@tigrette c'est vrai qu'il fait peur ce Lin Junyue, il me rappelle un homme célèbre...
je vous le fais deviner sur le mode question pour un champion? Qui prend la main?
Attention, Top !
Né le 20 avril 1889 à Braunau am Inn en Autriche-Hongrie. A l'âge de 11ans mes résultats scolaires s'éffondrent au grand dam de mon père qui veut me voir devenir fonctionnaire alors que je rêve d'une carrière d'artiste peintre...ca tombe bien, mon père meurt en 1903 et ma mère m'envoie en pension pour que je me consacre à mes études. De 1907 à 1913 je mène une vie de bohème, je vais au cinéma grâce à l'argent de poche de ma tante (un vrai parasite), je veux toujours avoir le dernier mot et faire mon petit chef. Je bois, je fume, je vais à l'opéra de Vienne, un vrai dandy... je m'essaye à la musique et abandonne aussi sec. Je me présente à l'examen d'entrée de l'Académie des beaux-arts de Vienne où mon travail est jugé insuffisant. Et comme je suis entêté je retente ma chance et rate à nouveau par manque de travail. Ma mère meurt entre mes 2 tentatives sans que je lui avoue mon premier échec. Faute d'argent on me fout à la rue. Je refuse de travailler et préfère vendre mes tableaux dans la rue. Je participe aux débats politiques de mon foyer.
En1914 je me fais pincer pour désertion en passant la frontière Allemande parce que j'ai "omis" de m'inscrire pour le service. Je suis donc enrolé dans l'armée allemande et vois mon premier baptème du feu à Ypres. L'humanité perd une chance de se débarasser de moi puisque sur les 3600 hommes partis à l'offensive nous ne revenons qu'à 611. Je survie à une explosion d'obus, puis je me fais gravement gazer (encore 2 chances loupées). Au sortir de la guerre je m'investi en politique et fini par percer j'ai de vilaines petites moustaches noires étroites caractéristiques de ma personnalité de névrosé détestable j'épouse Eva Braun pendant la seconde guerre mondiale alors que je me suis quelques années auparavant auto-proclamé Furer de l'Allemagne. Et me suicide parce que je crois avoir le sens de l'honneur en entrainant mes proches dans cette fin lamentable, un peu avant que les ricains et les russes rentrent dans Berlin. Je suis, je suis...