Bonjour,
Un autre printemps s'annonce. Il ne sait plus combien il a vu rayonner puis s'étioler sans que sa sortie soit assurée. Son passage par la taule s'éternise, Dieu, quelle frustration!
Une aventure palpitante et très excitante (ou du moins ce qu'il croit encore) était l'origine de son incarcération. Il la définit (l'aventure) comme celle qui déchirera le masque derrière lequel se cache un mystère insoluble depuis la nuit des temps. Une aventure qui a tourné au désastre et, avec le recul, était comme un substitut si fugace qu'elle avait disparu en laissant juste un vide abyssal.
-
Décris-moi un mouton
-
Décris-moi un mouton
L’hiver touche à sa fin, déjà le printemps s’annonce et montre le bout de son nez. Le passage va se faire en douceur, cette douceur printanière qui pousse les bourgeons à s’ouvrir, puis les fleurs à éclore. Sous terre, les fourmis commencent à s’agiter, car les provisions s’amenuisent et bientôt elles montreront leurs antennes à l’entrée de la fourmilière, prêtes pour des semaines de travail afin de se réapprovisionner en nourriture. Les abeilles sauvages font de même dans leur habitation, tandis que les graines de fleurs germent en silence parmi les herbes folles. Ah quelle belle aventure, tout ce petit monde qui s’éveille, s’agite, prêt pour la grande sortie au soleil, tandis que, tapies dans les buissons, les araignées tissent leur toile en silence, attachant soigneusement chaque fil avec la patte, sans que personne leur ait appris à tisser.
Le soleil commence à rayonner plus fort, la Terre se rapproche de l’astre solaire, et les jours s’étirent comme un chat qui s’éveille.
Ah le beau mystère de la nature ! Tout se fait sans que personne n’ait rien à préparer, et quel bonheur de contempler ce miracle qui se produit tout autour de nous, nous qui sommes là et n’avons qu’à regarder, avec toutefois une petite frustration lorsque nous nous demandons qui a bien pu mettre tout cela au point avec tant de minutie, les taches sur les ailes des papillons, le chant des oiseaux, la beauté d’un coucher de soleil sur la mer. Nous détruisons, polluons, abîmons cet univers merveilleux à qui nous devons d’exister. Sans doute n’avons-nous pas encore atteint la sagesse nécessaire pour que certaines choses nous soient révélées...
Par notre indifférence, nous prenons le risque de détruire tout ceci pour ne laisser qu’une planète vide...Les gens qui ne rient jamais ne sont pas des gens sérieux
-
Décris-moi un mouton
@ytica
chapeau...
et bravo aux jolies plumes qui sont passées depuis lundi.| dernière édition par agathe Réputation: 10138 | Messages: 8435 -
Décris-moi un mouton
Suis assise sur cette pierre placée sous un chêne centenaire. L’endroit est paisible, peu fréquenté par les hommes, bien trop occupés ailleurs à satisfaire leurs désirs ou assouvir leur haine. Je regarde voler des moineaux colorés. J’écoute le bruit du vent siffler dans les feuillages . Il chuchote des mots vagues et confus dans les buissons . A chacun de ses passages, il raconte des histoires. Faut dire qu’il a vu tant de choses , le vent, depuis qu’il parcourt les espaces infinis.
Il a erré, insouciant, cherchant toujours une sortie dans le creux des vallons, erré, le soir, parmi le blé fécond.
Il a tant de mystères à raconter, le vent qui passe, sans jamais s’arrêter.Soudain le sentiment d’absence claque en moi avec cruauté, discernant le vide.
Et si demain était le début de la fin ?
Et si demain tout devait exploser ?
Et si demain la haine devenait à la mode ?
Et si le ciel devenait gris , oubliait de rayonner ?
Et si demain était notre dernier Printemps ?
Que ferions-nous de toutes nos frustrations ? Dites moi ?
Entendrions-nous un morceau d’éternité qui nous rappellerait quelques uns de nos bonheurs ? de nos regrets ?
