• Ripley Ripley

    @Dark-Cherry a dit dans Quel est le dernier film que vous avez vu ? :

    The Sadness

    j vais pas vu un film autaut degueulasse depuis Dream Home et Braindead

    Honnêtement The Sadness c’est surtout le jusqu’au boutisme du concept qui est original et marquant, la violence n’y est pas forcément précurseuse.

    Sinon je l’avais presque oublié Dream Home avec Josie Ho.

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  • Ripley Ripley

    @jool a dit dans La Chute de la Maison Usher (The Fall of the House of Usher) :

    @Lapin
    Ouais bon c'est toujours la question du seuil de tolérance à l'horreur...le mien est bloqué à 99 alors peut-être que je me trompe en disant que tout passe crème 🙄

    Les autres, Marcel, Peri, Ripley vous voyez ça comment ?

    J’avoue que j’ai souvent le même souci (surtout que Madame est une petite nature 🫣😅).

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  • Ripley Ripley

    Oui on peut dire un bazar si tu préfères. Une boutique avec plein d'objets proposés pêle-mêle. Et ce n'est pas Aladdin. 🙂

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  • Ripley Ripley

    Un père de famille rentre dans un capharnaüm mal éclairé afin de chercher un présent pour son fils.

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  • Ripley Ripley

    @Jed Lethal Weapon (L'arme fatale - 1987)

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  • Ripley Ripley

    Je pense qu'on n'aura plus de réponse. 😇

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  • Ripley Ripley

    Tu as très bien résumé @Hassage, le film a une aura culte pour une certaine catégorie de jeunes mais absolument pas pour les bonnes raisons malheureusement.

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  • Ripley Ripley

    @LeaPierce a dit dans Entretien avec un vampire (Interview with the Vampire) :

    ... mais qu'est-ce que c'est lent mais leeeent. Et pourtant, j'ai l'habitude des films où il se passe pas grand chose.

    Parfois j'ai l'impression que les gens ne supportent plus quand une œuvre prend son temps. J'imagine que la société actuelle et son mode de consommation des médias n'aide pas. Personnellement un film monté avec 15'000 plans pour une scène d'action illisible, ça ça me rend fou.

    Après j'avoue humblement que je n'arriverai certainement plus à regarder du Tsai Ming Liang comme dans ma jeunesse. 😉

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  • Ripley Ripley

    @Lapin J'avoue que j' ai de la peine à saisir ton propos. 🙂

    Tu n'as vu aucune œuvre de Flanagan mais pourtant tu aimes beaucoup ce qu'il réalise ? 🤔

    Ou alors je n' ai rien compris du tout ce qui est possible aussi. 😅

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  • Ripley Ripley

    Ce film fait partie du très haut du panier de mes films favoris. Je me le le revois régulièrement et il m'enchante toujours au plus haut point. Je précise que je n'ai pas lu d'Anne Rice mais l'ambiance à la Nouvelle Orléans me transporte à chaque fois.

    Quand la voix-off de Louis commence son monologue au début du film on sent quasiment un souffle épique qui vous prend. Les 2 acteurs principaux, et bien, ils n'ont plus rien à prouver aujourd'hui. Je n'ai pas de préférence mais dans ce film précis je trouve Tom plus intéressant (quoique le rôle doit en jouer un, justement).

    Le travail de Philippe Rousselot , le directeur de la photographie est époustouflant (le film est en grande partie extrêmement sombre, certaines scènes n'ayant recours qu'à de la lumière naturelle ou un simple éclairage à la bougie).

    Et que dire de la musique d'Elliot Goldenthal qui avec Basil Poledouris est un maître des partitions à souffle épique.

    Le seul point négatif est que Warner n'a toujours pas sorti un Blu-Ray à la hauteur de ce bijou (en espérant que la sortie de la première saison de la série va leur donner l'idée de lancer une belle édition 4K remastérisée amplement méritée).

    Quelqu'un à vu la série à ce propos ? J'aime tellement le film que je n'ose pas. 🙄

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  • Ripley Ripley

    @Shanna a dit dans Zombie (Dawn of the Dead) :

    @Ripley C'est ça !! Merci !

