Alors certes, c'est précisément un titre de 99. Mais il faut dire qu'il a magnifiquement enveloppé les 2000's. Toujours intemporel.

Je vote pour Orabig.

Un avatar intriguant, le nom de famille d'Ellen en pseudo, une passion pour le ciné. Que d'ingrédients délicieux. Bienvenue!

@apis-32 Je rejoins mes VDD.
Dans ce cas de figure, tu n'as rien à te reprocher. C'est souvent peine perdue de gaspiller de l'énergie à convaincre et argumenter face à ça.
L'ego en prend pour son grade, alors que la fuite n'est pas toujours synonyme de lâcheté. Tu peux aussi bien te dire que tu as fais plus preuve de courage au final, en supportant une partie de la discussion.
.

@ayamé Je te remercie pour ton retour ainsi que toi @Music

Je vais répondre à des points qui semblent importants à mes yeux.
Je vais faire en sorte d'expliquer, sans avoir à m'expliquer.

Mon intention n'est pas d'intellectualiser pour la forme, ou ni même d'intellectualiser tout court, d'une manière générale. Je n'étais pas dans le calcul, je ne le suis jamais quand j'écris. J'ai pourtant essayer de me prêtée à l'exercice en laissant libre court à mon inspiration. Celle-ci peinait à venir, je ne te le cache pas, preuve en est qu'elle était plus d'ordre instinctive qu'à l'accoutumée. je n'étais pas à l'aise, j'en ai même fais part à Dindon après avoir posté, ce qui n'est pas vraiment anodin, je ne suis pas contente ni fière.

@ayamé a dit dans Décris-moi un mouton :

j'ai liké pour l'exercice

Merci infiniment.

@ayamé a dit dans Décris-moi un mouton :

mais j'aurais préféré que ton texte corresponde à

J'entends bien, c'est normal, on a tous des attentes plus personnelles.
Mais ce qui me pose un peu problème, c'est que dorénavant, avant même d'écrire le moindre texte, j'aurais l'intention de satisfaire les demandes au détriment d'une inspiration plus libre. Pour moi, je vois l'exercice de l'écriture comme une manière de se mettre à nu, avec authenticité. Certes il y'a évidemment le partage, on dévoile le l'intime à sa manière, mais il y'a aussi un aspect plus centré à soi. L'un a bien besoin de l'autre pour exprimer les choses.

Et pour répondre sincèrement, non, je n'ai pas tenu à faire de la philo dans celui-ci. Maintenant, cela dépend à quiconque de me croire, je ne vois pas ce que j'aurais à y gagner à mentir sur ça.
Et quand nous relisons celui de @Dindon, que je trouve excellent par ailleurs, il le sait je lui ai dis. Je trouve qu'il est encore plus axé philo que le mien, sur le fond et même la forme.

Je précise que j'ai bien compris vos retours, ce n'est pas une défense, simplement une explication quant à mes intentions. J'éprouve un intérêt pour la philo, des tas de matières scientifiques, mais de Descartes je n'ai que la coupe de cheveux (ça fait rêver )
Je n'ai pas fait l'ENA, je ne suis pas chercheuse au CNRS, je peux avoir une propension à la réflexion tout en faisant des blagues de proute, admirer George Sand ou écouter Saez

Et évidemment, ce n'est absolument pas dénigreur, au contraire, je tiens simplement à ce qu'on ne soit pas catégoriques en lisant autrui.
Par exemple, quand j'ai lu certains textes ici, je sais éperdument que certains élève S réduiraient l'ensemble à du poétisme gnangnan fumeux. Car certains n'ont jamais lu de poèmes ni/ou de romans de leurs vies. Et beh moi, je n'en n'ai pas lu des masses, pourtant j'en admire, justement car c'est un domaine que je ne maitrise pas.

Mais j'ai entendu, j'essaierai donc de ne plus faire la moindre tournures un brin philosophique, même métaphoriques, tout en tâchant d'écrire quelque chose d'emballant.

@ayamé a dit dans Décris-moi un mouton :

Je ne développerai pas pourquoi, on n'est pas là pour faire un exercice de philo

Bah pourquoi ? C'est dommage.. Tu peux très bien développer sans faire de la philo... Et je suis capable de t'entendre sans faire de la philo.

