@Delnis mon second es tu sur de toi abandonner n est pas dans ta nature je ne donne d ordre a personne trois battements de cils ....lol

@heidi Si c'est un ordre ça sera à vos risques et périls Capitaine, moi et les religions, ....
Bon les battements de cils = arme fatale

@delnis : je n'ai pas été très tendre non plus envers la religion. Il n'est pas interdit de la critiquer

@heidi : Bad new! je crois que je vais déclarer forfait sur ce coup là ! j'ai vraiment aucune inspiration. Rien n'est perdu encore mais bof ! je me les sens pas les 3 mots.
Mais je peux réciter 3 paters s'il le faut.

Dernières ces grandes barrières noire qui s'entremêlent avec des buissons, du lierres, et tout genre d'herbes folles. Se cache un bâtiment aux airs de vieille femme en deuil, sombre et ancien, avachi et décrépit, triste.
Au loin, dans un rayon de soleil on aperçois un potager, pour y faire du bénévolat il suffit de demander à sœur Marie-Ange.
Voilà Suzie en placement institutionnel dans un endroit ou l'on apprend le catholicisme, elle qui n'as jamais vraiment entendu parler de dieu, ici tous le vénère, lui qui est invisible, seul les représentations de cet homme mort sur une croix pour s'en faire une idée et l'aimer. "Car nous sommes dans sa maison", avais prévenu la mère supérieur, "ici pas de feignants, pas de pleurnichards". Bien que les sœurs est des intentions charitable leurs méthodes ressemblent de près à de la maltraitance mais en 1840 personnes ne se soucis des enfants perdus, physiquement et parfois psychologiquement. Alors les 230 enfants qui sont derrière ces murs on ne les entends pas, on en parle pas, que dieu les préservent.
Suite à toute les arnaques de sa mère qui se retrouve derrière les barreaux la fillette devra grandir entre orphelins, bonne sœurs et prières, pour trouver le droit chemin qui la mènera... tous droit.

@morphée

Ho c'est la suite des "Malheurs de Suzie" ? trop cool

Et comment va Emma ?

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@Heidi

ma contribution Vespérale: "1 acte vaut 1000 mots"

Catéchisme Catholicisme arnaque bénévolat

Tombouctou 6h du matin, Alexis sort de sa tente et s’étire en baillant, le dos endolori par une nuit trop courte, ce foutu lit picot de l’armée et surtout par sa rude journée de la veille. Il rejoint la plus grande tente qui fait office de cuisine, salle à manger, salle de réunion et le soir, salle de détente. Il pensait être le premier levé comme d’habitude d’où son surnom de "Lecoq", après tout c’est dimanche quand même, mais Magali est déjà là, sirotant son bol de café. Elle ébauche un rictus de lundi matin et lui dit:
“Alors Lecoq, je t’ai battu ce matin, ha ha ha”.

Il s'assoit, remplit lentement son bol de lait chaud et répond “ Oui qu’est ce qui t’arrive, un cauchemar t’a fait lever avant le soleil ?”

Magali: “Non pas un cauchemar, une prise de conscience, tu trouves pas que ce bénévolat à Médecins du monde ressemble de plus en plus à une arnaque ? j’en ai marre vois tu de bosser 14h par jour”

Alexis soupira et dit “C’est très dur oui, mais tellement enrichissant spirituellement que de mettre en actes les belles paroles du Christ ressassées en boucle au catéchisme. A quoi bon apprendre les valeurs du Catholicisme, si ça reste juste du baratin. On a déjà eu cette discussion avant de partir en mission.”

Magali grimaça et taquine “Oui Père Alex, je sais, je sais, aider son prochain, travailler dur dans la joie la bonne humeur, et patati et patata, sauf que 99% des gens ne font rien pour les autres, alors oui j’ai souvent l’impression d’être une espèce de rêveuse dont on exploite la générosité.”

Alexis haussa les épaules “ Mais oui bien sûr qu’on est peu nombreux mais n’as tu pas ta dose de récompense dans les yeux et les sourires des mères qu’on instruit ou dont on soigne les enfants ?”

Magali finit son café, se lève “Amen, mon Père, amen, tu m’énerves déjà un dimanche matin avec tes arguments sentimentaux auxquels tu le sais très bien j’adhère totalement. Allez je me douche et on ira vacciner les 200 personnes de cette tribu. Pour l’amour des Humains…”

Alexis sourit en savourant sa perpétuelle victoire sur son amie d’enfance , il avala son café, prit une tartine de pain, et lui dit moqueur “ Décidément t’es pas du matin toi, je te pardonne ma fille pour ton peu de foi, va en paix dans la lumière du Christ, ha ha ha”

@delnis : tu t'en es très bien sorti :).
Juste tu as mis un mot ( catéchisme ) à la place de celui donné ( catholicisme ). ;).

