Je te souhaite un bon retour de vacances, du courage pour défaire tes valises et je te souhaite de retrouver doucement ton rythme.
Pour ma part, je viendrais rajouter le mot "lentement" à notre liste.
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@ayamé c'est rigolo. Hier j'y pensais en me disant qu'on allait sûrement bientôt reprendre.
Mon mot sera "pointe". Parce que j'ai adoré parcourir les pointes Bretonnes
D'après mes derniers renseignements, il serait tout à fait possible que le Graal ne soit ni un vase, ni une coupe, mais... un récipient.
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Coucou les plumes
Me revoilà ! mais , pour tout vous dire, dans un état proche de l'Ohio . Quelle misère ! Je n'imaginais pas une aussi dure reprise . Mon cerveau a été à moitié reconnecté. Pourvu que demain soit un autre jour...
En tous les cas, ravie que vous ayez répondu à l'appel et surtout trop contente de vos petits messages
@artelise : merci pour tes mots de réconfort . Merci pour avoir trouvé le mot juste .
@ayamé : j'ai la chanson dans la tête du coup Nostalgiquement vôtre
@Hilda-1 : Je la sens ta nostalgie bretonne
@Music : il va très bien avec mon cerveau ce mot "torpeur" Et dieu sait que j'aime la chaleur !
Je ne sais ce que vous en pensez , mais 5 mots c'est encore un peu trop léger non ?
Si d'ici 20h (21h même) il n'y a pas d'autres propositions, je vous invite , si cela vous dit, à en ajouter un second .
La récap je la ferai demain aux aurores . Et puis nous reprendrons notre rythme habituel semaine pro.
Considérons cette semaine comme un petit échauffement .
D'accord ?
Faites moi part de votre avis . Je m'adapterai sans problème
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@Melodia Quelle bonne idée ! Merci de ta participation . Tu es la bienvenue . Au plaisir de te retrouver .
J'ajoute que tu peux venir quand bon te semble et qu'ici c'est le topic où on se laisse vraiment guider par les mots. De plus c'est une ambiance toute chaleureuse et bienveillante .
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Je ne sais pas si vous avez remarqué, on a attaqué la 300ème page. Pas mal non ?
Débrief : Nous avons récolté au total 6 mots dont voici la récap
frisquet - torpeur - pointe - lentement - coeur - douceur
Si le vous en dit , rajoutez celui que vous voulez mais on part tranquillement sur ces 6 mots .
On y va ? Vous êtes prêts ?
Alors, vogue la galère . A très vite !
PS : un petit coucou à @agathe que je ne vois plus ces temps ci. J'espère que tout va bien et qu'elle est en vacances encore un peu .
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@Kachina : allez, hauts les coeurs ! On y va, mais lentement, tout en douceur, hein, parce que la torpeur pour l'heure ralentit toujours nos neurones épuisés par la canicule qui ne nous laisse même pas ne serait-ce qu' une pointe de répit.
Je ne sais pas pour toi, mais moi, je rêve des matins un tantinet frisquets des belles journées automnales.
Patience, ayamé, ça va " viendre " .
Lentement mais sûrement, de jour comme de nuit, l'envahissait une moite torpeur,
dont le moindre des effets était de couvrir sa peau de perles de sueur.
Elle aurait préféré des perles de rosée, quand à l'aube il fait encore frisquet
et qu'elle se sent alors frissonnante mais vivifiée. Mais à quoi bon lutter ?
S'abandonner à la douceur du farniente lui semblait être la seule garantie de survie.
Hauts les coeurs ! Tant pis si cette canicule pour l'heure la transforme en zombie.
Car elle sait qu'elle éprouvera une pointe de nostalgie en repensant à cette chaleur,
lorsqu'elle sera fort dépourvue quand la bise sera venue, surtout celle de grande ampleur.
Il lui faudra de cigale redevenir fourmi, mais malgré tout, continuer à chanter
pour mieux supporter la rigueur d'un hiver qui la fera se blottir dans ses rêves d'été.
Laissant de côté ces stériles pensées, elle se servit un grand verre de pulco bien frais :
l'urgence en cet instant n'était-elle point de régulièrement s'hydrater ?
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Il y avait un moment déjà qu’il n’en pouvait plus. Une foulée après l’autre il continuait sa course et son cœur bondissait dans sa poitrine. Son attitude contrastait avec celle des passants qui semblaient sortir de leur torpeur lorsqu’ils le croisaient. Il faisait frisquet en ce matin de janvier et le reste de la ville s’était chaudement emmitouflé. Lui était en tenue de course légère, fluo. Il arborait le style des sportifs Quechua : le Moche.
Sa montre connectée s’affola décelant une pointe de son battement de cœur par minute. Mais il s’en moquait. Le temps n’était pas à la douceur. Il était grisé par ce qu’il ressentait. Il dépassait ses limites sans autre considération. Comme tous les nouveaux sportifs de sa tempe qui découvraient une activité banale, peu coûteuse qui parvenait à procurer une douleur physique tellement intense que durant un bref instant ils en oubliaient ce qui n’allait pas.
