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    Studio: Trigger
    Genres: Mecha, Kaiju
    Année: 2021
    Nombre d'épisodes: 12

    Synopsis: Un groupe de jeunes gens rassemblé par un homme du nom de Gauma se retrouvent impliqué dans un combat face à un groupe de contrôleurs de monstres appelés les Eugénistes de la Monstruosité, qui se servent de leurs pouvoirs pour contrôler les monstres qu'ils ont à leur portée. Pour y faire face, Gauma et ses alliés ont à leur disposition un robot géant du nom de Dynazenon, unique rempart face à la menace des monstres des Eugénistes. Commence alors une nouvelle aventure dans le Gridman Universe.

    Mon avis: Suite officielle de SSSS.Gridman, SSSS.Dynazenon se concentre sur un nouveau groupe de protagonistes et un nouvel être géant du nom de Dynazenon, combinaison de 4 machines aux capacités extraordinaires qui prennent la forme de jouets en temps de paix.

    Le nouveau casting se veut assez hétéroclite et attachant, avec des personnages ayant chacun leur propre vie et leurs propres problèmes (Yume qui tente de résoudre le mystère de la mort de sa soeur pour soulager sa conscience, Koyomi hanté par un vieux souvenir de lycée qui l'a poussé vers une voie minable de Neet et sans réelle motivation dans la vie pour citer des exemples.). En même temps que l'histoire progresse, ils vont tous chacun se remettre en question et évoluer vers une meilleur mentalité, grâce notamment aux liens qu'ils se seront créer au fur et à mesure de leur combat contre les Eugénistes.

    Ces derniers aussi se veulent intéressant, par leur attitude tantôt amicale et tantôt hostile envers nos héros, et vivant aussi un quotidien de bon vivant parfois. Cela nous pousse ainsi à sympathiser avec eux malgré leur rôle d'antagonistes principaux.

    Des thématiques en lien avec la raison d'être et la motivation sont également au coeur de la série, et donnent ainsi beaucoup à réfléchir sur la nature humaine et celle des monstres. Une série bien intéressante sur ce point-là, accompagné de combats épiques et dynamique qui sauront ravir à merveille les fans de mecha de type Super Robot !

    En bref, SSSS.Dynazenon est une série qui mérite qu'on y prête attention et qu'on juge à sa véritable valeur.

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    Studio: Trigger
    Genre: Mecha, Kaiju, Aventure
    Année: 2018
    Nombre d'épisodes: 12
    Synopsis (tiré de Nautiljon.com) : Yuta Hibiki est un jeune étudiant en première année qui se réveille un beau jour, sans aucun souvenirs. Ne sachant ni qui il est, ni où il se trouve, il rencontre Gridman, un agent d'élite, via son ordinateur. Celui-ci lui apprend qu'il a une mission d'ordre capitale à remplir : des kaiju (monstres géants) envahissent la ville, et Yuta va devoir contrer la menace.

    Mon avis: SSSS.Gridman est un anime de mecha atypique, car le personnage titulaire n'est pas vraiment un robot. En fait on hésite à le considérer comme tel ou comme un extraterrestre du style Ultraman, dont il est assez inspiré. Inspiré aussi d'une vieille série télé répondant au nom de Gridman the Hyper Agent qui met aussi en scène le personnage titulaire, la série nous propose un concentré d'action dynamique classique au genre mecha, avec des graphismes et des mises en scènes extasiantes, tout en proposant son lot d'intrigues, de mystères, et de dramatique.
    En effet, la série propose aussi par le biais de son casting humain sympathique et charismatique, pas mal d'histoires plongeant notamment dans la thématique de l'existence et de la raison d'être, tout en proposant des cas de figures assez analogiques au fonctionnement de l'ordinateur, dont vous saurez bien le pourquoi en regardant la série animé. Certains twists en vaudront le détour aussi je vous l'assure, et ne fera qu'augmenter la qualité déjà excellente de SSSS.Gridman.
    Au final, un anime de mecha sans vraiment en être un qui saura plaire aux amateurs d'histoires profondes et à ceux des combats de robots dynamiques !

