@aplacophore Petit info de l'ONF : Si vous vous promenez en forêt à l'heure de la sieste , vous pourrez voir Tarzan qui dore à travers la vitre de sa véranda.

Enfermée dans son 2-pièces où la lumière du jour, à cause de la barre d'HLM en face, bien trop haute, bien trop grise,
parvenait à grand-peine, elle regardait par la fenêtre de sa chambre la fine pluie qui ruissellait
sur les vitres composées de simples carreaux non doublés :
elle pouvait ainsi mieux en apprécier la musique qui accompagnait si bien la mélancolie
qui l'étreignait en cet instant de grande solitude.
Elle fut soudain saisie d'une furieuse envie d'évasion et décida alors de partir se promener en forêt :
cela ne serait pas très long, elle habitait non loin du bois de Vincennes.
Vétue d'un imper confortable et chaussée de bottes en caoutchouc, elle s'y rendit d'un pas léger, grisée par
l'odeur de mousse qui se dégageait du tapis de feuilles mortes qu'elle prenait grand plaisir à fouler.
C'est au détour d'une allée, bien qu'elle fut plongée dans sa rêverie, qu'elle perçut,
se rapprochant lentement, une lumière émanant de 2 yeux mordorés,
ceux d'un canidé de race indéterminée, ressemblant fort à un loup quand-même.
Elle, surnommée le petit chaperon rouge par ses amis, se dit en souriant en son for intérieur
qu'il était grand temps de modifier l'histoire.
Elle appella l'animal qui ne se fit pas prier pour venir se frotter contre ses jambes.
Ce fut ce jour-là que naquit entre eux la plus belle des amitiés qui dure encore à ce jour.

@1tel44 : manque le mot lumière, poteau .

@ayamé ah oui zutalor ....merci de me corriger

@1tel44 : au boulot, garçon, pour notre plus grand plaisir .

@1tel44 a dit dans Décris-moi un mouton :

info

Petite info de l'ONF : Si vous vous promenez en forêt à l'heure de la sieste , vous verrez Tarzan qui dore sous la lumière qui traverse la vitre de sa véranda .
Oui ben c'est pas terrible mais j'suis fatigué pis j'ai faim.

Forêt lumière vitre

Elle déambulait à travers de cette forêt féerique. Elle était faite de haut arbres et de fougères dans un camaïeu de vert émeraude.
Pas un bruit ne venait perturber cette promenade, elle se ressourçait avec le bruit des oiseaux dans les feuillages, des pas que l’on devine de quelques animaux peuplant ce lieu magique, des gratouillis des insectes sous le tapis de feuille que foulait ses pieds.
Au détour du chemin elle arriva sur une grande clairière qui cachait un étang avec une eau aussi claire qu’une vitre, on y voyait les poissons nager, les algues ondoyer au gré de leur passages.
Au milieu de cet étang il y avait un minuscule îlot avec un énorme rocher.
Elle nagea jusqu’à lui, elle devait le fendre en deux, elle le savait.
Arrivée devant lui, elle l’effleura et il s’ouvrît, une lumière en jaillit telle une orbe tourbillonnante.
Elle était d’un jaune éclatant et semblait vivante.
Elle avait enfin trouvé ce qu’elle recherchait.

@heidi @APLACOPHORE

Mai 1816, Nicéphore se promène dans la forêt, il travaille déjà depuis des années à la réalisation de son rêve, piéger la lumière. Cet air frais et bien oxygéné stimule ses neurones et il rentre chez lui ragaillardi. Sa boite qu’il appelle chambre noire est un cube avec une petite vitre devant qui deviendra un objectif et une plaque au fond enduite du savant cocktail chimique qu’il appelle rétine. Oui c’est bien l’anatomie de l’oeil qui est à la base de cette invention.

Il entrouvre les volets, face à lui la volière, la lumière pénètre cet appareil photo embryonnaire, et il se frotte les yeux d’émerveillement. “Mon Dieu mais c’est la volière !” Oui mon cher Nicéphore, tu viens de faire rentrer le monde dans une autre ère, celle de l’image capturée, de la future photographie.

A toi

Le vent souffle fort dehors ,elle l entend à travers les volets fermés, c est l hiver déjà, cela siffle c est une douce musique à ses oreilles mais elle n entend aucun autre bruit sauf celui des arbres qui doivent se pencher à cause de celui ci et font un froissement léger comme un craquement sourd.

Elle aime toutes les saisons, le printemps qui redonne vie à chaque recoin de la nature ,les premières fleurs ,le soleil qui revient plus souvent.
L été pour sa chaleur omniprésente ses cours d eau acceuillant ses fruits et légumes croquants.
L autonne est ses couleurs un dégradé de marrons et de jaune .l odeur des sous bois les champignons et les noisettes.

