@dirty-cop a dit dans Castration du chien? :

Faut vraiment être un gros enculé pour faire ça.

Et bien je t'annonce que je suis une grosse enculée .
J'ai un couple de chiens, tous 2 castrés. D'1, pour éviter toute reproduction, et de 2, parce que
mon mâle devenait barge dès qu'il sentait l'odeur d'une femelle en chaleur.
A ton avis : qu'est-ce qui est le plus cruel ?
. réponse 1 : laisser son chien entier, horriblement frustré de ne pas pouvoir copuler à sa guise.
. réponse 2 : le faire castrer, et le voilà tranquille de ce côté-là, avec la même personnalité,
toujours aussi joueur, mais plus tracassé par sa libido.
Perso, j'ai fait mon choix que je ne regrette absolument pas.

Je suis tombée sur cet humoriste et j'ai trouvé qu'il était couillu le garçon de faire de l'humour sur un sujet si sensible et douloureux.
Allez, on se déride un peu, on en a bien besoin .

Un bouledogue français tricolore, je n'en ai jamais vu. Vraiment choupi, ce bébé .

@leapierce : vi, parce que chez moi, mes chiens ont droit au canapé et au plumard.
Je sais, ce ne sont pas mes chiens qui sont barges mais moi. Ça dérange qui ?
Les voici sur mon lit, les bienheureux.

@Kachina13 : je suis le seigneur des moules et du string écarlate.
Tiens, en bonne copine, je te donne le string, il sera raccord avec ta robe rouge pour lever aussi haut la gambette
sans honte et sans remords, ahaha.

Voici une photo de mon trek dans le désert tunisien : je suis devant en pantalon noir et sweat violet.
Je m'étais prise d'affection pour le dromadaire marron debout, il était craquant celui-là et savait y faire
pour nous charmer afin qu'on lui donne une gourmandise .

@apis-32 : mon fils avait trouvé un hérisson dans la rue un mois de novembre : sorti d'hibernation, autant dire condamné à mort. On l'a gardé à la maison tout l'hiver ( il gambadait la nuit dans la maison et dormait le jour sous une armoire, très pote avec mes 2 furets qui lui portaient des croquettes ! ) puis remis en liberté au printemps. En pleine forme, le pépère : il a pas traîné pour prendre la poudre d'escampette, à ma plus grande joie .

@rive-bleue : ma maison idéale serait un grand chalet ( j'ai besoin d'espace et de coins pour que la cohabitation ne soit pas pesante ). Il serait bien sûr dans la nature, avec des arbres, et pas que 2 ou 3, parce que j'ai besoin de leur présence pour me sentir bien. Et puis une mare pas loin, ça me zénifie.

@P'tit Scarabee: bon voyage .

J'ai envie de vous partager mon nouveau hobby : l'hydroculture. C'est sympa de voir les racines dans l'eau d'un vase ou d'une carafe en verre décorés de cailloux ou de coquillages dans le fond.
Voici en photo ma composition avec en eau : une orchidée phalaenopsis, un anthurium et devant dans le petit vase : ma dernière acquisition, un aglaonème pink princess vraiment très beau avec ses couleurs vertes et roses.

Ma petite merveille avant sa mise en eau :

Bien des plantes se prêtent de bonne grâce à ce genre de culture.
Plantes d’intérieur pouvant être facilement cultivées dans de l’eau :
. Les pothos, des plantes d’intérieur réellement adaptées à ceux qui n’ont pas la main verte !
. Les philodendrons et plus particulièrement la variété formant de longues tiges.
. Les aglaonèmes, des plantes très faciles d’entretien.
. Les bégonias, qui peuvent tout à fait se développer dans l’eau si la tige en question comporte au moins un noeud.
. Les coléus, qui tolèrent les environnements sombres et développent rapidement leurs racines.
. Les plantes aromatiques : sauge, romarin, basilic.
. Le lierre et la lavande, pour un intérieur parfumé.
Question entretien, ce n'est pas compliqué ni astreignant, pas de terreau à manipuler : on change l'eau tous les 8-10 jours et on met dans l'eau un peu d'engrais liquide ( le quart de la dose préconisée pour les plantes en pot ). La lumière sur les racines leur est aussi très bénéfique.
Le plus délicat, c'est qu'il faut bien enlever toute la terre autour des racines. Je les ai délicatement brossées avec une brosse à dents ( conseil lu sur un site ) .
Avez-vous déjà testé cette méthode ?