    De rien, si je peux rendre service. 😋

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  • Ripley Ripley

    @LECAMEFLEX a dit dans Zombie (Dawn of the Dead) :

    @Shanna Non c'est pas ça du tout. x) Tu parle de l'armée des morts je crois ou je sais pas x)

    @Shanna fait mention du génial The Return of the Living Dead (1985) de Dan O'Bannon, gros classique de la comédie horrifique des eighties que je conseille TRES fortement (ses 2 suites étant nettement plus discutables).

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  • Ripley Ripley

    @Cygoris a dit dans Orgueil et préjugés et zombies (2016) (Pride & Prejudices & Zombies) :

    @Katorz Ben le film ne m'a pas paru ennuyeux, du tout.

    Je me souviens ne pas avoir apprécié grandement (et pourtant elle est sacrément mignonne Lily James). 😋

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  • Ripley Ripley

    @Ouma a dit dans Doute (Doubt) :

    @Cygoris
    Oui bien sûr. Merci pour la recommandation. Tous ces topics sur les films, c’est cool. Quand il y en a un qui m’intéresse, hop je regarde s’il est dispo sur canal, netflix, Apple TV ou prime ou Disney +

    C’est à la base pour ça que j’ai atteri ici. Je recherchais un endroit où pouvoir parler de ma passion et échanger dessus. Et je suis toujours très content quand j’arrive à faire découvrir des films. Longue vie au 7ème art !!

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  • Ripley Ripley

    @Jed a dit dans Seven (Se7en) :

    Perso j'apprécie Alien3 il est bien mieux que la critique ne laisse suggérer.

    Tu prêches un converti. 😉

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  • Ripley Ripley

    @Hornet a dit dans Seven (Se7en) :

    Néanmoins merci pour le sujet hyper complet, le manque de ce bousin incompréhensiblement culte dans notre index est maintenant de l'histoire ancienne.

    Tu m’as bien fait rire @Hornet 😉

    Comme l’indique ma signature: les goûts, les couleurs…

    posté dans Films En lire plus
  • Ripley Ripley

    Seven.jpg

    Se7en

    1995- 127 min


    Réalisation : David Fincher

    Scénario : Andrew Kevin Walker

    Musique : Howard Shore

    Casting principal : Morgan Freeman - Brad Pitt - Gwyneth Paltrow

    Synopsis : Le détective Somerset (Morgan Freeman), proche de la retraite, doit s'associer avec une jeune nouvelle recrue (Brad Pitt) afin de traquer un serial killer dont le modus operandi semble être les sept péchés capitaux.

    Critique : La fortune sourit aux audacieux c'est bien connu, mais qu'en est-il des deuxièmes chances ?

    David Fincher pourrait vous en parler, lui qui sans l'aide providentielle d'un certain Michael De Luca en 1995, alors exécutif chez New Line Cinema, ne serait certainement pas le réalisateur à succès qu'il est aujourd'hui.

    En effet, concepteur visionnaire d'une multitude de video clips musicaux très remarqués dans les années 80, Fincher saute le pas du long-métrage en 1992, la Twentieth Century Fox recherchant pour la troisième itération d'ALIEN (1979) un metteur en scène possédant un regard neuf.

    La suite, tout le monde ou presque la connaît. Tournage lancé alors que le script n'est pas encore achevé, multiples réécritures au jour le jour, les tensions atteignant un point de non-retour entre le réalisateur et la production. Fincher affirmera plus tard que personne plus que le lui ne déteste autant son film. En 1992 donc, David Fincher n'est pas blacklisté par les studios, mais son avenir s'est extrêmement assombri.

    C'est là qu'intervient Michael De Luca qui pousse la production à le choisir pour diriger leur prochain thriller, étant admirateur de son travail sur les clips précités et ayant malgré tout trouvé de très bonnes choses dans cette oeuvre contrariée qu'est ALIEN3 (1992).

    Le cauchemar vécu par Fincher sur sa précédente production s'inversera totalement tant le scénario de Se7en constitue sa force. Par contre, de cauchemar il est bien question ici tant ce film suinte le désespoir et la déliquescence de son premier à son dernier photogramme.