@ayamé Ooops je corrige ça , merci du compliment

@delnis peut-être des nouvelles d'Emma au prochain épisode tous dépendra des mots proposer et de l'inspiration du moment

@delnis : yeah, ça le fait :).

Voici un petit poème pour revisiter la Génèse, celle de la Bible me dérange quelque peu ;).

Et Dieu créa l'humain. Un humain, paraît-il, qui serait donc à son image ?
Cette idée-là n'est qu'une arnaque que le catholicisme a inventée.
En vérité je vous le dis : il ne l'a point voulu trop sérieux ni trop sage.
L'ennui et la morosité auraient fini pour sûr, de mort lente par le tuer.
Il lui fit une compagne, capable de bénévolat pour l'assister en toute égalité.
Mais il y eut un bug dans l'audacieux projet, lequel comprend aussi ce décret :
il vous appartient, à vous seuls les humains qui l'avez provoqué,
d'apprendre à savoir comment le réparer.

@ayamé @Delnis @Dirty-Cop @icescream @jool @Kachina @Lissilma @Morphée

VOUS AVEZ TOUS OU PRESQUE JOUEZ LE JEU MALGRÉ CES MOTS DIFFICILES A PLACER ALORS COMME CERTAINS BOSSES COMME DES FORCAS OU PRESQUE JE VOUS PROPOSE UNE ......PAUSE DE 24H JUSQU A JEUDI MATIN ....UNE PAUSE ZEN ET RESSOURCANTE

LE TEMPS QUE D AUTRES VOTES
POUR LES DERNIERS ECRITS ARRIVÉS TARDIVEMENT.......

PARTAGÉ CE QUE VOUS VOULEZ CARTE BLANCHE AUX ÉCRITS SANS CONCOURS JUSTE POUR LE PLAISIR .....TOUT CE MERCREDI

JE DECLARAi ......LE VAINQUEUR DES JEUDI MATIN DE CETTE SECTION PRÉCÉDENTE

EN ATTENDANT....ON RESPIRE ON PROFIRE ET ON SE DÉTEND.....

Hola moussaillons, donnez nous vos délicieux petits pains littéraires de ce jour

@heidi @delnis @ayamé @ tlm

Coucou la troupe !

Hors concours, je partage un texte que j'avais écrit un jour dans une autre vie et dans un autre atelier d'écriture un soir de grisaille. Je vous mets aussi la chanson .

Bonne journée Je retourne gagner ma croûte !

D’abord c’est quoi une vie ?

S’accrocher au premier regard amoureux, celui de sa mère et se dire qu’aucun autre ne sera plus beau parce qu’elle est le soleil, la pluie, la nuit, les rires, les larmes,

C’est quoi une vie ?
courir vers demain alors qu’on vient de naître, alors qu’on a pas le souffle suffisant

C’est quoi une vie? dites moi ! je veux savoir :
un train qui part sans nous, un mélange de miel et de piment, du sucre sur les chagrins , les trahisons ?

C’est quoi LA vie d’ailleurs ?
La joie,
La peur
La honte
Le bien , le mal, la douleur
Du rire , des larmes
Des caresses , des épines , des regrets.
de la pluie qui glisse des toits, des arcs en ciel,
la force, l’envie…

C’est quoi LA vie ? Point d’interrogation, ou simple virgule. ?

Un amour qu’on découvre au détour d’une grande marche
Un partage
Qui n'a fait que passer? qu’on ne reverra jamais
Une main qui vous lâche, un amour qui fuit déjà ?
ou qui n’est pas pour vous ?
Un besoin de se blottir encore sur une poitrine et entendre un cœur qui bat?
Des lèvres qu’on cherche dans la pénombre.?
L’imprévu qui surprend?
Des caresses aux allures de tatouage indélébile?

Dites ! C’est quoi la VIE ??

Ce grand livre et des pages remplies de souvenirs, couleur sépia ?
ceux qu’on appellent « devoir de mémoire » avec pour morale « ne pas recommencer »?
Des plaies mal refermées ?
Un peu, beaucoup, passionnément, à la folie, plus du tout !

Et si La VIE c’était rester maîtres du temps passé,
oublier les cassures
Au fur et à mesure inventer
D’autres instants de vie dans cet autre temps de vie...

