@kachina je me met au boulot

@ayamé @Delnis @jool @Kachina @APLACOPHORE ...........les trois nouveaux mots pour 48h sont

Vent

Bouée

Marée

C est de saison non......

Malgré le vent et la marée la bouée attachée n avait pas bougée.....hi hi hi

@heidi je ferai ça un peu plus tard. Je vais préparer une ébauche en brouillon et je posterai quand j'aurai quelque chose à raconter.

@martin rêve pas c etait qu une mise en bouche ......lol

@heidi : ça me parle bien ces 3 mots.. Surtout la bouée ! j'en ai besoin au boulot en ce moment.

@martin : tu as toujours quelque chose à raconter. On le sait. Allez! essaye d'écrire avant la marée montante

Vent bouée marée

Elle ne comprenait pas ce qu’elle avait fait de mal.
Tout se passait pourtant bien mais il avait écourté la soirée d’un coup.
Elle ne l’avait pas vu venir.
Elle n’arrêtait pas de se refaire la soirée pour comprendre ce qui avait cloché, ce qui avait pu tout foutre en l’air.
Elle était désespérée, elle resterait donc seule à jamais??
Quand allait-elle rencontrer le bon? Pouvoir enfin partager tout ce qui lui tenant à cœur avec quelqu’un?

Elle soupira lourdement et se leva.
En allant à la salle de bain, elle passa devant le miroir et se contempla.
Elle trouvait ses cheveux beaux, ils étaient luisants et sa coiffure n’avait pas bougé depuis la veille. Tout tenait en place. Quoiqu’en disent les autres, un shampoing par an était largement suffisant.
En baissant les yeux, elle ne put s’empêcher de sourire face aux énormes bouées qui lui ceinturaient la taille. Elle en était fière, il n’y avait rien de plus confortable!
Sur ce elle lâcha un vent de satisfaction aux relents de vieille marée de la veille.

Vraiment elle ne comprenait pas ce qui avait fait fuir ce jeune homme.

@Ostara

prendre tout a contre pieds excellente idée trop bien......bienvenue

@ostara Mon Dieu, c'est trop xplr on dirait mon fils lol

@delnis dédicace à tous les ados de France!

@heidi : façon coup de blues mais pas trop tout de même.

Je regarde le ciel comme un plafond. Je n’y cherche aucune nuance. Je sais qu’il y a du soleil mais je ne sens même plus sa chaleur sur ma peau. Des mouettes virevoltent au-dessus de moi. Je ne les entends pas, pas plus que les battements de mon cœur. Un calme hypnotisant devant cet océan.

Et tous mes souvenirs déchantent. Mais où es-tu donc passé ? Je ne sais même plus si tu étais vrai. Peut-être n’étais-tu qu’un reflet ? un sourire au coin de ma tête ?

Où es-tu ? Ma vie a pris tant de rides et tout plein de coups de froid depuis toi. . Je me cogne partout, je m’ennuie à force d’emprunter des chemins sans fin.
Dis ? T’es passé où ? Il ne me reste plus rien sinon quelques éclats de rêves et des miettes de tes histoires. Contre marées et vents, tu promettais un temps avec des remparts où nous veillerions tard. Tu disais que partir c’est toujours fermer les yeux sur hier et taire les mots d’aujourd’hui. Tu disais aussi que les cerfs-volants n’étaient rien de plus que des bouées de ciel pour nos idées loupées.

Où es-tu ? Ecris moi ! Oui, écris moi tes rires, tes larmes, les couleurs de ta vie. Même si , contre vents et marées, les pierres t’ont taillé ailleurs la part belle au bonheur, je veux danser exprès sur la pointe des pieds, les yeux tournés vers d’autres cieux, en étreignant la vie et apprendre enfin à t’oublier.

@kachina c'est beau et triste

@delnis désolée ! le coeur n'en fait qu'à sa tête , il se laisse aller parfois.
Promis ! la prochaine fois je l'habillerai en clown.

LES AVENTURES DE MAGALI & ALEXIS

Episode 4 - sur les traces de l'Histoire

Viriamu fonce sur la petite bande de terre de l’atoll qu’il connait par cœur, il est impatient de présenter ces 2 jeunes militants à son équipe, car il ne leur a rien dit, mais Greenpeace ici c’est lui. Il slalome entre les trous de la vieille route abandonnée de l’US Army.

Mag & Alex se cramponnent mais se régalent par cette vitesse inattendue après des semaines de douce navigation. Après tout ils sont jeunes, la vitesse les grise, le cadre est d’un tel romantisme qu’ils se regardent tendrement, complices et ivres de ce moment d’intense bonheur si longtemps attendu.

Evidemment à cette allure les voilà vite en vue du mini aéroport. Une petite tour de contrôle avec station météo, une piste d’atterrissage très courte en mauvais état, où sommeillent deux vieux Ceznas, et un très grand bâtiment aux façades décrépites. C’est tout ce qui reste de la base militaire US.