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    @sylareen tu le regrettera pas crois moi 🙂

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    Bien, je viens de termine Minerva's Den, une des deux extensions du jeu.

    Verdict: Un des meilleurs DLCs auquel j'ai joué ! En plus d'un arsenal assez sympathique sous la forme notamment d'un rayon laser ou encore d'un plasmide influant sur la gravité, on a une histoire magnifique et magistralement écrite et mise en scène, qui jouent assez sur les thématiques de l'identité et du deuil, donnant ainsi de nombreuses interrogations aux joueurs avides d'en savoir plus. Un peu court certes, mais la campagne et l'exploration de ses niveaux en vaudra la peine soyez en sûrs 🙂

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    Auteur: Tatsuya Endo
    Genre: Action, Comédie, Espionnage
    Année: 2019
    Editeur français: Kurokawa
    Nombre de volume actuel: 8 (6 en France)
    Synopsis (tirée de Nautiljon.com) : Twilight, le plus grand espion du monde, doit pour sa nouvelle mission créer une famille de toutes pièces afin de pouvoir s'introduire dans la plus prestigieuse école de l'aristocratie. Totalement dépourvu d'expérience familiale, il va adopter une petite fille en ignorant qu'elle est télépathe, et s'associer à une jeune femme timide, sans se douter qu'elle est une redoutable tueuse à gages. Ce trio atypique va devoir composer pour passer inaperçu, tout en découvrant les vraies valeurs d'une famille unie et aimante.

    Mon avis (basée sur les 6 tomes sortis en France) : L'ayant découvert au départ via des scans officiels anglais sur le net, je suis rapidement tombé sur le charme de cette comédie originale qui parodie le genre de l'espionnage. Afin d'accomplir sa mission, l'espion d'élite Twilight, sous le pseudonyme de Loid Forger, doit se créer une fausse famille pour approcher sa cible pour une mission capitale. Par la providence, il trouvera pour l'affaire deux personnes assez spéciales: Anya, une petite fille capable de lire les pensées et très immature, et Yor Briar, une jeune femme naive et maladroite étant secrètement une redoutable tueuse à gages. Tous les trois vivront une vie de famille atypique et déjanté qui les ameneront à vivre des aventures incroyables et explosives.
    L'histoire est plutôt bien mené et attachante, parodiant à merveille les codes de l'espionnage tout en proposant une histoire familiale chaleureuse. L'alchimie assez farfelue entre l'expertise de l'espion vétéran Twilight, la télépathie d'Anya, et la puissance assassine de Yor permet l'ambiance assez déjanté de chacun des arcs et chapitres du manga, créant des mises en situation hilarantes, tels les efforts futiles de Twilight de faire d'Anya une prodige intellectuelle pour le bien de sa mission, pour cause sa paresse, son immaturité, et sa stupidité évidente, ou encore un match de tennis clandestin aux méthodes assez absurde 😆

    Les personnages sont attachants, particulièrement la "famille" principale dont les personnalités assez contrastés s'accordent bien, et l'on s'attend éventuellement à un développement dans leurs relations pour le meilleur. Le reste du casting est sympa aussi, et offre également des intrigues intéressantes et marrant qui sauront conquérir les fans de manga et de comédie à coup sûr !

    En bref, un manga à lire pour bien se marrer et se faire plaisir, tout en étant friand d'histoire d'espionnage !

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    Développeur: 2K Marin
    Editeur: 2K Games
    Genre: FPS
    Année: 2010
    Plates-formes: Xbox 360, PS3, PC, Nintendo Switch, PS4, Xbox One

    Synopsis (tirée de Jeuxvideo.com) : Jeu de tir à la première personne (FPS), BioShock 2 se déroule 10 ans après le premier opus. Ici vous incarnez un Protecteur qui doit traverser les rues de Rapture, la cité engloutie, et tenter d'obtenir enfin votre liberté. Pour y parvenir, vous devrez affronter de nombreux ennemis et prendre des décisions qui affecteront le sort de la ville toute entière. Mais la grande nouveauté de cet épisode tient à l'apparition d'un mode multi.

