@shanna C'est ce que nous verrons...

Et pour clore cette grande soirée des César, dans la catégorie des calbutes d'or, les nommés sont....

Rappel : Si vous avez la solution, ne répondez surtout pas directement ici. Seuls les messages privés à @Orabig sont acceptés. >>Les règles sont ici...<<

Sorti en 1989, Always est le 14ème long métrage de Steven Spielberg, et un de ses moins connus (pour une raison qui m'échappe).
On y retrouve Richard Dreyfuss, Holly Hunter, le toujours excellent John Goodman et la divine Audrey Hepburn dans son dernier rôle au cinéma.

Ce film aborde les thèmes de la mort et de l'amour, du deuil et de l'amitié. C'est du Spielberg pur-jus : les sentiments sont exacerbés, les images magnifiques, l'émotion omni-présente...

Mis à part un certain Brad Johnson très oubliable dans le rôle du jeune bellâtre Ted (ce qui colle parfaitement au scénario d'ailleurs. La rumeur veut que Tom Cruise ait refusé le rôle. Heureusement, mon dieu, heureusement !), les acteurs donnent le meilleur d'eux même et sont très justes.

Je mets une mention spéciale à John Goodman qu'il est impossible de louper tant sa présence à l'écran, même dans les seconds rôles, le rendent toujours inoubliable.

Le fait que ce film soit aussi méconnu a toujours été une énigme pour moi. Sorti un an avant la bouse dégoulinante qu'est Ghost (qui cumule le mauvais gout et les travers des pires comédies romantiques des années 80, sans parler de son scénario grotesque), le message véhiculé dans Always est pourtant autrement plus subtil, optimiste et intelligent.

Foncez voir ou revoir ce film sans attendre, et prévoyez peut-être quelques mouchoirs : vous en sortirez grandis et éclairés.

@jonesy Saw 6 évidemment

De omni re scibili, et quibusdam aliis ! En l'occurence, ça ne veut pas dire grand chose, mais je trouve que c'était assez à propos...

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@music Ha mais, tu n'as pas à être désolée ! J'accepte ton avis, et celui de tout les autres. Je n'ai jamais prétendu que ce film était un chef d'oeuvre, mais simplement que je l'aime beaucoup, et qu'il gagne à être connu.
Les sentiments qu'on a par rapport à un film est un mix entre non seulement sa valeur intrinsèque, mais aussi ce qu'il éveille en nous, ce qu'il peut nous remettre en mémoire quand on le regarde (parce qu'on l'a découvert à une certaine époque de notre vie), l'attachement qu'on peut avoir par rapport à tel acteur, etc... C'est donc très personnel.

(le jury se concerte en regardant la photo-finish...)

@leapierce C'est vrai, et tu as même trouvé hier... Enfin, au milieu de la nuit...
Mais tu as vu l'heure à laquelle tu m'as envoyé le message aussi ?

@heidi Le geek, il dégouline quand il veut dégouliner, et il vous em......

Les derniers sont pas faciles.
Je trouve à 19 un air de Lilo (la pote de Stitch). Le nez sans doute...
Et je dirais Kristoff (la reine des neiges) pour le 12, mais sans grande conviction.. (il est blond, quoi)

Gardez la foi, vous allez bien finir par la trouver, cette solution !

Rappel : Si vous avez la solution, ne répondez surtout pas directement ici. Seuls les messages privés à @Orabig sont acceptés. >>Les règles sont ici...<<

@shanna, la vengeance est mesquine, mais validée !

@shanna C'est vrai.
Il parait que l'amour rend aveugle.... Manifestement, il rend aussi sourd !!

Vous savez, s’il y a un paquet de billets à l’arrivée, j’ai peur de rien, moi !

Rappel : Si vous avez la solution, ne répondez surtout pas directement ici. Seuls les messages privés à @Orabig sont acceptés. >>Les règles sont ici...<<

Ton spoiler m'a tué !

