Les furets c'est trop mimignon ! :3

Avec les mots : Balancier, enfreindre, nostalgie et bamboche

Les bamboches se faisait animer sur la minuscule scène par des petites mains, invisibles des spectateurs ébahis par le spectacle de ces grandes marionettes. À un moment, les deux marionettes se donnèrent un câlin. Pour Nathalie, cette scène jouer lui rappela avec nostalgie un moment qu'elle eut passée avec son père avant qu'il ne soit plus. Le balancier du temps la rendit triste. Alors, sans enfreindre de lois, elle partit de la place publique, ces yeux était remplis de larmes.

Le panda roux: La cutitude incarnée

Spoiler

Le tic-tac de l'horloge rendait une seule petite minute, interminable. 2 heures, il restait 2 heures, 2 heures encore à user d'impatience, à attendre son arrivée, son fils revenait après 10 ans d'absence. Elle était heureuse d'enfin revoir son enfant après tout ce temps.

2 heures plus tard, l'avion, en retard n'était pas encore atterri, et puis, une nouvelle se fit entendre, un crash d'avion à cause de pilotes en goguette. Ne sachant pas s'il s'agissait de l'avion dans lequel son fils revenait, elle était angoissé et gardait espoir que tout le monde était en vie. Ce qui fut le cas de l'avion qui avait crash, mais son fils n'était pas dans le même avion et arriva derrière elle, elle se retourna, ils s'échangèrent un câlin et les minutes avaient terminées de prendre leurs temps à passer.

Tellement apaisant tout ces nuages !

(image trouvé sur Internet)

Acte 1
Il arriva pour lui donner un coups, mais les yeux des spectateurs fixés sur lui, lui fit changer d’avis.
Son poing resta lever devant lui.
Il fallait qu’il joue, non ? Alors, il se lança.
Il sortit de sa poche, toujours en laissant son poing en l’air, il sortit un accessoire qu’il avait pris il y a quelques minutes. Une pièce de monnaie, tellement grande, disproportionnée, que même les spectateurs les plus loin doivent la voir et il remis son poing près de sa hanche en le desserrant. Il dit « Tu veux jouer à un jeux ? Pile ou face ? »
Pile répondit l’autre.
Et la pièce vola au plafond pour redescendre dans sa main. La face visible était pile.
« J’ai gagné ! Maintenant c’est moi qui a la pièce ! »
Il lui pris la pièce des mains. « J’ai une question pour toi maintenant, tu aimes le thé âcres ? »

« Oui, j’adore le théâtre. »
« Sûr ? »
« Oui… pas toi ? »
« Je sais pas » dit-il, grand sourire aux lèvres.
Noir, le rideau se ferma.

Après une certaine réflexion « Ah, mais p***** t’as dis ‘thé âcres’, pas ‘théâtre’. »

7 minutes pour écrire un petit texte que voici.

Ce matin le ciel pleure en faisait tomber des milliers de gouttes en quelques secondes. Il nourrit les bêtes et nettoie les crottes d’oiseaux en leurs donnant un regard neuf, un nouveau look. J’écrivis ces mots sur une feuille de papier pour mes futurs disciples.