Une quinzaine d’autochtones les accueillent chaleureusement, notamment une superbe jeune femme d’une trentaine d’années, centre de toutes les attentions. Elle a de longs cheveux ébènes contrastant avec de malicieux yeux verts en amandes. Alexis est un peu troublé, ce qui amuse Magali qui le pince discrètement.

Viriamu la salue et se tourne vers nos aventuriers: ” Voici Ataroa, notre Reine, elle dirige l’ile, elle est aussi notre pilote d’avion, notre médecin et notre directrice de l’école.”

La reine Ataroa les regarde froidement et leur dit d’un air sévère:
“Alors c’est vous qui avez coulé le rainbow warrior, le navire de Greenpeace ?”

Mag & Alex se regardent stupéfaits, un ange passe, Alex déjà troublé devient quasiment stressé, du coup Magali gênée de représenter le pays naufrageur lui répond calmement:

. "Bonjour votre majesté, oui nous avons honte pour toutes les actions nucléaires de notre pays, mais pour le bateau, nous n’étions même pas nés, néanmoins pour ce que ça vaut, veuillez accepter nos plus plates excuses.”

. La Reine Ataora les fixe d’un regard perçant de rapace comme pour sonder leur sincérité, après d’interminables secondes:

“Hum, … Mieux vaut tard que jamais alors, on s’en contentera”

2e ange, puis d’un coup elle éclate de rire ainsi que toute la petite équipe. Arborant un large sourire découvrant des dents blanches comme de rares perles tahitiennes:

“Détendez vous je ne pouvais pas me priver de l’occasion de faire cette blague, soyez les bienvenus mes amis, je vais vous montrer vos quartiers, vous devez languir de vous reposer sur la terre ferme après un si long voyage.”

Mag & Alex sourient, partagent quelques chaleureuses poignées de mains puis suivent Viriamu et Ataroa vers l’entrée du dortoir. L’intérieur joliment restauré, contraste avec l’aspect extérieur vétuste, mais surtout la petite chambre décorée de photos historiques des essais nucléaires, du peuple chassé par la trahison de l’oncle Sam et de quelques portraits qui doivent être d’anciens rois & reines, les projette dans le tragique passé de l’Atoll.

Viriamu: ”Ataroa adore faire des blagues, installez vous et reposez vous, on se retrouve pour le souper et une sympathique veillée dans 2h, on bossera demain.”

Enfin seuls, ils se déchaussent et s’effondrent sur des lits dignes de ce nom, enfin une belle nuit en perspective. Alexis se tourne vers Magali :
“ Dis donc j’avais plus une goutte de salive, tu as vu la beauté de la Reine ? heureusement que toi tu gères”.

Magali moqueuse: “Allons père Alex, la chair est faible, ressaisissez vous, que Diable! ha ha ha. Mais as tu seulement remarqué la beauté de Viriamu ? ces gens sont magnifiques. Bon je vais dormir un peu”

Elle entend Alex qui ronfle déjà et s’endort à son tour... A Suivre

Episode 5 - Réveil en fanfare

Un bruit de moteur réveilla Magali en sursaut, c’était un avion plein gaz au décollage. Elle regarda sa belle montre Breguet marine, et poussa un cri “flute c’est déjà 14h”.

Elle s’arracha péniblement du lit de ses rêves, s’étira en baillant et alla secouer Alex qui ronflait comme un grizzly repu. Agard il hurla: “hein, quoi, allo, qu’est ce qui se passe ? Au secours on coule ? lancez les bouées !!”. Il dormait visiblement très profondément et devait rêver de sirènes l’attirant sur des récifs ou de monstres marins. Elle éclata de rire “Alors ? je parie que tu rêvais de la belle Ataroa. allez il est 14h et on est pas en vacances.”

“Mon Dieu, mais faut se bouger tu as raison, allons vite rejoindre l’équipe”. Ils quittèrent leur chambre d’un pas rapide pour rejoindre le tarmac. Un avion manquait, forcément, Viriamu et ses équipiers s’affairaient autour de l’autre. Ils se regardèrent intrigués en les rejoignant. “Que se passe t il ?”

“La météo est mauvaise, un fort coup de vent est annoncé et la marée ici c’est très dangereux, vous avez vu l’altitude de l’Atoll, il faut tout sécuriser et aller se réfugier dans la tour de controle. Ataoroa va faire un rapide tour des iles habitées pour s’assurer que tout le monde se prépare. Vous avez un sacré bol d’être arrivés avant, faudra s’occuper de votre bateau après”

Ils aidèrent à haubaner le petit cessna, puis repartirent dans le 4x4 à fond les ballons, pour refaire le même chemin que ce matin, sauf que là c’était plutôt l’angoisse. Effectivement le ciel bleu s’était vraiment obscurci et on voyait déjà la mer d’huile, calme et silencieuse se transformer en rouleaux bruyants.

C’est qu’il est pas bien gros cet Atoll, ...

