J'ai aussi connu le branleur absent,celui qui avait une veste qu'il laissait en permanence sur le dossier de sa chaise,donc,il n'était pas loin.........
Sauf qu'il allait ou bon lui semblait,pq en fait,il était délégué syndical,et qu'il n'avait pas de raison à donner!
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@Myra-flore a dit dans Partagez tout ce que vous voulez :
J'ai aussi connu le branleur absent,celui qui avait une veste qu'il laissait en permanence sur le dossier de sa chaise,donc,il n'était pas loin.........
Sauf qu'il allait ou bon lui semblait,pq en fait,il était délégué syndical,et qu'il n'avait pas de raison à donner!Hahaha !
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@canaille-sympa a dit dans Partagez tout ce que vous voulez :
@Musings Et ta devise, c'est quoi du coup ?
Celle-ci =>
Le principe de l'Anarcho-Monarchie repose sur les mécanismes d'interactions sociales élaborés entre la classe ouvrière et notre vénéré Roy: vous la fermez et vous travaillez, mais vous êtes autorisés à foutre le bordel tant que ça ne gène pas son Altesse.
Hahaha !| dernière édition par Musings Réputation: 1031 | Messages: 1395 -
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@Musings Je ne sais pas si tu avais vu passer cette vidéo, mais je crois que tu ne fais pas tout dans les règles
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@canaille-sympa a dit dans Partagez tout ce que vous voulez :
@Musings Je ne sais pas si tu avais vu passer cette vidéo, mais je crois que tu ne fais pas tout dans les règles
Hahahaha !
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@Myra-flore a dit dans Partagez tout ce que vous voulez :
Quand les français étaient pour le port du voile!
Tu les aimes, mes fesses ?
Every decade gains its identity around the third year. 1990 is actually the last year of the 80s.
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@Myra-flore a dit dans Partagez tout ce que vous voulez :
@Musings T'es sur que ce n'est pas un franc-maçon royaliste
Non c'est Jacquouille vêtu d'oripeaux... MDR..
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Je vais me faire des amis (Rires).
Crâné rasé Les raisons :-Début de calvitie.
-Texture de cheveux affreuse.
-Pour avoir moins chaud en été.
-Pour éviter que le cheveu long ne soit une source d'accident pour ceux qui travaillent sur des machines.
-Pour passer inaperçu à la Gay-Pride.
-Parce qu'une tondeuse ça ne coûte pas cher contrairement au coiffeur (le cheveu long a besoin d'un entretien régulier)
-Pour jouer les durs en attendant d'avoir quelques poils au menton.
-Parce que c'est la règle pour ceux qui vivent dans les cités.
-Pour faire l'économie du shampooing et utiliser le savon et un gant de toilette.
-Pour éviter d'avoir ou pour voir les poux s'il y en a.
-Pour montrer à sa femme : c'est qui , qui commande.
-Parce que c'est la mode.
..............................
Et aussi pour revendiquer son appartenance politique , c'est-à-dire avoir des convictions politiques d'abruti qui se "lisent" aussi à l'extérieur.
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@Musings
-être bien coiffé même au réveil ,- pour ne pas se faire tirer les cheveux en soirée SM aussi
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@Sky a dit dans Partagez tout ce que vous voulez :
@Musings
-être bien coiffé même au réveil ,- pour ne pas se faire tirer les cheveux en soirée SM aussi
Hahahaha !
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Messieurs,
Vous savez maintenant qui je suis : un révolté vivant du produit des cambriolages. De plus j’ai incendié plusieurs hôtels et défendu ma liberté contre l’agression d’agents du pouvoir. J’ai mis à nu toute mon existence de lutte ; je la soumets comme un problème à vos intelligences. Ne reconnaissant à personne le droit de me juger, je n’implore ni pardon, ni indulgence. Je ne sollicite pas ceux que je hais et méprise. Vous êtes les plus forts ! Disposez de moi comme vous l’entendrez, envoyez-moi au bagne ou à l’échafaud, peu m’importe ! Mais avant de nous séparer, laissez-moi vous dire un dernier mot.
Puisque vous me reprochez surtout d’être un voleur, il est utile de définir ce qu’est le vol.
À mon avis, le vol est un besoin de prendre que ressent tout homme pour satisfaire ses appétits. Or ce besoin se manifeste en toute chose : depuis les astres qui naissent et meurent pareils à des êtres, jusqu’à l’insecte qui évolue dans l’espace, si petit, si infime que nos yeux ont de la peine à le distinguer. La vie n’est que vols et massacres. Les plantes, les bêtes s’entre-dévorent pour subsister. L’un ne naît que pour servir de pâture à l’autre ; malgré le degré de civilisation, de perfectibilité pour mieux dire, où il est arrivé, l’homme ne faillit pas à cette loi ; il ne peut s’y soustraire sous peine de mort. Il tue et les plantes et les bêtes pour s’en nourrir. Roi des animaux, il est insatiable.