Mais là elle le sais bien avant d ouvrir la vitre et de pousser les volets tout est blanc ,c est un hiver classique dans son jura natale .Un moment a part où le temps semble suspendu pendant quelques instant ...

Le café fume elle le boit à petites gorgées et pense je vais finir par me brûler, l odeur du pain grillé empli toute la cuisine d un doux parfum .elle enfile son manteau rajoute écharpe gants et bonnet elle est prête en franchissant le pas de la porte elle sourit bon en pantoufles à cette saison c est pas top .

Bottes de fourrures aux pieds, ayant corrigé le tire comme dit son père rien ne sert de courir il faut partir a point....et bien équipé

Ses premiers pas dans ce doux nuage un peu froid sont lents elle apprécie le craquement la neige fraîche sous ses pieds .elle savoure chaque instant depuis qu elle est revenue de l hopital, la vie est courte après tout sur l échelle du temps

La forêt s offre à elle dans toute sa splendeur au petit matin ,elle est majestueuse avec son manteau blanc ,une vraie déesse en habit d appara. Le vent chatouille ses joues il est froid et vivifiant elle adore mais va pas falloir rester trop longtemps dans le sens du vent si elle espère voir quelque chose heureusement déjà elle a pas mise de parfum

Elle vérifie son portable éteint bon qui l appellerait à 5 heures du matin un dimanche matin le pape sûrement où sa sœur pour savoir si elle est réveillée et a remarqué la première neige de l année.

Elles sont si différentes ses deux là, pas physiquement, elles se ressemblent beaucoup mais mentalement, l une est vive et espiègle l autre calcul et réfléchis sur tout mais elles sont complémentaires

Bon elle est seule et c est sa première sortie depuis un an quasiment ,un petit frisson l a fait tréssaillir de plaisir et de doute .Est ce une bonne idée de partir ainsi ? son fils ne va t il pas s inquiéter. elle rallume son
portable, elle a laissé un mot sur la table ,il va comprendre il est grand maintenant quasi un adulte .

La douce lumière de celui ci .... la lumière bleuté la ramène a une réalité douloureuse et récente son hospitalisation disons ses hospitalisations pour être honnête comment une femme dans la fleur de l age dynamique souriante a la vie peut elle tomber si bas ,zut c est pas le moment de repenser a cela ...ici et maintenant

Elle ne bouge plus une ombre se dessine au loin ,c'est un cerf un grand cerf vu ses bois voiila c est lui qui elie est venue voir elle a pris du pain sec pas terrible et une pomme ....elle s avance un peu il a senti sa présence il est a l'affût du moindre signe d alerte .

Ils restent ainsi ,un moment à s observer mutuellement ,elle se rappelle alors qu enfant elle venait l écouter lors de son brame avec son père et sa sœur....

Mon dieu comme elle l aime celle la ......la vie est belle n est ce pas ....

.

@heidi : joliment décrit ! On y est dans ce décor !

. . . Direction la vieille cantine militaire US, elle a été joliment re-colorée dans l’ambiance Pacifique, dans les 2 sens du terme:
Tortues, coraux, requins et poissons de tous types se côtoient, peintures sublimement naïves de la main des indigènes, telles des oeuvres rupestres d’une grotte préhistorique, elles créent une ambiance calme, opposée au but primitif et barbare de ce bâtiment de mort. Viriamu et son équipe chantonnent avec douceur accompagnés de leurs ukulélés.

. . . Nos 2 aventuriers basculent en une seconde d’un enfer au paradis sur terre. Sur la table décorée de fleurs, on trouve tout ce qui peut se manger, crustacés, poissons, fruits exotiques, etc… Ils libèrent une explosion de parfums qui de Cook à Lapérouse firent tourner toutes les têtes des explorateurs. Magali & Alex se regardent, leurs yeux brillent d’un de ces bonheurs exceptionnels dans une vie.

. . . L’équipe les accueille par des sourires et des colliers de fleurs, quelle hospitalité quand même ! La reine Ataroa vient vers eux, Alex lache la main de Magali, il n’a pas souvenir d’avoir jamais vu une aussi belle femme, il est ému dès qu’elle le regarde dans les yeux. Evidemment Magali ne réagit pas extérieurement, mais à l’intérieur le volcan commence à donner des signes d’éruption. Alex se dit, “faut qu’on me pince car je dois rêver”.