@icescream Le Van Volkswa pin-pon, je le veux, achat compulsif.

Petite prestation live du duo canadien Electric Youth, toujours pas piquée des hannetons.

C'est une question philosophique assez vaste car nous pouvons la traiter à différents niveaux et sous plusieurs approches/

Changer psychologiquement, physiquement, socialement, moralement ou métaphysiquement ? Ayant ma conviction sur le sujet, son avantage étant que, qu'importe sous quel aspect. Je pense que le changement est à la fois perpétuel et monistique si j'ose dire.

Je vois donc le changement d'une manière "systémique générale", dont l'existence ne dépendrait pas de notre seule volonté. On ne peut pas changer, nous changeons de fait, nous n'avons pas le choix.
Et nous changeons à tout moment, continuellement, chaque millième de seconde, et c'est en cela que ça m'intéresse.

La seule chose qui ne change pas, c'est le changement. De fait, ce mouvement subsistant du changement nous donne l'impressions que en réalité, rien ne change. Ce n'est pas tant le fait de changer que l'on appréhende, mais plutôt notre incapacité dû, entre autre, à une conscience limitée, à le percevoir.

Le changement est omniprésent, il nous détermine à changer, pour autant on ne change pas tous de la même manière. Les trajectoires sont différentes, nos vécus le sont et notre propre rapport au changement l'est aussi. Je suis convaincue que nous changeons, bien que je dois aussi avouer, que cette idée a tendance à me rassurer.

Possiblement dû au fait que je vois cette constante dynamique comme une sorte de système égalitaire. Soit personne ne peut y échapper, qu'importe sa situations sociale, ses actes, ses expériences.
Si je globalise, c'est parce que je considère que c'est une loi naturelle, qui influe autant sur le psychologique que le physique, et tout le reste.

Au hasard, je serais tentée de croire, en y dénouant certaines de ses ficelles équivoques, ne pouvant que me charmer. Ce hasard, au gré d'une raison ayant parfois tendance à le décrier, peut confronter cette dernière dans la discordance.

Sur les sentiers brumeux du hasard, pas à pas hésitants, l'atmosphère n'ayant de cesse de me confronter face aux limites de notre conscience, et plus largement, de notre entendement. Remettre en doute le fruit du hasard, sans jamais nier son existence, voilà une réaction n'étant certainement pas causée au hasard.

Tiraillée par un sentiment d'agrément égal envers l'expliqué et le destin contraire. Comme une impression d'endosser le rôle de l'arbitre, balbutiante sur un terrain devenu vague, confrontée à des règles qu'elle ne parvient plus à maîtriser. L'effroi du doute s'invite.

À l'opposé du hasard, jaillit Dame rationalité, vertébrée par sa colonne causale, et se voyant reliée par cette distance les séparant.
Distance aux allures de lien d'existence, les mettant en relation et opposition, faisant ainsi jointure de ces principes à l'essence commune.

Ils se laissèrent alors bercer par l'élégante musique de la coïncidence, baignant dans les eaux troubles du libre arbitre, voulant être envahis, d'une passion n'étant guère présente sans raison.

@Antigua Exactement, en plus ça court partout et te fait trébucher.
La mignonnerie n'a pas de taille.

@Music Il faut dire qu'entre les deux, il y'a quand même 32 ans aussi
C'est sûr que ceux qui sont passée de "Critters 3" à "Once Upon a Time… in Hollywood", il y'avait déjà un contraste ^^

@Music a dit dans Killers of the Flower Moon :

Oui ! C'est Di Caprio vieux quoi

C'est ça !
Même si son évolution physique ne m'a jamais vraiment frappée, vu que quand tu as suivi tous ses films, c'est moins surprenant. Chez moi, il fait partie de la famille des acteurs donnant l'impression d'avoir 70 ans de carrière, alors qu'il n'a que 48 ans ^^

@Cuillère Oui, le type avec sa banderole "Macron démission" en deltaplane. Entièrement d'accord

Une fois n'est pas coutume, j'ai eu comme la nette impression d'avoir assistée à cette séquence des centaines de fois (Ex l'éboueur de TikTok). Il y'a surtout une chose qui me dérange vraiment là-dedans, je trouve que c'est systématiquement le même procédé,

Je ne remets pas forcément en cause la révolte exprimée par cet homme car elle est légitime, au même titre que des millions d'autres français voyant leurs quotidiens se dégrader toujours plus grandement économiquement. ..