En outre des objets alimentaires qui lui assurent la vie, l’homme se nourrit aussi d’air, d’eau et de lumière. Or a-t-on jamais vu deux hommes se quereller, s’égorger pour le partage de ces aliments ? Pas que je sache. Cependant ce sont les plus précieux sans lesquels un homme ne peut vivre. On peut demeurer plusieurs jours sans absorber de substances pour lesquelles nous nous faisons esclaves. Peut-on en faire autant de l’air ? Pas même un quart d’heure. L’eau compte pour trois quarts du poids de notre organisme et nous est indispensable pour entretenir l’élasticité de nos tissus ; sans la chaleur, sans le soleil, la vie serait tout à fait impossible.
Or tout homme prend, vole ces aliments. Lui en fait-on un crime, un délit ? Non certes ! Pourquoi réserve-t-on le reste ? Parce que ce reste exige une dépense d’effort, une somme de travail. Mais le travail est le propre d’une société, c’est-à-dire l’association de tous les individus pour conquérir, avec peu d’efforts, beaucoup de bien-être. Est-ce bien là l’image de ce qui existe ? Vos institutions sont-elles basées sur un tel mode d’organisation ? La vérité démontre le contraire. Plus un homme travaille, moins il gagne ; moins il produit, plus il bénéficie. Le mérite n’est donc pas considéré. Les audacieux seuls s’emparent du pouvoir et s’empressent de légaliser leurs rapines. Du haut en bas de l’échelle sociale tout n’est que friponnerie d’une part et idiotie de l’autre. Comment voulez-vous que, pénétré de ces vérités, j’aie respecté un tel état de choses ?
Un marchand d’alcool, un patron de bordel s’enrichit, alors qu’un homme de génie va crever de misère sur un grabat d’hôpital. Le boulanger qui pétrit le pain en manque ; le cordonnier qui confectionne des milliers de chaussures montre ses orteils, le tisserand qui fabrique des stocks de vêtements n’en a pas pour se couvrir ; le maçon qui construit des châteaux et des palais manque d’air dans un infect taudis. Ceux qui produisent tout n’ont rien, et ceux qui ne produisent rien ont tout.
Un tel état de choses ne peut que produire l’antagonisme entre les classes laborieuses et la classe possédante, c’est-à-dire fainéante. La lutte surgit et la haine porte ses coups.
Vous appelez un homme « voleur et bandit », vous appliquez contre lui les rigueurs de la loi sans vous demander s’il pouvait être autre chose. A-t-on jamais vu un rentier se faire cambrioleur ? J’avoue ne pas en connaître. Mais moi qui ne suis ni rentier ni propriétaire, qui ne suis qu’un homme ne possédant que ses bras et son cerveau pour assurer sa conservation, il m’a fallu tenir une autre conduite. La société ne m’accordait que trois moyens d’existence : le travail, la mendicité, le vol. Le travail, loin de me répugner, me plaît, l’homme ne peut même pas se passer de travailler ; ses muscles, son cerveau possèdent une somme d’énergie à dépenser. Ce qui m’a répugné, c’est de suer sang et eau pour l’aumône d’un salaire, c’est de créer des richesses dont j’aurais été frustré. En un mot, il m’a répugné de me livrer à la prostitution du travail. La mendicité c’est l’avilissement, la négation de toute dignité. Tout homme a droit au banquet de la vie.
Le droit de vivre ne se mendie pas, il se prend.
Le vol c’est la restitution, la reprise de possession. Plutôt que d’être cloîtré dans une usine, comme dans un bagne ; plutôt que mendier ce à quoi j’avais droit, j’ai préféré m’insurger et combattre pied à pied mes ennemis en faisant la guerre aux riches, en attaquant leurs biens. Certes, je conçois que vous auriez préféré que je me soumette à vos lois ; qu’ouvrier docile et avachi j’eusse créé des richesses en échange d’un salaire dérisoire et, lorsque le corps usé et le cerveau abêti, je m’en fusse crever au coin d’une rue. Alors vous ne m’appelleriez pas « bandit cynique », mais « honnête ouvrier ». Usant de la flatterie, vous m’auriez même accordé la médaille du travail. Les prêtres promettent un paradis à leurs dupes ; vous, vous êtes moins abstraits, vous leur offrez un chiffon de papier.
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@Chibi a dit dans Partagez tout ce que vous voulez :
@Musings une petite précision de la source du message, peut-être ?
je me demande si ce n'est pas dans le cadre de l'émission "Quotidien" , micro-trottoir.