@Kallindra : prie pour que le petit dernier, le variant breton n'ait pas envie de venir faire du tourisme à Bordeaux,
ne pouvant plus aller à la capitale. Et espérons qu'il ne sera pas aussi virulent que l'anglais, lequel a réussi à supplanter son père.
Y'a plus de respect : les jeunes veulent tout tout de suite.
Les voilà ( l'anglais, le sud africain, le brésilien, et maintenant le breton )à se disputer le territoire comme des gamins
dans une cour d'école. Humour noir bien sûr : il ne nous reste plus que celui-là.

@Olivier : tiens, une chanson avec ce mot, de Jane Birkin, écrite par Gainsbourg bien sûr, sortie en 1977 !
( j'avais 22 ans ! ) : " l'aquoiboniste ", " un faiseur de plaisantristes qui dit toujours à quoi bon "...

@Wolfen : mon fils aîné raisonne comme toi.
J'ai vu un reportage sur les extinctions de masse. Nous abordons la 6e, qui concerne les mammifères...ce que nous sommes.
Mais nous avons un cerveau et non une cervelle, mdr...sauf que notre cerveau dit reptilien est toujours très actif.
Bah, qui vivra verra : je ne veux être ni pessimiste, ni optimiste...je ne veux pas devenir non plus aquoiboniste ni fataliste.

@Olivier : comme toi, je pense que le problème est aussi d'ordre philosophique .

@Wolfen : aller vivre sur Mars ne me fait pas du tout rêver, j'aime trop notre belle planète.
Mais suis dacodac avec toi quand tu dis : " L'humanité refuse obstinément de comprendre que l'accumulation de richesses n'est pas la finalité de la vie...Cela oui, c'est inquiétant, parce que cela signifie que même face au gouffre qui se profile, l'être humain est incapable de changer de direction..."
Je crois que beaucoup se disent : puisque c'est foutu, profitons-en un max et après nous le déluge !
Mais dis-moi : sur Mars, crois-tu que les gens sauront raison garder et ne pas reproduire les erreurs du passé ?
L'homme a t-il " évolué " ( en dehors de la technologie ) depuis les Cromagnons ?
PS : j'adore ton gif :). L'humour noir est le dernier rempart contre le désespoir

Quand je descends voir mon père à Perpignan, je passe devant des éoliennes en pleine campagne, loin des habitations et perso,
je ne les trouve pas moches..comme quoi, les goûts et les couleurs varient d'une personne à l'autre.

Ce qui m'inquiète, ce sont toutes les recherches faites pour envisager de coloniser Mars, avec oxygène et lumière pour faire pousser des plantes. Progrès envisagé pour cet " exode " et non pour produire moins et mieux sur Terre.
Cela signifie que les puissants de ce monde pensent que notre planète est à l'agonie, que rien ne pourra la ranimer
et qu'il faut donc la quitter pour que l'humanité puisse survivre ! Moi, ça me fait froid dans le dos !

@Martin : je fais mon flan avec du lait de brebis, lait plus digeste et plus goutu que celui de vache.
Voici une recette : 1 pâte brisée, 1 l de lait de brebis, 3 œufs, 120 g de sucre, 100 g de maïzena, 2 sachets de sucre vanillé .
Foncer le moule préalablement avec la pâte, piquer le fond avec une fourchette. Préchauffer le four à 200°c.
Battre les oeufs avec la maïzena, et 20cl de lait dans un saladier.
Verser le lait restant dans une casserole, avec les sucres. Porter à ébullition.
Verser le lait sucré vanillé bouillant sur la préparation aux oeufs tout en battant .
Tout reverser dans la casserole, remettre sur feu très doux sans cesser de remuer .
Laisser frémir quelques secondes, pas plus, il faut que la préparation soit légèrement épaissie.
Verser la préparation sur la pâte et enfourner pour 40 minutes à 180°c. Laisser complètement refroidir avant de démouler.
Conserver au réfrigérateur.
Tu vas le réussir, ton flan, et ceux qui le dégusteront t'appelleront chef Martin

Un bourgeois installé est sauvé par une hippie géniale.
Dans le rôle du bourgeois : je prends Leonardo Di Caprio ( il peut tout jouer ) et pour la géniale hippie :
Eva Green, magnifique dans " Miss Peregrine et les enfants particuliers " de Tim Burton
( petite pub au passage pour ce film que perso j'ai adoré).