Nos rêves disparaîtraient-ils dans une écume de pâle blancheur ?Dis ! Et si demain tu te décidais enfin ? Arrêtes un peu d’anticiper, de penser, de rêver. ! Hurle donc ton envie de dire « Assez » . Cesse de faire semblant, d’être sans vie. Imposes toi à grands coups d’orgasmes bruyants. Vis les ces moments de vie hors normes à grands coups d’amour et de tendresse.
Silence on tourne !
Comment ça « Silence » ?
Je fais trop de bruit ? Je dérange ?
La vie n’est-elle donc que comédie ?| dernière édition par Kachina Réputation: 23365 | Messages: 16020 -
Décris-moi un mouton
Bonsoir les Plumes.
Je suis très en retard.
Changer l'heure n'a pas eu le meilleur effet sur moi. Je cours d'avantage après le temps.
N'en perdons pas plus !
Je vous propose une autre fantaisie pour cette nouvelle aventure épistolaire.Comme d'habitude j'en appelle à votre muse et surtout votre talent .
Voici les consignes. Elles sont toutes simples et à portée de votre mémoire
Un personnage historique ou mythologique vous a toujours intéressé voire fasciné ? Alors pourquoi ne pas écrire un passage de sa vie, raconté de son point de vue.
Vous êtes prêts à relever ce défi ?
Mais bien sûr que si vous l'êtes. Alors Je vous dis à très vite et vous souhaite une belle fin de soirée, de jolis rêves, et une excellente semaine.
| dernière édition par Kachina Réputation: 23365 | Messages: 16020 -
Décris-moi un mouton
Je m'appelle Franz. Je me retourne sur ma vie, ma courte vie qui va bientôt me quitter.
J'ai vu le jour aux Tuileries, au bruit de 101 coups de canon.
Maman Quiou m'a raconté souvent des épisodes de ma petite enfance où j'ai pu vivre de temps en temps avec mes parents. Il y a eu des faits marquants, dont je ne me souviens pas; Mais j'aurais voulu me rappeler le moment où l'on m'a offert un piano à trois octaves, alors que j'avais à peine un an.
Il faut dire que mon éducation a été solide et j'avais en ma gouvernante un professeur sévère mais affectueux. Elle m'a instruit , tout petit déjà, sur la lecture, la religion, l'histoire, la morale et même la vie militaire.
J'allais avoir quatre ans lorsque je suis arrivé chez mon grand-père François;
J'ai été chéri et éduqué par toute la famille Habsbuourg-Lorraine, j'ai grandi autour de mes cousins et cousines. Et aussi, dois-je dire, sous la surveillance du prince de Metternich
On ajouta très vite des cours afin que mon éducation soit complète. La physique et la chimie, les sciences naturelles, le français, un peu, mais l'italien ... et la danse !
;;;
Pardonnez-moi, une quinte de toux m'a arrêté dans mon récit.
Devenu officier, je suis même parti en manoeuvre avec mon bataillon.
Mais ma santé fragile a toujours été un frein à toutes sortes d'activités.
Depuis plusieurs mois, je suis très affaibli. La tuberculose, disent les médecins. Je suis veillé par ma tante, et amie très chère, l’archiduchesse Sophie de Bavière. Mon ami Antoine de Prokesch-Osten est passé ce matin. Le reverrai- je ?
J'aime particulièrement cette chambre de Schönbrunn... Maman Quiou m'a dit que mes parent y ont séjourné plusieurs fois quand mon père était empereur.
Je suis fatigué, je vais dormir...Schönbrunn le 20 juillet 1832
-
Décris-moi un mouton
Je vais oser vous parler d'une femme, figure emblématique dans l'histoire du christianisme, parce qu'elle fut tellement " humaine ", si attachante à mes yeux.
Je fus une femme libre à une époque où les êtres de sexe féminin l'étaient si peu.
J'ai assumé d'être une femme aux désirs charnels actés, mais aussi une femme de coeur à l'écoute du Sens.
Pour ces 2 motifs, je fus celle qui fut à la fois méprisée et honorée, celle qui aux yeux des hommes symbolisait la co-existence ( par la suite en toute femme ) de la vierge et de la putain.