Comme vous me semblez douces, pensées éphémères !

Ainsi s'envole le temps
Ainsi est , ainsi va la VIE
Faire du rire et de la légèreté son unique empire,
Un peu comme une deuxième vie de secours.

Pas facile avec les mots sélectionnés. Bon je me lance. Bonne lecture; Cordialement
Léo jeta un dernier regard au miroir placé juste au dessus du lavabo de faience blanche. Un sourire étira ses lèvres minces. Il ni avait rien à redire à son visuel, il était un bel homme et savait largement en tirer parti. Léo vivait de petites arnaques et un physique avantageux était un atout non négligeable dans sa profession. Les vieilles rentières et les ménagères ne résistaient pas longtemps à l'éclat ses yeux sombres de séducteur et sa petite manie de lisser ses moustaches soigneusement cirées les faisaient toutes fondre. Ce n'est pas qu'il en retirait une quelconque gloire... mais il fallait bien vivre! Il y a peu de temps encore, les longues semaines passées dans les tranchées immondes de Verdun lui avait bien fait comprendre que seuls les plus forts ou les plus déterminés avaient des chances de survie. Léo aimait la vie et pour se faire il était près à tout! C'est donc sans état d'âme qu'il empoigna la gibecière en cuir noire qui reposait sur le lit. A l'intérieur se trouvait quelques exemplaires de "L'Histoire du Catholisisme à travers les âges.", les vendre à quelques bigotes des beaux quartiers ne seraient pas un problème pour lui. Pour ce faire, il lui faudrait traverser la capital en bicyclette. Il se devrait d'être prudent car la circulation était dense à Paris. Entre les omnibus, les fiacres et les automobiles pétaradantes des nouveaux parvenus, circuler s'avérait un combat! Mais cette promenade lui permettrait de remercier sa bonne étoile. Il avait échappée à la boucherie de la Grande Guerre et sans rouler sur l'or, il avait une vie agréable malgré tout! D'autres n'avait pas cette chance! Sur sa route, il croiserait surement les longues files d'attente des miséreux venus chercher quelques réconforts à la soupe populaire. Ces stands étaient souvent tenus par des veuves. Des personnes charitables de tous âges qui s'investissaient corps et âmes dans ce généreux bénévolat auprès de la population la plus pauvre. Léo soupira, la vie était une chienne qui ne faisait pas de cadeau. Cependant comme tous ses semblables il espérait ne jamais revivre une telle épreuve, les hommes avait tellement souffert pendant ces quatre dernières années. Etait ce un voeux pieux ou une illusion? Seule l'avenir le dirait!

Ha zut je viens de voir que j'ai utilisé "Bénévoles" au lieu de "Bénévolat" cela sera t il pardonné? OH grand chef mille excuses! Cordialement

@lissilma : non, pas de triche, miss : le mot donné est bénévolat, tu dois le mettre dans ton texte tel quel. Il ne te sera pas difficile de modifier ta phrase ;).

Eve n avait pas envie vraiment pas envie de se forcer une fois de plus .

Elle étouffait dans cette robe de femme bien comme il faut et puis ça ce truc autour de son cou ,elle essayait d attraper le fermoire, impossible vraiment impossible à garder sur soi .

C est horrible vieillot ,autant ce mettre des billets autour du cou qui disent par eux même j ai coûté cher très cher

Le refet de son mari dans le miroir lui glaca le dos ,c ette fois si c etaut fini, elle reviendrait plus en arrière

Comme a chaque fois dans les moments de changement dans sa vie ,une larme coula sur sa joue

Elle n etait pas triste pour autant ,et ce satané collier qui lui résistait

Elle arrêta de galérer avec le fermoir et d un coup d un seul violent ,elle fit voler les perles blanches par dizaine a ses pieds

Le ricochait de celle ci par terre, la fascina,son regard ce perdit littéralement dans ce cafarnaome bruyant et délicat tout à la fois

Elle se dirigea vers son vasque en évitant les perles au sol et pris deux grande brassées d eau

La son homme entra les yeux froncés, l ne regardant qu elle a moitié démaquillée dégoulinante

Il lui dit: " Eve que fais tu ",le reste de la phrase
Fut étouffée par sa glissade sur les perles

C est par terre qu elle se décida enfin à le regarder

@ayamé OK ça marche!
Erreur corrigée. Cordialement
.

@lissilma : génial, tu vois, tu as su faire, et avec talent en plus, bravo :).

@ayamé tu es une personne adorable