@Louikatorz tu n’as pas à t’excuser ! Ici tlm est libre! Chacun vient quand il peut et quand il veut selon le gré de ses envies et inspirations . En clair Tu seras toujours le bienvenu
Au plaisir de te lire
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@Kachina désolée pour le retard ...sarcophage serait bien? Pas facile à placer mais le hasard en a décider ainsi. Bonne nouvelle semaine
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Le doute fait partie de la vie de chaque individu sur cette planète. En suivant, un plan et en n’y arrivant pas, n’importe qui pourrait tomber dans le tourbillon du désespoir. Dans n’importe quel œuvre, des émotions en découle et si l’on n’est pas captivé par l’histoire, on n’aime pas.
Martin, 40 ans, avait écrit 15 romans au cours de sa carrière d’écrivain. Ces cinq dernier roman, qui parlent, en autres, d’Égypte et de sarcophages, n’était pas très apprécié par ces lecteurs. Lesquels, lui on fait part de leurs suggestions. Sur diverses plateformes, des milliers de gens lui suggèrent d’arrêter d’écrire et d’autres insinues qu’il a copié certaines caractéristiques de l’univers d’une autre série d’œuvre.
Après d’avoir pris sa douche, en faisait son rituel du soir, Martin pensait à tout ça et se disait : << Aucune frontière n’existe, des gens du monde entier on encore lu un de mes romans >>. Il souriait et regardait l’entièreté des étoiles qu’ils pouvaient observer à travers sa fenêtre.
Le lendemain, il recommença à écrire une histoire, qui 5 ans plus tard, fera un succès unanime.
Aimer, c'est savoir dire je t'aime sans parler.
-Victor Hugo -
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@Spillway : bin dis donc, tu t'en sors vachement bien avec des mots aussi improbables. Et puis, j'aime la morale de l'histoire ( la persévérance ). Alors, double like .
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Salut les plumes
Plus rapide qu'un éclair, Alors même si notre petite @Spillway était dans les starting-blocks prête à bondir , voici la récap
Suggestion - plan - tourbillon - copier-rituel - douche - frontière- étoile - et sarcophage ( je dois dire que tu nous as gâtés @lissilma )
Allez! les guerriers , y'a plus qu'à....
| dernière édition par Kachina Réputation: 23365 | Messages: 16125 -
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@Kachina a dit dans Décris-moi un mouton :
je dois dire que tu nous as gâtés @lissilma
c'est pas faux !
Le bonheur n'est pas une chose toute faite. Il découle de vos propres actions
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Je me rattrappe de mon absence avec ceci :
Le vent du désert soulevait de petits tourbillons de sable fin alors qu'à l'aube naissante ne cachant pas encore les étoiles du ciel, mon guide égyptien et moi même approchions d'un antique tombeau. Un mauvais plan tracé malhabilement par un ancien soldat de l'armée de Bonaparte laissait supposer une visite instructive.
Mon guide me fit la suggestion d'entrer en premier par le passage étroit du haut de la porte, à peine assez large pour y ramper.
Equipé de ma lanterne à bougie, je m'avançais prudemment dans un couloir poussiéreux.
J'arrivais enfin dans une salle plus grande. Aux murs, des fresques aux couleurs encore vives malgré leur ancienneté décrivaient le rituel du voyage vers l'au-delà du résident des lieux encore inconnu pour moi, destiné à lui permettre de franchir la frontière entre vivants et éternité. Son sarcophage encore intact, épargné par les pillards et les soldats français, tronait encore au centre de la pièce.
Pressé de rentrer avant la grosse chaleur du jour, je m'attelais à ma mission, trouver les textes sacrés du défunt et, une fois ceux-ci copiés, rentrer au Caire.
Ceci fait, ma première préoccupation fût de prendre une douche bienvenue malgré l'installation sommaire des lieux de la maison qui m'accueillait.
J'oubliais de vous dire, nous sommes en 1829 et je me nomme Jean François Champollion. -
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Ce n’était pas prévu. Pas même secrètement espéré. Lorsque Stanley avait cédé aux incessantes exhortations de son père et aux non moins subtiles « suggestions » de sa mère concernant le choix de sa profession et son plan de carrière, il n’espérait rien de plus que d’embrasser une vie tranquille à épousseter quelques antiquités laborieusement arrachées à la terre. Après tout, son archéologue de père n’avait jamais connu de pires tourbillons que ceux des vents relatifs et malodorants du métro du Caire et n’avait jamais été confronté à d’autres rituels que celui qui consistait à prendre sa douche avant de passer à table, le soir. Copier cette vie-là ne serait pas vraiment une gageure et, puis, de toute façon, il n’avait jamais développé de passion pour un quelconque autre métier. Archéologue ses parents voulaient le voir devenir, archéologue il était devenu.