. . . Ataroa les prend chacun par les bras et les guide vers la table d’honneur, où 2 fauteuils les attendent, “Merci chers amis d’avoir fait un tel voyage, venir de si loin pour s'intéresser à notre cause oubliée et probablement perdue, je ne sais pas si votre reportage nous aidera face aux monstres, mais nous ça nous donne une pêche d’enfer ! Allez asseyez vous et partageons un bon moment après ce foutu cyclone, j’aime à penser que c’est vous qui l’avez dévié”.

Magali prend le taureau par les cornes:

. . . “Votre majesté c’est trop d’honneur, nous ne sommes que 2 petits youtubers, surtout Alex, et un tel accueil nous motive encore plus à donner tout ce qu’on pourra pour faire connaître votre injustice. Quant au cyclone, oui j’ai un rituel spirituel où j’incarne le fantôme des marins perdus en mer, je l’ai pratiqué dans notre chambre, je suis assez fière du résultat.”

. . . Ataroa éclate de rire et embrasse vigoureusement Magali sur la joue, “Alors merci à toi magicienne”, Alex stupéfait, reste sans voix…

A suivre,...

@ heidi : Lumière-vitre-forêt , voici ce que ces 3 mots m'ont inspirés.

Appuyée contre la vitre du bus, je sens le moteur vibrer doucement. J’aime bien m’asseoir dans le sens de la marche, observer la rue. Et même si , la nuit recouvre déjà peu à peu la ville d’une obscurité veloutée, le noir est reposant : il dissimule ce que l’on ne veut pas voir et procure à l’esprit mille et une scènes où faire jouer son imagination.

Chaque jour, durant ce parcours, au milieu d’une rue, où se bousculent les gens, mon regard est attiré par cette petite maison usée, triste comme une ruine.

Tout le monde passe devant mais nul ne s’arrête. Il y a une vieille dentelle accrochée à la fenêtre déchirée en son haut, jaunie par les années, mais nul ne remarque que le rideau bouge parfois. Nul ne le suppose d’ailleurs pas plus qu’il ne s’en intéresse.

Chaque jour, Je m’interroge et suis curieuse de savoir qui peut bien habiter dans cette masure sordide qui semble vouloir résister à la modernité , suffoquant au milieu de ces immeubles flambant neuf.

Alors un jour j’ai décidé…. Je suis descendue à l’arrêt le plus proche de la maison cassée et j’ai frappé à la fenêtre. Une vieille femme est venue m’ouvrir, ni surprise, ni apeurée, elle m’a pris par le bras et conduit dans une pièce ,faiblement éclairée.

Sur les murs délabrés, d’un jaune immonde , elle s’est mise à peindre durant des heures . des fleurs, des oiseaux, des forêts, gommant chaque brique, chaque relief, sans jamais prononcer un seul mot.

Je l'ai regardée. De ses dessins naïfs, émanaient une lumière douce tellement étrange.

L’après-midi finie, elle m'a tendue une boîte et alors qu’elle n’avait prononcé aucun mot, jusque là, m'a dit « Tiens ! Je te la confie. Prends en soin. Surtout ne change jamais ton regard sur la vie »
En partant , je l'ai enlacée en lui disant "à demain" Curieusement, elle n'a pas répondu.

Le lendemain les grutiers s’affairaient à la tâche.! La petite maison n’existait plus.

J’avais ouvert la boîte : elle ne contenait rien mais je savais , à présent, ce qu’il fallait y voir.

@kachina émouvant, où tu vas chercher tout ça ?

@kachina qu'elle belle et triste histoire j'ai adorer bravo

@delnis @Morphée : merci pour vos gentils posts. Suis contente que ce texte ne vous ait pas trop déprimé. Désolée pour l'excès d'émotions , je reconnais qu'en ce mois d'août on en a fait largement le plein. Mais voilà, ce matin, suis partie sur ce mot "vitre" en pensant à un bus ou un train et puis ma muse en a fait qu'à sa tête.

Petit texte tout bête, parce que j'ai mal à la tête

Pour les mots : Lumière - Vitre - Forêt

Cet hiver, elle avait décidé de louer un chalet, au beau milieu de la forêt. Des pins, mais surtout des sapins, c’est ce qu’elle croisa. Ce chalet, elle l’avait loué pour s’éloigner un petit peu du monde entier. Elle était là pour se relaxer, et c'est ce qui allait se passer. Elle arriva à la tombée de la nuit. Lorsqu’elle entra, elle fut éblouie par la vive lumière qui éclairait toute l’entrée, ainsi qu’une partie du salon. Elle avait voyagé léger : une simple valise avait suffit pour partir dans les bois. Pas le temps de tout déballer, elle alla directement au lit.