    Mon Avis: Suite directe du premier jeu se déroulant 10 ans plus tard, on replonge de nouveau dans la cité sous-marine dystopique et en ruine de Rapture, cette fois-ci dans la peau d'un protecteur nommé Sujet Delta. Il doit pour survivre retrouver la Petite Soeur avec qui il était avant d'être séparé de force, et du coup se retrouve à parcourir les rues bien désolés et dangereuses de Rapture.
    Pas de grande nouveauté à relever niveau gameplay, si ce n'est qu'il est un peu plus simplifié, notamment dans la gestion des plasmides et la capacité de les utiliser et tirer avec une arme en même temps, facilitant plus les phases de combat et permettant toute liberté sur les différents combo d'attaque.
    L'histoire se veut de nouveau élaboré et complexe, dans le bon sens du terme bien sûr, et on a droit aussi à une histoire touchante entre Delta et Eleanor, son ancienne Petite Soeur, qu'on ne peut qu'apprécier et s'attacher aux deux personnages, tant leur histoire est tragique. La mécanique des Petites Soeurs est toujours présente, et le choix de les sauver ou les récolter demeure toujours, et influe encore sur la fin du jeu. Pour cette dernière, il peut aussi varier dépendant des choix important choisi par le joueur au cours du jeu, tel le sort d'un personnage particulier pour citer un exemple. Cela augmente ainsi le potentiel de rejouabilité.

    En somme, BioShock 2 est un jeu qui mérite bien sa position de suite au premier opus, et l'on ne saura qu'apprécier la mise en scène et l'histoire qu'il apporte, de même que le fun ressenti en mitraillant et lançant des plasmides selon notre bon vouloir ! 🙂

    Je reposterai éventuellement pour parler de son DLC, Minerva's Den, une fois que je l'aurai joué. De ce que j'en sais, c'est une très bonne extension. A voir ce qu'il en est au final après l'avoir fini.

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    @shanna Merci et il y a pas de quoi. Au plaisir de partager ma passion de la pop culture et de la fiction avec tout le monde sur ce forum ! 🙂

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    Vu sur Netflix aujourd'hui.

    Franchement, ce film est une vraie pépite de l'entertainment. La raison étant que je me suis bien éclaté dans ce concentré de 3D, d'effets spéciaux, de scènes épiques, d'humour, et de références à la pop culture en général, spécialement les années 80 ! Là je reconnais bien le style de Spielberg pour ce qui est du cinéma de divertissement, comme il l'a pu le montrer via des films comme Indiana Jones et Jurassic Park pour citer les meilleurs. Au niveau du scénario, c'est pas de l'élaboré, mais ça tient la route, et l'esprit pop culture du film et vidéoludique saura le faire pardonner ce point.
    En bref, ce film me donne bien envie de me mettre à fond aux jeux vidéo ainsi qu'aux jeux en ligne que j'ai pas fait depuis un moment, et je saurais donc le recommander chaudement à tous cinéphile en recherche de divertissement et de nostalgie ! 🙂

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    @jed Après avoir revu les films, j'admet que MechaGodzilla goberait facilement au combat les Jaegers du premier opus, et visiblement avec maladresse de leur part ceux du second film. On peut bien sûr imaginer une tactique de groupe contre leur ennemi commun, mais je pense après réflexion que MechaGodzilla les massacreraient tous sans problème.

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    J'ai regardé les deux films aujourd'hui. Mon verdict dans l'ordre: Le premier opus se veut visuellement épique autant dans la mise en scène des combats que le design des Jaegers et des Kaiju ainsi que les effets spéciaux, plus un casting assez pertinent. L'hommage aux anime japonais, particulèrement les mecha, se ressent à merveille et on ne peut que vouloir en regarder après visionnage de Pacific Rim tellement on tient à comparer tellement c'est similaire ! 🙂

    Pacific Rim: Uprising se regarde si on veut passer le temps sans s'ennuyer ou presque, mais il ne faut pas s'attendre à une pièce de maitre. Le scénario tient pas vraiment la route et de nombreux gâchis sont à déplorer, tels l'absence de figures importantes du premier film. On se consolera toutefois sur les combats plus dynamiques, bien qu'au final on risque de rester quand même sur sa faim. En espérant que tout cela soit rattraper dans un potentiel troisième film.