La postérité se souvient de moi comme étant celle qui versa de l'huile parfumée sur les pieds de Jésus et les essuya avec ma magnifique chevelure : certains interprétèrent bien mal mon geste, n'y voyant que luxure. Heureusement, les esprits éclairés comprirent que seuls m'animaient l'humilité et le don de soi.
On se rappelle aussi de moi à Pâques, mais sans y prêter une grande attention, parce que je fus la 1ère à voir le tombeau vide puis l'apparition de Jésus, oui, sans y prêter une grande attention.
Car les hommes préfèrent nier le fait que je fus, moi une femme, l'apôtre préféré de Jésus. Quelle en fut la raison ?
Il avait décelé en moi la liberté d'esprit, compris celle que j'étais, capable de choisir librement son chemin malgré les obstacles, capable aussi d'éveiller sa conscience pour oser plonger dans l'obscurité de son for intérieur pour mieux comprendre les émotions et ainsi apprendre à maîtriser celles qui font mal et qui nuisent au bien-être pour ne pas dire bonheur.
Il a permis et apprécié que je sois son pendant féminin pour démontrer, tout comme lui, que l'attachement excessif à la matière est dangereux car il engendre le trouble et éloigne l'humain de l'épanouissement et de l'harmonie.
C'est ainsi que je suis devenue la voix des femmes ( j'ose dire plus et mieux que celle de Marie sa mère ) car je symbolise l'union sacrée entre la chair et l'esprit.
Femmes, je ne vous demande pas de me prier mais, que vous soyez croyantes ou athées, juste de vous appuyer sur moi, sur ce que symboliquement je représente, pour que vous assumiez pleinement ce que vous êtes et que jamais vous ne laissiez quiconque vous rabaisser et pire vous humilier.
Hommes, je vous invite à voir et à aimer les femmes pas seulement comme maîtresses de maison ou de plaisir des sens puis mères de votre progéniture, mais en tant que compagnes, vos égales en droits, vos indispensables dans la complémentarité. Car c'est ainsi que Jésus me voyait et c'est ainsi qu'il m'aimait.
Certains se demandent quel était mon nom ? Je m'appelais Maria magdalena, Marie-Madeleine pour les occidentaux.
J'avoue être touchée de voir que des hommes ont pensé à moi pour avoir érigé à mon nom une basilique à Saint Maximin dans le Var : sa crypte y abrite mes reliques.| dernière édition par ayamé Réputation: 14914 | Messages: 11165 -
Décris-moi un mouton
Le 24 mai 1819. Le jour n’est pas encore levé et je viens de naître.
Le 24 juin 1819. Le baptême a lieu en privé. On me prénomme Alexandrina Victoria.Je viens et je nais au monde dans un contexte politique étrange. La princesse Charlotte Augusta de Galles est morte, il y a moins de 2 ans. Elle s’est éteinte après un avoir accouché d’un garçon mort-né. Et avec elle, c’est toute la succession royale anglaise qu’il a fallu réviser ou plutôt recréer.
Au moment où, moi, je finis par entrer dans l’arbre généalogique de cette étrange famille, je ne suis que 5e dans la ligne de succession… 2 ans plus tard, mon grand-père et mon père meurent, à une semaine d’intervalle et me voilà propulsée 3e héritière. En 1927, seul mon oncle George IV pourrait encore devenir roi avant moi. Cette possibilité disparait avec lui en 1830. Le Roi, Guillaume IV n’a pas réussi à avoir d’enfants légitimes. Je serais reine après lui.