Le lendemain matin, les rayons du Soleil passaient à travers la vitre de la fenêtre de sa chambre, et allaient se poser délicatement sur son joli visage. Elle se leva, toujours dans les vêtements de la veille, puis jeta un coup d'œil au dehors. Un chalet loin du bruit, de la ville, et un réveil si chaleureux le matin… Que rêver de mieux ? Elle savait que cette semaine allait surpasser ses attentes.

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@Kachina C'est digne d'une leçon de vie. Ça pourrait être le genre d'histoire racontée à quelqu'un pour lui montrer ce qui est vraiment important, sur sa vision de voir les choses par exemple.
En tout cas, c'est beau

@aplacophore Je crois que cette dure période Covid nous aura quand même appris à regarder la vie autrement à surtout relativiser.

edit : ton personnage nous le prouve aussi.

@aplacophore : je double-like ton texte qui remet à l'honneur les plaisirs simples de la vie.
Ce sont les seuls, à mon sens, qui permettent le vrai bonheur .

Bonjour à tous et toutes, j'espère que cette semaine vous sera agréable et remplie de jolies phrases et de beaucoup d'émotion. Cordialement
Mots: lumière, vitre et forêt.

Ce que vous n'avez jamais connu, peut il vous manquer au point de vous faire manquer de souffle? Se pouvait il que la perte d'un élément essentiel à votre vie vous rende si malheureux que l'anéantissement de votre existence serai plus doux?
Depuis de nombreux jour Lee se posait cette sempiternelle question. Sa vie valait elle d'être vécue? De toute sa jeune vie, elle n'avait connu que les barreaux étroits de sa cage. Ce n'était comme si sa demeure était une prison! Non, non loin de la! Son père la chérissait et la choyait comme l' enfant précieuse qu'elle était! Si Lee se trouvait enfermée dans cet endroit clos s'était pour sa sécurité. Père le lui avait affirmé maint et maint fois! Le monde à l'extérieur de la cabane nichée au coeur de la forêt était remplit de dangers. Lee le croyait aisément car parfois "Pa" rentrait le visage tuméfié, les mains en sang et les vêtements déchirés. Dans son imaginaire d'enfant, la petite fille inventait mille dangers plus horrible les uns que les autres...cependant rien n'était plus effrayant que la monstrueuse araignée velue qui tissait sa toile dans le coin supérieure de la vitre. Celle la Lee l'avait surnommée la " Artiste Tueuse", l'arachnide tissait des toiles merveilleuses, si fines, si élégantes mais tellement mortelles. Bien des victimes ailées s'étaient laissées prendre dans ces fils de soie. Aussi la petite gardait elle un oeuil vigilant sur sa voisine.
Cependant depuis de longs jours un sentiment d'urgence, un appel lancinant ne cessait de lui tordre les entrailles. La forêt toute proche l'appelait. La lumière dorée des sous-bois l'hypnotisait! Elle devait retourner là-bas! Sa destinée se trouvait au coeur des grands arbres, la fillette le ressentait intimement.
L'après-midi de ce jour ou l'interrogation se faisait plus forte et le désir plus intense, l'occasion de découvrir le monde se présenta à elle.
Père avait ramassé lors de sa promenade quotidienne de délicieuses fraises des bois. Tout à la joie de partagé son butin sucré avec la fillette, l'homme avait ouvert en grand la porte de la cage quand une forme noire surgit de nulle part lui mordit le dos de la main. D'un geste brusque l'homme secoua son poignet afin de déloger son agresseur oubliant un instant de surveiller sa protégée qui profita de l'intermède pour se ruer à l'assaut de la liberté. La fenêtre se trouvait ouverte, la fillette se précipita vers elle avec toute la vitesse que pouvait lui procurer ses belles ailes diaphanes.
Avant que la semelle cloutés d'un humain ne l'écrase "l'Artiste Tueuse" adressa un vibrant crie de victoire au peuple de la forêt: leur princesse était libre enfin et elle rentrait au pays!

@APLACOPHORE @ayamé @Delnis @Morphée @Lissilma @Kachina @1TEL44 @Ostara ......
Je crois que j ai un jour de retard sur les victoires a remettent... .je sais plus quel jour nous sommes
je suis en vacances est ce une excuse ? la seule que j ai....oups désolée
......revenons a nos moutons.....

Les vainqueurs sont après un sprint final serré
@ayamé @Kachina et @heidi. Donc donnez nous rapidement....chacunes trois mots

3 mots sur le thème de l amour .......hi hi hi soyons inspiré......