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    Et ce dès le générique de Kyle Cooper où l'on aperçoit les mains du tueur supprimant ses empreintes digitales au moyen d'une lame de rasoir et remplir des pages de cahiers, y apposant des photos toutes plus glauques les unes que les autres en une sorte de scrapbook nauséabond, le tout sur une reprise de Nine Inch Nails.

    Le travail d'orfèvre de Fincher (très classique cependant, le réalisateur n'ayant pas encore cédé à certains de ses gimmicks futurs) est sublimé par la splendide photo de Darius Khondji, le film étant quasiment traité comme un film couleur en noir et blanc avec des teintes désaturées et des noirs profonds. La pluie ne cessant jamais de tomber, le spectateur est déjà mal à l'aise bien avant que tout ne se mette en route.

    Difficile de parler de Se7en sans gâcher quoi que ce soit pour les gens qui ne l'auraient pas encore vu. Il s'agit principalement d'un thriller psychologique avec une petite touche de néo-noir. L'ambiance par moments évoque les thrillers durs et sans concession des seventies.

    L'histoire est rythmée par les jours de la semaine et commence le lundi avec la découverte par la police du corps d'un homme obèse chez lui. Le détective Somerset rencontre sur place Mills son nouveau jeune partenaire avec qui il devra finir sa semaine avant de partir en retraite.

    Très vite Somerset n'affiche aucune sympathie avec le jeune loup qui est apparemment très excité de pouvoir montrer ce dont il est capable dans la grande ville. Tout le contraire de Somerset qui, désabusé par les horreurs dont il a été témoin durant plus d'une trentaine d'années de carrière et la quasi impossibilité de rendre justice, n'aspire qu'à tirer un trait sur son métier.

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    Mills fonctionne aux émotions, son collègue lui est méticuleux, méthodique (il s'endort au son d'un métronome). Ils vont très vite se rendre compte qu'il n'est pas la seule personne méthodique en ville...

    En effet au grand dam de son supérieur, il s'avère que les avertissements de Somerset sur l'inévitabilité d'une suite au premier meurtre deviennent réalité : à la gourmandise succède l'avarice. Après le pauvre bougre mort d'avoir été forcé de trop manger, voici l'avocat de la défense obligé de se mutiler.

    Observant son jeune coéquipier patauger, Somerset se prend d'affection pour lui et sa jeune épouse et veut bien l'aider dans son enquête en lui fournissant des pistes littéraires sur le sujet des sept péchés capitaux.

    Les meurtres horribles vont malgré tout s'enchaîner sans que nos deux compères n'y puissent rien jusqu'au matin du dimanche et la découverte de la 5ème victime.

    Il reste alors une demi-heure de métrage et le film va faire un volte-face spectaculaire.

    La seule chose possible de divulguer sans gâcher votre plaisir est que la pluie cesse le dimanche.

    Il y aura désormais un avant et un après Se7en. Dans les années qui ont suivi, une palanquées de films ont tenté de reproduire la magie, que ce soit dans le contenu, l'esprit ou le visuel. Certains moins mauvais que d'autres, mais la plupart n'ont jamais tenu la comparaison avec le chef d'oeuvre de David Fincher.

    D'aucuns diront que la force de Se7en est sa révélation finale qui a traumatisé plus d'un spectateur. En réalité il est bien plus que cela.
    Certes cette fin conclut le film de manière magistrale et donne un sens à tout ce qui précède, mais le voyage doit être envisagé comme un tout et cela le public l'a très bien compris à l'époque comme de nos jours lorsqu'on constate que son pouvoir de fascination n'a absolument pas pris une ride.

    Et dire que tout ça n'a tenu qu'à une deuxième chance accordée un beau jour de 1995 à un réalisateur en perdition. Au vu de la frilosité actuelle des studios, pas certain que ça se reproduise...

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    Disponibilité support physique :

    • Blu-Ray France Zone B (Warner Bros.)
    • Blu-Ray USA Zone Free (Warner Bros.)

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