Et ça, ma mère le savait. Elle ne le savait que trop bien et depuis bien longtemps. Je suis née pour être reine, j’ai été conçue pour cela. C’est sans aucun doute pour cette raison que ma mère et Lord Conroy ont imaginé le Système Kensington. Je n’ai pas le droit d’être seule. La nuit, je partage la chambre de ma mère. On me surveille en permanence, on prend note de tous mes faits et gestes, personne ne peut me rendre visite sans l’autorisation de ma mère ou de Lord Conroy. Depuis l’âge de 5 ans, les tuteurs privés, soigneusement choisis par ma mère, me font la leçon. Le Révérend George Davys m’a enseigné les Ecritures, puis lorsque j’ai eu 8 ans, la barone Lehzen a eu la charge de m’apprendre la bienséance, la lecture et l’écriture. J’ai également étudié le grec, le latin, l’italien, le français et l’allemand. J’ai si peu de liberté, si peu de loisirs en dehors de mes poupées… Heureusement, j’ai un ami : Dash, mon King Charles spaniel.
1830, donc. J’ai 11 ans. C’est à cette époque que ma mère et Lord Konroy ont décidé qu’il était temps qu’on me présenter au monde. C’est à ce moment-là qu’ils ont commencé à programmer toute une série de voyages harassants. Je m’en réjouis, mais ça me fatigue tellement ! Trop en vérité. Et puis, on me présente comme une rivale de mon oncle. Je ne suis pas sa rivale. Je suis son héritière présomptive. C’est différent. Le Régency Act donne à ma mère, la duchesse de Kent, d’assurer la régence si jamais mon oncle venait à mourir avant que j’aie atteint mes 18 ans. Mon oncle, Guillaume IV, n’aime pas cette idée. Il l’a d’ailleurs clairement fait savoir. Il vivra donc, a-t-il assuré, jusqu’à mon voir et fêter mon 18e anniversaire.
Octobre 1835, nous sommes à Ramsgate. Je suis fiévreuse, malade. Ma mère tente de profiter de mon état de faiblesse. Elle veut me convaincre de choisir son Conroy en tant que secrétaire particulier. Je ne cède pas. N’a-t-elle donc pas encore compris que je les déteste, elle et son amant ?
Mai 1836, j’ai 17 ans. Je serai reine, tout le monde le sait. Et tout le monde complote pour me trouver un mari. Mon oncle, le roi Guillaume IV, souhaiterait me voir épouser Alexandre des Pays-bas. Ma mère, quant à elle, souhaite renforcer les liens avec sa propre famille. Elle imagine donc me marier à mon cousin germain, Albert de Saxe-Coburg et Gotha. Je sais que c’est un choix qui sera inévitable, qu’un beau jour, il me faudra bien choisir l’homme qui deviendra mon époux et le prince consort. Je les observe tous les deux.
Albert m’a plu… au premier regard… Mais je ne suis pas prête. Je suis encore trop jeune. Je ne puis envisager un mariage dès maintenant.20 juin 1837, 6h du matin.
« J'ai été réveillée à 6 h par Mamma qui me dit que l'archevêque de Canterbury et Lord Conyngham étaient là et qu'ils voulaient me voir. Je suis sortie du lit et me suis rendue dans mon salon (en ne portant que ma robe de chambre) et « seule », je les ai vus. Lord Conyngham m'informa alors que mon pauvre oncle, le roi, n'était plus et avait expiré à 2 h 12 ce matin et que par conséquent « Je » suis « Reine ». Sur les documents officiels, on me nomme : Alexandrina Victoria. Non, ça ne me plait pas. Je serai Victoria. La Reine Victoria.Le bonheur n'est pas une chose toute faite. Il découle de vos propres actions
-
Décris-moi un mouton
Je suis la fille de Râ. Il m'a engendrée pour punir les hommes qui se sont détournés des dieux. Les mortels me représentent comme une femme à tête de lionne et m'appellent parfois déesse de vengeance car je symbolise la vengeance de Râ.
Il faut admettre que je me suis bien acquittée de ma mission car je n'ai rien épargné à ceux qui refusent les desseins des dieux de maladies incurables, fléaux et jusqu'aux guerres.
Mon nom, Sekhmet, signifie "la puissante" car je suis tantôt protectrice tantôt destructrice et je n'hésite pas à dévorer tous ceux qui me contrarient..je veux dire qui contrarient mon père.
Mon péché mignon est que j'éprouve un plaisir infini quand le sang coule. Donc j'en voulais toujours plus et le problème est qu'il n'y a pas tjrs des méchants à exterminer.