A quel moment sa bonne étoile avait-elle jugé bon de l’orienter vers un chemin de vie différent ? Lors de quel pas avait-il franchit la frontière qui le séparait de sa banale petite vie à celle qui devait le conduire à la célébrité ? Était-ce au moment où il n’avait pas su dire non à sa si charmante collègue ? ou bien le jour où, après avoir rompu avec elle, il avait décidé d’aller travailler le plus loin possible de sa présence devenue insupportable, c’est-à-dire à l’autre extrémité de leur concession ? Il n’aurait su le dire. Mais le fait est qu’il se trouvait en ce jour, devant un véritable et très ancien sarcophage qui, s’il en jugeait par les inscriptions encore lisibles sur le pourtour, s’avérerait sans doute la plus belle découverte archéologique de son siècle.
Le bonheur n'est pas une chose toute faite. Il découle de vos propres actions
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@Louikatorz bien rattrapé
@artelise comme si un sarcophage allait te faire peur .Merci Moussaillons ! Super !
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@Kachina C'est le bicentenaire du décryptage des hiéroglyphes par Champollion qui m'a inspiré.
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@Kachina a dit dans Décris-moi un mouton :
Suggestion - plan - tourbillon - copier-rituel - douche - frontière- étoile - et sarcophage
J'entrai doucement dan la salle de bain jouxtant la chambre , il m'avait bien semblé avoir entendu un bruit,
doucement je m’avançai serrant fermement dans la main un imposant écrin de bois.
Elle était la , dans la douche, à travers la parois vitrée je pouvais l'admirer se prélasser sous une eau fumante.
Je savais bien que le plan allait merder , la suggestion que m'avait faite Eddy serait encore foireuse.
"C'est du gâteau Francky , il n'y aura personne , ils ont passé la frontière pour Madrid, tu n'as qu'a casser la fenêtre
et prendre les bijoux cachés dans le double fond du vieux sarcophage exposé dans la chambre.
Personne qu'il disait ,mais moi je me retrouves la, devant une beauté, une de ces étoiles que l on ne voit que dans les journaux.
Ne pouvant détourner mon regard , je la regardais se savonner méticuleusement ,comme si elle suivait un rituel pour invoquer les dieux.
Je ne pu m’empêcher d'approcher pour mieux la contempler, se tournant vers l'entrée de la douche nos regards se croisèrent.
Sans la moindre crainte elle me fit face avec un aplomb hors du commun, soutenant mon regard et même elle me sourit.
Les yeux dans les yeux , elle m'invita à la rejoindre,elle me tira vers elle et me prit la bouche dans un baiser enflammé.
Elle me déshabilla et dans un tourbillon de passion nous fîmes l'amour avec une intensité dépassant tout ce que j'avais connu.
Au petit matin , je m'éveillai dans le grand lit de la chambre que j'avais cambriolé, la belle n’était plus la mais son odeur
flottait encore dans l'air.
Un mot était posé sur la table basse de style persan située au pied du lit.
" Merci bel ange pour la douceur de ton étreinte, merci à toi pour les bijoux , je ne les avais pas trouvé hier soir.
Voici le code du coffre que tu trouveras derrière le tableau Du Caravage entre les deux fenêtres, tu n'auras qu'a le copier sur le clavier ,
je te laisse ce qu'il contient ,pour ma part j'ai ce que je désirai, cette broche nommée "l'étoile de l'amour".
Au fait , la légende dit qu'elle rend complètement irresponsable l'homme qui la possède -
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Voici une petite histoire qui n'est qu'un conte sorti tout droit de mon imagination, il n'y a aucune véracité dans mon propos.
Il était une fois une rose des sables qui se voulait aussi belle que les étoiles dans le ciel, surtout celle dite du berger dont l'éclat la faisait osciller sur la frontière entre envie et jalousie.
Ne sachant que faire pour y parvenir, elle demanda conseil auprès du vent, priant pour qu'il lui fasse une suggestion qui serait assez facilement réalisable.