Mais je constate qu'on a un peu toujours l'impression d'avoir à faire à un "militant" benêt au discours décousu, qui n'a même pas besoin de tendre la perche pour se faire ridiculiser.

Quand on assiste à ce genre de séquences, la question consistant à se demander si certains invités ne seraient pas des acteurs, est légitime. Si auquel cas il n'en n'est pas un, on peut tout aussi légitimement se questionner quant à ses réelles intentions. Est-ce un acte causé par une révolte sincère ou l'intention de faire un coup de buzz ?

Le type n'a pas l'air d'avoir toutes les cases pleines, il a du mal à aligner deux phrases sans sortir un slogan digne d'une pub de dentifrice. Certes mais ça n'excuse non plus les comportements toujours élitistes et hautains de certains chroniqueurs à son égard.

Franchement, cela me donne quand même souvent l'impression qu'à chaque fois qu'il y'a un contestataire invité, ils sont allés le chercher en Hôpital psychiatrique ou une télé-réalité quelconque. Ce qui est peu ou poux la même chose.

@Melodia Ce qui est terrible, c'est que durant une périodes de longues vacances, on a vite fait d'oublier à quel point c'est savoureux d'être en weekend...

Je suis très impatiente de le voir, comme pour chaque nouveau Scorsese. Je ne me fais pas vraiment de soucis pour la durée car on ne s'ennuie pas une seule seconde durant ses films. En tout cas moi pas, et c'est aussi ça, le génie chez Scorsese.

Tout ce qui est petit est mignoooon ♪

La team des grands dadais :

@Marcel J'avais mis le cycliste Mathieu van der Poel dans le topic des célébrités miam miam. N'hésite pas à rajouter Jaminetou, ils seront deux comme ça

@icescream Le mec qui a lu La dialectique du maître et de l'esclave de Hegel, mais que dans un sens.

@Marcel C'était une expérience très moyenne durant un job étudiant.
Mais je ne crache pas dans la soupe car j'étais malgré tout bien contente d'avoir été prise, et puis ça m'a bien occupée. Je n'avais aucune expérience professionnelle dans la cuisine. Donc c'est toujours cool, surtout quand ça participe au paiement d'études en l'occurrence.

C'était un poste saisonnier en tant que commis au self d'un lycée. Je tairais le nom de l'établissement en question, après mon premier post qui n'est pas vendeur...
Cela dit aucune critique à l'égard du dit lycée et de l'ambiance générale.

J'y avais travaillée durant à peine 1 mois, je faisais essentiellement de la mise en place et du service de temps à autre. Je n'ai pas fait de cuisine à proprement parler, toute façon je n'avais pas les compétences même si ce n'était pas non plus élaboré.

Le chef en question était du genre particulier, plutôt cru dans ses propos, parfois excessivement autoritaire alors qu'il n'y avait pas forcément raison de l'être. J'étais plus jeune aussi, aucune expérience même si je me doutais bien que c'est un métier très dur.

Je trouvais qu'il jouissait de son rôle de chef en exprimant une sorte d'amertume de ne pas avoir eu la carrière qu'il espérait. Avec le recul, je peux tout à fait comprendre, mais sur le coup, c'était une horreur.
Il était constamment dans les reproches, aucuns encouragements, une humeur changeante du tout au tout, limite instable.
Et comme je te disais par rapport à l'hygiène, c'était mais vraiment du "faites ce que je dis mais pas ce que je fais"
Morale, je suis toujours aussi nulle en cuisine.

Natalie Laura Mering, dite Weyes Blood, chanteuse dotée d'une voix ayant tendance à m'enivrer, angélique avec ses quelques notes folk. Bonne musicienne également.
(Classée Folk psychédélique/soft rock et rock expérimental.)

J'avais particulièrement aimé son album "The Innocents", qui date de quelques années, Une prestation live et plus récente que j'apprécie aussi.