@ tous je suis un fan de musique donc attendez à me trouver partout avec des anecdotes sur chaque style tant que ça me parle donc ne soyez pas vexé
Signature
Je ne suis rien, je le sais, mais je compose mon rien avec un petit morceau de tout.
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Dadou
Nous sommes en sur les terres australienne avec un petit morceau que j'adore pour son ambiance orientale au sonorité indienne
Petrol and chlorine de Silverchair qui a sorti son 1er album alors qu'ils n'avaient que 15 ans
Just enjoy
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Dadou
@Cygoris Stairway to heaven une chanson qui m'a fait chialer la première fois que je l'ai entendue...
Pour info cette chanson est interdite chez les vendeurs de guitares ils en peuvent plus de l'entendre
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Dadou
@Guizmo 'tain j'avais pas encore écouté un morceau de leur nouvel album je viens de me prendre une bonne claque, Amyl s'est bien assagie niveau chant
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Dadou
Toujours The chats avec un conseil d'ami, ne dépense pas l'argent pour le bus dans n'importe quoi sinon tu peux pas rentrer chez toi
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Dadou
Un petit morceau d'un groupe punk australien que j'ai découvert il y a peu de temps
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Dadou
@Guizmo ah justement j'avais envie de vous faire découvrir ce groupe australien tu m'as devancer
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Dadou
@icescream j'adore leur humour absurde et tout les personnages que ce soit Mr. Merdocu ,sophie pétoncule ,et ,les gars de radio bière foot, la seule radio sur la bière et le foot mais qui passe à la télé
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Dadou
Toutes ces années de vœux de chasteté pour me retrouver entouré de femmes et d'hommes nus!
Si le père supérieur me voyait il deviendrait fou et j'aurais droit à des semaines de pénitence, mais c'est ainsi, le monde change et...
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Dadou
LE MENDIANT
Un pauvre homme passait dans le givre et le vent.
Je cognai sur ma vitre ; il s’arrêta devant
Ma porte, que j’ouvris d’une façon civile.
Les ânes revenaient du marché de la ville,
Portant les paysans accroupis sur leurs bâts.
C’était le vieux qui vit dans une niche au bas
De la montée, et rêve, attendant, solitaire,
Un rayon du ciel triste, un liard de la terre,
Tendant les mains pour l’homme et les joignant pour Dieu.
Je lui criai : — Venez vous réchauffer un peu.
Comment vous nommez-vous ? — Il me dit : — Je me nomme
Le pauvre. — Je lui pris la main : — Entrez, brave homme. —
Et je lui fis donner une jatte de lait.
Le vieillard grelottait de froid ; il me parlait.
Et je lui répondais, pensif et sans l’entendre.
— Vos habits sont mouillés, dis-je, il faut les étendre
Devant la cheminée. — Il s’approcha du feu.
Son manteau, tout mangé des vers, et jadis bleu,
Étalé largement sur la chaude fournaise,
Piqué de mille trous par la lueur de braise,
Couvrait l’âtre, et semblait un ciel noir étoilé.
Et, pendant qu’il séchait ce haillon désolé
D’où ruisselait la pluie et l’eau des fondrières,
Je songeais que cet homme était plein de prières,
Et je regardais, sourd à ce que nous disions,
Sa bure où je voyais des constellations.Décembre 1854.