Tu as effectivement commencé sur les chapeaux de roue @ivoire
J'avoue qu'il y a quelques questions pointues, et j'ai aussi glissé quelques pièges, mais vous vous seriez ennuyés sinon !
Et l'important, c'est de participer...

@Kaernel a eu de l'inspiration ce matin... Il a trouvé.

Je ne serai absolument pas très original en disant que je suis un fan absolu de l'oeuvre de Miyazaki (car je suis loin d'être le seul). J'ai pourtant du mal avec ce film : je n'ai jamais réussi à accrocher à l'histoire, et à rester concentré jusqu'au bout.

Je trouve que le début est très réussi, et promets une grande histoire. Il préfigure les scenarios de ses films ultérieurs. Il porte en effet la même thématique écologique qu'on peut retrouver dans Princesse Mononoke ou Le Chateau dans le ciel pour l'antagonisme entre nature et technologie. On y retrouve aussi un héroïne forte mais sensible, indépendante mais altruiste, qualités qu'on retrouve chez beaucoup de ses autres personnages.

Pourtant, vers la moitié du film, je trouve que le scenario s'embrouille et se complique inutilement avec une histoire de conflit compliqué et des enjeux pas toujours faciles à saisir. Le dénouement me donne une impression confuse, comme s'il manquait une vraie résolution à l'histoire.
Outre la musique pas particulièrement marquante, je trouve le dessin lui-même, ainsi que l'animation, très légèrement en deçà de ce que le maitre sera capable d'accomplir quelques années plus tard.

Bref, je considère que ce premier film était un coup d'essai, une sorte de brouillon, qui donnera plus tard les chefs d'oeuvre absolus : Le chateau ambulant, le chateau dans le ciel, Princesse Mononoke, et surtout l'éblouissant Voyage de Chihiro (comment avez-vous pu omettre de parler de celui-là ??)

(Note : je n'en ai pas parlé, car ils ont des thématiques très différentes, mais j'ai une vraie tendresse particulière pour Kiki la petite sorcière et aussi évidemment Mon voisin Totoro qui devrait faire partie des films que tout parent devrait être obligé de montrer à ses enfants avant 10 ans)

@shanna a dit dans Quizz du geek fou :

Parce qu'il y a des questions de jv ?

Franchement ? Pas tant que ça....
Mais cliquez sur le lien, vous verrez bien

@delnis a dit dans [Jeu-thème] Saison 3 :

Ne pas oublier le chanteur fabuleux

Effectivement, Yves Montand a commencé sa carrière en chanson, et a eu d'abord une très belle carrière dans le music-hall. Mais je ne pouvais pas mettre d'indice sur cette période là, car ce n'est pas le thème de la saison...

Revoir ce film est toujours un grand plaisir. Il fait incontestablement partie des chefs d'oeuvre du 7eme art.

Jack Nickolson y est évidemment magistral et a marqué ce role de son empreinte.

Au premier degré, l'histoire du film est centré autour de cet élément perturbateur, qui refuse de se soumettre aux règles imposées par l'infirmière Ratched, et tente de bousculer les habitudes des autres patients, et les pousse à se rebeller à leur tour contre l'ordre établi.

En y regardant de plus près, le réalisateur Milos Forman, qui a dû s'exiler de Tchécoslovaquie pendant le printemps de Prague, a surtout vu dans ce scenario (initialement adapté d'un roman) l'occasion de caricaturer le régime communiste. L'infirmière est ainsi le symbole de l'oppression au peuple de son pays d'origine, alors que le patient rebelle représente la résistance qui tente vainement de s'opposer au régime en place.

Fait amusant : le tournage a été réalisé dans un vrai hôpital psychiatrique, ce qui fait que certains figurants sont de vrais patients. On remarquera aussi la présence de quelques acteurs qui faisaient ici leurs débuts au cinéma, notamment Danny DeVito et Christopher Lloyd (qui n'a décidemment interprété que des personnages un peu "dérangés" au cinéma ).