Elle demanda, oui au vent, car n'était-il pas son père bien-aimé ainsi que celui de tous ses frères et soeurs, leur donnant naissance chaque fois qu'il s'unissait à leur mère, la vaste étendue de sable du désert.
" Ne t'inquiète pas, petite rose, j'ai un plan infaillible, un rituel bien rôdé depuis la nuit des temps : je vais t'enlacer de moult tourbillons jusqu'à ce que tu sois façonnée à l'instar de ces astres que tu souhaites tant copier.
Je te parerai aussi de milliers de grains de quartz pour que tu puisses rivaliser d'éclat avec ces belles de nuit.
Toi, tu les surpasseras, car tu seras reine de jour comme de nuit ".
Ce qui fut dit fut fait. Hélas, elle fut découverte par un esclave qui l'offrit au pharaon Ramsès II dans l'espoir d'obtenir un quelconque privilège et à sa mort, elle fut déposée à son côté dans son sarcophage.
Le grand prêtre en effet avait dit qu'elle lui serait des plus utiles pour pouvoir s'orienter dans l'Ether radieux et ainsi, atteindre plus rapidement l'Empire Sacré.
Quelle douche froide ce fut pour elle qui s'était vue star incontournable et admirée de toute l'Egypte.
Mais le Destin n'avait pas dit son dernier mot : un homme, du nom de Champollion, la découvrit. Amoureux de sa grande beauté en forme de coeur parfait, il décida de l'offrir au musée des antiquités égyptien situé au Caire.
C'est ainsi que le rêve de Rose des sables, plus de 2000 ans après, finit par se réaliser.| dernière édition par ayamé Réputation: 14916 | Messages: 11175 -
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Un mouvement imperceptible lui fit ouvrir les yeux. Pourquoi diable cette fichue planète l'empêchait elle de dormir? Cette petite étoile perdue au confin de la galaxie avait depuis quelques temps déjà des soubresauts inquiétants. Ce n'est pas qu'il s'en inquiétait, la mort ou la vie d'un astre lui importait peu mais voilà cette planète depuis des millions d'années lui servait de lieu de résidence. Enfin pour être plus précis, ce qu'il détestait, ici se trouvait sa prison. Il avait beau avoir vu cet univers se créer à partir du néant et présider à l'éclosion de divers mondes, il n'avait put éviter la défaite. Ses adversaires? Des envahisseurs venus de mondes parallèles. Sans vergogne, des créatures issus de mondes disparates mais tous oeuvrant sous la même bannière avaient franchis la frontière des réalités. Leur maître à tous? Une race belliqueuse et expansionniste qui forte de sa technologie hautement avancée s'attaquait à tous les univers connus. Selon un plan mille fois éprouvé, elle avait contraint le jeune Dieu de cet univers à plier l'échine et accepter leur suggestion sadique afin de sauver son monde nouvellement créer.
Lors d'un rituel barbare, des prêtres fanatisés couvert du sang de victimes sacrificielles avaient psalmodié de longues litanies dans une langue gutturale. Alors dans un tourbillon de particules incandescentes, le corp de la déité avait été absorbé par un sarcophage de lumière.
Peu de temps après les conquérants se délestèrent de leur fardeau en l'abandonnant tout près d'une petite étoile bleue. Aimanté par l'attraction de cette planète, le cercueil d'énergie s'écrasa au sol et s'enfonça dans les entrailles brulantes de la planète. La conséquence néfaste de cet impact fut la disparition des grands animaux qui arpentaient ce monde.
Mais ici bas ,rien ne disparait totalement, les grands événements se transmettent sous forme de légendes, d'histoires ou de contes copiés maints et maints fois au cours des siècles sur des tablettes d'argiles, des papyrus, des parchemins ou des livres. Comme les cailloux blancs du Petit Poucet ces histoires sont les indices qui peuvent mener les plus téméraires des chercheurs sur les vestiges du passé. C'est ainsi alors qu'elle prenait une douche bien méritée, après une longue et éreintante journée de fouille sur le chantier archéologique qui occupait toutes ses journées et perturbait ses nuit que Zoé entendit l'appel silencieux d'un Dieu ancien résonner dans sa tête.| dernière édition par Lissilma Réputation: 1747 | Messages: 909 -
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Vous me laissez sans voix, vos histoires me transportent. Tout juste une légère émotion pour la rose des sables, qui aurait pu trouver sa place dans mon texte. @ayamé y a pensé avant moi.