@Shanna : voilà, je viens de finir le visionnage de cette série. Elle est vraiment géniale.
Une étude remarquable de personnalités et de leur registre réactionnel face à une situation, laquelle d'apparence pourtant simple,
se révèle en fait compliquée et malaisante.

La série tourne autour des principaux personnages et ce sont eux qui retiennent notre attention et notre souffle .
On pourrait se demander : que va devenir Nas après avoir vécu une telle expérience dont il ne peut sortir indemne ?
Mais là aussi, là n'est pas la question .

@itsmeagainagain : nan, ne dis pas " pour les nuls ". La cuisine, faut aimer la faire pour y passer du temps.
On a le droit de ne pas aimer " perdre son temps " de cette façon.
Il y a quantité de recettes très simples et qui sont délicieuses .

@Marie-Thérèse : que voilà un raisonnement des plus sensés qui soit !
Quand on sait ce que gagnent les paysans, on peut dire que ce ne sont pas eux qui s'enrichissent et appauvrissent les autres !
La plupart des petits producteurs vivent au seuil de la pauvreté :
on ne peut décemment pas leur demander de baisser encore leurs prix.

@itsmeagainagain : à la télé, passent des tutos de recettes " c'est bon, c'est frais, c'est simplissime ".
Et bien, il existe le livre : " simplissime, le livre de cuisine le plus simple du monde " de J-F Mallet pour une 20taine d'euros.
Les avantages : 2 à 6 ingrédients maxi, temps de préparation court, recettes simples .
Et après, on peut se les personnaliser en rajoutant ou changeant quelques ingrédients.

Le tout bio ? J'ai du mal à y croire, sachant que la pollution se déplace par voie d'eau ou d'air.
Des tests sur les cheveux de personnes très écolos ont révélé la présence de perturbateurs endocriniens, pesticides
et autres cochonneries chimiques en quantité importante !

J'achète pas mal de produits à Locavor ( anciennement la ruche qui dit oui ) : non catalogués bio issus de l'agriculture raisonnée,
ils sont loco-régionaux et au même prix que dans les grandes surfaces, il me semble.
Pour d'autres produits, je privilégie autant que possible le made in France.
Mais j'avoue acheter des avocats qui viennent de l'étranger, idem pour les mangues et ananas, des fruits que j'adore.
Je ne souhaite pas tomber dans les extrêmes, ni dans un sens ni dans l'autre.
Tout est relatif en ce bas monde .

J'ai choisi de vous présenter Louise Michel, pour moi l'une des plus grandes figures féminines, car son engagement fut hors du commun. Louise Michel, née le 29 mai 1830 à Vroncourt-la-Côte, en Haute-Marne, et dcd le 9 janvier 1905 à Marseille,était institutrice, militante anarchiste, franc-maçonne, aux idées féministes et l’une des figures majeures de la Commune de Paris.
Elle soutint la population dans sa lutte pour l'indépendance. C'est au bagne que Louise Michel devint anarchiste.
Les anarchistes prônent un socialisme libertaire, conception de la liberté d'action et de pensée.
Louise Michel reste l'une des grandes figures du mouvement ouvrier.
Militante infatigable, elle participa activement à la Commune de Paris et se fit le porte-drapeau de l'anarchisme.
Elle assura des rôles traditionnellement féminins : institutrice, infirmière, mais fut aussi soldat contre les Versaillais, de la prise des canons de Montmartre le 18 mars aux combats durant la Semaine sanglante.
" « Notre place dans l’humanité ne doit pas être mendiée, mais prise. »