Quelques innocents peuvent bien se sacrifier pour la noble cause qui est me désaltérer, qu'est ce que ça ferait un ou
deux hommes de moins ?
Râ -avec tout mon respect pour lui- n'était pas de cet avis, il a voulu que je remonte au ciel près de lui. Mais là-haut le sang frais et mmm... tellement délectant des hommes n'existe pas pour la simple raison qu'il n'y a pas des corps mutilés.
Je refuse et une rage contre ces minables protégés par père me fit verser plus de sang que coutume. Croyez moi je suis bien la première à en être étonnée.
Le dieu du soleil devient inquiet ( il a raison, si j'extermine tous les hommes qui gouvernera-t-il ?) et donc il m'a roulé.
Eh oui ! Il m'a donné du vin rouge, et moi aveuglée par ma soif et croyant que c'est du sang je le bus avec plaisir.
La boisson me calma, le temps de me ramener au ciel.
C'était là mon côté destructeur et j'en suis fière (quoi ? il faut quand même accepter tous les côtés de sa personne).
Je suis bien considérée parfois comme une déesse guerrière et la protectrice de l'Egypte: les égyptiens et surtout les soldats croyaient que je combattais les ennemis à leur côté. Après les guerres, les prêtres organisaient des cérémonies pour me remercier et cela me réjouit un peu, faut le dire.
D'autres m'ont élevée au poste de gardienne du pharaon, je reste à ses côtés jusqu'au jour de sa mort et le comble, je l'escorte jusqu'aux portes de là-haut... C'est vraiment ridicule, y a d’autres dieux dont c'est le job.
La bonne chose est que les hommes m'aiment en fin du conte et ils souhaitent tjrs me plaire. Ils organisent chaque fin d'année une grande fête dans le temple érigé à mon nom à Memphis et y versent bcp de vin afin que je les protège des maux et que je sois tjrs à leur côté. Sympa, non ?| dernière édition par Un Ancien Utilisateur Réputation: 0 | Messages: 0 -
Décris-moi un mouton
@cupide Une déesse intéressante, cette Sekhmet...
@ayamé je n'avais jamais songé à Marie Madelaine sous cet angle-là. Il faut dire que dans ce qu'on m'a apprit, c'était surtout les "mâles" qui étaient mis en avant ^^ et qui étaient considérés comme des exemples à suivre.
@agathe : euh.. je ne suis pas sûre de comprendre de qui tu parles ? On parle de Napoléon II, c'est ça ?
Le bonheur n'est pas une chose toute faite. Il découle de vos propres actions
| dernière édition par Artelise Réputation: 6925 | Messages: 4178 -
Décris-moi un mouton
@Artelise Oui, une grande figure emblématique. Je pense bien que son image peut être translatée sur celle des femmes déterminées voire farouches et qui ne se détournent jamais de leurs objectifs.
Celles-là je les respecte vraiment, au mieux je les vénère.| dernière édition par Un Ancien Utilisateur Réputation: 0 | Messages: 0 -
Décris-moi un mouton
@Artelise
oui, bien sûr, il s'agit de Napoléon François Joseph Charles Bonaparte,
devenu Napoléon II
né roi de Rome
nommé Duc de Reichstadt par son grand-père.
(20 mars 1811 / 22 juillet 1832). -
Décris-moi un mouton
@Artelise a dit dans Décris-moi un mouton :
je n'avais jamais songé à Marie Madelaine sous cet angle-là. Il faut dire que dans ce qu'on m'a apprit, c'était surtout les "mâles" qui étaient mis en avant.
Je suis protestante : les protestants reconnaissent l'égalité entre hommes et femmes => lecture et compréhenion de la Bible un tantinet différentes . D'autre part, j'ai lu les évangiles apocryphes ( non reconnus par l'Eglise officielle ) : ce sont eux qui rendent à Marie-Madeleine l'importance de sa place et de son rôle.
| dernière édition par ayamé Réputation: 14914 | Messages: 11165