@delnis moi je pense que tu peux écrire un livre

C'était une très belle maison, construite sur pilotis,
Habitée par 3 petits cochons, qui ne faisaient rien de leur vie,
A part tripoter leur queue en tire-bouchon, et mater sur Netflix des séries,
Tout en dégustant du dindon, aucun soucis c'est pas de leur famille,

Mais ils s'étaient pris le chou, avec leur voisin d'en face,
Un vieux loup de mer relou, qui n'avait aucune race,
Pendant une soirée barbecue, où il y avait eu trop de vinasse,
Il avait menacé les cochonous, de souffler un vent qui fracasse,

Arriva le jour où cette vile créature, mis sa menace à exécution,
En face de la-dite villégiature, il alla chercher au fond de ses poumons,
Un flow d'énergie pure, capable d'anéantir leur habitation,
Et comme une fracture du fémur, arriva un ras de marée sans solution,

Dieu merci les 3 compères, avaient autour de leur bidon une bouée,
Une chance de vivre en bord de mer, ils étaient à chaque instant préparés,
Pour contrer les gens austères, jaloux de leur mode de vie débridé,
Et maintenant c'était très clair, ils vivraient dans un bunker sécurisé!

A eux

Un bruit, disons plusieurs ,de fracas dans la cuisine tout à été pensé pour ne pas bouger de sa place verres, assiettes et biensur l ensemble du mobilier et pourtant a chaque seconde lea baisse la tête par réflexe, la houle est forte vraiment et c est pas une histoire de marée pourtant .

Ce matin ils sont partis dans la nuit faire leur devoir le plus simple qu il soit: sauver ou mourir.
Il y a des gens qui ont ce quotidien et que l on n applaudit pas a tout bout de champs .

Lea le sait elle risque sa vie a chaque expédition et ils finissent par vivres ainsi tous ceux du bateau prénommé l ABEILLE BOURBON car elle retrouve toujours sa ruche .

Les bouées le vent la houle c est leur quotidien ils vont aux secours des marins en detresse .
La mer est déchaînée aujourd'hui et ils vont faire comme d habitude répéter des gestes appris par temps calme et répétés encore et encore sans aucun moment de repos jusqu a atteindre la perfection.

Lea regarde le bateau s enfoncer dans la tempête sans sourciller. Elle ose pas le dire mais elle aime cela la mer démontée ,les frissons, l adrénaline juste avant pendant et après un sauvetage
Trempée ruisselante même elle en redemanderais presque mais il y a le presque qui fait la différence .
Elle sait que cette passion est dévorante et que nombre de ses collègues sont décédés dans de drôle de circonstances sans avoir baissé la garde cependant mais se croyant invincible.
Quand arreter un sauvetage, du moment qu ils voient cette âme en perdition, leurs forces se décuplent et plus rien d autre n a d importance

.

Il était une fois, un jeune homme assez fragile, qui avait vécu une enfance difficile. Ses parents, deux criminels négligents, ne le trouvait guère intéressant. Un jour, ils furent embarqués après avoir été démasqués à cause d’une absurdité. L’enfant, ayant déjà atteint l'âge adulte, fut lancé dans le monde des grands, comme par l’effet d’une catapulte. La réputation de sa famille l’empêchant toute sorte de réussite, il pensait avoir atteint sa limite. Marre de tous ces gens qui l’insultaient, de ces gens ingrats qui le discriminaient ! C’était trop. Tout ce temps passé à ne pas ressembler à ses parents, à rester du bon côté, être un citoyen modèle et mieux encore… Les petits boulots qu’il a dû enchaîner pour pouvoir se payer ses études. Malgré ces efforts, il avait tort. Il avait été bête de croire qu’il méritait une vie tranquille et sans scrupule. C’était décidé; il allait devenir un criminel, comme ses parents.

Ce jour-là, après avoir bien réfléchi, il sortit de sa maison et marcha vers son nouveau lieu de travail. En cours de route, il fut interpellé par une jeune femme ravissante sans aucun doute. Leurs regards se croisèrent et, une chose en entraînant une autre, ils tombèrent amoureux. C’était le coup de foudre. En la regardant, le jeune homme voyait de l’espoir, une chance de vivre heureux et non soucieux. L’idée de suivre les traces de ses parents ne lui semblait plus acceptable. Il allait tout faire pour être bon, sans corruption. Pour elle, il ferait tout.

Sans le savoir, la jeune femme avait évité un drame, dans la vie de cet homme. Elle était la bouée de sauvetage qu’il lui fallait, celle qui le faisait remonter à la surface, qui lui faisait reprendre ses esprits. Après s’être battu contre vents et marées pour se construire une vie respectable, il ne lui manquait plus que cette femme, admirable, pour y parvenir.

@kachina Ho merci, mais j'écris ici pour vous, ça me suffit
@jool ho un classique revisité et en vers, tu m'as tué
@Heidi bel hommage, du coup j'ai envie d'aller à la mer, ...
@APLACOPHORE ♫ "C'est un beau roman, c'est une belle Histoire, c'est une romance du midi. Il rentrait chez lui, ..."" ♪

@Ostara sur la proue du bateau-plume dès son 1er texte !

Merci , quelle belle journée,vous m'avez régalé au saut du lit, merci pour tous ces petits bonheurs.

De jolis mots, pour nos enfoi... de maux

@delnis non c’est le deuxième. J’en avait fait un avec trahison reine et je sais plus quoi en -ique.