@rakotolabe : même si ces hommes ont écrit ce que Dieu leur a transmis, ils ne l'ont pas fait mot à mot, mais en fonction de leur compréhension et surtout de leur désir de voir leur société changer.
Citation de Bernard Werber dans " encyclopédie du savoir relatif et absolu " ( un génie, cet homme ) :

Et j'imagine Dieu conclure en disant : " je suis responsable de ce que je dis mais pas de ce que tu comprends ".
Ce qui explique pourquoi il y a tant d'interprétations différentes des textes dits sacrés.
Je te taquine, bien sûr : je respecte tes convictions, mais elles n'influenceront pas les miennes

@Shanna : j'ai oublié de te dire MERCI, d'autant plus que tes présentations sont super bien faites.
Bouh, j'ai honte ! Alors doublement Merci et ce bouquet de gratitude pour toi .

@Shanna : je viens d'aller voir ta présentation. C'est vendu, je sais que ça va me plaire et que je vais être mordue.

@Shanna : oh oui, c'est prenant. J'aurais bien continué à regarder 1 épisode de plus.
Nan, j'en garde pour les jours à venir. Maintenant, c'est l'heure de la lecture :
une histoire de crime où tout accuse le mec, mais rien de prouvable ( " n'oublier jamais " de Michel Bussi ).
Est-ce la conjoncture actuelle qui me pousse dans ce style d'oeuvre ? L'absurde, le dérisoire, une once de désespérance...
je les purge avec ce genre de loisir, mdr.
PS : si tu as des séries à me conseiller, je suis preneuse

@Shanna : je viens de regarder les 3 premiers épisodes. Waouh ! Suis bluffée par l'interprétation :
les acteurs sont tous excellents, chacun dans son rôle et je les trouve attachants, bien qu'aucun ne soit tout blanc...
mais qui peut se vanter de l'être...d'autant plus dans un système , comme tu dis, " foireux " ?

J'ai mis ce message dans mariage, mais vu que le problème est abordé aussi ici, je le remets là :
Mon fils aîné n'a jamais voulu se marier. Il n'est plus avec sa compagne dont il a des enfants.
Mais comme elle posait de gros problèmes pour qu'il puisse les avoir, et même ne serait-ce que les voir, l'affaire est passée au tribunal par le JAF et il a été signifié à Madame qu'elle devait respecter les droits de garde, sinon, sanction sévère pour elle.
Il est vrai qu'elle a été épuisante pour mon fils, toute cette bataille juridique.
Le 1er des droits : c'est celui des enfants ( qui ont droit à leurs 2 parents ) et le 1er devoir des parents, ensemble ou séparés,
c'est le respect de ce droit, on ne le dira jamais assez, point barre.

@Egon a dit dans Que lisez-vous en ce moment ? :

Risibles Amours de Kundera

Merci pour cette info, ça me tente. le seul livre que j'ai lu de Kundera est : " l'insoutenable légèreté de l'être ".
" Avant d'être oubliés, nous serons changés en kitsch. Le kitsch, c'est la station de correspondance entre l'être et l'oubli."
" Quelle qualité − de la gravité ou de la légèreté − correspond le mieux à la condition humaine ?
Et où s'arrête le sérieux pour céder la place au frivole, et réciproquement ?
Avec son art du paradoxe, Kundera pose ces questions à travers un texte composé à partir de quelques données simples mais qui s'enrichissent constamment de nouvelles nuances, dans un jeu de variations où s'unissent récit, rêve et réflexion, prose et poésie, histoire récente et ancienne. Jamais, peut-être, chez Kundera, la gravité et la désinvolture n'ont été unies comme dans ce texte.
La mort ici, a un visage double : celui d'une douce tristesse onirique et celui d'une cruelle farce noire.
Car ce roman est aussi une méditation sur la mort : celle des individus mais, en outre, celle, possible, de notre vieille Europe.
(Quatrième de couverture de l'édition Gallimard 1984) "
Alors Egon, ça te tente ?