Pour l'item " roman graphique ", j'ai choisi " A la vie ", écrit et dessiné par l'Homme étoilé,
alias Xavier, alias un infirmier en soins palliatifs à Metz.
" Dans ce roman graphique plein d’humanité, émouvant et drôle, l’Homme étoilé, l’infirmier,
raconte la vie aux soins palliatifs avec douceur, pudeur, amour et humour ".
J'ai choisi cet ouvrage car j'ai travaillé plusieurs années en soins palliatifs et j'étais curieuse de voir
comment un sujet si difficile pouvait être traité en bd. Je ne suis pas déçue :
avec simplicité, il nous montre tout ce qui fait sens dans cette partie des soins infirmiers.

" Ajouter de la vie aux jours à défaut d'ajouter des jours à la vie ".

@iloa-mys : comme @Elenwey , je like beaucoup.
Pour faire savoir à l'autre que j'ai pris connaissance de son com et que je l'ai apprécié.
Et puis, un like, ça fait plaisir : cela fait partie d'échanges sympathiques et y met de la chaleur.
Dislike : je l'utilise très rarement. C'est vrai qu'il n'est pas sympa, mais faut le relativiser.
J'en ai moi-même reçu quelques-uns : ça veut dire que j'ai dit quelque-chose qui a fortement dérangé ou déplu.
On ne peut pas toujours plaire tout le temps et à tout le monde. C'est la vie, ma Lily .

@kallindra : mon avis qui va en déranger certaines : c'est, pour moi, plus culturel et politique que spirituel.

Chose promise, chose due, alors voici une photo prise cet a-m pendant ma balade avec mes chiens.
J'étais côté Millau, de l'autre côté du pont, c'est chez moi.

@music : eh oui, les E. J'ai vécu 20 ans en région parisienne, dans le 94, et par exemple, je prononce : pic-nic.
Ici en Aveyron, ils prononcent piquE-niquE et ça me fait toujours sourire.

Aujourd'hui, je vous présente " Ensemble, c'est tout " d'Anna Gavalda.
Extrait : " Et puis, qu'est-ce que ça veut dire, différents ? c'est de la foutaise, ton histoire de torchons et de serviettes...
Ce qui empêche les gens de vivre ensemble, c'est leur connerie, pas leurs différences.."
Rien que cette phrase citée en 4e de couverture m'a donné envie de lire ce livre et franchement, je ne le regrette pas :
l'histoire est délicieuse, les personnages hauts en couleurs. De quoi ça parle ?
Camille dessine, dessinait plutôt, maintenant elle fait des ménages la nuit.
Philibert, aristo pur jus, héberge Franck, cuisinier, dont l'existence tourne autour des filles, de la moto et de Paulette,
sa grand-mère. Elle vit seule, tombe beaucoup et cache ses bleus, paniquée à l'idée de mourir loin de son jardin.
Ces 4-là n'auraient jamais dû se rencontrer. Le destin va se charger de les bousculer un peu.
Leur histoire, c'est la théorie des dominos, mais à l'envers : au lieu de se faire tomber, ils s'aident à se relever.
Ça donne envie de le lire, n'est-ce pas ?

Pourquoi je mets en avant ce livre plus qu'un autre ?
Parce qu'en la sordide conjecture que nous vivons actuellement où les gens se divisent de plus en plus,
où la méfiance va parfois jusqu'à la haine, la lecture de ce livre fait un bien fou et nous montre le chemin :
oui, nous pouvons vivre ensemble, ou du moins se côtoyer sans voir l'autre comme un ennemi.
Il suffit juste de faire sauter le bouchon, de s'ouvrir l'esprit pour laisser notre connerie s'envoler.
Pour moi : c'est un livre thérapeutique à lire absolument.

@rz38 : à l'heure où de nombreux imams dénoncent l'islam radical voulu par des hommes arrogants assoiffés de pouvoir
et non par un Dieu qui prône tolérance et amour, tu choisis le camp des oppresseurs .
Tu dis : " va falloir vous habituer ". Et bien non, je refuse, comme la majorité de tes coreligionnaires,
de m'habituer à ce qui est à mes yeux une insulte à l'oeuvre de Dieu.
Ce com est donc le dernier que je fais sur ce topic que je vais maintenant ignorer. Bonne continuation à toi.

@apis-32 : quand je fais du pain et même de la pâtisserie où on met de l'huile, j'utilise de l'huile d'olive et franchement, pas de goût dans mes préparations.

@jean : sans doute avant, n'y avait-il que des coupes et l'expression est restée.
Perso, je préfère largement la flûte à la coupe.

Spoiler

( qui a dit : symbole phallique ).