur propriété. Il suffit de n'importe quel cas de force majeur (revers de fortune, décision de vendre leur propriété, décès...) pour que le contractant n'ai plus accès à la propriété.
Par ailleurs, quid de l'investissement si le contractant souhaite partir ? Peut-il récupérer une partie de son investissement de départ ?
Par ailleurs, que signifie, au juste "donner un petit coup de main" ?
Bref, ça me semble entièrement à l'avantage du propriétaire, tel que défini dans ton énoncé.Mon père, à une époque, c'était vu proposer un contrat de travail qui, au final, était assez proche des conditions dont tu nous parles. Il avait été engagé par les propriétaires d'une maison avec un grand terrain. Son boulot consistait à entretenir les espaces verts et faire quelques menus travaux et il était prévu, dans son contrat de travail un avantage en nature : il était logé - lui et ma maman - dans l'une des dépendances de la propriété. Mes parents avaient accès à des zones très définies de la propriété pour s'y promener et mon père avait des heures précises de présences à assurer comme dans tout contrat de travail.
Lorsque finalement mes parents ont souhaiter changer de style de vie, ils ont simplement mis fin au contrat de travail.