Hors d’haleine il finit par s’adosser au tronc d’un arbre en se promettant que demain, ce soir-même, il essaierait de faire encore mieux. Plus vite. Toujours. Pendant ce temps, lentement, la ville reprenait ses droits.
D'après mes derniers renseignements, il serait tout à fait possible que le Graal ne soit ni un vase, ni une coupe, mais... un récipient.
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@Kachina
coucou !
si je suis là, moins présente, mais là quand même depuis mon retour de vacances début aout. lol
je suis étonnée de ne pas avoir vu le topic hier, sans quoi j'aurais donné un mot, bien sûr.
Je vais donc participer très vite avec ces mots :
frisquet - torpeur - pointe - lentement - coeur - douceur
bonne journée à qui passe par ici !
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Good ! Vous êtes en pleine et fraîche forme les filles . Ca fait plaisir de constater que cette canicule n'a pas trop ramolli vos neurones.
@ayamé petit cadeau pour toi qui rêve de fraîcheur
Mais tu n'hésiteras sûrement pas à nous faire une petite place ? pas vrai ?
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@Kachina omg j'y étais samedi dernier vers une cascade ! Merci pour ce petit brin de fraîcheur
D'après mes derniers renseignements, il serait tout à fait possible que le Graal ne soit ni un vase, ni une coupe, mais... un récipient.
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@Kachina : reviens Léon ( non pas toi, mais les copines ), j'ai la même à la maison ! En ce moment, je vais avec mes chiens aux cascades de Creissels. Un peu plus haut, ça fait des bassins dans lesquels je marche dans l'eau : fraîcheur assurée ( l'eau y est vraiment froide, ce qui n'empêche pas mes chiens de s'y baigner, ils adorent ).
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Inexorablement mon esprit glisse dans la torpeur de l’été jusqu’à l’attente d’un vent frisquet automnal qui pourrait me rafraichir les idées.
Lentement, je sens mon cœur qui réclame cette pointe de douceur des rayons du soleil et d’un souffle à travers les feuilles qui frémissement à en rougir.
Je suis de celles qui attendent la prochaine saison comme un renouvellement pour voir le superflu s’envoler dans le vent.
Je suis aussi celle qui attend la période des fleurs comme une surprise, et ce printemps, oui, celui-ci, sera un cadeau joyeux et délicat, un tout petit dans mes bras aimants.
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@ayamé et @Hilda- et @Music
ont ouvert l'avenue avec brio ! Bravo !
je m'y faufile tout doucement : tout le monde dort...
tout le monde ? pas sûr !
Le soleil pointe à l'horizon. Faon, lové contre sa mère, profite encore de la douceur de ces moments, coeur contre coeur.
Dans la chaleur ouatée du taillis, s'affairent déjà multitude de bestioles. Lentement, il se réveille.
D'ici peu, la clairière va sortir de sa torpeur. Les familles Lapin vont gambader et grignoter dans la rosée du matin frisquet. Les papillons, les sauterelles et mille insectes vagabonds vont redonner vie à cette clairière que Faon aime tant. .
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À la lueur d'une bougie, elle écrivait lentement, réfléchissant en même temps à ce qu'elle allait bien pouvoir leur raconter, et surtout comment.
Au risque de les plonger dans la torpeur, la vérité s'imposait. Tant d'années à se taire, se cacher ; à faire semblant, comme si de rien n'était. Cela ne pouvait plus durer.
Par conséquent, après avoir inscrit le lieu et la date en haut du feuillet, puis moult hésitations, elle retrempa la pointe de la plume dans l'encrier et décida de rédiger la courte lettre qui soudain bouleverserait le cours de son existence, leurs vies à tous finalement.
En cette belle soirée de décembre aux paysages enneigés, mois de fêtes et de retrouvailles pour beaucoup, elle aurait souhaité ne pas être aussi isolée, loin des siens. Elle sentait l'air frisquet entrer par la fenêtre de sa chambre restée entrouverte et frissonnait aussi d'émotion.
Allons au plus simple, se dit-elle, consciente de devoir annoncer les choses avec une certaine douceur, malgré tout. À demi-mot.
*Père, Mère,
Vous pensiez me connaître par cœur.
Mais aujourd'hui, j'ose vous dire que non.
Car je ne suis pas ce que vous croyez.
Pas une femme en tout cas.
Espérant que vous me comprendrez et me soutiendrez,
[right]Votre enfant pour l'éternité[/right].*
[ Voilà pour ma première participation. Je tiens à préciser que la fin de cette histoire tout droit sortie de mon imagination n'a rien d'autobiographique (parce que peut-être qu'en la lisant, on pourrait croire que... mais non). Je ne sais même pas pourquoi ce petit exercice d'écriture a pris cette tournure. Sûrement par empathie pour les personnes qui sont confrontées à ce genre de situation délicate. ]
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@ayamé Merci Bravo à toi aussi et aux participantes qui ont déjà partagé leurs écrits.
La preuve que la chaleur n'aura pas raison de notre inspiration, na !
PS : MDR la pub pour la boisson citronnée (ça y est, j'ai encore soif )