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    Mon coup de cœur actuel, notamment après l’avoir écouté pour la première fois dans Godzilla II : Roi des monstres 🙂

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    @sylareen Moi perso je trouve pas qu'il fait si peur, il y a pire que ça dans le domaine. A peu j'avoue qu'il peut y avoir des mises en scène qui se rapproche du jumpscare mais c'est encore acceptable. Et puis tant qu'on dégomme les ennemis, on oublie le côté effrayant. C'est du moins mon point de vue.

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    @orabig pour info les remasters sont aussi dispo sur consoles, donc tout le monde devrait pouvoir profiter de cette merveille du jeu vidéo ! 🙂

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    Développeur: 2K Boston et 2K Australia
    Editeur: 2K Games
    Directeur créatif: Ken Levine
    Genre: FPS
    Année: 2007
    Plates-formes: Xbox 360, PS3, PC, PS4, Xbox One, Nintendo Switch

    Synopsis (tirée de Jeuxvidéo.com) : Bioshock sur Xbox 360 est un jeu de tir à la première personne qui vous entraîne dans les profondeurs de l'océan atlantique pour explorer les ruines d'une gigantesque cité sous-marine ravagée par la folie de ses créateurs. Perdu au coeur de cette utopie transformée en abomination scientifique, il vous faudra lutter à l'aide de plasmides (sortes de modules qui modifient l'ADN pour acquérir de puissants pouvoirs) contre des habitants qui ont depuis longtemps renié leur humanité.

    Mon avis: BioShock est un FPS dynamique qui se voit également agrémenté d'un scénario et d'un background en béton, de même qu'il propose des mécaniques de jeu assez intéressantes. Le jeu se passe dans la ville sous-marine de Rapture, une cité utopique qui vire malheureusement au cauchemar des suites d'une guerre civile dévastateur qui laisse derrière elle des mutants accros aux Plasmides (sortes de super-pouvoirs vendu comme de la marchandise) et à l'Adam (ce qui permet de les utiliser), les Chrosômes (Splicers en VO). Le protagoniste se retrouve mêlée malgré lui au conflit après un accident d'avion, et doit donc tout faire pour survivre et s'échapper de cet enfer. Ainsi donc, en plus d'un arsenal diversifié et redoutable, on aura aussi droit à notre lot de plasmides pour faire face à la localité hostile, et on prendra grand plaisir à imaginer nos méthodes de combat par les innombrables possibilités.
    Un dilemme moral nous sera imposé sur la forme des petites soeurs, des petites filles conditionnés pour récolter l'Adam. Il faut traiter avec elles pour obtenir l'Adam nécessaire pour acheter des plasmides et des améliorations et deux choix s'offrent donc à nous: les récolter (les tuer en somme), ou les sauver. A noter que ces choix influent sur la fin du jeu et même le déroulement de la partie, donc prendre ça au sérieux.
    L'histoire du jeu se voudra assez philosophique et inspiré des idéologies des années 40, tel l'objectivisme, sous fond de Science-fiction inspiré notamment d'Aldous Huxley. L'histoire retranscrit par les enregistrements saura approfondir le jeu et nous apprendre ainsi comment tout à dégéner.
    En bref, BioShock est une perle vidéoludique que je saurais conseiller aux amateurs d'histoires bien ficelés et aux joueurs adeptes des sensations fortes, tant il a tout pour plaire !

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    Hello !

    Bien pour répondre au sujet du topic, Hermit revoit au français Ermite. C'est un bout d'un nom de plume que je me suis donné pour écrire des articles et des écrits sur la pop culture, l'Ermite pas net. pouvait pas vraiment utiliser cela comme un pseudo car ça répond pas aux conformités, alors j'ai juste pris le nom anglais Hermit. Et pour ce qui est du 616, ça renvoi à la continuité principale de l'univers Marvel en comics.

    Bien, en espérant avoir été assez claire et satisfait la curiosité de certains 🙂

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